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Tableau d'honneur

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  1. À un moindre degré, il y a aussi la technique de Shin Lim qui permet de faire apparaître/disparaître/échanger des cartes et des pièces de monnaie. Le seul problème est de trouver le tissu qui va bien, du velours noir écrasé avec des motifs géométriques dans tous les sens. Quasi impossible à trouver, l'adresse qu'il indiquait n'en fournit plus (il le prévient, d'ailleurs). J'ai mis des mois pour en trouver, en Angleterre, des rideaux occultants. À séparer, déchirer, couper et coller avec une colle qui ne le dissout pas. Mais le résultat, terrible ! Par exemple, les mains au-dessus de la table de magie, bras nus, on se frotte les mains l'une contre l'autre et quatre cartes apparaissent brusquement entre les mains. Ou alors des cartes étalées disparaissent progressivement, en les poussant. Également des effets d'échange/apparition/disparition de cartes. Ou encore une pièce de monnaie apparaît toute seule au milieu du tapis. Le tout sans télécommande, sans bruit, pas de batteries à charger et à vue, sans les mains pour cacher quoi que ce soit. Seul problème : le site anglais de vente de rideaux a disparu. Bien sûr, si Quantum Pad de TCC était moins épais je me laisserais tenter, c'est époustouflant. Et le bruit, on peut le gérer s'il n'est pas très fort. Ou alors l'encastrer dans une petite table de magie ?
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  2. Sur le sujet, je vous mets ci-dessous la lettre ouverte de Hélène CARRÈRE d’ENCAUSSE . Pas de polémique, pas de politique, de la culture, de la maîtrise et de l'intelligence. Lettre ouverte sur l'écriture inclusive Au moment où la lutte contre les discriminations sexistes implique des combats portant notamment sur les violences conjugales, les disparités salariales et les phénomènes de harcèlement, l’écriture inclusive, si elle semble participer de ce mouvement, est non seulement contre-productive pour cette cause même, mais nuisible à la pratique et à l’intelligibilité de la langue française. Une langue procède d’une combinaison séculaire de l’histoire et de la pratique, ce que Lévi-Strauss et Dumézil définissaient comme « un équilibre subtil né de l’usage ». En prônant une réforme immédiate et totalisante de la graphie, les promoteurs de l’écriture inclusive violentent les rythmes d’évolution du langage selon une injonction brutale, arbitraire et non concertée, qui méconnaît l’écologie du verbe. Un corset doctrinal prétend ainsi régir la pratique des scripteurs, mutilant les respirations et la logique de la langue. En posant qu’il existerait par principe une corrélation entre le genre des vocables et le sexe de leur référent, les propagateurs de l’écriture inclusive méconnaissent naïvement les règles du genre grammatical, où masculin et féminin ne correspondent pas systématiquement à des catégories sexuées. Ainsi dit-on « une échelle » mais « un escabeau », et dans l’armée « une sentinelle, une ordonnance » ou « une estafette », un marqueur féminin désignant ici des fonctions historiquement masculines. L’écriture inclusive offusque la démocratie du langage. Outre que la correspondance avec l’oralité est impraticable, elle a pour effet d’installer une langue seconde dont la complexité pénalise les personnes affectées d’un handicap cognitif, notamment la dyslexie, la dysphasie ou l’apraxie. Une apparente pétition de justice a pour effet concret d’aggraver des inégalités. L’écriture inclusive trouble les pratiques d’apprentissage et de transmission de la langue française, déjà complexes, en ouvrant un champ d’incertitude qui crispe le débat sur des incantations graphiques. En focalisant l’attention sur l’obsession du genre, elle restreint le rapport à la langue en inhibant une expression plus ample de la pensée. Bien loin de susciter l’adhésion d’une majorité de contemporains, elle apparaît comme le domaine réservé d’une élite, inconsciente des difficultés rencontrées au quotidien par les pédagogues et les usagers du système scolaire. L’écriture inclusive installe ainsi un débat de l’entre-soi cantonné à un périmètre limité, au préjudice des étrangers désireux d’apprendre notre langue telle qu’elle leur est souvent transmise par de grands textes patrimoniaux. Dans un monde où la francophonie, principalement sur le continent africain, est appelée à un développement exponentiel, ce mode d’écriture dissuasif est susceptible de renforcer l’anglais comme langue véhiculaire. Hélène CARRÈRE d’ENCAUSSE Marc LAMBRON Secrétaire perpétuel Directeur en exercice de l’Académie française de l’Académie française
    4 points
  3. Bien sûr, voici la correction : Fabien a PARFAITEMENT décrit le processus des (auto) producteurs, qu'ils soient à leur propre compte ou qu'ils achètent un "artiste" et le produisent. Ce n'est pas un "long fleuve tranquille" comme certains le pensent en disant "il s'en met plein les poches". D'ailleurs, comme le dit Fabien, bien souvent il faut dépasser la barre des 85 % de remplissage pour COMMENCER à faire un bénéfice, sans oublier qu'en amont il faut pouvoir financer toutes les dépenses nécessaires à la réussite de l'opération de production d'un spectacle et justifie aussi le prix d'un billet (souvent entre 30 et 50 €) souvent critiqué car les spectateurs ne connaissent pas toutes les vicissitudes et les charges que subissent les producteurs. Bien sûr, comme dans tous les métiers, il y a des brebis galeuses, y compris en prod magiques (je ne donnerai pas de noms ), mais souvent ils ont le courage et la folie de se lancer dans de telles organisations. L'un des exemples les plus marquants est la tournée des Zéniths par le PGCDM avec une première saison déficitaire et une seconde avortée et donc annulée. À NOTER d'ailleurs que Patrick Sébastien n'était en aucune manière responsable de cet échec, ni même impliqué dans cette déroute financière, mais la "machine" était vraiment trop grosse pour pouvoir fonctionner avec tous les frais que cela engendrait.
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  4. Mes garçons feront footballeur, c'est plus sûr Bague à part, merci @Fabien (spankyfab) pour cette transparence
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  5. Vaste question en effet ! Comme le dit très justement Teddy, on ne calcule pas le montant perçu par l'artiste via un pourcentage d'un billet. Cette méthode n'aurait pas de sens en terme de budget. Un budget inclus les dépenses (location du théâtre, éventuel complément technique, éventuel montage, salaires etc charges du/des artiste.s, salaires et charges du personnel technique, salaires et charges du personnel général - accueil, sécurité, billetterie, chargé de production, etc... -, communication (graphisme, impression), taxes (de la TVA aux différentes taxes liées aux spectacles), Droits éventuels (auteur, musiques), catering de l'équipe, transport de l'équipe, hébergements éventuels, etc... On peut y rajouter beaucoup de choses (campagne d'affichage, attaché de presse, résidence de création, créa lumière, créa musique, amortissement du matériel ou des costumes, etc...) Le budget inclus également les recettes : la billetterie (éventuellement subventions pour certains, la vente d'une captation à une chaîne de télévision, le merchandising (qui lui même inclus de nouvelles dépenses)) Malgré un certain fantasme de se dire "sur un billet à 45€ en moyenne dans une salle de 2000 places, l'artiste doit bien se faire 10% par billet" la réalité est différente. Et comme le dit Teddy, chacun négociera son cachet comme il le pense juste. Comme ça n'est pas facile de trouver des infos je vais te donner un exemple concret, mon Olympia en 2018. J'ai pris un cachet de 500€ net (le ticket moyen était justement de 45€ en moyenne et la salle fait 2000 places) soit environs 0,5% par billet ! Mais pour continuer à être transparent j'ai fait cet Olympia en complète auto production, donc en cas de bénéfice il allait dans ma société (d'où le cachet confortable mais pas délirant). Le Budget final en dépense était de plus 75000€. Il fallait remplir quasiment 85% de la salle pour équilibrer avec les recettes. Au final j'ai eu la chance de faire complet donc de réaliser un bénéfice d'un peu plus de 10 000€ pour ma société (C'est une autre question car il a fallut mobiliser l'argent pendant presque un an entre le début des dépenses et le retour de la billetterie après la date, dans mon cas c'était par exemple prendre le risque d'investir tout ce que j'avais pu économiser depuis des années). Je sais que pour des personnes qui sont ne sont pas en auto prod (ou en co-production parfois) il peut arriver qu'un bonus soit prévu à certains pourcentages de remplissage (quand on est sûr que le producteur est bénéficiaire). Voilà, j'espère que ça t'éclairera, c'est typiquement le genre d'informations que j'aurai voulu avoir il y a plus de dix ans P.S : Pour ceux qui se posent la question sur le fait que je sois producteur mais que je touche un cachet quand je joue. Toucher un cachet ne signifie pas "être intermittent" et "ne pas être intermittent" n'empêche pas de toucher un cachet. J'ai quitté l'intermittence mais je préfère percevoir un cachet pour mes spectacles pour plusieurs raisons (les assurances, le sentiment d'être payé en tant qu'artiste en fonction de mon travail sur scène, la cohérence du budget, etc...)
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  6. Et ben, ça suffit pas ? Alors toute nouveauté, sous prétexte qu'elle demandera un apprentissage aux non initiés, est à proscrire. Pourquoi ne pas se parler uniquement avec des "groumpf" ou des "ouga ouga" ? Parce qu'écrire "Conseiller•es" sur une plaque officielle plutôt que "Conseillers et conseillères" c'est élitiste ? L'argument de l'élitisme est pour moi fallacieux. Évidemment que certains font les malins en utilisant ostensiblement les pratiques qu'ils proposent ou qu'ils adoptent. C'est vrai pour toute les nouveautés. Ça s'appelle le snobisme. Mais les avancées et découvertes elles-mêmes sont-elles à jeter avec l'eau du bain ? Celui du féminisme l'est aussi, pour la même raison. Trop facile de mettre en avant certaines "dérives" (souvent des jeunes un peu trop exalté•e•s (tiens voilà un exemple porteur de sens...) et de balayer un sujet aussi sérieux que la lutte pour l'égalité hommes-femme. Trop tard...
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  7. J'apprécie l'intervention d'Etienne HRBT car elle fait preuve d'intelligence : elle ne positionne pas que d'un seul "côté". Elle voit ce qui est bon dans les mouvances de notre époque et ne s'appuie pas sur un exemple ou contre-exemple alambiqué ou tiré de je ne sais qu'elle dérive ou tendance trop radicale. Tirer en bloc sur l'écriture inclusive est aussi totalitaire que vouloir l'imposer à tout bout de champ. L'article du Figaro se met d'entrée une belle balle dans le pied : la photo montrant une plaque utilisant l'écriture "conseiller•e•s" me paraît être un parfait exemple de situation où l'écriture inclusive est bienvenue : à l'écrit et dans un contexte politique et sociétal solennel où la reconnaissance de l'égalité dans la considération des femmes et des hommes est salutaire. Car c'est un des points importants qui fera avancer le débat, et Étienne HRBT l'a évoqué : l'écriture inclusive peut très bien s'utiliser avec parcimonie, ne serait-ce que parce que : • Certaines situations me paraissent insolubles, en tout cas avec la forme actuelle qui n'est à mon avis pas satisfaisante (je trouve par exemple qu'en écrivant conseiller•e, le masculin prend tout de même le dessus puisque l'accent de conseillère disparaît. Mais si on écrit conseillèr•e, c'est le féminin qui pour le coup prend le dessus et fait disparaître la graphie sans accent du masculin) • l'usage oral n'est pas encore prêt pour une pratique courante d'une langue inclusive. Les essais actuels sont faits pour l'écrit ou ont une esthétique peut-être encore trop avant-gardiste, qui se bonifiera avec le temps. Mme Carrère d'Encausse n'est d'ailleurs pas très objective quand elle omet d'envisager une écriture inclusive modulée qui tient compte du contexte, et qui évoluera sûrement. Ou quand elle met sur le même plan les noms communs désignant des objets avec ceux qui représentent des personnes, dont le sexe est important dans des situations où justement le féminisme trouve toute sa place. Je n'oublie pas ta question Christian, je réfléchis, un peu de patience .
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  8. J'utilise l'écriture inclusive seulement quand j'adresse un mail ou un courrier à plusieurs personnes et dans les formules où je m'adresse directement. Si ça fait moche je vais mettre "Chères et Chers collègues" par exemple. Je pense que ce qui est important c'est de réfléchir au féminin qui est invisibilisé de fait : 99 femmes et 1 homme, et on doit accorder au masculin ? ça n'a aucun sens pour moi. L'écriture inclusive, que j'utilise peu, me fait réfléchir quand j'écris à qui je m'adresse. De fait, la langue française est sexiste : les règles furent fixées par des hommes à une époque où l'égalité homme femme n'était pas vraiment dans les mœurs. L'académie française est très masculine et aussi plutôt réactionnaire et conservatrice. Il n'y a qu'à voir le ton employé sur leur site internet ou alors le CV de certains membres. Voir l'écriture inclusive comme une dérive d'un féminisme hors de contrôle ça me fait bien rire. C'est fou comme certaines personnes ont peur d'un point médian. (Pour celleux qui n'ont pas compris, iels n'ont pas peur d'un point médian mais du féminisme. On avait le même type de discours de panique contre le droit de vote des femmes). Et puis j'aime bien parfois utiliser l'écriture inclusive, juste pour énerver ceux que ça dérangent. En conclusion, pas grand monde dit de mettre partout le point médian (trouvez moi celleux qui écrivent 100% inclusif, ça m'intéresse) mais il peut être intéressant d'en mettre dans certaines phrases pour que la moitié de l'humanité sache qu'on ne s'adresse pas qu'aux hommes ou ne se sente pas exclues de fait. Par exemple, si à chaque fois j'écris "chers copains", je n'aime pas parce que j'ai aussi des copines. j'ai envie de m'adresser à elles. Et "iels" et "celleux" ce n'est pas que pour les genderfluid, en fait c'est pour dire "les hommes et les femmes". Des journaux écrivent comme cela (Arrêt sur images par exemple) et c'est très lisible.
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  9. Je viens d'aller voir le trailer, beau joujou ! Dans mes conditions personnelles, ça ne servirait que dans un cadre amis / famille. J'imagine que pour des pros ça doit être utilisé façon Dominique Duvivier dans son antre au Double Fond ? On voit parfois à la télé aussi des effets de close-up filmés de près façon Shim Lim. Sinon je ne vois pas trop pour quels types de prestas on utilise ça.
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  10. Allez un petit effort... Qui trouve un jeu radio, asymétrique, marqué, avec du RF et toutes les faces en Joker ?
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  11. A chaud sur Kickstarter, un avis ? Des impressions ? 800 USD la bête plus 80 USD de frais de port (5 kg + la taille) A saisir à 449 USD
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  12. Hello, Je ne commente pas souvent, mais là, je me dois de dire que c'est, à ma sensibilité, un des meilleurs et plus intéressants VM lives que j'ai pu visionner. Kurt réussi avec brio la fusion art visuel et plastique avec le mentalisme et ça fait énormément de bien, ça parle, ça replace le spectateur au cœur du sujet, c'est poignant et beau à la fois. Merci pour toutes ces références comme A.Bandit que je ne connaissais pas mais qui raisonne beaucoup avec mes recherches. Merci @Kurt DEMEY!
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  13. Bon sang de bonsoir, j'avais rédigé une réponse à Christian au sujet de la présence du social dans la grammaire. Je croyais l'avoir postée mais j'ai dû faire une fausse manip parce que je ne la vois nulle part. Bon c'est pas grave je referai ça demain. Maintenant c'est dodo, je retrouve les élèves demain...
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  14. Étienne ne voulait je pense pas construire une phrase avec les mots "Quatre-vingt-dix-neuf femmes et un homme..." mais dire que si par exemple le public d'un concert est composé de 89 femmes et de onze hommes, en parler dans un article de presse comme "les spectateurs" du concert pourrait avantageusement être remplacé par "les spectateur·rice·s". J'ai changé les chiffres pour que l'exemple ait du sens. On peut aussi dire "le public" ou "l'assistance", mais si on a précisé qu'il y avait une majorité de femmes, l'écriture inclusive permet de poursuivre en continuant d'insister si on le désire sur l'aspect mixte de cet auditoire... Encore une fois, je vois l'écriture inclusive comme un apport. Il n'y aucune raison de l'imposer à tort et à travers. Simplement la voir uniquement comme une dangereuse manœuvre des méchantes féministes est pour moi la preuve que certains ont peur du féminisme, pour d'obscures raisons. Je ne doute pas que beaucoup d'hommes n'ont pas une once de sentiment patriarcal en utilisant le masculin comme un neutre. Je me sens moi-même assez en phase avec cette utilisation particulière du masculin dans la grammaire. Mais dans certains contextes, contrairement à ce qu'on entend souvent, la cause des femmes doit encore être défendue et l'écriture inclusive est un apport non négligeable, à défaut d'être parfait. Mais enfin soyons objectifs, ce n'est pas pareil de transformer dans un roman "Trois chaises et deux tabourets sont rangés dans le grenier" par "Trois chaises et deux tabourets sont rangé·e·s dans le grenier" et de remplacer "Les conseillers municipaux se sont réunis ce mardi" par "Les conseiller·e·s municipaux·ales se sont réuni·e·s ce mardi" dans un article de presse. Alors là danger... Fais une vraie étude sociologique et on en reparlera... Je ne dis pas que tu te trompes, mais ça tout ça reste à vérifier. Pour le coup du Top 3, il s'agit là d'une rhétorique très moyenne... quelque chose peut avoir de la valeur sans être dans le "Top 3", notion aussi artificielle que tapageuse... Tu pourrais envisager que l'écriture inclusive est une des manifestations du questionnement lié à l'établissement de l'égalité homme/femme, pas plus utile ou inutile que d'autres. Évidemment si j'entends ma voisine se faire taper dessus, je vais pas passer du temps au téléphone pour trouver une façon satisfaisante de formuler aux gendarmes la phrase "J'ai d'abord entendu du bruit chez mes voisin·e·s..." !!!! Je n'aime pas le principe qui consiste à évacuer complètement quelque chose sous prétexte "qu'il y a plus grave..." Cela cache souvent autre chose (je ne t'accuse pas).
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  16. C'est justement à mon sens un des problèmes de l'écriture inclusive si chacun fait ce qu'il veut. L'écriture est un canal de communication comme la voix. Shannon a simplement mais efficacement théorisé la base de la communication, un émetteur, un récepteur et pour qu'ils communiquent entre eux et se comprennent il faut un canal commun entre les deux. L'écriture est l'un des ses canaux. Donc si on veut que cela soit efficace, il faut apprendre la même "écriture", pour que tout le monde la comprenne et puisse l'utiliser. Donc en dehors de toute considération ou valeur, s'il y a d'un côté ceux qui utilisent l'écriture classique et les autres l'écriture inclusive cela brouille forcément la communication qui est le but premier.
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  17. Entièrement d'accord avec toi. Ce n'est pas je pense le premier des combats à mener surtout qu'il est très indigeste et bouleverse une structure ancienne. Il y a pleins de choses à faire avant sur les salaires, les violences faîtes aux femmes, le harcèlement de rue, les postes à responsabilité...
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  18. Femme et homme sont des substantifs pour lesquelles il est question du genre des mots, pas du genre des sexes, c'est aussi simple que cela. Exemple : « Quatre-vingt-dix-neuf chaises et un tabouret sont beaux. » Ces cent objets sont beaux, ces cents productions humaines sont belles. Étienne, écrirais-tu : « Ces femmes et ces hommes sont belles » ? Ça ne ferait que retourner le problème à l'envers si tant est qu'il y en ait un. Alors là oui, un membre c'est masculin. (Un peu d'humour dans ce sujet ne fera pas de mâle, ce serait dommage qu'il parte en cacahuète.) Il faut dire que très peu de personnes savent gérer les raccourcis clavier, pour le point médiant c'est comme ça : Certains (ne me demandez pas qui, on n'est pas dans Wikipédia) pourraient rétorquer que, justement, la langue considère l'humanité dans son entier avec un objectif de neutralité (sans doute un rêve pieux mais bon...) et que les nouvelles propositions d'écriture séparent de fait cette humanité en deux catégories bien distinctes, en deux "communautés" qui auparavant faisaient bloc (par ailleurs deux communautés genrées dans laquelle ne se reconnaitront pas d'autres personnes ne s'estimant ni homme ni femme, mais c'est une sujet connexe). C'est une preuve que la langue actuelle permet déjà la nuance recherchée sans point médian. Question : faut-il mettre "chères" devant et "chers" après car, d'un certain point de vue, cela établit une hiérarchisation si l'on considère que ce qui est avant est "supérieur" à ce qui est après" (ou le contraire) ? La question ne se pose pas quand on écrit "Chers collègues" qui, quoi qu'on en dise, intègre l'ensemble des collègues indistinctement de tous les autres critères. Le TLFi donne cette définition : Collègue, c'est un ou une collègue. "Chers" collègues, au regard des règles qui existent de longue date, permet d'englober tous les genres puisqu'on fait référence à la fonction. "Chères" collègues discrimine de fait les collègues "non femmes". Ce qu'il manque en fait c'est plutôt un terme qui discriminerait les femmes ! En effet, pour s'adresser aux seuls "mâles" du groupe il faudrait écrire "Chers collègues masculins" là ou "Chères" suffit pour les femmes et "Chers" suffit pour tous les genres ensemble. (Oui, je sais, je suis taquin, mais c'est pour voir jusqu'où peut aller la réflexion sur le sujet.) Eh bien si tu tiens vraiment à scinder le groupe de tous tes amis en deux catégories genrées, tu fais comme tu l'as écrit plus haut, tu écris "Chères amies et chers amis" (ou le contraire) et voilà. Où est le problème avec la langue française en l'état ? Il suffit de l'apprivoiser.
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  19. Probablement, mais ce n'est plus du tout le cas. Ce n'est qu'un héritage Heureux de te faire rire, c'est déjà ça Mais oui, comme je le disais plus haut, je m'interroge sur le but recherché. Oh, my god! Nan mais faut pas comparer ça au droit de vote quand même ! Moi je trouve ça ridicule en fait comme écriture. C'est illisible, c'est clivant, c'est élitiste et ça laisse sur le carreau bon nombre de personnes en souffrance avec le français. Mais ça ne m’énerve pas. J'ai même posté à l'instant Le corbeau et le renard en (pseudo) inclusif. Bah plutôt que de mettre en place ou de soutenir des systèmes d'écriture élitistes qui s'adressent à des intellectuels féministes, il serait préférable de dire : Mes chers copains, mes chères copines. On a déjà tout ce qu'il faut dans la langue française pour les problèmes que tu évoques je pense. Là c'est surtout, à mes yeux, un acte féministe pour ne pas que le masculin l'emporte sur le féminin. Au prix d'une écriture disgracieuse, élitiste et politisée. Oui pour toi certainement. Je peux t'assurer que je côtoie au quotidien des gens en difficulté avec le français. Il y en a beaucoup plus qu'on ne pourrait le croire. L'écriture inclusive Honnêtement, je m'en fiche, de l'écriture inclusive, c'est de toutes façons, à mes yeux, voué à l'échec je pense. Mais véritablement, je ne mène pas de combat anti écriture inclusive. Mais quel est le but ? Autre que féministe. A quoi bon vouloir, selon tes dires, "énerver" ceux qui n'aiment pas ? Toujours selon tes dires, parfois "ça fait moche". Bah ne l'utilise pas Je me répète mais je pense que la langue française est déjà très riche et en capacité de contourner ces problèmes. Si le problème c'est "Nan c'est pas bien que le masculin l'emporte sur le féminin" bah... On ne va pas pouvoir y faire grand chose, notre langage s'est construit comme cela depuis des siècles.
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  20. À ce propos je te renvoie à la vidéo insérée dans le message en lien ci-dessous (de mémoire, ça démontre que ce n'est pas parce que desease se traduit par maladie (un substantif féminin) qu'on doit dire "la" Covid, car d'autres cas de figure équivalents existent et sont entérinés) :
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  22. Résoudre un Rubik's Cube lors d'une chute libre, vraiment trop fastoche ?... ... alors autant le monter le niveau avec une résolution le corps en flammes :
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  23. Oui on a presque l'impression que ça sonne faux quand on entend "la covid" à la télé par exemple. Moi perso je n'ai pas de parti pris ; je pense être la bienheureuse victime d'un phénomène de masse. Autour de moi tout le monde dit "le covid", par mimétisme et maintenant par habitude, je dis plus volontiers "le covid" du coup Mais ça illustre bien ce que je disais plus haut, c'est-à-dire que si la règle vient d'en haut et non pas des usages de tous les jours, du langage véhiculé par les citoyens dans leur quotidien, ça ne marche pas. Vain combat que celui de l'écriture inclusive. Au mieux (pour les défenseurs de "ça"), ce sera imposé dans les documents administratifs. Point final ? -> · <- Pour les fans d'écriture inclusive comme moi, ne mettez plus des "." mais des "·" s'il vous plait ! C'est déjà pénible à lire l'écriture inclusive alors ne rajoutons pas des erreurs de ponctuation ! Alt + 0183 Merci Le corbeau·elle et le renard·elle Maître·sse Corbeau·elle, sur un·e arbre·e perché·e, Tenait en son bec·que un·e fromage·ette. Maître·sse Renard·elle, par l’odeur·e alléché·e, Lui tint à peu près ce langage·e : Et bonjour, Monsieur·Madame du Corbeau·elle, Que vous êtes joli·e ! Que vous me semblez beau·elle ! Sans mentir, si votre ramage·e Se rapporte à votre plumage·e, Vous êtes le·la phénix·ette des hôtes·sses de ces bois·sses· À ces mots, le·la Corbeau·elle ne se sent pas de joie·e ; Et pour montrer son·sa belle voix·e, Il·elle ouvre un·e large bec·que, laisse tomber son·sa proie·e. Le·la Renard·elle s’en saisit et dit : Mon·ma bon·ne Monsieur·Madame, Apprenez que tout·e flatteur·se Vit aux dépens de celui·celle qui l’écoute Cet·tte leçon·e vaut bien un·e fromage·ette, sans doute, Le Corbeau·elle, honteux·se et confus·e, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Jean·ne de la Fontaine·e
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  24. J’ai utilisé les deux dans VM, par exemple ici pour « la COVID » : … mais force est de constater qu’à l’oral je suis en mode clignotant ; néanmoins je tends de plus en plus à utiliser le masculin auprès de mes interlocuteurs (terme qui englobe les femmes tout autant que les hommes ou autres) car, tu as raison, bien plus ancré dans le français parlé du quotidien (un peu comme « le final » ).
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  25. Hello Hugo Mauvais point Magic Dream, éventuellement dans le sens ou c'est un produit phare de Magic Dream bien mis en avant. En revanche, Magic Dream a simplement une exclu' dessus, je ne pense pas qu'ils décident vraiment de tout là-dessus (pas comme Chantal) dans le sens où ils ne le produisent pas. Donc plutôt mauvais point Vegas Dream que Magic Dream je dirais Stickers Le sticker, c'est un consommable quoi qu'il arrive avec Vegas Dream. Je ne trouve pas ça bien méchant s'ils ne mettent plus de rechange en vrai... Puisque même s'ils mettent des stickers de rechange, ça ne suffira pas sur le moyen et le long terme. Je te conseille ce site : zazzle[.]fr J'ai testé et commandé plusieurs séries de stickers. On peut les personnaliser, mettre les textes que l'on veut dessus, il y a des tas de design déjà fait et prêts à l'emploi. C'est top, pas cher et assez rapide à arriver pour des stickers fabriqués à la commande et envoyés depuis les States. Vegas Dream C'est vraiment un très bel outil ! La routine est magnifique et facile à faire. Le matos est correct pour le prix. Et avant, je ne voyais aucun souci réel à ce set. Suffisait d'accompagner un peu les pièces pour qu'elles s'alignent facilement. Et puis... Et puis j'étais tellement fan de Vegas Dream que j'ai voulu m'acheter un second set Vegas Dream. J'ai fait mes petits calculs et je me suis dit que claquer 140 boulinettes pour 2 sets Vegas Dream, c'était dommage... Il devait y avoir mieux à faire. J'ai eu la chance de pouvoir avoir un set Split Coin, et là je dois dire qu'on est un bon gros cran au-dessus ! En résumé, si tu as l'occasion d'accéder à un set un peu mieux calibré comme Split Coin, je te conseille d'aller plutôt vers ce type de produit Si tu fais tes calculs, pour 2 set Vegas Dream, tu as quasiment un set Split Coin.
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  26. En réalité, le seul truc avec la glycérine, pour que ce soit sans danger, c'est de parvenir au bon dosage : nitro, nitro peu .
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  27. Sans hésiter une seule seconde : celui de Nino Montalto !
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  28. Eh bah ! Merci pour ce partage Patricia Fort intéressant, d'autant plus quand ça émane de l'Académie française. Je connais peu le sujet mais je suis assez choqué de cette pratique de l'écriture inclusive. A une époque où l'on cherche plutôt à simplifier les règles pour limiter les décrochages et probablement mieux coller aux usages dans la vie courante, je ne comprends pas pourquoi l'écriture inclusive essaie, tant bien que mal, de se frayer un chemin. Mais surtout, je ne comprends pas le but. J'ose espérer que ça ne se limite pas à un étrange combat féministe. On a bien d'autres combats à mener dans ce domaine avant de titiller sur le genre d'un mot. Et pis... En principe les règles de français s'adaptent à la langue telle qu'on la véhicule. Et pas l'inverse, on ne va pas adapter notre langage de tous les jours à cause de nouvelles règles. D'ailleurs quand ça arrive, on ne le fait pas, pas dans la masse en tout cas. Personnellement je n'entends personne dire La covid alors que c'est ce qui a été retenu.
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  29. Le but était en effet d'alimenter la réflexion. Merci Frédéric d'avoir réagi. Peux-tu donner des exemples précis et problématiques de présence du « social » dans la grammaire de la langue française ? J'avoue ne pas trop cerner ce que tu évoques. On n'est pas toujours forcé d'argumenter sur tout. En quoi est-il besoin d'argumenter sur ceci par exemple ? : C'est un fait, je ne sais pas moi-même comment on oralise l'écriture inclusive. Loin de moi l'idée de défendre l'auteur (que je ne connais ni d'Adam ni d'Ève) mais force est de constater que tous les points soulevés ne peuvent être balayés d'un revers de la main. Devrait-on dire « iel fait beau » par exemple ? La magie des chouchous serait-elle de gauche et la numismagie de droite ? Non, tout n'est pas politique et heureusement car comme c'est interdit dans VM on ne pourrait plus s'exprimer dans ce forum.
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  30. Le teaser est sympa. Pour un magicien utilisant ce type de support cela donne visiblement des possibilités intéressantes. Reste a voir le côté pratique, le bruit…etc mais aussi la qualité de l’électronique sur la durée. Je suis de moins en moins adepte de l’électronique. Le tapis reste joli donc cela dépend de l’usage et de savoir si on veut transporter ce type de matériel dans ses prestations.
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  31. Il est vrai que l’article n’est pas sorti dans Libé.
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  32. Un article à (lourde) charge, par un « professeur des universités en linguistique, spécialiste de sémantique et d'analyse des discours idéologiques » : « Narcissisme idéologique et mysticisme illuminé » : les logiques à l’œuvre derrière l’écriture inclusive. Source et article complet ici : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/narcissisme-ideologique-et-mysticisme-illumine-les-logiques-a-l-oeuvre-derriere-l-ecriture-inclusive-20230901
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  33. L'utilisation de la glycérine comme étant "l'ingrédient miracle" pour faire des bulles de savon est largement survendue. Ce n'est absolument pas le point essentiel et que ce soit pour faire de la sculpture de bulles comme le célèbre Tom Noddy ou pour faire des bulles géantes comme Fan ou Ana Yang, on peut parfaitement se dispenser de glycérine. La chose vraiment primordiale est le choix du tensioactif (le produit vaisselle utilisé en gros). Certaines marques vont beaucoup mieux que d'autres mais malheureusement pour nous la plupart ne se trouvent pas ou pas facilement du moins en France. Il faut importer. Ensuite, il faut un lubrifiant, en particulier si on veut faire des bulles avec les doigts ou pouvoir toucher à mains nues les bulles. Là aussi, certains vont mieux que d'autres. Enfin, utiliser plutôt de l'eau du robinet que de l'eau distillée. Là aussi, c'est une fausse idée véhiculée par beaucoup que l'eau distillée convient mieux. Les minéraux contenus dans l'eau du robinet (eau minérale) participent au renforcement de la structure qui n'est autre qu'une mince couche d'eau entre deux couches de tensioactif. L'eau distillée sera plus adaptée dans certains cas uniquement : si l'eau du robinet que vous avez est trop dure (trop riche en minéraux, ce n'est pas bon). Lorsqu'elle est utilisée pour les bulles, la glycérine joue le rôle d'épaississant et c'est souvent pour ceux qui veulent faire de très grosses bulles en extérieur. Pour les sculptures de bulles, elle n'a pas beaucoup d'intérêt et si on en met un peu trop, au contraire, elle rendra vos bulles plus fragiles. Quant à ce qu'est la glycérine commerciale, c'est du glycérol, souvent d'origine végétale, que l'on hydrolyse. Ce que vous allez acheter s'appelle donc souvent "Glycérine végétale 99,5%". Mais grosso-modo, glycérol et glycérine désignent la même chose. Disons que la glycérine, c'est du glycérol obtenu : - soit par saponification, c'est-à-dire une réaction chimique entre de la soude et un corps gras (huile ou graisse) d'origine végétale - soit par hydrolyse d'un ester que l'on trouve dans certaines graisses ou huiles d'origine animale ou végétale A ma connaissance, on utilise plus le terme de glycérine au niveau commerciale et lorsque l'huile utilisée est d'origine végétale. En chimie, on va plutôt dire glycérol pour bien montrer qu'il s'agit d'un alcool (un triol exactement puisque cette molécule comporte trois fonctions alcool). Vous allez peut-être faire les gros yeux en voyant que la glycérine peut être préparée en utilisant de la soude qui est une espèce chimique très corrosive (base forte) mais vous n'avez aucune crainte à avoir sur le produit de réaction obtenu, c'est-à-dire le glycérol ou glycérine. Ce dernier est vraiment sans danger à manipuler. Ne vous amusez pas à faire votre propre glycérine. Les saponifications nécessitent d'avoir le bon matériel (verrerie adaptée, filtre avec aspiration type Büchner voir mieux, hotte aspirante, etc...), du temps, ont souvent un mauvais rendement (surtout en amateur !) et la glycérine n'est pas hyper bon marcher mais elle ne coûte pas une fortune non plus et vous n'y gagnerez rien à la faire vous même.
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  34. J'aime beaucoup celui de So Sato - Bushfire Triumph
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  35. Les mystères de Lorient...
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  36. Bonsoir à tous, Quand je l'ai rallumé ce soir : plus de bruit et le moteur s'arrête pour mettre le fil. Tout l'inverse d'hier : pourquoi ? Mystère. Néanmoins, le vendeur, au top, a passé en visio 2 h avec moi pour le set up. On a testé, calibré, etc. Pour l'instant, tout va bien. Je n'ai jamais fait de fil et du coup j'avoue que le résultat me bluffe complètement. C'est simple à faire. Il faut être soigneux et rigoureux, bien sûr. Je vais le tester les mercredis à l'hôpital et suivant les réactions + les conditions (fort éclairage au néon donc fil invisible j'ai un gros doute, sans parler des gens qui bougent dans tous les sens) je le garderai ou pas. En tout cas, c'est un chouette tour, je suis contente de l'avoir eu en main et de m'être pris pour une vraie magicienne. A tester dans les conditions décrites ci-dessus et on verra...
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  37. Salut Mathieu, En fait c'est devenu de plus en plus courant ^^ Beaucoup font ça. En particulier à la radio. Laurent Gerra a fait pas mal de radio, et à la radio c'est plus ou moins commun de lire son texte. Surtout quand on enregistre à 6 ou 7 heures du mat Laurent Gerra ou Philippe Caverivière le font tout le temps. Nicolas Canteloup aussi de mémoire. Peut-être que c'est parce qu'ils ont longtemps eu l'habitude de le faire en radio sans que ce ne soit filmé. Maintenant la radio est filmée et on voit les chroniqueurs continuer à lire leurs chroniques. Personnellement ça ne me gêne pas, ce qui compte c'est davantage la qualité d'écriture et de narration
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  38. Hello César, Je te rejoins, il n'y a pas spécialement de plus-value. Il peut y avoir 2 intérêts principaux selon moi à l'acquisition de ce jeu : - Apprécier les beaux jeux / Collectionner - Renforcer ses connaissances / Développer sa créativité pour les marquages La vidéo est plutôt intéressante, il parle pas mal de la création du jeu, les idées qu'il a eu avec (notamment avec les gaffs fournis), puis il passe aux manières de le marquer car le jeu est vierge de toute marque (précision pour ceux qui ont un doute en lisant la description du produit). En parallèle il est recommandé d'acheter un marqueur Sharpie bleu pointe ultra-fine pour travailler le marquage
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  39. Non non, Examine le set de cartes en main. Si un choix est laissé au participant pour changer une ou plusieurs cartes après avoir placé la carte "mystère", le score pourra être 21 contre 13 dans une des configurations Le participant peut donc finir sur un black jack! Et ce car Jermay utilise d'autres cartes dans son set perso (celui de la présentation) comparé à celui des explications.
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  40. Alors, c'est là tout l'intérêt de l'aspect "Black Jack" de la routine car, effectivement, le spectateur peut battre le score du magicien à la dernière phase, mais il dépasse les 21, du coup, il perd quand même
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  41. La première fois que j'ai rencontré GARCIMORE a ses débuts a Marseille sa carte de visite était "GARCIMORE ILLUSIONNISTE MUSICAL"
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