Tableau d'honneur
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"Le détournement d'un concept de physique qui n'a rien à voir avec ce qu'ils en disent." Comme la Programmation neuro-linguistique pour laquelle, j'ai bien regardé, il n'y a aucune ligne de code !4 points
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La première scène pour les temps moderne montre une maîtrise qui dépasse le sujet. Il est tellement "fort" que cela deviens un problème. On pourrait imaginer un magicien qui fait apparaître les cartes de manière mécanique : une production d'éventail en continue, mais sans passion qui vient limiter, le gener dans sa vie de tous les jours. Un magicien qui ferait disparaître les objets dont il a besoin, mais sans le vouloir : « il a perdu la femme de sa vie, car il a fait disparaître son alliance devant l'autel ». La deuxième scène montre une joueuse professionnel face à "chess hustler". Ce qui est drôle c'est que les deux personnages ont une apparence qui ne colle pas à l’exécution de leurs mains. Le "hustler" a l'air débraillé, et même dans son élocution il y'a quelque chose de cassé. Pour elle c'est l'opposé mais c'est la même idée, un corps qui ne semble pas coller à ce qui se joue sur l'échiquier. Je trouve l'image assez belle, et qui colle à la rencontre tel que détaillé... si la spectatrice était plus que ce qu'il voyait. Bonus : le moment où le hustler se rend compte qu'il est fasse à une très bonne joueuse et hurle « je joue contre un démon ». La troisième scène c'est l'ultime personnage rendu meilleur par l'alcool : drunkenmaster ! Le message n'est pas très politiquement correct, mais on y voit un personnage ivre qui se surprend lui-même d'arriver à faire certaine choses. Je trouve l'image assez belle, un personnage qui pourrait essayer un tour sans y arriver puis qui se surprendrait à le reussir. Et aussi cet idée qu'arrêter de tout vouloir contrôler, amène parfois à la solution. Je propose ma variation sur toutes les idées précédentes, même si c'est passé. La maîtrise comme un problème. Quelques idées en passant : - un homme qui se fait un tour à lui-même car il est incapable de contrôler ces mains. - la magie comme un problème, le magicien tente de parler à la spectatrice, il tente de la charmer, mais les cartes et les tours viennent se mettre entre eux. A la fin le magicien doit arrêter de toucher les cartes même s'il a envie, et la spectatrice doit faire elle-même le tour pour qu'il puisse avoir un vrai moment une discussion. - un magicien qui a perdu le gout de la magie, il fait plusieurs fois le même tour à différents spectateurs mais en série, sans passion presque de manière automatique, mais quelque chose va briser la monotonie. Il pourrait même s'endormir/fermer les yeux pendant un tour ou arrêter un tour en plein milieu (tour qui pourrait être achevé plus tard quand il reprend goût à la magie). Analyse de l'idée de ClumSkill Si je devais critiquer, je trouve que le personnage est trop « immobile » dans son rapport à la maladresse. Il est déjà maladroit, et déjà bon en magie, le numéro deviens un portrait plus qu'une trajectoire. C'est possible mais il faut alors rendre ce portrait intéressant et la difficulté vient de la manière de conclure. Sur un récit aussi court, il y'a besoin d'une chute, sans forçement aller dans le twist, il faut un final. Mais face à une situation problématique, on a envie de le voir changer. Prenons un exemple Imaginons un personnage maladroit mais qui pense qu'il n'arrivera à rien, soudain il tombe sur un paquet de carte, il essaye de faire un tour, mais celui rate. En fait non, il a bien retrouvé la carte, mais elle était sur sa tête. Il se prend à essayer, mais c'est difficile, chaque tour réclame une grande concentration et c'est le reste de la pièce qui en fait les frais ou le spectateur. Il semble abandonner à un moment, mais il va retenter, et cette fois il va faire avec sa maladresse. Ici le personnage progresse et il finit par intégrer cette maladresse qui est une partie de lui. Cela donne quelque chose de très métaphorique, car une trajectoire aussi transformationnel avance trop vite pour la réalité. A l'opposé, on peut prendre l'exemple de Joshua Jay qui est cause beaucoup, mais pose le récit à un autre niveau (discours dans le spectacle) ce qui autorise des récits plus complexe, elliptiques. Et qui ressemble tout à fait à une histoire que l'on pourrait racontrer en close-up. Si c'est le personnage comprend que la magie vient de lui mais pas des cartes, il faudrait une trajectoire où le magicien est rassuré par ces cartes, il les perds, et c'est la catastrophe, mais il arrive à se reprendre. Il improvise avec ce qu'il a, et se surprend à y arriver. Quand il retrouve les cartes, il les confie à la spectatrice, car ce n'est pas l'origine de son talent. Le statut de la spectatrice est plus complexe, est-ce que tu as cette possibilité dans ton concours. Si c'est un show de close-up, ou en table, ça va devenir très verbale, et c'est plus difficile d'arriver à l'effet que tu veux, à moins de le faire à la façon de Trojan Deck de Joshua Jay, mais c'est du 1 pour 1 : donc beaucoup de parole. Par contre sur scène, je vois difficilement l'intervention de la spectatrice comme tu l'imagines. Par rapport à l'aspect concours cela me semble un peu dangereux car entre deux eaux, close-up ou scène. Pour le reste rien à ajouter aux pavés des autres. De toute façon personne ne peut battre SébastienO niveau taille ... de réponse.3 points
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@Patrick FROMENT je suis content que Whitehead t'intrigue. Oui comme le dit le résumé de ta référence "philosophe du temps": c'est une oeuvre "exigente" . Merci de recadrer le débat dans cette recherche là! C'est aussi cette exploration qui m'anime et non l'idée de pouvoir émettre une sentence. ...que dire du "réalisme magique" (qui sans être un courant philosophique n'en est pas moins un style littéraire qui a imprégné une grande part de la culture et de la société sud amércaine). "L'évènement irrationnel qui survient dans un contexte réaliste". ...C'est presque une définition de la magie telle que nous l'entendons içi.2 points
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"Remèdes à l’anxiété ambiante" sur https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-du-jeudi-03-fevrier-2022 via @radiofrance2 points
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Tu peux faire imprimer un jeu à faces blanches avec les dos que tu choisis chez Making Playing Cards.2 points
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Magnifique ! « Le photographe Charles Brooks capture l’intérieur des instruments de musique » : https://creapills.com/interieur-instruments-musique-charles-brooks-202202032 points
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Un article (quand même bien complexe!!) sobrement titré "La vie perceptive selon Whitehead": https://www.cairn.info/revue-philosophique-2006-1-page-7.htm Avant de s'arracher les cheveux il est bon de faire un petit tour sur Wiki pour comprendre (ou se rappeler) ce qu'il entend par préhension. Ceux qui en ont le courage pourront donc continuer avec l'article pré-cité où l'on apprend notamment que pour le philosophe et mathématicien britanique: Mais avant que les plus "réalistes" d'entre nous s'offusquent, il ne croit PAS que les phénomènes possèdent des qualités qui seraient des purs produits de l'esprit!! ...Mais que ce sont leur "expérience" qui les définit. C'est une vision très spécifique à laquelle je ne sais pas si je peux m'identifier mais qui a (aussi!) le mérite de faire un pont entre rationalistes et partisans des réalités subjectives.2 points
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Sacré Jackie Chan ! Pour info, il s’agit de la boxe de l’homme ivre, une véritable approche stylistique en wushu : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Zui_quan2 points
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Hello les amis, Après plusieurs repports dû à la crise. J'ai pu enfin allé voir le spectacle "À VUE" de la Cie 32 Novembre. Et bien, je vous le conseille vraiment, j'ai pris une claque magique. Ils ont réussi à dépoussiérer la magie... mais quand je dis, dépoussiérer, c'est carrément du grand nettoyage, oubliez tout ce que vous avez vu jusqu'à présent. Des classiques de la magie, mentalisme, télékinésie, catalepsie, lévitation,... et tout ça, avec un brin d'humour, mais superbement mis en scène, on se laisse emporter durant tout le spectacle... MON GROS COUP DE COEUR. "À VUE"... à voir... sans modération. ICE.1 point
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Ca fait une semaine qu'il le tease, j'étais impatient je n'ai pas été déçu. C'est en top vente sur Penguin Magic. Pas d’affolement, c'est de la précommande, je n'ai pas le produit, mais l'animal a un sacré pedigree. En gros c'est un CAAAN, card at almost any number. La description est clair, vous avez une limite de choix du nombre, mais l'effet en lui-même est assez dingue dans sa présentation, idem pour le reset qui a l'air très rapide (vu dans le trailer avec Adam Wilber). Je suppose que comme moi vous avez des idées de méthodes, mais même si le deck est examinable, il est truqué. Ma plus grande question, en quoi est-il quantique? J'ai l'esprit un peu cartésien/scientifique, et je me demande si il n'y a pas autre chose au delà de l'effet, à moins que ce soit une des thématiques des routines, car là on ne voit que l'effet final sans l'enrobage. A priori on peut l'utiliser aussi comme outil de forçage en habillant les autres cartes, je me demande si on peut généraliser le principe à des vrais cartes. Bref il place ça au niveau du jeu invisible c'est assez couil*** comme affirmation, mais en même temps vu la bête et tout le bazar qui fait autour. J'ai hâte d'avoir vos avis et hypothèses. [vmprod p=833]1 point
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Vu hier soir à La Lanterne à Rambouillet. Que dire, si ce n'est que c'est l'un des plus beaux spectacles de magie que j'ai vu depuis un petit moment. Seul en scène pendant plus d'une heure, avec une économie de moyens (un décor minimaliste), de paroles (c'est du mime !), d'accessoires (quelques balles, un foulard, une corde ...), Pierric nous offre un show proprement envoûtant. Le spectacle est sous-titré "MAGIE - HUMOUR VISUEL - un artiste aux multiples talents". Les spectateurs qui étaient dans la salle hier soir ne s'y sont pas trompés. Ils ont largement manifesté leur satisfaction au cours des longs applaudissements (qui n'étaient pas de convenance) qui ont suivi la représentation. Que le spectacle n'ait pas répondu à tes attentes, c'est une chose. Mais de là à le qualifier d'arnaque je trouve que tu y vas fort. Le choix de la pantomime permet à Pierric d'avoir un show international. Ne serait-ce que le dialogue sans parole que Pierric entretient avec les spectateurs tout au long du spectacle est à lui seul magique ! Les effets magiques proprement dits sont effectivement peu nombreux, mais exécutés de manière remarquable et toujours placés à bon escient dans le spectacle. Certes, on est loin de la performance de Hans Klok ... Bref, vous l'aurez compris, si vous avez l'occasion de voir ce spectacle, courrez-y ! Bob P.-S. : je signale une exposition de pop-up à la Lanterne de Rambouillet où vous pourrez admirer les magnifiques créations de Philippe Ug. Si vous y venez, faites-moi signe !1 point
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J'ai ressorti il y a peu le tour "Justice Pad" de Mark Mason dont j'apprends qu'il utilise un principe et un gimmick relativement répandu (Psypher, Hpad, nomad pad). Je me suis aperçu qu'avec le temps le feutre Crayola fourni ne faisait plus effet... en extrayant le gimmick dissimulé dans la pointe j'ai constaté que celui ci était en milles morceaux (et pourtant je n'ai pas souvenir d'avoir fait tomber le feutre). Bref, reste à reproduire le même feutre... question "gimmick" il me semble pouvoir me procurer quelque chose faisant l'affaire car respectant sensiblement les même dimensions. Reste néanmoins maintenant à passer à l'étape "bricolage"... et là ça se corse. Quelqu'un aurait il essayé de se fabriquer le même feutre gimmick ? Pourrait il partager des conseils et m'éviter de me perdre dans des essais infructueux ? En particulier comment procéder pour insérer le gimmick dans la pointe du feutre ? Il semblerait que la mine du Sharpie soit un peu trop fine... Un feutre Velleda ferait il l'affaire ? (La marque Crayola dans le format fourni à l'origine n'est pas facile à trouver à l'unité chez moi). Je remercie par avance celui ou celle qui m'éclairera !1 point
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Note : je ne suis pas magicien pro, et je n'ai jamais monté de spectacle de magie. Quel est l'objectif? - se faire plaisir en faisant un spectacle complet ou en montant sur scène - monter en puissance vers la professionalisation - développer un objet artistique - gagner de l'argent Tu peux me répondre tout à la fois, je te dirais qu'on ne peut courir qu'un lièvre à la fois... plutôt qu'il y'a un lièvre qui nous intéresse plus que les autres. En l'occurence un lapin. C'est drôle car je suis entrain de rédiger une réponse sur un autre sujet et c'est la même problématique. Selon ce que tu cherches réellement, cela va poser les conditions et exigences de ta recherche. Si tu acceptes d'être à perte, tu ouvres l'accès à tout un tas de lieux différents, si tu veux juste jouer devant un public, ça ajoute un autre type de lieu. TROIS EXEMPLES Si tu veux te faire plaisir en montant sur scène, il s'agira plus de trouver des lieux permettant cela : scène ouverte, tremplin, concours de talents, bar avec scène. Il est peu probable que tu y gagnes quelque chose à part de la reconnaissance ou au chapeau, mais ça te permettra de te produire et de te faire la main. Tu peux viser un lieu avec table resto/bar, ou bien avec scène selon ce qui t'intéresse. Si tu veux te professionaliser ou gagner ta vie, je rejoins @Stéphane LETAILLEUR, le mariage, ou l'evenementiel en général reste ce qui rapporte le plus sur une base régulière... mais ce n'est pas forcement le plus excitant ou même un endroit ou tu pourras faire de la rune. Ce n'est pas impossible, mais c'est un domaine ou tu dois tenir compte des attentes clients. Après tout l'intérêt de ce cadre c'est d'apprendre le contact avec le public, et avec l'expérience on apprend à tourner un tour selon le contexte, mais aussi à se démarquer. Si tu veux développer un objet artistique, il faut trouver des occasions pour tester la bête, mais tu es le seul juge. Cela pet même rester un objet sur papier mais c'est le même paradoxe qu'avec les pièces de théatres écrites et jamais joués, certains auteurs en sont satisfait... comme les tours de magie, conceptuellement beau mais infaisable. C'est un peu comme quelqu'un qui prend des photos pour soi-même, aucun intérêt à les exposer si ce qui l'intéresse c'est de faire la plus belle photo selon ces critères. C'est ainsi qu'on découvre parfois des artistes posthume comme Viviane MAIER, de grande qualité, mais pour un qui trouve une gloire, des centaines restent dans l'ombre car ils ne sont pas à la mode, et que cela ne les intéresse pas. Bref je ne réponds pas à ta question...mais je pense que selon que tu fais ça pour l'argent ou pas, fais que tu démarchera ou pas le même type de salle, et surtout pas de la même manière. En bref je pense qu'il est aussi important de comprendre pourquoi on veut faire ce projet, que de le concevoir. LE SOSIE DE JOHNNY Un exemple que je trouve intéressant, et celui d'un chanteur qui tournait en Moselle et ne faisait que des reprises de Johnny HALLYDAY (pas de jugement!), il faisait un concert par an dans une grande salle, c'était à perte tous les ans, mais il se faisait plaisir avec ces musiciens. Chaque année, il essayait de faire plus grand avec plus de monde, même si le succés n'était pas là, c'était l'éclate. Ce n'était pas le but... même si de son propre aveu, le pire c'était la salle vide, par pour l'argent, mais parce qu'il avait envie de jouer devant un public. Bref je ne réponds toujours pas à ta question... mais c'est un principe de base sur VM!1 point
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Le VM Day Belgium le samedi 26 mars 2022. Pour les frittes et les moules pardi ! Bloquez la date car ça va être du lourd.1 point
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On passe de ce qui ressemble à une vieille grange à des décors totalement futuristes, splendides photos ! Ca me rappelle les cours de guitare de quand j'étais gamin lorsque je m'intéressais davantage à ce qui pouvait se cacher à l'intérieur de la caisse qu'à réviser mon Pete Seeger et mon Graeme Allwright...1 point
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Pour ce tour ce n'est pas nécessairement la taille des feuilles mais celle du gimmick posé au fond du calepin qui est important. A défaut d'utiliser le gimmick original j'ai pu trouver cela au rayon jouet de la foirfouille et le poser sur un calepin plus grand et facile à acheter dans le commerce.1 point
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Dommage que le spectateur ne puisse pas choisir la valeur de la carte . C'aurait été encore plus Quantum. Sinon, sérieusement, je crains qu'au niveau de la méthode, ce soit compliqué a exécuter sans les tatouages sur les bras.1 point
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Excellent ! j'avais complètement oublié cette référence, merci de la rappeler ! Merci de recadrer le débat dans cette recherche là! J'ai du dire quelque part par ici, il y a quelques années, que même George Berkeley (le plus extrême des idéalistes puisqu'il va jusqu'à nier l'existence de la matière) est, en fait, un philosophe... réaliste ! Berkeley reconnaît bel et bien une "réalité" extérieure à nos perceptions et indépendante de nos représentations et cette "réalité" (qui cause nos perceptions) , il l'appelle... Dieu !1 point
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Cet article aurait pu aller dans un autres sujet, sur les libertés par exemple, ou les "nouvelles" technologies, mais en fin de compte c'est intimement lié à la crise sanitaire concomitante à cette épidémie. https://www.lefigaro.fr/vox/societe/cyrille-dalmont-l-utilisation-des-qr-codes-constitue-un-basculement-civilisationnel-inquietant-pour-nos-democraties-202202041 point
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C'est marrant je viens de lire cette anecdote dans La découverte du ciel de Harry Mulisch. Bouquin touffu, plus de 1100 pages, avec quelques longueurs mais abordant plein de sujets, avec de jolis personnages, pas mal d'humour et des anecdotes de scientifiques ;)...1 point
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Je vois que j'ai listé à peu près 25 types de réalisme. J'en ai oublié un (essentiel !) : Réalisme fantastique1 point
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Du coup j'ai été regardé sur le Dictionnaire de Philosophie de Christian Godin (un de mes préférés) et il cite et explicite d'autres formes de réalisme encore : réalisme analytique, réalisme convergent, réalisme critique, réalisme empirique, réalisme essentialiste, réalisme intentionnel, réalisme intérieur, réalisme mathématique, réalisme modéré, réalisme mystique, réalisme platonicien, réalisme transcendantal, réalisme socialiste, réalisme transfiguré Ouf ! Même moi je peux aisément me reconnaître et adhérer à certaines formes de réalisme. C'est dire ! En fait (encore une fois !) c'est comme avec la question de Dieu : la question n'est pas de savoir si Dieu existe mais qu'est ce que Dieu ? ... La question n'est pas de savoir si la "réalité" existe mais qu'est ce que la "réalité" ? "L'idéalisme, rigoureusement développé conduit au réalisme". Ludwig Wittgenstein (et je rajouterais : et vice-versa ! )1 point
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« Le "saut quantique", l'arnaque à la mode des gourous du développement personnel » : https://www.marianne.net/societe/sciences-et-bioethique/le-saut-quantique-larnaque-a-la-mode-des-gourous-du-developpement-personnel1 point
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Bonjour Stéphane, Cartamundi propose ce type de cartes dans la série "Copag 310". Pour un jeu complet, je crois qu'il s'agit des "Copag 310 - Face off", sinon il existe un jeu contenant diverses cartes truquées ("Copag Gaff") contenant 4 cartes à dos bleu/faces blanches et 4 cartes à dos rouge/faces blanches.1 point
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Merci @Thierry SCHRR (Zarkanum) d'attirer mon attention sur un philosophe que je connais peu même si je l'avais évoqué, par ici, à propos des liens entre certains aspects de sa philosophie et le bouddhisme : J'en profite pour signaler un article wikipédia assez riche et intéressant que j'ai découvert depuis peu (on retrouve pas mal de choses que j'ai évoqué ici depuis 10 ans (je ne suis pas en train de dire que les auteurs ont pompé ce fil hein ! )) : Bouddhisme et philosophie occidentale Bon sinon... Effectivement... Il va me falloir un peu de temps de lecture, de relecture et de méditation pour rebondir sur l'article dont tu publies le lien, Thierry. Les conditions initiales de la perception chez Whitehead, les deux modes perceptifs, le rapport symbolique ou, encore, la conscience claire et distincte des relations “extensives” du monde ça m'a l'air un peu coton ! D'habitude, je réponds plutôt à des arguments de sens commun par ici. C'est bien ! ça me change un peu ! Peu de choses sur Whitehead en langue française, j'ai noté ça quand même : Rémy Lestienne mêle ici éléments biographiques et avancées intellectuelles, du logicisme vers une philosophie de la nature. Son livre constitue une introduction à une œuvre exigeante et singulière qui a inspiré scientifiques, philosophes et théologiens.1 point
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Au risque de passer pour un coupeur de cheveux en quatre, je ne peux pas laisser dire ça Il me semble que l'argument "nous pouvons le connaître donc il n'est pas indépendant de notre esprit" est un peu biaisé : bien qu'elle soit présentée comme une évidence, cette idée repose sur l'idée même que la connaissance repose sur nos perceptions. Or pour un réaliste métaphysique, ce concept n'est pas un pré-requis (mais je conçois que ta vision des choses si j'ose dire t'ait fait rater cet écueil) Pour ma part, je considère comme une évidence que le monde existe indépendamment de mon esprit et de mes perceptions : quand on range un objet dans une boîte, il ne cesse pas d'exister. Par conséquent, il me semble évident peu exister indépendamment de mon esprit (d'ailleurs, la réalité ne disparaît pas quand une personne meurt). Je pense que le fond de cette discussion se résume, en fin de compte, à une nuance simple : les réalistes appellent "réalité" les choses qui les entourent, alors que les idéalistes appellent "réalité" leur perception de ces choses. Alors, si les réalistes ne nient pas l'existence des perceptions, et si les idéalistes ne nient pas l'existence des choses (comme je l'ai cru longtemps dans ces pages), alors leurs points de vue ne sont pas si éloignés : c'est juste un problème d'homonymie1 point
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Je ne savais pas trop sur quel sujet poster ça... Ici ça me semble indiqué ! Niels Bohr, prix Nobel de physique, avait accroché, sur la porte d’entrée de sa fermette danoise, un fer à cheval. Un collègue lui rendant visite s’en étonne : - Pourquoi ce fer à cheval ? - Il paraît que ça porte bonheur - Comment ? Vous... Niels Bohr, l’un des plus grands scientifiques de ce siècle, vous croyez à ce genre de sornette ? - Bien sûr que non ! Je n’y crois pas ! - Vous me rassurez ! Mais pourquoi donc avez-vous accroché ce fer à cheval sur votre porte ? - Il paraît que ça marche même quand on y croit pas.1 point
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Cet exemple est plutôt mal choisi, car c'est exactement l'inverse qui s'est réellement produit ... Quand en 1869, le chimiste russe Mendeleïev présente une première version de son tableau périodique, certaines cases étaient vides, notamment les cases correspondant aux masses atomiques 45, 68, 70, 180. Il était convaincu qu'un jour on découvrirait des éléments qui combleraient ces cases, et réussit même à en prévoir les propriétés chimiques. Quelques années plus tard, la découverte du gallium, du scandium et du germanium ont confirmé sa prédiction. Ceci dit, il est également vrai qu'à d'autres moments, les physiciens ont été amenés à affiner la théorie de Mendeleïev pour intégrer la découverte de nouveaux éléments (le tableau périodique couramment utilisé de nos jours est celui remanié en 1944 par Seaborg, physicien américain qui a collaboré au projet Manhattan). Pour confirmer une hypothèse et faire évoluer une théorie, la science sollicite l'observation, le raisonnement, et l'expérience, le tout dans un contexte où la contradiction est toujours de mise (les controverses sont légions dans l'histoire des sciences) . Le charlatanisme (ou la religion) ne sollicite que la croyance et ne supporte pas la contradiction. Faut-il avoir des scrupules à l'encontre de gens qui n'en ont pas ? Bob1 point
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Chacun répond en fonction de ses critères d'exigences même si je partage avec le recul l'avis de James Brown qui est de dire que notre passion et ses secrets au final n'ont rien d'importants. Ce n'est pas du secret industriel ou ça n'a rien d'impactant dans le monde. Et non pas besoin de chambre des secrets pour ça sauf si c'est pour rattacher dans la question la demande à une liste de produits existants mais c'est un avis personnel. Il faut bien une chambre des secrets pour insérer une carte dans un citron. Pour insérer il suffit d'une grosse épingle à la bonne taille, au bon diamètre surtout correspondant à ce que l'on veut faire rentrer. Pour ce qui est de vendre il y a ceux qui achètent chez les vendeurs qui se font des marges en faisant de la repompe des idées et ceux qui achètent directement aux fournisseurs des matières premières ou aux créateurs qui vendent des kits pour faire les choses comme un grand.1 point
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On pourrait pas mettre ce genre de sujet en chambre des secrets où est normalement sa place ? Personnellement j'ai les réponses à tes questions et un site qui propose les a******* les plus puissants et petit du marché mais je ne partage pas ça sur un sujet en public donc tant pis.1 point
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La mine du compas ne doit pas être inséré complètement, mais juste suffisamment (2mm) pour faciliter l'insertion de l'A........ J'ai fais l'expérience et ça marche en vrai!1 point
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pourquoi vous dites tous : "les a***" alors que le titre du message est : "Marqueur magnétique". Juste pour comprendre hein1 point
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Bonsoir Christophe, Je possède The Informer qui fait parti de cette catégorie, il s'agit d'un gros feutre Velleda avec le truc dans la mine. As-tu trouvé le bon matériau pour faire le même effet ?1 point
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Inséré une pointe de compas dans la mine du feutre peut faciliter l'insertion d'un A.......1 point
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Je constate que mon précédent message n'a pas déchaîné les foules et j'en déduit que peu de personnes sont équipées du tour de Mark Mason. Il n'en demeure pas moins que l'idée de mettre un a**** dans une pointe de feutre est une pratique relativement courante pour des tas d'autres tours. Pour ma part j'ai trouvé que le feutre POSCA de référence PC-7M a les caractéristiques favorables pour supporter une modification de ce type. Sa pointe large permet la réalisation d'un trait de 4.5 à 5mm d'épaisseur ce qui autorise la dissimulation de ce fameux a*** (mine de rien il doit être relativement gros pour faire effet avec l'autre gimmick "récepteur". Demeure la question : quelle technique utiliser pour percer la pointe (une espèce de feutre très dense ? J'aurais tendance à utiliser une mini perceuse mais je souhaiterais savoir si l'un d'entre vous s'est déjà livré à cet exercice... en cas d'échec il n'est pas possible de changer cette pointe car elle n'est apparemment pas vendue au détail par POSCA. Merci par avance pour la réponse des bricoleurs de gimmicks qui se reconnaîtront dans ce message !1 point
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Dans la lignée de mon CR sur Metal du même auteur (et bientôt vous allez le voir de la même hauteur), l'anecdote est commune. J'avais vu la performance d'Eric Jones lorsqu'il était passé dans une émission spéciale de WorldmagicShop, et avais suivi avec intérêt la critique dans laquelle il avait eu notamment le Worker of the week pour cette nouvelle parution. Suite à ma rencontre avec le créateur à Magic Dream (eh ben on le saura qu'il l'a rencontré ! frimeur...), il m'a enchaîné les tours possibles avec cet artifice redoutable. A ce niveau là ce n'était plus du close-up, c'était carrément à bout-portant ! De très très près, j'ai vu les cartes fusionner, changer de couleur, voyager, se retourner... à vue ! Je l'ai donc acheté, en sachant qu'il y avait un truc. Première impression, sur le chemin du retour, je me demandais si je n'avais pas encore craqué pour un gimmick à la con qui allait prendre la poussière. Après tout l'effet est sympa, mais est ce que je m'en servirait ? Aaaaah, les muses de la publicité.... Eric Jones m'a assuré que ses gimmicks ne quittaient pas son jeu, et qu'il pouvait donc au choix présenter ce(s) tour(s) ou des tours ordinaires. Pas mal ! En étant un peu vicieux (et u) c'est même quasiment examinable... Il m'a également dit que si ça venait à se détériorer, il suffisait de lui renvoyer pour qu'il le refasse, avec simplement le coût des frais de port. Pour quelqu'un d'un peu manuel on s'en fiche, pour moi quelqu'un comme moi c'est important. Petit reproche, le DVD et ce qui l'accompagne (tout est fourni) est dans une pochette cartonnée, ça aurait mérité un boitier plastique. Tout est fourni, et sans donner le détail il s'agit de cartes - même la pochette plastique pour petit paquet est incluse histoire de pouvoir transporter et stocket en toute sécurité. Elles sont doublement gimmickées pour le bon fonctionnement du processus, mais encore une fois chuuuut, le(s) secret(s) fait partie du prix. 39€ chez Ludo ou MD, au passage. A noter que les miens sont des rois, mais apparemment ça peut varier d'un set à l'autre (j'ai vu des As et des Dames déjà). De prime abord j'avais peur que ça soit fragile, et finalement ça encaisse bien. M'enfin bon, ça reste des cartes, avis aux cartophages. La production est encore une fois irréprochable sur l'image, le son et la pédagogie. Petit bémol sur les menus "gigognes" pour lesquels j'ai mis un peu de temps à m'adapter. Pas besoin de 2 heure de DVD pour expliquer le fonctionnement, ni les routines. C'est facile, direct, percutant. Je dirais meme upper-cuttant ! Voici les routines qui sont décortiquées (dans le désordre) : - Twizted. On réinvente le twisting the aces, sans mouvement louche, à vue, de plusieurs façons et de plus en plus "organic" (diraient les engliches). Avantage : c'est une carte au milieu du petit paquet qui se retourne à chaque fois . Ca va crescendo, c'est admirable. C'est déjà très bon et ce n'est que la base... - Eclipe. Là on est au coeur du truc. 2 cartes seulement, une Eclipse temporaire, et hop elle se retourne. C'est vertical, direct, rapide. Inconvénient à mon sens d'Eclipse : toute la tension porte sur ce qui est truqué. Mais le boniment est sympa. Dur de dire si je m'en servirai. C'est déjà fort, mais le reste de l'arsenal laisse bien de quoi faire sans risquer de s'y brûler. - Twizted Grasshopper. Cette routine est reconnue à elle seule comme valant le prix du DVD. Une carte choisie, et un set de 4 cartes. On met la carte choisie FEB entre les rois noirs, par exemple. On referme le mini spread, on repose. A l'autre bout de la table on a les rois rouge, la carte a voyagé entre... à vue. Et pas de carte parasite dont il faut se débarrasser entre les rois noirs. Je n'aime pas trop utiliser des termes comme ça, mais là c'est une tuerie. - Sandwich With A Twizt. Contient "The Passless pass", un saut de coupe qui n'en est pas un, réalisable par un gamin de 7 ans, sous les yeux des spectateurs qui sont persuadés de voir leur carte perdue au milieu du jeu alors qu'elle attend bien sagement sur le dessus du paquet. Une révélation pour moi que ce mouvement ! Deux cartes sont mises de côté dès le début. La carte est choisie et perdue APRES que les deux cartes aient été écartées... et pourtant la sélection est en sandwich là bas, oui, oui, entre les deux cartes. Machialévique. La révélation finale est, de tout le DVD, le mouvement qui m'a demandé le plus de travail... j'ai bien dû la répéter une vingtaine de fois. C'est dire le niveau d'accessibilité. (A noter qu'il enseigne aussi à un moment le "Orion Count" de Doumergue, et que je n'y arrive pas - mais comme je le trouve louche je n'ai pas bcp essayé). - Extreme Twizt. Une carte face en bas est placée entre 2 autres cartes FEB. Elle se retourne à vue deux fois, puis son dos change de couleur. Il s'agit d'une adaptation angleproof de Paul Harris' Bizarre Twist. Le change de couleur à vue est très fort. Encore une fois toute la tension finit sur ce qui est innocent. Un régal de construction. Avec un peu d'imagination, Eric Jones m'avait également montré une carte qui voyage de entre deux cartes vers la boîte. Ca m'a rappelé Tool, avec justement ce que j'ai apprécié dans Tool (mais pas du tout le même concept). Encore une fois c'est "organic", pas de mouvement parasite, tout est à vue, pffff.... Ce que j'en pense : Est il besoin d'en rajouter ? Je pense que ma description en dit assez long. C'est réalisable au choix en magie verticale ou à une table, il n'y a pas d'angle (ou si peu qu'on sait les gérer), pour y arriver il suffit de savoir bouger le pouce (eh ben voilà, anatomiquement tu es capable de Twizter...), les cartes sont montrées de face, de dos, individuellement, peuvent se faire tourner sur les doigts ou en l'air, il n'y a pas de duplicata ou de carte dont il faut se débarrasser... Pour ceux qui pensent à un flap, oubliez. On est là dans un truc un peu plus saugrenu, qui est en plus omnidirectionnel. C'est à dire que la carte en sandwich n'est pas forcément alignée avec celles qui l'entourent, elle peut dépasser de n'importe quel côté, y compris en hauteur (c'est d'ailleurs conseillé pour parfaire l'illusion). C'est pas dur, promesse tenue : depuis que je l'ai, Twizted n'a pas quitté mon jeu habituel. Et je l'ai présenté à notre dernière réunion à Calix et Walloute, ils ont eu l'air de trouver ça très bien fait. On s'est ensuite amusés avec pendant un paquet de temps. Merci M. Jones ! C'est en plus le genre de choses qu'on peut transcender et sortir des routines expliquées, pour faire facilement sa sauce à soi, on n'est pas menotté aux routines de l'auteur. Moi, j'ai aimé.1 point
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