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Alx

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À propos de Alx

  • Date de naissance 08/31/1976

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  • Localisation
    Annemasse (74) / FRANCE
  • Profession / Occupation
    Développeur

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    Club des Magiciens de Genève
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  1. Du coup, cela soulève une question : n'y aurait-il pas un marquage secret pour chaque couleur ?... Je n'ai pas de Phoenix sous la main, je vérifierai ce soir si je trouve quelque chose.
  2. Je n'ai pas encore regardé la vidéo, mais je rebondis déjà là-dessus. Je ne vois pas de différence fondamentale entre considérer qu'une discipline n'est pas une science et considérer qu'elle est une pseudo-science. Or, une pseudo-science qui prétend être une science est forcément criminelle, puisqu'elle ment en affirmant être ce qu'elle n'est pas, et profite potentiellement de la crédulité des gens qui ne sont pas au courant de cette distinction. Mais après tout, n'est-ce pas le cas de toutes les pseudo-sciences ? Une pseudo-science qui ne prétendrait pas être une science ne serait pas une pseudo-science : ce serait un concept, un hobby à la limite. Le qualificatif de pseudo-science n'est utilisé que pour qualifier les domaines qui se prétendent scientifiques. Donc il me semble que toutes les pseudo-sciences sont criminelles. Maintenant, reste à savoir si la psychanalyse est une pseudo-science. Personnellement, je ne le pense pas, tout simplement parce que les psychanalystes eux-mêmes ne prétendent pas être des scientifiques. C'est sans doute la voie médiane dont tu parles.
  3. Ah d'accord. je trouve un peu tiré par les cheveux de qualifier de croyances ceux qui ne croient en rien, mais admettons que ce soit une figure de style, et que l'auteur ait voulu parler de leur ferveur à ne pas croire, qui vaut celle des croyants à croire. C'est amusant, parce que c'est l'exact contraire du scepticisme, qui professe que, tant qu'il n'est pas démontré qu'une chose existe on doit en douter. Je souligne, car je trouve qu'on a un peu tendance à l'oublier, que quand un scientifique teste une théorie, il s'autorise à envisager, sinon sa probabilité, du moins sa possibilité. Donc quand un chercheur se demande si un phénomène est un OVNI (par exemple !), c'est qu'il s'est autorisé à penser que, peut-être, ça pouvait en être un. Contrairement à ce que semblent penser les "anti-sceptiques" (des infects !), les sceptiques ne sont pas des gens bornés qui refusent de voir l'évidence en face : ce sont seulement des gens qui ont besoin que les choses soient vérifiées avant d'y croire. Une croyance n'est pas une mauvaise chose : au commencement, tout était croyance. Puis, avec le temps, certaines croyances ont pu être confirmées et sont devenues des connaissances ; d'autres n'ont pas pu l'être, et sont restées des croyances. Tout à fait juste : personne n'a dit que les extra-terrestres n'existaient pas. Dans l'état actuel de nos connaissances, c'est une possibilité. A l'inverse, certains n'hésitent pas à dire qu'ils existent, qu'ils nous surveillent et nous protègent des catastrophes nucléaires*.Dans l'état actuel de nos connaissances, c'est un peu gonflé... Ce qui me gêne un peu avec ce genre de discours, c'est que leurs auteurs manipulent avec éloquence de grandes phrases qui font consensus (tout le monde est d'accord pour dire que, quand on ne sait pas, on ne peut pas se prononcer), mais que, en même temps, ils utilisent ces vérités essentielles pour soutenir des thèses qui ne respectent pas le doute qu'ils louent. Dans l'article cité juste au-dessus par Christian, l'auteur nous dit que, à moins d'accepter la sortie du corps ou la communication avec les morts, on ne peut pas expliquer certains phénomènes : Il est vrai que je serais bien en peine de fournir une explication à ces mystérieux résultats. Mais ça s'explique sans doute parce que personne n'a obtenu les résultats en question : on n'a pas connaissance de renseignements exacts fournis par un mort. Du moins rien qui ait été jugé recevable par la communauté scientifique/sceptique (qui est pourtant la seule qu'on devrait chercher à convaincre, la communauté des croyants étant déjà acquise puisque, de l'aveu même de l'auteur, elle croit souvent à tout).
  4. Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que tu voulais dire. Pour expliciter mon propos, je précise que la nuance que je fais entre croire et savoir réside dans la possibilité de vérifier. Il y a des témoignages d'EMI. C'est un fait incontestable, et on en trouve la trace dans Wikipedia. Ce que rapportent ces témoignages n'est pas vérifiable, mais on peut établir des concordances entre les témoignages. L'existence de ces témoignages est aussi un fait incontestable. Maintenant, ce qu'il faut en déduire reste sujet à discussion, parce que ça n'a pas pu être reproduit et vérifié. Le sentiment que tu évoques peut faire penser à plusieurs hypothèses : quand on meurt, on se retrouve en présence de Dieu quand on meurt, on reçoit une dose conséquente d'endorphine quand on meurt, notre cerveau fabrique du LSD quand on meurt, on se retrouve au paradis quand on meurt, nos perceptions ne fonctionnent plus quand on meurt, nos perceptions se mettent à fonctionner différemment etc. Ce que je veux dire, c'est que le fait de ressentir quelque chose ne nous permet pas automatiquement de savoir ce qu'il nous arrive (une réflexion qui fera plaisir à Patrick, et qui nous ramène vers le fil de ce sujet). On a bien sûr le droit de privilégier une de ces hypothèses, mais ça n'en fait pas une vérité pour autant : cela reste une croyance (qui peut certes avoir force de conviction, mais être convaincu, ce n'est pas savoir). Je pense que c'est là que tu fais fausse route : la manière dont ces sujets sont traités ne dépend pas du courant de pensée majoritaire, mais de la ligne éditoriale d'une encyclopédie (et de celle-ci en particulier). Une encyclopédie n'a pas vocation à recenser les croyances (aucun sous-entendu péjoratif dans ce terme), mais seulement les savoirs. Par conséquent, on n'y trouve que ce qui est prouvé et vérifiable. Le reste, que ce soit vrai ou pas, n'y a pas sa place.
  5. J'ai sans doute l'air d'enfoncer les portes ouvertes, mais si la "bible des sceptiques" n'est lue que par des sceptiques, le travail de sape anti-spirituel ne leur fait pas beaucoup de mal... Ca paraît évident, mais puisque ce qui va sans dire va encore mieux en le disant, rappelons que Wikipedia est une encyclopédie, c'est-à-dire un ouvrage qui regroupe des connaissances. C'est-à-dire des choses que l'on sait, par opposition aux choses que l'on croit (ou que l'on croit savoir). Il est donc tout à fait normal de n'y trouver que des informations vérifiables : il a déjà été dit ici que la vérifiabilité d'une information est le seul moyen de distinguer les connaissances des croyances. Ceci n'enlève aucune valeur aux croyances. Simplement, elles n'ont pas leur place dans une encyclopédie. Je ne parle pas seulement des religions, mais de toutes les croyances, au sens large, que l'on peut avoir : phénomènes paranormaux, OVNI, cryptozoologie, rêves prémonitoires, etc. On comprend évidemment que, pour un croyant, la foi a valeur de certitude, ce qui fait que cette distinction est difficile à accepter : je suis catholique, donc je sais que Dieu existe, donc je ne peux pas admettre que son existence ne soit pas attestée dans une encyclopédie. Par conséquent, cet ouvrage qui se prétend encyclopédique ne peut pas être valide, puisqu'il se trompe sur cette vérité essentielle dont je suis sûr et certain. Je souligne qu'il serait tout aussi incorrect qu'un article Wikipedia affirme que Dieu n'existe pas : nous n'avons pas plus de preuves dans ce sens que dans l'autre. Son inexistence n'étant pas attestée, elle n'a pas non plus sa place dans une encyclopédie.
  6. Ton avoir a peut-être été envoyé à la personne qui a reçu ton colis
  7. Je crois qu'elle est un peu endormie . Crevée, la bulle ?
  8. C'est aussi mon opinion, mais je trouverais intéressant de connaître les défauts du gimmick, pour imaginer une solution qui permette de les corriger. L'un des reproches principaux sur Penguin est l'absence d'instructions. D'une part, Michael Dawson laissait entendre en 2022 que les instructions seraient bientôt ajoutées et, d'autre part, ce n'est pas forcément rédhibitoire dans mon cas, puisque j'ai déjà une routine. L'autre problème m'inquiète davantage, puisqu'il concerne la conception même du gimmick. Si ce n'est pas utilisable, c'est déjà plus gênant... Pour cette routine spécifique, j'ai besoin d'utiliser mon téléphone pour saisir des informations sur un site web. Très peu d'informations : il y a 3 ou 4 boutons à cliquer en fonction des réponses du spectateur. C'est une routine assez classique de type "devinez combien il y a de bonbons dans le bocal". Actuellement (version scène), j'ai un assistant qui saisit les informations en coulisse, mais je voudrais me débarrasser de l'assistant (enfin, sans faire appel à un nettoyeur, hein : je veux juste pouvoir présenter cette routine dans des conditions plus informelles !) Pour couvrir l'utilisation du téléphone, je pensais noter les suggestions des spectateurs sur un bloc notes, pour trouver, après la révélation, celui qui était le plus proche. Sur scène, je note les pronostics sur un tableau. Il y a bien sûr la possibilité de noter les propositions dans une note du téléphone, et de switcher entre les applications pour saisir ce qui m'intéresse, mais je préférerais éliminer toute suspicion et ne pas utiliser ouvertement d'appareil électronique.
  9. Bonjour à tous, Dans le but d'adapter pour le close-up/salon un numéro de scène, je suis à la recherche d'un dispositif qui me permettrait d'utiliser un téléphone à l'insu des spectateurs. Je suis tombé sur Incognito, de Michael Dawson, mais je ne sais pas ce que ça vaut : impossible de trouver une vidéo de démonstration, et le seul avis que j'ai trouvé sur Penguin est très négatif. Si certains d'entre vous l'ont déjà utilisé, pourriez-vous me donner vos avis ? Ou le cas échéant, me suggérer d'autres solutions ?
  10. Légèrement plus compliquée, oui, et pas automatique. Mais l'avantage, c'est que le spectateur choisit lui-même les deux cartes Holmes et Watson, ce qui élimine la seule conclusion logique à laquelle le spectateur peut arriver dans la présentation classique : "le magicien savait que la carte était entre la carte A et la carte B, c'est pour ça qu'il les a choisies pour être les détectives".
  11. Côté applications, il y a aussi iForce, de Greg Rostami, qui te permet d'avoir 8 sorties. Tu peux l'utiliser pour un ACAAN comme ceci : Tu écris un nombre sur ton téléphone, que tu poses face en bas sur la table Le spectateur choisit librement une carte Tu retournes ton téléphone pour révéler la prédiction (par exemple, 18) Le spectateur distribue 18 cartes et tombe sur la sienne L'astuce est une variation d'Arcane, d'Antoine Salembier, mais adaptée à ton stack préféré. Je peux difficilement en dire plus sur le forum public, mais si tu réfléchis un peu, tu verras qu'avec 8 sorties, tu couvres l'essentiel des cartes possibles (32 cartes sur 52, soit 60% des cas). Et pour les 20 autres cartes, il te suffit de couper le jeu sur la 26e (avec une breather crimp, le spectateur peut même couper lui-même) et les 20 autres cartes deviennent accessibles avec les mêmes sorties.
  12. Alx

    Bonjour !

    Bienvenue Joanie !
  13. Sois le bienvenu, Sébastien !
  14. Je pense que Joanie cherche des Bicycle pour remplacer son jeu Svengali d'une autre marque
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