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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Naooon, juste un p'tit gars qui a utilisé le moteur de recherche. D'autres sujets connexes : ...
  2. Car un panier c'est trop petit pour deux toiles ?
  3. Parce que les baguettes magiques existaient déjà et qu'il ne voulait pas d'un effet décroissant ?
  4. Comme toi Jack j'ai lu La Voie du Magicien, je sais donc à quoi tu fais référence. Hélas je ne crois pas que tout soit possible. Loin de là. Je ne mettrai jamais les pieds sur Jupiter par exemple (d'autant plus qu'il s'agit d'une planète gazeuse ). Mais j'admets que ce qui est humainement possible va certainement bien au-delà des limites qu'on se pose à soi-même. C'est sympa de te voir ainsi de retour dans VM.
  5. (L'auteur, facilement trouvable via Google, porte les mêmes initiales que David Copperfield.)
  6. Oups, un petit retard de quelques années, rien de grave...
  7. Oh, il y a dans VM d'autres sujets épars liés de près ou de loin à la magie et au cinéma ou aux séries. Quelques exemples (qui ne sont pas nécessairement à fusionner) : Pour connaître les interventions de Méliès dans le film, lire cette page Wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jack_et_la_Mécanique_du_cœur ...
  8. Pas vraiment : l'idée qu'il puisse y avoir un "en dehors" de l'Univers (même densifié en « une coquille de noix ») n'a pas de sens, et l'on ne peut pas non plus suggérer que l'Univers tel qu'il se présentait alors aurait été entouré par du néant. Le néant ne peut se réduire (si je puis dire, car réduire du néant c'est assez balaise !) à une sorte de vide enveloppant. Le néant est un concept bien humain me semble-t-il, et aucune théorie actuelle à ma connaissance ne suggère que notre Univers serait sorti d'une sorte de néant, et encore moins qu'il aurait pu être entouré de néant. Il y a quelque chose plutôt que rien : ceci semble transcender toutes notions spatiales ou temporelles. Certes mais c'est surtout l'observation de l'expansion de l'Univers qui donne cette impression d'en être le centre. C'est comme si l'on était au centre d'une sorte de déflagration originale et que toutes les galaxies observables fuyaient au loin. Néanmoins, cette impression de fuite généralisée reste valide en tout point d'observation. Le plus difficile est de comprendre que la fuite est une sorte d'illusion (encore !) due au fait que c'est l'espace lui-même qui est en expansion. Les galaxies lointaines ne fuient pas à proprement parler, elle se trouve dans un espace qui comme la rate "se dilate" (si je puis dire). L'idée dont on a débattu avec Patrick dans ce sujet n'est pas de questionner cette notion bien établie que tout point de l'Univers en est potentiellement le centre mais que, du coup, la conscience (où le cerveau, si l'on admet que c'est bien là qu'elle se "situe" ou qu'elle trouve ses racines) est le centre de l'Univers ; c'était une pirouette amusante. Ça marche aussi avec la verrue de Mao mais cette excroissance de peau en tant que potentiel centre de l'univers cadre un peu moins avec le sujet. En fait il est partout, donc nulle part. C'est comme trouver le centre de la surface d'une sphère ou d'une bouteille de Klein. Pas extension mais expansion, c'est très différent. Et dans une expansion, tout point s'éloigne de tous les autres et pas que du centre. Voilà. Mais la notion de centre reste valide quoique inhabituelle si tout peut être le centre. C'est l'idée de "centre unique" qui n'est pas valide. Pas vraiment non plus. De quel centre parle-t-on ? Centre géométrique, centre de gravité ou (pour Patrick ) centre de l'attention ? Etc. : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/systeme-solaire-on-trouve-vrai-centre-systeme-solaire-81782/ Fixer le centre du Système solaire au centre du Soleil n'est qu'une convention, un choix. De plus les limites du Système sont discutables. J'ajoute que (par exemple) les forces gravitationnelles du Soleil ne s'arrêtent pas aux limites du Système solaire. (Bon, je précise que la notion de "force" quand il s'agit de la gravitation est un peu inexacte, il s'agit plutôt d'une interaction fondamentale à considérer comme, je cite Wiki, « une manifestation de la courbure de l'espace-temps sous l'effet de l'énergie de la matière qui s'y trouve ».) Le problème c'est que le seul Univers qu'on "connaît" est celui que l'on nomme l'Univers observable. On ne sait pas si ce qui se situe au-delà est homogène avec le nôtre ou très différent. Quant à la notion d'infini, d'un au-delà qui s'étend indéfiniment, j'ai bien peur que cela ne dépasse nos capacités humaines. Du coup n'oublie pas que ce que tu as présenté comme un univers "condensé dans un point minuscule" ne se réfère qu'à l'Univers observable, ce qui fait très peu au regard d'un Univers infini.
  9. Next, avec Nicolas Cage : On en parlait déjà ici (mais sans préciser que le héros est un magicien et qu'on voit quelques tours dans le film) : Exemple ici (le film est plutôt moyen, le "tour" aussi) :
  10. Je le sentais venir, et tu as le droit de me titiller. Néanmoins tu sais très bien que dire que si tout peut être le centre de l'univers (car il s'agit d'un choix consistant à fixer un repère de référence) cela implique logiquement qu'il n'y a pas de centre absolu. Tout point pouvant être le centre il n'y a donc pas de centre unique et absolu qu'on puisse déterminer comme tel. Cela n'a aucune sorte d'équivalence avec le fait que quand on n'est rien on est tout. N'être rien c'est ne pas être ne serait-ce qu'un point dans le Tout. Et par ailleurs même un élément du Tout ne saurait constituer le Tout, alors rien !... L'univers pourrait certes à la limite se penser un peu comme la somme de tous ses centres (et encore, il s'agit d'objets mathématiques), mais le Tout ne saurait se penser comme une somme de ses « riens » (qui ne sont même pas "ses" riens). Bref, quand on n'est rien, on n'est rien, et je doute même qu'on « soit » tout court... Bref il n'y a pas de relation d'équivalence entre les deux propositions que tu as relevées.
  11. De très nombreuses références à la magie dans l'album Shirley et Dino de Frank Margerin (2006) : Exemples : Et bien sûr Patrick Sébastien himself :
  12. Oui, il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
  13. On a débattu bien plus avant dans ce sujet cette idée que tout point de l'Univers peut être considéré à juste titre comme le centre de celui-ci. Ce qui nous a poussé à envisager que tout individu pouvant de fait en être le centre, la conscience de chacun (pour autant qu'elle puisse se localiser) est également le centre de l'Univers. Il n'y a pas que des bêtises dans ce sujet. Mais si tout peut être le centre, cela revient à dire qu'il n'y a pas de centre. D'ailleurs comment être le centre de quelque chose qui n'existe pas ?
  14. Et c'est d'autant plus balaise que Copernic est mort en 1543 et Galilée est né en 1564.
  15. Déjà que Daniel Elbaz suggère qu'il ne serait qu'une illusion, si en plus cette illusion n'existe pas !... :
  16. (7986 et 6682 cumulés, ça fait 14 668. Un certain matricule 14 981 s'abstiendra de tout commentaire...)
  17. Dans la série très en vogue ces temps-ci, En thérapie (avec de très bons jeux d'acteurs, notamment celui de Mélanie Thierry ; les dialogues rappellent un peu ceux des films d'Éric Rohmer), est évoquée de façon furtive une dimension psychologique analogue au chat de Schrödinger au travers de l'état d'une patiente qui lors de son analyse peut être considérée comme "là et pas là", comme présente et absente tout à fois. C'est intéressant...
  18. C'est d'autant plus étonnant que je ne m'imagine pas défendre le point de vue de l'objectivité individuelle. Dans le doute, j'ai fait une petite recherche sur mon emploi dans VM du terme "objectivité" et j'y ai trouvé notamment ceci : Ou encore cela : Etc. Je n'ai donc rien trouvé de "flagrant" dans mes positions qui démontrerait que je "privilégie le point de vue objectif". As-tu une référence précise à ce propos concernant mes 14 979 messages dans VM ou s'agit-il principalement d'un ressenti subjectif de ta part à la lecture des mes divers messages ? Selon moi l'objectivité est plutôt d'ordre collectif (à la façon d'un consensus scientifique par exemple , et jusqu'à preuve du contraire ou à l'apport d'une nuance), on a déjà débattu de ça dans ce forum. Par ailleurs, il est vrai qu'on ne trouvera rien dans mes propos qui serait une défense mordicus du tout subjectif, évidemment.
  19. Eh bien on peut postuler que tu possèdes au moins une connaissance, et ça nous rassure car c'est une connaissance que nous partageons tous, zététiciens, philosophes, épistémologues, etc. En tirant un peu sur le fil, on pourra également convenir que l'Univers n'est pas figé et qu'il a une histoire, et que de cette histoire on connaît des grandes lignes qui sont un socle de connaissances communes. Etc. Pout ce qui est des liens et éléments que tu as donnés précédemment, on ne peut qu'être d'accord avec le fait qu'il y a toujours des risques à l'utilisation abusives d'éléments scientifiques à des fins politiques ou économiques, évidemment. Je reviens sur l'affaire Lyssenko évoquées dans l'une des pages Web en lien : Plus intéressant, ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lyssenkisme https://fr.wikipedia.org/wiki/Trofim_Lyssenko
  20. J'ai peur que tu ne m'aies pas bien compris. Je tente juste d'expliquer ce que je fais moi-même, je joue (parfois) ce jeu consistant à jouir de toutes ces choses étranges qui semblent s'établir en le Monde et moi-même. Je n'en suis pas dupe avec le recul, mais c'est comme aller au cinéma : il faut oublier durant un temps ce qu'on sait pour jouir de l'illusion de cette fiction qui naît dans l'interaction entre le film et notre esprit. Dans ces moments-là, je ne cherche pas à être objectif, tout au contraire .
  21. Non, c'est une généralisation abusive car il existe contre-exemples, en voici un : l'eau ne mouille pas un tissu hydrophobe. Pas du tout. L'argument du coup de marteau revient à dire que "le réel ça fait mal", ou plus généralement qu'il se perçoit. Il sert à délimiter en grosse partie ce que l'on nomme le réel empirique. Je n'ai pas argumenté selon ce point de vue (et de ton côté tu n'hésites pas à nous évoquer des cerveaux pataugeant dans des cuves, et l'on n'a pas fait notre chochotte en lisant ça). Je reviens sur ce qui m'a fait réagir : Je repose donc ma question : en quoi le fait de savoir qu'il y a un risque mortel en cas de chute du haut d'une falaise (que ça fasse mal ou non, ce n'est pas le problème) ne serait pas du domaine de la connaissance mais de celui de la croyance ? Quand tu marches au bord d'une très haute falaise, avec des rochers acérés tout en bas, est-ce que tu SAIS que si tu tombes du haut de celle-ci tu meurs, ou est-ce que tu CROIS que si tu tombes du haut de celle-ci tu meurs ? C'est tout. Réponse A, tu sais. Réponse B tu crois. Alors ? A ou B ?
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