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Tableau d'honneur

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Showing content with the highest reputation on 11/08/23 partout

  1. Markobi mène très bien sa barque. Je viendrais le voir en spectacle avec plaisir avec des amis profanes dès qu'il en aura construit un, ce qui ne saurait tarder. En plus d'être un artiste brillant, il a beaucoup de mérite au regard du travail en amont et il reste lui-même. On a plus a apprendre en regardant des artistes comme lui en démonstration qu'en le lisant ou en le voyant en conférence, même si ce qu'il a déjà écrit ou dit était très intéressant. Il me fait forcément pensé à Dani DaOrtiz lors d'une conférence à Saint-Vincent où les magiciens présents dans la salle se moquaient d'avoir l'explication de ses routines et préféraient le voir en présenter d'autres tellement sa présence scénique et sa folie étaient un véritable plaisir. Anna De GUZMAN a moins de personnalité mais le charme et une habilité que l'on voit assez rarement à la télévision (Cardistry). C'est un autre genre du numéro, axé davantage sur l'esthétisme visuel et l'habilité exhibée que sur la magie (où l'habilité doit être cachée par la technique ou le personnage selon moi) mais pas moins plaisant à regarder. Et puis il est appréciable de voir une femme dans cette discipline. Le simple fait d'être une femme est principalement ce qui fait de son numéro un numéro original pour le moment car sinon, dans son contenu, il n'y a pas grand chose d'elle (à moins que je ne me trompe) mais elle est très jeune, elle a sans doute de l'ambition et nul doute que cela viendra. Elle a la pêche en tout cas ! Kimoon DO n'a pas une personnalité très marqué non plus mais il a son grain de folie. Il a trouvé un concept original avec cette carte à flèche et a construit tout un numéro autour d'elle. J'avais déjà vu ce numéro qui me fait penser à celui du magicien Suisse Blake EDUARDO avec sa routine de suivez-le chef utilisant des cartes sur lesquelles il est inscrit "Ici" et "Là". Merci à Christian DELAMORINIERE de rediffuser ici ces extraits d'émission car je ne regarde presque plus la télévision depuis longtemps mais je suis heureux de voir que la magie se porte bien sur les plateaux télé et j'aime voir, revoir ou découvrir des artistes dont je surveille ensuite les tournées (en espérant qu'elle passe par Reims, Troyes, Saint-Dizier, Nancy ou Dijon) pour aller les voir en spectacle et essayer de partager ce plaisir avec ma compagne, mes amis et ma famille.
    4 points
  2. Comme dirait Coluche : « Je suis d’accord avec l’égalité des sexes à condition d’en avoir un plus grand ».
    4 points
  3. Je vais quand même poser deux petites remarques: - il ne faut pas confondre "lutter contre les biais sexistes que notre langue véhicule" et "utiliser l'écriture inclusive telle qu'elle a été définie". C'est un échec à la vue des controverses et rajouter des points au milieu des mots est plutôt une mauvaise idée à mon sens mais aussi pour tous ceux qui enseignent la lecture par exemple. - "Etat de la science": est ce que la science mesure la différence de sexisme entre la culture française et celle anglaise où le neutre existe, où les adjectifs ne s'accordent pas ? Si ces biais sont avérés, y a t'il moins de différences de salaire ? C'est pas évident ici: https://www.senat.fr/rap/r02-210/r02-2104.html Y a t-il moins de violences faites aux femmes dans ces sociétés ? J'en sais rien de pose une question mais ca n'est pas évident non plus. En tout cas c'est peut-être un peu plus complexe que de rajouter un point au milieu des mots. A nouveau je ne suis pas du tout contre réformer la langue pour diminuer certains biais, mais la forme actuelle proposée ne me semble pas la meilleure.
    4 points
  4. Bonjour Michel. Assez d'accord avec toi sauf sur un point : Ce n'est pas l'écriture qui a un impact sur le sexisme mais bien le sexisme qui a forgé l'écriture comme les règles du monde où nous vivons. Les discriminations de toutes natures et ici sexistes trouvent toujours leur origine dans une majorité qui impose sa façon de voir. Le droit de vote pour toutes les femmes en Suisse (décidé par des hommes, bien sur), ne date que de 1991... Si on change la mentalité générale, l'écriture, comme le reste évoluera naturellement en fonction des égalités qui auront réussi à s'imposer dans la vie.
    4 points
  5. Markobi dans LFAI Ca continue... + Anna De GUZMAN + Kimoon DO
    4 points
  6. Punaise, on ferait fureur si tu venais avec moi faire une presta en crèche !!
    3 points
  7. Débat qui a fait l'objet d'un épisode du podcast Magicos animé par @Guillaume NATAS auquel j'avais participé avec @Marine METRAL et @Caroline MARX : https://www.slate.fr/audio/magicos/tant-de-magiciens-mais-si-peu-de-magiciennes
    3 points
  8. Filmée lors d'une représentation de son show Six Impossible Things, et donc aussi présente sur le produit Six Impossible Things Box Set, vendu par Vanishing Inc, je vous mets ici l'autre vidéo de performance de l'effet, qui est à mon sens, bien meilleure que celle du début du sujet. Je trouve cette performance fantastique. La structure de l'effet, la présentation, l'histoire, toutes légèrement modifiées. La musique, le côté intimiste, l'interaction avec le spectateur. Bref tout est présent pour faire de cet effet, non pas un tour, mais bien une expérience inoubliable pour le spectateur. Perso, j'étais dedans jusqu'au bout avec un dernier frisson accompagnant le point final. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore vu, je vous laisse découvrir.
    3 points
  9. C'est minimaliste, simple, magnifiquement construit, techniquement parfait, un personnage hors sol. Comment dire chapeau bas l'artiste ! Le seul point négatif c'est la réalisation, la caméra ne suit pas le rythme... C'est une leçon de mise en scène et de création, un paquet de cartes, un feutre, un habit de ville rien d'extraordinaire mais un personnage, de l'humour et une écriture ! Magnifique de pureté. Comme @Léa KYLE dans un autre registre, il apporte un vrai renouveau. Un modèle, chaque effets fait mouche, est percutant et s'harmonise avec la nonchalance du personnage. Topissime.
    3 points
  10. J'ai pris le temps de l'écouter c'est intéressant et basé sur la perception du cerveau. Il y a quelques éléments sur la réalisation du protocole ce qui est dommage c'est que les études ne sont pas nommées, on parle d'une en 2008 et d'une récente, on peut imaginer qu'elle est le fait de l'invité Léo Varnet mais on n'a pas malheureusement aucune autres références. En cherchant un peu on trouve que Léo Varnet appartient au CNRS au sein du laboratoire des systèmes perceptifs au département d'études cognitives de l'ENS-PSL. Visiblement l'étude en question est une étude récente parue dans la revue Frontiers in Psychology. On trouve l'article ici : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyg.2023.1256779/full Frontiers in Psychology est revue assez bien cotée 9ème rang mondial. Bref l'étude a l'air sérieuse même si elle demande à être confirmée. Et ces conclusions sont très intéressantes, elles se rapprochent d'autres expériences notamment sur la "suggestion négative collective", lorsque par exemple de génération en génération il est dit que les femmes réussissent moins en mathématiques que les hommes et que l'on voit qu'elle influence le cerveau alors que le postulat est faux. Après l'étude établit que l'écriture a un lien sur la perception, pour autant en évaluer l'impact réel sur le "sexisme" d'une société me semble plus complexe et du ressort du pluridisciplinaire. Dans l'étude ils montrent une amélioration lorsque l'on nomme les deux sujets, par exemple les musiciennes et les musiciens. Alors cela semble moins fort dans l'étude que le fameux point médian de l'écriture inclusive mais demeure plus lisible et efficace au quotidien. C'est peut-être une bonne base, utiliser les ressorts de la langue existante à bon escient et sans modifications lourdes.
    3 points
  11. Je rajouterai aussi que la manière anarchique dont ça se passe actuellement pour place l'écriture inclusive n'est pas très habile. Alors qu'aucun consensus sur son utilisation n'est établi, certains l'imposent de manière unilatérale. Un peu comme si je décide seul de remettre en cause le code de la route et utilise mes propres règles et les impose à tous. J'ai l'impression qu'on est très loin d'un consensus et que le passage en force est plutôt contreproductif car il va figer les postures plutôt que de faire avances des choses qui devraient bouger.
    3 points
  12. La troupe de filles en grandes illusions Angels Inc.
    2 points
  13. En fait je parlais de l'univers des magiciens de spectacles, des artistes de music-hall. Depuis le 19eme Houdini et autres on voit surtout des hommes et des femmes cantonnée à des rôles d'assistantes, de faire-valoir, cela donne des schémas qui se reproduisent et ne suscitent pas de vocations chez les filles. Plus on verra de manière médiatique des Léa Kyle , Alexandra Duvivier, Caroline Marx... plus je pense que l'on aura des magiciennes qui se lanceront. je viens de découvrir d'ailleurs sur le sujet de la France a un incroyable talent une magicienne très sympa avec des cartes cela fait plaisir.
    2 points
  14. Ben oui, je me présente d'ailleurs parfois comme la réincarnation d'un sorcier alchimiste ayant été brûlé vif 500 ans avant ma naissance (la grande inquisition), comme me l'a révélé un chaman (véridique, sauf la date) et ce sorcier s'appelait naturellement Rahzul... C'est sympa, et je peux ainsi produire des révélations du passé sur papier parcheminé, écrit en gothique et parfois scellé à la cire ! Un procédé usuel mais sympa.
    2 points
  15. Pas très connu c'est vrai. Mais Max Maven a quand même bien popularisé cet ajout (la croix) à l'un des jeux les plus utilisés (U*****-******) qui n'est autre qu'un jeu B******** (idée souvent attribuée à Paul POTASSY) sauf qu'à la place d'un dos différent, c'est un dos avec une croix (plus subtil je dirais, ça fait plus "prédiction" et moins jeu spécial car il y un côté "fait à la main" avant la prestation). Après, il a opté pour le sacrifice un jeu m***** pour les cartes dans les enveloppes (pour le choix libre et caché jusqu'au bout). Il aurait pu s'en dispensé et ce sans avoir à réaliser un f****** : il existe plusieurs façons de réaliser une carte à *'**** mais son choix est là aussi judicieux pour la télévision car c'est le plus simple et le plus direct, sans avoir à toucher à l'enveloppe ou à son contenu. Mais encore une fois, le choix le plus important, c'est celui de l'ordre des révélations. Ici on finit sur la révélation d'une carte librement sélectionnée par éliminations. Je ne sais pas si la réaction de Lionel est ironique ou non car je sais que Viktor Vincent ne fait pas l'unanimité chez les magiciens et reçoit même régulièrement de vives critiques, mais je le trouve toujours très honnête dans ses interventions télévisuelles lorsqu'on lui demande si il a un don ou un pouvoir d'une part et lorsqu'on lui demande si il créer ses illusions d'autre part. Il se présente toujours comme un artiste qui présente des illusions (et uniquement des illusions), comme un homme de spectacle et rien de plus d'une part et pour ce qui est de la création, il ne se présente pas comme un inventeur mais comme quelqu'un qui monte ses numéros, ses expériences à partir de brillantes idées venant souvent d'autres. Il exprime tout cela clairement avec des mots justes et c'est tout à son honneur. Le seul reproche qu'on peut lui faire est d'abuser un peu trop du pré**** et de l'*********** mais je trouve qu'il use beaucoup moins qu'avant du premier et a réduit l'usage du second. Il est vrai que pour le public profane, qu'importe la méthode mais je dirais qu'il y en a de plus "méritantes" que d'autres. Bref, si je me met à la place d'un profane, il me donne une bonne image de l'illusionnisme et plus particulièrement, du mentalisme. Et en spectacle, je pense que l'on retrouve le personnage et des illusions comme celles qui nous ont plu à la télévision (je dis "je pense" car je ne l'ai encore jamais vu sur une scène mais de ce que j'ai vu comme extrait promotionnel et de ce que j'ai entendu d'amis qui sont déjà aller le voir, on retrouve des numéros de la même qualité que celles qu'il présente à la télé). Car ce qui est dangereux pour les artistes médiatisés comme lui, c'est de ne pas anticiper la déception des gens lorsqu'ils les découvrent en vrai, sur une scène et qu'ils ne retrouvent pas des illusions semblables à celles qui les ont scotchées à la télévision. Criss Angel avait fait un véritable bide lorsqu'il avait monté son premier spectacle à Vegas à grands coups de propos plus ou moins sous-entendus du genre "je vais détrôner Copperfield". Bon ben aujourd'hui, Copperfield est toujours là et toujours grand. Criss Angel n'est pas passé aux oubliettes et il a été une véritable révolution à l'époque des premières saisons de "Criss Angel Mindfreak" mais si vous donnez ces deux noms à quelqu'un dans la rue, même une rue américaine, je pense que l'un des deux parlera beaucoup plus que l'autre ! Pour conclure, je dirai que je suis fier de voir que nous avons aujourd'hui deux bons mentalistes médiatisés (Antonio et Viktor Vincent) avait chacun leur style mais pour points communs l'humilité et l'honnêteté et dans le milieu télévisuel où il faut souvent empiéter sur le voisin quitte à faire quelques "écarts à l'éthique" pour se faire une place, c'est très rare.
    2 points
  16. Merci @Taha MANSOUR et Thomas pour le travail ! Par définition, le sujet du Cold Reading est aussi touffu que Taha Mansour lui-même... pourtant il parvient à en dégager les lignes de forces et, par compilation de grands principes, en extraire une stratégie tout à fait concrète. Si Taha a toujours beaucoup de choses à dire, sa synthèse est bien construite et il donne les principaux outils d'une lecture réussie. (Chacun devra quand même s'armer de pratique, de ses meilleurs atouts d'improvisateurs et de pas mal de vivacité d'esprit pour que ses lectures deviennent fluides). Dans cette conférence, on réalise aussi la nécessité absolue d'une lecture à froid avant et après un p**k ! La démonstration à ce sujet est imparable... fini de révéler une information en claquant des doigts ! Je ne regrette pas mon achat puisque la conférence m'a permis de réaliser un abrégé très pragmatique et réaliste de ces techniques et d'y voir carrément plus clair. Alors, si vous voulez éviter de lire tout Ian ROWLANDS (spécialement Full Facts Book), Julian MOORE (The James Bond Cold Reading) ou une pléiade d'ouvrages conçus pour les médiums et que vous voulez avoir un condensé tangible de Cold Reading "orienté mentalisme", cette conférence est pour vous.
    2 points
  17. Magnifique performance de Markobi ! Un artiste incroyable qui nous rend fiers et admiratifs. Tout est bien pensé, au millimètre près. Rien n'est laissé au hasard. Une technique excellente et un jeu d'acteur bluffant de réalisme (son "voilà" ) Bref, ça fait plaisir !
    2 points
  18. Dans le style Magie Bizarre, il y a le livre de Steve Drury, Key Mysteries. Le livre est à 100€ et se trouve en impression à la demande sur le site Lulu.
    2 points
  19. Un nouvel effet avec un Rubik's Cube, The Floating Cube de Uday Jadugar.
    2 points
  20. Sans doute, en fait je vois cela de ma fenêtre, le mieux serait de demander à des femmes ce qu'elles en pensent sur ce sujet. En revanche comme j'habite aux Pays-Bas et que c'est un pays beaucoup plus en avance que le nôtre dans de nombreux domaines sociétaux, notamment sur l'égalité entre les sexes. Malgré cette différence culturelle, il y a encore très peu de femmes dans le monde magique. Ce qui m'amène à penser que la raison est forcément ailleurs que dans un sexisme présumé. Ce n'est qu'une constatation.
    2 points
  21. Pour la partie misogynie de l'article : Le sujet prête à sourire parce que l'on parle de renommer des noms d'oiseaux Mais c'est déjà ce que l'on fait sur les noms des rues, les noms de nouveaux bâtiments municipaux, de nouveaux complexes qui ouvrent leurs portes... Probablement pas assez. Mais pour rester dans le thème, c'est plutôt chouette
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  22. Question subsidiaire : La magie est-elle sexiste ? Selon Ilva Scali, magicienne parisienne connue « Il y a environ dix professionnelles en France, contre 5 000 hommes. ». Pourquoi ? Ce pourrait être l'objet d'un débat intéressant.
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  23. Un mot : INCROYABLE ! mériter à 1000% voila
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  24. @Eric ANTOINE coach les deux célèbres Youtubeurs en leur apprenant chacun un tour. Pas de débinage, de la bonne humeur et du respect pour la discipline, une jolie façon de mettre en avant la magie sur une vidéo à plus 1,6 millions de vues.
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  25. C'est faux, tu peux écouter l'émission que j'ai posté plus haut. Qu'est ce que tu en sais ? A-t-on le recul nécessaire sur cet usage finalement plutôt récent et pas si répandu ? Quels éléments de preuves peux-tu apporter ? Je ne vois pas en quoi. as tu du recul ou une étude à avancer. Parce que ce qui s'énonce sans preuve se réfute sans preuve. En cause de fracture béante et d'inégalités, travaillant en éducation prioritaire je peux t'en citer énormément d'autres et qui sont documentées. Je suis d'accord mais est-ce une raison valable ? Je suis plutôt d'accord. Mais les difficultés avec le français sont aussi à travailler en amont, notamment à l'école. D'accord. Le constat a été fait (et mesuré de manière scientifique) que la langue véhicule des biais sexistes. Je suis tout à fait d'accord. Tout à fait d'accord aussi. @Christian GIRARD m'a aussi perdu dans son tuto. Pour être clair (et me répéter) : je ne dis pas qu'il faille tout écrire en inclusif. Je suis sûr que des longs articles ainsi que des romans écrits de cette manière me tomberaient des mains. Je trouve cependant que son usage est intéressant lorsque l'on s'adresse à un groupe de personnes par écrit : courrier, circulaire etc... Et lorsque je l'utilise (rarement) je me rends compte (désolé @Mickaël MCD ) que notre langue a tendance à invisibiliser la moitié de notre société et ça me rappelle que le féminisme a encore du travail et que je serai l'allié des combats féministes avec plaisir. Quand je parle des combats féministes c'est au sens bien plus large que le combat des biais sexistes de la langue. Et mon côté scientifique avec un faible pour la zététique me rappelle aussi que l'écriture inclusive est efficace pour combattre les biais sexistes induits par la langue. ça personne ne peut l'enlever à part contre étude. (C'est un énoncé réfutable, au boulot les détracteur.e.s ).
    2 points
  26. Sur la musique du regretté Johann Johannsson issue du film The Theory of Everything
    1 point
  27. Houdini et son mentor : Le grand Houdin auquel il rend hommage au travers de son pseudonyme. Sinon, oui, même si je n'accroche pas vraiment à Caroline Marx, mais c'est personnel et subjectif.
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  28. Ahhhh le bon vieux temps... Nostalgie, quand tu nous tiens...
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  29. Merci beaucoup @Thierry SCHERER (Zarcanum) pour ce retour, ça me fait très plaisir ! Bons readings à toi !
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  30. Oui, mais... dans l'imaginaire du passé, la magie était plutôt dévolue aux sorcières plutôt qu'aux sorciers. Le bucher était dévolu aux hérétiques et aux sorcières. La magie pratiquée par les hommes a cependant de tous temps été considérée comme un divertissement. Quant à la manipulation, je pense que les hommes se l'ont accaparée au travers des jeux d'argent dans les cafés et tripots quasiment uniquement fréquentés par les hommes. On retrouve dans cette catégorie tous les jeux de "bars" comme les cartes, les dés, les échecs, les dames, les fléchettes, le baby-foot et le billard tous encore majoritairement joués par des hommes...
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  31. Après tu peux aussi utiliser une machine à fumée pour masquer ta sortie de scène, il faudra se pendant un modèle ayant un débit important pour te noyer rapidement dans la fumée et donc une puissance importante et tu n'auras pas d'effet flash aveuglant mais c'est pus simple à utiliser sans qualification qu'un artifice. Après pour un effet magique tu peux aussi travailler sur une disparition dans une pluie de confettis comme ce que l'on voit dans le quick change.
    1 point
  32. Peut-être que l'imaginaire du passé joue un rôle dans le manque de vocation de magiciennes. un peu comme la suggestion négative sur les mathématiques que j'évoquais. Dans l'imaginaire collectif issu du 19ème, en magie la femme est l'assistante du magicien... Un faire valoir. Cela peut jouer sur l'imaginaire et les envies de carrières. Dans l'imaginaire collectif le magicien est un homme en smoking. Cela continue d'ailleurs encore dans de nombreux numéros de grandes illusions, la femme reste cantonnée dans le rôle de l'assistante sexy.
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  33. La pêche au poisson du premier degré a été bonne Par contre je ne suis toujours pas d'accord avec la fin de ta précision.
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  34. https://www.huffingtonpost.fr/science/article/les-noms-offensants-d-une-centaine-d-oiseaux-vont-changer-aux-etats-unis_225229.html
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  35. L'écriture inclusive dessert la langue française plutôt non ? Un genre de prix à payer pour inclure les femmes si j'ai bien compris. Complexifier la langue française pour tenter de valoriser les femmes dans les écrits ? C'est pas ça le deal ?
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  36. Salut Étienne, J'ai écouté le podcast, ça me donne le sentiment que chacun voit midi à sa porte. Je suis certainement biaisé par mes convictions mais ça renforce plutôt ma position. Partie 1 "Donc, ce que vous voulez dire c'est que certaines formulations biaisent ce qu'on croit comprendre de la phrase." "Exactement, et le but de l'écriture inclusive est justement d’anéantir ou de limiter au maximum ces effets et pour ça il y a plusieurs stratégies." "La neutralisation par l'emploi de termes épicènes. Exemple : les athlètes." "La reféminisation. Exemple : les musiciens et les musiciennes." "La reféminisation deuxième forme avec le point médian. Exemple : les musicien·ne·s." Voilà ça c'est près de la moitié (la première moitié) dudit podcast. On nous dit 2 choses importantes dans cette première partie : 1) "certaines formulations biaisent ce qu'on croit comprendre" Bah voilà ! suffit de formuler en pensant à inclure les femmes. Le problème ne vient pas du vilain français pas beau. Le problème viendrait plutôt de la formulation choisie par celui qui s'exprime... La mode actuelle "serait" d'ignorer les femmes dans les formulation ? Bah formulons inclusif au lieu de rajouter des règles "Frankenstein" à notre si belle langue ! Et je rajoute que les formulations inclusives classiques "Chères Françaises, chers Français." "Les musiciens et les musiciennes", sont déjà laaaargement employées. 2) "il y a plusieurs stratégies" 1 : on peut neutraliser : termes épicènes et formulations neutres 2 : on peut "inclure" sans modifier les règles de français 3 : et enfin, on peut "inclure" en rajoutant ces règles maladroites avec le point médian CQFD : Pas besoin de point médian et des affres qui l'accompagnent ! On a déjà tout pour "inclure" et des solutions énoncées dans le podcast en formulant avec les règles déjà utilisées et qui permettent d'inclure les femmes. Partie 2 Des tests qui ne m'ont pas convaincu sur des millisecondes supplémentaires à comprendre une phrase selon que les personnes sont identifiées en tant qu'hommes, en tant que femmes ou en tant que neutres. Concluant que si l'on utilise le neutre bah ça va pas encore... Parce que "les gens" comprendraient plutôt que quand c'est neutre, ben c'est pas neutre, c'est masculin dans leurs têtes. Oui bah si on se met à étudier les millisecondes d'écart pour dire que l'auditeur n'inclus pas assez les femmes dans sa compréhension de la phrase qui est pourtant neutre... Je cite "Athlète n'est pas complétement neutre pour le cerveau [...], on a une représentation qui va être biaisée vers le masculin." On veut faire la révolution linguistique pour ça ? Oui moi quand je pense au sport, je pense à des hommes en priorité (je précise que je n'aime ni le foot ni le sport, je suis neutre sur le sujet), je pense à la coupe du monde de foot, je pense à Roland Garros, je pense à la NBA. On peut pas retirer ça, c'est culturel ce n'est pas linguistique... Le sport en général est largement plus représenté sur les compétitions masculines que féminines... C'est naturel quand on parle de sport ou d'athlète de penser d'abord à des hommes, ce n'est pas à cause du français m'enfin ! C'est à cause de la surmédiatisation des sports masculins par rapport aux sports féminins. Il y a exactement l'inverse où l'on pense tout de suite à une femme et pas forcément aux hommes : Secrétaire Personnel de salon d’esthétique Sage-femme (maïeuticien) Agent de caisse ... Tous ces métiers sont exercés par des hommes. Pourtant, pour la plupart des gens, on pense d'abord à un métier de femmes. C'est comme pour le sport. Et ça fini par des analyses de différences de je cite "temps de traitement" entre le masculin et le féminin. WTF ?! La deuxième moitié du podcast fait une fixette sur le temps de traitement pour analyser la phrase ? Cet argument c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité... (nan mais : "jusqu'à 300 millisecondes d'écart") Le temps de traitement du cerveau pour lire de l'écriture inclusive est bien plus entravé par les points médians... Bon, voilà, j'ai bien écouté et analysé le podcast ! Pas foufou, et pas convaincu. On se cherche des prétextes pour "tenter" de valoriser l'écriture inclusive. L'écriture inclusive ressemble plus à un micro-phénomène qui ne prend pas en France et qui est porté par des personnes bien à l'aise avec le Français, faisant fi des problèmes de compréhension de la langue rencontrés par bon nombre de nos concitoyens. De plus, on ne parle pas des limites ; comment on écrit "un bel athlète" en inclusif sans induire un problème linguistique pire que celui qu'il voudrait résoudre ?
    1 point
  37. Superbe! J'avais déjà écrit la même chose sur le sujet FISM 2022 à Québec, mais c'est encore une fois le truc qui me vient en voyant ce numéro: "Il faut beaucoup de talent pour faire croire qu'on n'en a pas". Mon seul regret, ne pas avoir vu un second numéro avant la finale .
    1 point
  38. A titre personnel je trouve l'écriture inclusive imbitable à la lecture comme à l'écriture donc je vais continuer avec ce que l'on m'a appris à l'école quelque soit l'impact malheureusement sur le sexisme. Je pense par ailleurs qu'il y a d'autres priorités sur le sujet que l'on peut mettre en oeuvre avant (Sur l'égalité salariales, les violences intra-familliales...etc). Après j'ai un peu de mal avec l'argument d'autorité "étude scientifique" comme carte du mille bornes . Il me manque quelques éléments pour me faire mon opinion : Quel est le protocole "scientifique" employé? Quels sont les auteurs de cette études? Leur cursus ? Leur références? Leurs opinions? Quelle autorité indépendante a validé la pertinence des résultats de l'étude? A-t-elle été publiée si oui dans quelle revue? A-t-elle était reconnue et validée par les pairs? Et une autre question plus générale comment peut on appliquer avec efficacité un protocole scientifique à une science humaine et sociale ? Comment mesure t'on avec pertinence l'impact d'une écriture sur un concept comme le sexisme dans la société française, cela m'intrigue à vrai dire. En histoire on ne le fait pas généralement, en science sociale j'aimerais connaître le fonctionnement précis.
    1 point
  39. S'arrêter sur les propositions les plus farfelues des défenseur(e)s de l'écriture inclusive ne me paraît pas très pertinent. Mais bon, le groupe le Figaro (fan de paniques morales en tout genre) en fait un sport de combat. Pour rappel, la démarche de l'écriture inclusive est celle-ci : constat : la langue véhicule des biais sexiste. Proposition : luttons contre ces biais en utilisant l'écriture inclusive. Limites : ce n'est pas pratique à écrire ainsi qu'à lire. Hier au réveil j'ai entendu cette chronique : avec sciences france culture (ça prend 3 minutes à écouter, faites un petit effort !) Etat de la science sur le sujet : l'écriture inclusive permet de lutter contre les biais sexistes. Et on peut même le mesurer. Désolé Jean-Jacques, ce n'est finalement pas aussi stupide. En bref : c'est lourd à utiliser mais efficace pour lutter et questionner les biais sexistes induits par la langue ainsi que nos propres biais sexistes.
    1 point
  40. J'ai enfin pu assister à une représentation du Pianiste aux 50 doigts de Pascal Amoyel, hier soir, un spectacle qui se met en place tranquillement, monte en puissance et se termine en une apothéose très appréciée du public. Pascal se montre humble dans son approche et son jeu de comédien au service de l'hommage qu'il rend à son professeur, le grand pianiste György Cziffra : https://fr.wikipedia.org/wiki/György_Cziffra Un spectacle touchant et une forme narrative originale, la musique (virtuose) étant au service de l'histoire. Recommandé par le Guide Girard.
    1 point
  41. J'ai l'impression que la méthode est un peu différente que celle qu'il avait décrite ici :
    1 point
  42. Sacré Jackie Chan ! Pour info, il s’agit de la boxe de l’homme ivre, une véritable approche stylistique en wushu : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Zui_quan
    1 point
  43. La première scène pour les temps moderne montre une maîtrise qui dépasse le sujet. Il est tellement "fort" que cela deviens un problème. On pourrait imaginer un magicien qui fait apparaître les cartes de manière mécanique : une production d'éventail en continue, mais sans passion qui vient limiter, le gener dans sa vie de tous les jours. Un magicien qui ferait disparaître les objets dont il a besoin, mais sans le vouloir : « il a perdu la femme de sa vie, car il a fait disparaître son alliance devant l'autel ». La deuxième scène montre une joueuse professionnel face à "chess hustler". Ce qui est drôle c'est que les deux personnages ont une apparence qui ne colle pas à l’exécution de leurs mains. Le "hustler" a l'air débraillé, et même dans son élocution il y'a quelque chose de cassé. Pour elle c'est l'opposé mais c'est la même idée, un corps qui ne semble pas coller à ce qui se joue sur l'échiquier. Je trouve l'image assez belle, et qui colle à la rencontre tel que détaillé... si la spectatrice était plus que ce qu'il voyait. Bonus : le moment où le hustler se rend compte qu'il est fasse à une très bonne joueuse et hurle « je joue contre un démon ». La troisième scène c'est l'ultime personnage rendu meilleur par l'alcool : drunkenmaster ! Le message n'est pas très politiquement correct, mais on y voit un personnage ivre qui se surprend lui-même d'arriver à faire certaine choses. Je trouve l'image assez belle, un personnage qui pourrait essayer un tour sans y arriver puis qui se surprendrait à le reussir. Et aussi cet idée qu'arrêter de tout vouloir contrôler, amène parfois à la solution. Je propose ma variation sur toutes les idées précédentes, même si c'est passé. La maîtrise comme un problème. Quelques idées en passant : - un homme qui se fait un tour à lui-même car il est incapable de contrôler ces mains. - la magie comme un problème, le magicien tente de parler à la spectatrice, il tente de la charmer, mais les cartes et les tours viennent se mettre entre eux. A la fin le magicien doit arrêter de toucher les cartes même s'il a envie, et la spectatrice doit faire elle-même le tour pour qu'il puisse avoir un vrai moment une discussion. - un magicien qui a perdu le gout de la magie, il fait plusieurs fois le même tour à différents spectateurs mais en série, sans passion presque de manière automatique, mais quelque chose va briser la monotonie. Il pourrait même s'endormir/fermer les yeux pendant un tour ou arrêter un tour en plein milieu (tour qui pourrait être achevé plus tard quand il reprend goût à la magie). Analyse de l'idée de ClumSkill Si je devais critiquer, je trouve que le personnage est trop « immobile » dans son rapport à la maladresse. Il est déjà maladroit, et déjà bon en magie, le numéro deviens un portrait plus qu'une trajectoire. C'est possible mais il faut alors rendre ce portrait intéressant et la difficulté vient de la manière de conclure. Sur un récit aussi court, il y'a besoin d'une chute, sans forçement aller dans le twist, il faut un final. Mais face à une situation problématique, on a envie de le voir changer. Prenons un exemple Imaginons un personnage maladroit mais qui pense qu'il n'arrivera à rien, soudain il tombe sur un paquet de carte, il essaye de faire un tour, mais celui rate. En fait non, il a bien retrouvé la carte, mais elle était sur sa tête. Il se prend à essayer, mais c'est difficile, chaque tour réclame une grande concentration et c'est le reste de la pièce qui en fait les frais ou le spectateur. Il semble abandonner à un moment, mais il va retenter, et cette fois il va faire avec sa maladresse. Ici le personnage progresse et il finit par intégrer cette maladresse qui est une partie de lui. Cela donne quelque chose de très métaphorique, car une trajectoire aussi transformationnel avance trop vite pour la réalité. A l'opposé, on peut prendre l'exemple de Joshua Jay qui est cause beaucoup, mais pose le récit à un autre niveau (discours dans le spectacle) ce qui autorise des récits plus complexe, elliptiques. Et qui ressemble tout à fait à une histoire que l'on pourrait racontrer en close-up. Si c'est le personnage comprend que la magie vient de lui mais pas des cartes, il faudrait une trajectoire où le magicien est rassuré par ces cartes, il les perds, et c'est la catastrophe, mais il arrive à se reprendre. Il improvise avec ce qu'il a, et se surprend à y arriver. Quand il retrouve les cartes, il les confie à la spectatrice, car ce n'est pas l'origine de son talent. Le statut de la spectatrice est plus complexe, est-ce que tu as cette possibilité dans ton concours. Si c'est un show de close-up, ou en table, ça va devenir très verbale, et c'est plus difficile d'arriver à l'effet que tu veux, à moins de le faire à la façon de Trojan Deck de Joshua Jay, mais c'est du 1 pour 1 : donc beaucoup de parole. Par contre sur scène, je vois difficilement l'intervention de la spectatrice comme tu l'imagines. Par rapport à l'aspect concours cela me semble un peu dangereux car entre deux eaux, close-up ou scène. Pour le reste rien à ajouter aux pavés des autres. De toute façon personne ne peut battre SébastienO niveau taille ... de réponse.
    1 point
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