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Fabien (spankyfab)

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  1. Personnellement je travaille énormément (c'est peu dire) avec Miro (https://miro.com/fr/). Si ça peut servir à quelqu'un
  2. C'est une super adaptation d'un effet de Brian Caswells, toujours brillamment exécuté par Viktor. Magic Dream avait - à l'époque - travaillé des adaptations pour le faire avec un seul jeu (lors de sa sortie il y avait des contraintes). Fun fact, j'avais fait ce numéro à Vivement Dimanche il y a quelques temps
  3. Je pense que nous avons tous le même sentiment sur la mécanique de l'émission (qui pour le coup existait avant, je ne fais que la prestation de co-présentation). L'idée d'utiliser les prestations promotionnelles en support des questions est une bonne idée sur le papier qui finalement n'est pas lisible en réel et donne surtout un sentiment de beaucoup de promo (et donc d'un rythme lent, en dehors du jeu). Par contre je ne me suis pas ennuyé haha. Je pense que le stress d'un premier direct et une oreillette qui me parle tout le temps m'ont laissé que peu de temps pour souffler Mais c'était un bon apprentissage encore une fois, vu par 1,3 million de personnes (ce qui reste à mon sens une bonne nouvelle d'avoir une audience réduite pour quelque chose qui s'apparente à un rodage me concernant haha)
  4. Effectivement ça n'a pas été un direct simple à tourner (dommage quand il s'agit de mon premier direct et de ma première expérience en co animation). Mais comme pour les spectacles je sors de cette expérience avec beaucoup de réponses. J'ai pu faire un gros débrief hier (3 en réalité, un seul, un avec l'équipe de production et un avec mon équipe - qui n'était pas liée à ce projet), ça nous a permis de comprendre beaucoup de choses sur ce qui était faisable ou pas, sur ce qui était acceptable ou pas, sur les problèmes liés à moi, ceux liés au jeu, ceux lié à des variables (mieux vaut par exemple que tous les invités ne viennent pas pour de la promo), etc... C'était finalement passionnant de décortiquer tout ça. Je suis mitigé quand à ce que j'ai pu faire durant cette émission mais j'en ressors avec la sensation d'une formation accélérée qui peut m'être bénéfique si j'en dire des conclusions lucides et honnêtes (ce que je pense nous avons fait hier). On a au moins pour nous que la courbe d'audience était stable (dans le sens ou la majorité restait devant le jeu).
  5. Hello. Faire chanter à l'assemblée "Joyeux Anniversaire" avec à la fin le prénom de la personne ? Je te taquine avant que la planète te tombe dessus. Ta demande est un peu maladroite car tu ne donnes que très peu d'informations sur ta recherche. Plus tu en diras, plus tu raconteras ce que aimes/sais faire, plus tu donneras les conditions où tu le feras, la forme, tes accessoires préféré, le temps que tu as pour apprendre, la durée du numéro, etc... plus tu auras de réponses pertinentes.
  6. Bonjour Thomas, je suis littéralement amoureux de cette routine et j'ai beaucoup travaillé dessus. J'ai aussi la chance d'avoir de longues conversations avec Gabriel sur ce travail. En l'occurence j'ai ajouté deux subtilités qui favorisent grandement que la personne choisisse d'abord une carte à point, puis une figure. Dans les quelques cas où ça n'arriverait pas je me réfère à la méthode initiale de Gabriel qui est tout aussi efficace et offre une fin de la même qualité.
  7. Vaste question en effet ! Comme le dit très justement Teddy, on ne calcule pas le montant perçu par l'artiste via un pourcentage d'un billet. Cette méthode n'aurait pas de sens en terme de budget. Un budget inclus les dépenses (location du théâtre, éventuel complément technique, éventuel montage, salaires etc charges du/des artiste.s, salaires et charges du personnel technique, salaires et charges du personnel général - accueil, sécurité, billetterie, chargé de production, etc... -, communication (graphisme, impression), taxes (de la TVA aux différentes taxes liées aux spectacles), Droits éventuels (auteur, musiques), catering de l'équipe, transport de l'équipe, hébergements éventuels, etc... On peut y rajouter beaucoup de choses (campagne d'affichage, attaché de presse, résidence de création, créa lumière, créa musique, amortissement du matériel ou des costumes, etc...) Le budget inclus également les recettes : la billetterie (éventuellement subventions pour certains, la vente d'une captation à une chaîne de télévision, le merchandising (qui lui même inclus de nouvelles dépenses)) Malgré un certain fantasme de se dire "sur un billet à 45€ en moyenne dans une salle de 2000 places, l'artiste doit bien se faire 10% par billet" la réalité est différente. Et comme le dit Teddy, chacun négociera son cachet comme il le pense juste. Comme ça n'est pas facile de trouver des infos je vais te donner un exemple concret, mon Olympia en 2018. J'ai pris un cachet de 500€ net (le ticket moyen était justement de 45€ en moyenne et la salle fait 2000 places) soit environs 0,5% par billet ! Mais pour continuer à être transparent j'ai fait cet Olympia en complète auto production, donc en cas de bénéfice il allait dans ma société (d'où le cachet confortable mais pas délirant). Le Budget final en dépense était de plus 75000€. Il fallait remplir quasiment 85% de la salle pour équilibrer avec les recettes. Au final j'ai eu la chance de faire complet donc de réaliser un bénéfice d'un peu plus de 10 000€ pour ma société (C'est une autre question car il a fallut mobiliser l'argent pendant presque un an entre le début des dépenses et le retour de la billetterie après la date, dans mon cas c'était par exemple prendre le risque d'investir tout ce que j'avais pu économiser depuis des années). Je sais que pour des personnes qui sont ne sont pas en auto prod (ou en co-production parfois) il peut arriver qu'un bonus soit prévu à certains pourcentages de remplissage (quand on est sûr que le producteur est bénéficiaire). Voilà, j'espère que ça t'éclairera, c'est typiquement le genre d'informations que j'aurai voulu avoir il y a plus de dix ans P.S : Pour ceux qui se posent la question sur le fait que je sois producteur mais que je touche un cachet quand je joue. Toucher un cachet ne signifie pas "être intermittent" et "ne pas être intermittent" n'empêche pas de toucher un cachet. J'ai quitté l'intermittence mais je préfère percevoir un cachet pour mes spectacles pour plusieurs raisons (les assurances, le sentiment d'être payé en tant qu'artiste en fonction de mon travail sur scène, la cohérence du budget, etc...)
  8. Hello Teddy, Je peux te répondre mais ça sera d’ors et déjà biaisé. Il ne s’agit que de mon expérience et ça remonte à 10 ans. J’ai fait le festival en 2013 et 2014 (avec une exceptionnelle sur la relâche de Jarry en 2012 pour appréhender ce qu’était le festival en vue de le faire l’année d’après). J’étais donc déjà en auto production, avec un budget plus que limité... 4500€ en poche pour être précis. Niveau théâtre, j'ai jouais au « théâtre à l’arrache » en 2013 et 2014. L’entente avec le directeur était un véritable partage des recettes à 50/50 (sans versement initial ou minimum garanti). Ma deuxième année j’aurai pu prendre un théâtre plus cossu (au vu de ma première année qui avait affiché complet) mais je suis resté chez lui par loyauté (ne rien avoir à verser avant le festival reste rare, c’était assez unique pour le remercier en restant une année de plus chez lui). Par ailleurs, il était convenu que je touche mes recettes chaque dimanche, ce qui m'a beaucoup aidé. Niveau logement j’avais trouvé une location en dehors des remparts, à 25 minutes de marche du théâtre. Outre la grosse économie que cela fait (d'être hors des remparts) j’y voyais 3 avantages : - un grand appartement fonctionnel et au calme. Nécessaire pour travailler le soir, se faire à manger plutôt que des resto, pouvoir faire sa lessive, etc... - l’impossibilité de rentrer en journée (toujours sur le front ! Ça fait parti de l'expérience) - ne pas être tenté de sortir le soir (je n’étais pas là bas pour faire la fête le soir et ne pas me lever le lendemain) Enfin, niveau communication j’avais juste imprimé quelques dizaines d'affiches et 5000 flyers. Un coût très raisonnable. L’essentiel de mon travail a surtout été de préparer le festival en amont, pour identifier et inviter des programmateurs de salles qui me correspondaient (café-théâtres de 50 places en 2012 lors de l'exceptionnelle au Palace, café-théâtres de 100 à 150 places en 2013, et café-théâtres / théâtres et centres cultuels en 2014). C’est un long travail de production que de les identifier, les contacter, les inviter et s’assurer de leurs venues. Il faut s’y prendre assez tôt et bien sûr prévoir du temps avec eux à la fin de la représentation pour débriefer et envisager une programmation... ou pas J'ai fait aussi ce travail avec les festivals qui sont tout aussi importants. Mes journée étaient donc rythmées par le terrain (pour faire venir les spectateurs au spectacle), les représentations, l’accueil des pros que j’avais invité, les plateaux et les premières parties (toujours pour inciter les spectateurs à découvrir le spectacle) et le débriefing le soir du spectacle chez moi où je notais, modifiais ou supprimais ce qui devait l’être (la mise ne pratique du mot « vivant » dans « spectacle vivant »). J'enregistrai au Dictaphone chacune des représentations. Ces Festivals ont été pour moi le moyen de créer mes 3 premières tournées. Une modeste sur la saison 2012/2013 en nombre de dates et en capacités, une confortable sur la saison 2013/2014 et un vrai pas sur la saison 2014/2015 où j’ai parfois produis seul (et parfois en co production avec des théâtres qui m’avait accueillis sur les saisons d’avant) des salles jusqu’à 900 places. Je crois que le spectacle a réuni plus de 40 000 spectateurs sur cette saison entre septembre 2014 et juin 2015 (et sans YouTube qui n'impactera ma vie qui partir de la demie-saison commençant en janvier 2017). Ce fut aussi l’occasion de retrouver les artistes que l’on a jamais le temps de voir le reste de l’année - les agendas de tous étant toujours chargés - de resserrer les liens et d’en créer de nouveaux. Je ne l’ai jamais refait (sauf en tant que spectateur bien sûr) car après 2015 les professionnels (je ne parle que des programmateurs et propriétaires de lieux) étaient venus, il n’y avait plus qu’à continuer de faire son mieux pour rendre viable le projet dans la durée. Mais c’est clairement les festivals d’Avignon qui m’auront permis de faire plus de 200 représentations en tournée et de me faire connaitre auprès des café-théâtres, théâtres et centre culturels. Après, il n'existe pas qu'un seul chemin pour proposer son spectacle au grand public (et heureusement ).
  9. Hello Patrick, J'adore cette thématique. J'avais fait une vidéo dessus durant le confinement (en essayant sur des personnes - à distance - qui ne savaient pas ce que c'était). Si ça t'intéresse je te mets ça ici
  10. Bonjour à tous, J'ai pris le temps de lire vos messages en hésitant à apporter de l'eau au moulin tant je ne sais pas toujours si cela me concerne ou pas. Alors je vais parler que de ce que je connais, la vidéo publiée sur YouTube. N'en déplaise à Frédéric ci dessus (toujours là pour me soutenir ) il y a bien eu un travail de fait et de rigoureux. Mais peut-être oubliez-vous trois points évidents : - Ce docu est... une vidéo YouTube. Ne l'oublions pas. Il n'a pas d'autres prétentions et en ce sens cette vidéo embarque toutes les imperfections propre à la production de vidéo sur cette plateforme. On a quand même fait un peu plus qu'un face caméra pour soigner la forme. - Le docu est... une manière de mettre l'art magique en avant auprès du grand public. Surement maladroitement mais je reste heureux de me sentir utile dans mon art. Ma démarche est tout aussi sincère que celle de ceux qui ne supporte pas mon travail - Le docu est... emprunt du manque de données que vous ne pouvez pas deviner (et c'est bien normal). Vous me parlez des livres de Christian Fechner, on les voit dans la compilation des sources que lit Virginie dans le making off. Vous me parler des imprécisions des intervenants ? Vous n'avez pas vu non plus ce qui a été coupé en ce sens (dont un intervenant qui n'apparait du tout in fine). Il y a eu aussi de longs échanges avec des spécialistes à Blois et ailleurs lors de l'écriture en elle même. Il y a eu aussi toutes les demandes restées sans réponses. Idem pour les illusions que nous voulions bien sûr filmer. Je lis aussi des choses que serait dites dans la vidéo... alors que factuellement c'est un mauvais souvenir de votre visionnage Bref il y a un monde derrière ce que vous voyez et ce que vous croyez (ça s'applique aussi à moi, j'ai peut-être mal compris certains échanges sur ce sujet). Au final la vidéo YouTube est ce qu'elle est, elle vous plait et j'en suis profondément heureux. Lorsqu'elle vous irrite je vous avoue que je crois qu'il s'agit d'autres problèmes. Nous n'avons pas créé une thèse sur Robert-Houdin qui marquera l'humanité, mais une vidéo sur internet qui a demandé 2 ans d'engagement et de passion pour offrir quelque chose d'attrayant sur notre monde. En tout cas on vient de lancer les premières pierre de mon troisième docu, ne vous inquiétez pas il ne concerne pas l'art magique Amitiés Fabien P.S : Il est courant que des vidéos de spécialistes sortent après un docu pour le compléter, le critiquer ou le corriger. Si vous le faites tenez moi au courant et je le relaierai dans les commentaires/ la description du docu, ainsi que sur mes réseaux. Ça sera un très bel apport justement.
  11. Merci pour ces sympathiques retours A mon grand étonnement certains se demandent pourquoi il m’a fallut quasiment deux ans pour cette vidéo. Tout d’abord parce qu’il faut trier les informations sur le sujet, les recouper avec grand nombre de rencontres, tourner, monter, etc… et ce avec mes ressources privées (dans le sens où ça n’est pas une chaîne de télévision qui achète un programme et qui donne la ressource financière). Ces deux ans étaient passionnants… au point d’en faire une vidéo des coulisses de ce qu’on appelait en interne « le projet maudit »
  12. Ne t'en fait pas... l'origine de son nom est aussi traité dans le docu
  13. Après deux ans de rencontres, lectures, recoupements, etc... Deux ans de patience et de travail minutieux... je viens de sortir un documentaire (Sur YouTube) sur Robert Houdin. Surement la vidéo sur laquelle j'ai donné le plus de moyens pour en faire quelque chose à la hauteur du protagoniste. Nous sommes tous influencés par Robert Houdin, j'espère que ce documentaire vous plaira.
  14. C'est pas "que ça" sans trop en dévoiler, mais la base de la recherche est bien clair en effet. Maintenant la question qui reste est : que faisons nous à l'heure actuelle de notre connaissance de ce principe ? Là où Gérard est fort c'est la myriade d'idées et de pistes qu'il réussi à essorer d'un principe. De quoi se mettre au boulot mentalement à chaque page.
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