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Karl DELLIS

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Tout ce qui a été publié par Karl DELLIS

  1. J'ai commandé le roughing stick d’Harry Robson. Premier point : le produit semble laisser des traces (un léger dépôt) qui n'est plus visible le lendemain. Je me trompe ? Deuxième point : je trouve le résultat un peu "instable". Par exemple, j'ai traité une vingtaine de cartes pour tester un jeu "invisible". ça marche, mais régulièrement, lorsque je parcours les cartes à vitesse normale (et pas lentement), l'une ou l'autre carte est flashée car elle glisse alors qu'elle ne devrait pas. Il n'y a pas assez d'accroche. Pourtant je passe le stick convenablement en appuyant raisonnablement... Je vais vous sembler fainéant mais je ne suis pas bricoleur, et j'ai horreur de chipoter avec du carton, etc. Une des raisons pour lesquelles je n'utilisais pas de Roughing Spray. Donc, est-ce que quelqu'un aurait eu la (bonne, pour moi du moins) idée de créer un support-gabarit facilement nettoyable pour faciliter l'application du RF ? Genre un panneau où on peut fixer les cartes, sur lequel pourrait se fixer certains pochoirs, et qui pourrait être rincé à l'eau après...
  2. Je viens de voir. ça ressemble à une technique que je croyais être en train de mettre au point la méthode de LD de Martin Nash appiquée à 4 cartes. Un doigt retient la dernière, un doigt l'avant dernière... C'est effectivement une solution intéressante.
  3. Salut. Tu ne nous ferais pas une petite vidéo ? La référence est presqu'introuvable. PS : j'ai lu quelques techniques employées Armand Porcell dans une vieille revue de la presti. Un grand Monsieur !
  4. Pour être certain de bien comprendre. En quoi permettait-il une LD meilleure ou plus facile que du roughing classique ? Je ne désire pas te contredire, c'est juste pour comprendre. Puisque seule 1 carte sur deux doit être traité, je suppose que dans l'exemple que tu donnes d'une utilisation pour une LD avec une carte choisie librement et qui peut donc être non traitée, je suppose que l'on traite les faces. Et que la carte devra être placée en 2e position sous une carte traitée. Si on traitait les dos, il faudrait tous les traiter pour pouvoir faire une LD avec une carte librement choisie, non ?
  5. Et pour l'application ? Même procédé quel que soit le produit ? En en met juste au centre des cartes ? autrement ? Merci.
  6. Il y a différents postes un peu disparates sur le roughing. Mais, souvent, ça tourne autour de « comment avoir un produit moins cher ». En fait, je préfère payer plus cher un meilleur produit. Finalement, ce n’est qu’un consommable. Jusqu’ici, je n’ai quasiment jamais utilisé du roughing. Gamin, j’avais acheté « le rêve de l’imprimeur ». Le produit fonctionnait très bien. Mais, visiblement, il devait y avoir une question de « mâle-femelle » car le vendeur m’avait dit que cela marcherait moins bien si je perturbais l’ordre du jeu et que, si c’était le cas, je pouvais passer à la boutique pour qu’il le réorganise. Par la suite, plus tard, les quelques rares fois où j’ai acheté du roughing en spray pour traiter des cartes, j’ai été déçu : soit l’adhérence était trop fragile, soit trop forte. Et on pouvait sentir les cartes rugueuses. Si j’ai bien compris, le « roughing » n’est pas vraiment un produit particulier. Différents producteurs vont étiqueter comme du « roughing » différents produits qui ont comme caractéristique commune d’offrir une certaine adhérence (comme de la bombe à mater par exemple…). On peut donc avoir des produits différents, avec des propriétés différentes, qui nécessitent des procédés d’application et/ou de manipulation un peu différents. En fait, finalement, ce que je recherche c’est simplement le meilleur produit. Le plus sûr, le moins décelable. Le prix, je m’en fiche. Maintenant, si le producteur du roughing étiquette un produit du commerce, je préfère le savoir. Simplement pour pouvoir continuer à me fournir si ce producteur arrêtait de commercialiser son roughing auquel je me serais habitué Selon vous, quel est le meilleur produit ? Et pour ce produit existe-t-il des dvd ou ouvrage traitant de son application sur les cartes et de la manipulation de celle-ci après ?
  7. Bonsoir. Est-ce qu'il y aurait des références sur la question ? Je sais que cela semble simple. Mais à mon avis, cela ne l'est pas. Avec un jeu complet j'utilise la LD de Martin Nash qui est un véritable trésor et ne nécessite pas de break. Mais avec 4 cartes, je ne suis pas satisfait. Je ne suis pas convaincu non plus par les méthodes décrites dans les tours de petits paquets que l'on achète ici ou là : avec si peu de carte, la prise de break est toujours plus visible. Et il y a un problème de rythme. Souvent, les tours avec 3 ou 4 cartes doivent être assez cadencés, avec peu ou pas de temps faibles, une grande fluidité... tout ça laisse peu de temps pour faire la faire LD (break + LD) qu'on ferait avec un jeu complet. Le plus souvent, avec 4 cartes, on pense que c'est plus facile et on prend simplement le break au pouce droit, à l'arrière de cartes. Or, avec 4 cartes, à mon avis, c'est beaucoup plus visible et casse la cadence. Bref, je n'aime pas trop. Il y a-t-il eu des réflexions sur cela ?
  8. J'ai lu quelque part que pour allumer le papier de façon élégante, certains magiciens avaient recours à de petites lampes de poche assez fines. Ils cassaient l'ampoule. De ce fait, l'électrode était libre et en appuyant sur le bouton ils pouvaient allumer le papier. Mais les lampe de poche avec des ampoules n'existent quasiment plus. En outre, pour avoir de la gueule, il faudrait que la lampe soit très fine, assimilable à une baguette, et le bouton discret. Cela existe-t-il dans le commerce ? Une baguette contenant une pile et à l'extrémité une petite électrode permettant d'allumer le papier autrement qu'avec un briquet.
  9. Ce n’est pas exactement ce que je dis. Les procédés que nous utilisons en magie sont des techniques. Exactement comme les techniques de dessin, de danse, ou la façon de jouer d’un instrument de musique. Cela ne suffit pas à en faire une production artistique. Il faut quelque chose de plus pour en faire une production artistique. Fondamentalement, le magicien, lorsqu’il est un artiste, est un comédien. A ce titre, il peut bien sûr faire du divertissement en utilisant la technique magique dans un sketch où il fait rire. Mais il pourrait aussi émouvoir aux larmes. Ou produire un numéro poétique. Ou un numéro mystérieux… Ce n’est donc pas que l’aspect divertissement est plus important que l’aspect magique. Mais que la technique magique n’est pas une production artistique en elle-même, qu’il faut quelque chose de plus, quelque chose de fort variable et de peu définissable, pour faire une production artistique. Je pense également que même parmi les plus grands, peu arrivent à ce stade. Beaucoup de magiciens professionnels, renommés et respectables, en restent au stade de la sympathique démonstration de trucs. Ils le font très bien, ils sont doués, convainquant, efficaces, et nous étonnent. Mais on ne peut pas forcément dire qu’ils nous transportent dans un acte de comédie (dramatique ou humoristique, peu importe). J’adore Sylvain Mirouf. Mais de ce point de vue-là il y a un monde de différence entre un Mirouf et un Chelman chez qui l’histoire, le conte, l’ambiance enveloppe le tour. Tout comme, dans un style totalement différent, il y a un monde de différence entre Bernard Bilis et Eric Antoine chez qui la comédie humoristique enveloppe le tour… Il y a peu de noms à citer, car peu de magiciens (et même des meilleurs) font autre chose que « des trucs ». Mais, quand ils y arrivent la question du « comment ça marche » n’a plus aucun sens.
  10. Bonjour, Je viens d'acheter en occasion la première version de cette Houlette (un cadre en bois est suspendu à deux rubans). Donc, pas la version modifiée de Martin Lewis Le principe est simple. Mais son utilisation n'est pas si aisée. Or, le mode d'emploi est en allemand et effacé à certains endroits... J'aurais voulu le lire pour comprendre toutes les subtilités. Quelqu'un aurait-il un mode d'emploi en français ou en anglais ? Merci.
  11. Une autre réflexion : je pense de plus en plus que la magie, comme les autres arts, n'est fondamentalement pas faite pour être produite en famille ou auprès d'amis. D'abord, ce sont des conditions informelles produisant des comportements très informels que n'aurait pas un public d'étrangers. Ensuite, il est difficile de changer de personnalité (au niveau langage verbal et non verbal) en présence de la famille et d'amis. Or, la très grande majorité d'entre-nous ne faisons des tours qu'à nos proches. Il est alors difficile de produire une œuvre artistique et de ne pas être qu'un simple démonstrateurs de tours suscitant des réflexions comme "il y a un truc !"
  12. Il y a à mon sens 2 pistes pour éviter cette remarque : - Soit tu deviens un comédien qui fait de la magie. Tu crée un personnage, une ambiance, un thème. Il devient alors évident que la pièce que tu joues est plus importante que la technicité de ta magie. Un bon exemple est Eric Antoine. Après un de ses sketches, j'imagine mal que le "il y a un truc" soit prononcé par quelqu'un... Mais c’est très difficile. Il faut savoir être comédien, écrire ses pièces… - Soit éviter de se prendre, même sans le savoir, trop au sérieux. Beaucoup de magiciens peuvent donner l’impression d’affirmer être de véritables magiciens, d’affirmer que la carte a véritablement changé de couleur, qu’ils peuvent réellement réparer une corde coupée, qu'ils sont capables de faire des choses que le spectateur, lui, ne peut pas faire. Cela peut même devenir une démonstration de dextérité exceptionnelle. Or, ce genre d’attitude (volontaire ou involontaire) peut créer une forme de défiance du public. A mon sens, il vaut mieux dire que « nous sommes là pour jouer ensemble à créer des illusions ». Et si on te dit « il y a un truc… », répondre « Bien sûr que oui si non, ce serait trop facile ! ». Ou « Bien sûr, je suis membre du syndicat des marchands de rêves. Je vends du rêve éveillé ! ». Je crois que très souvent le problème est lié au fait que, même inconsciemment, nous nous comportons comme si nous affirmions avoir de véritables pouvoirs, même si ce n’est pas ce que nous voulons faire croire au public ! Je pense (avis personnelle) que cela provient du profil des magiciens. A mon sens, souvent, les gens qui pratiquent de la magie sont fondamentalement animés par le désir d’impressionner plutôt que de produire une œuvre artistique comme peuvent le faire les comédiens, les chanteurs, etc. Raison pour laquelle on voit souvent des questions du style « que faire si je n’ai pas mon jeu truqué et qu’on me demande de faire un tour qui le nécessite ? » « que faire si on me demande de recommencer un tour que je ne peux pas recommencer ? », et même « que faire si on me demande un tour que je ne sais pas faire ? ».
  13. Bonjour, Je voudrais acquérir une houlette au format jumbo. Il y en a plusieurs sur le marché à des prix très différents. Mes critères : - un format jumbo pour être visible en salon ou petite scène ; - les sorties multiples ne sont pas nécessaires ; - Absence de bruit - sûreté de fonctionnement - conception "propre" et si possible élégante En connaissez-vous une qui réponde à ses critères ? Si nécessaire, je commande à l'étranger. Merci.
  14. Je dirais oui. Depuis un certain nombre d'années certains mentalistes se réfèrent à des facultés psychologiques. Au fait d'être capable de profiler les gens, de lire leur langage non verbal, de les manipuler par la paroles... On pourrait résumer de la façon suivante : "Ils n'ont pas de pouvoir mais un peu quand même"...
  15. Karl DELLIS

    The Abyss

    Bonsoir. Je recherche en occase le book test abyss...
  16. Bonjour. Comment est relié le livre du Booktest Abyss ? Broché ou simple encollage ? Je pose la question car les feuilles des livres encollés peuvent facilement se défaire (surtout avec des mouvement d'effeuillage) alors que les livres brochés ne bougent pas. Bien à vous,
  17. Oui , Alain Guerat et Felipe Miguez ont créé un groupe pour créer des phrases différentes. Un plus du tour est le design. Si on faisait le tour avec des cartes classiques ce serait moins chouette parce que ça pourrait faire un peu genre Xième tour de cartes. Pour le format, à un moment, je me suis dit : "C'est con qu'ils n'ont pas fait les cartons encore plus grands". Mais, en fait, non. Car, les cartons sont plus grand que le format poker. Plus grands, les cartons seraient plus difficilement manipulables et mélangeables. C'est donc top top le bon format : bien visible en grand salon ou même sur de petites scènes. Mais réalisable également en close-up. Les cartes tiennent dans la poche d'une veste. Comme tu le dis c'est une rethématisation bien réussie. Également sur le plan pratique et esthétique.
  18. Bonjour. C'est un tour que j'ai découvert sur Magic Dream. En gros, deux sets de cartes identiques (représentant une rose, une tenue, un gâteau, un cadeau...) sont distribués à deux personnes (dans la présentation donnée, il s'agit de jeunes mariés). On épelle alors une phrase magique, lettre par lettre, en déplaçant à chaque fois par chaque lettre la carte de dessus en dessous. Mais attention : pour chaque lettre, le couple choisi si c'est monsieur ou madame qui épelle ! Malgré le libre choix, on aboutit à chaque dois sur la même carte chez les deux personnes ! Pas de manipulation. Pour moi, c'est un bon tour. Automatique, le format est supérieur au format poker, donc très visible. Le graphisme est assez joli et représente des symboles comme une rose, une tenue, un gâteau, un cadeau... De ce fait, bien qu'on utilise des "cartons", cela ne fait pas penser à un Xième tour de cartes ! A mon avis, on peut assez aisément adapter la méthode pour changer le thème (comme l'amitié, l’ésotérisme). J'achète peu de tours. C'est une très bonne surprise. Un tour passe partout, simple, et présentable un peu partout et dans toutes les conditions. Je vous le conseille vivement. Autre aspect à ne pas négliger : ça se passe entre les mains des spectateurs...
  19. C'est une des question abordée par l'école de Copenhague. Le "hasard quantique" serait même intrinsèque aux événements quantiques et ne serait pas dû aux instruments de mesures. Les "choses" ne serait pas déterminées avant qu'une mesure n'intervienne. Certains faisant une fonction entre "non déterminé" et "indéterminé". Indéterminée étant un terme plus fort : avant la mesure, il n'y a pas d'état. Il n'y a rien à savoir. Ce ne serait donc pas un manque de connaissance ou une incapacité à déterminer les choses. Mais bien une indétermination profonde. Tous les physiciens ne sont pas d'accord avec cela.
  20. Tout dépend de la définition du hasard. Si on connaissait : - le poids des boules du loto - leur rugosité - la vitesse de la machine mais aussi son accélération au départ et son cahotement - la position initiale des boules placées dans la sphère par le huissier (et donc l'état d'esprit de celui-ci) - la quantité de sueur laissée par celui-ci ... - etc, etc, etc, etc. On connaitrait à l'avance le résultat du tirage. Simplement, on ne peut connaitre la sommes des éléments nécessaires. D'où l'impossibilité de prévoir les résultat du loto. Il est même possible que la quantité d'information nécessaire à la détermination du résultat ne soit pas finie (puisque toute chose dépend d'une autre qu'il nous faudrait connaitre). Autrement dit le hasard ne s'oppose pas nécessairement au déterminisme. Le hasard peut se concevoir comme ce que nous ne pouvons prévoir rigoureusement.
  21. Oui. Mais il ne faut pas oublier certaines choses : - Cela reste un plateau TV (pas un bistrot ou un resto où certains clients peuvent être plus culottés ou éméchés); - La "cliente" est une artiste et a une certaine éducation. Elle connait bien la "chanson" ; - Le magicien n'est pas n'importe qui et avait déjà une longue expérience derrière lui. Je veux dire que même s'il arrive à s'en tirer, on sent quand même bien que le tour tombe à plat et qu'il y a une tension. Et cela alors même que le magicien en question est Bernard Bilis et qu'il preste sur un plateau TV devant des pros du métier de présentateur ou d'acteur... Cela donne une idée sur le fait que les choses peuvent parfois mal tourner. Il suffirait de changer un "ingrédient" : un magicien qui ne soit pas de la pointure de Bernard Bilis, un autre lieu qu'un plateau TV, un spectateur avec encore moins de contenance ou d'éducation ou simplement plus culotté...
  22. La version de B.R. est assez bonne, pas trop compliquée et, finalement, pas si éloignée que ça de certaines de méthodes utilisées par David Berglas. De même que celle de Boris Wild (même si c’est à mon avis plus compliquée que chez B.R.). Pourquoi sont-elles similaires alors que l’on qualifie le Berglas Effect de Graal ? A mon avis, il y a un problème pour réaliser le Berglas effect : Il n’y a pas une mais des méthodes employées par Berglas (un peu comme le tour impossible à expliquer). Parfois avec un jeu emprunté, parfois avec un chapelet (qui lui permet de couper à peu près sur la carte qu’il veut), etc. avec des effets plus ou moins nets en fonction des circonstances. 2 « problèmes » : - Les techniques qu’ils utilisent sont très variables, demandent une très haute réactivité, de la créativité instantanée, une mémoire visuelle flash, etc. etc. Ce n’est pas que ce soit techniquement difficile au sens habituel. Mais c’est irréalisable pour beaucoup de personnes même en s’entrainant. A nouveau il ne s’agit pas tellement de dextérité manuelle. Cela me fait penser à certaines techniques du Blitz et des Overblitz (je me suis demandé si Christian Chelman s'était inspiré de Berglas dans son approche). - Bien souvent, l’effet – selon les circonstances – ne correspondra pas au Saint Graal dont on a souvent parlé. Le Saint Graal, c’est dans le meilleur des cas. Selon ce que j’ai lu et compris, souvent et même si cela reste très efficace, il faudra retourner le jeu face en l’air, ou faire une coupe, ou que sais-je… Par exemple sur scène, au contraire de tours en petit comité, selon ce qui est décrit dans « The mind and magic of David Berglas » Berglas utilise volontiers un chap. et son habilité à couper à peu près où il veut pour avoir la carte où il veut. Ensuite, à cela, il ajoute d’autres techniques. Bref, on est loin des descriptions beaucoup plus pures de l’effet. Celle-ci sont réelles mais ne correspondent visiblement pas, loin s’en faut, à la plupart de cas. Il me semble donc que souvent, le Berglas effect sera réalisé dans des circonstances fort similaires à celle des ACAAN qui lui ont succédé. Par exemple à la méthode de Boris Wild qui repère la carte (mais il faut déjà un fameux entrainement pour le faire instantanément et invisiblement) avant de la culler (lisez bien les 3 derniers mots séparément)… Je suis en train de m’y essayer. Je songe à une variante : - avoir un jeu en chap. mar. - Demander à un spectateur de penser à une carte et de la nommer à haute voix. - Sortir le paquet, le garder face en bas ou vers les spectateurs. Donc, sans regarder les faces - Étant donné qu’on connait la pos. de la carte on peut tarot vers soi parcourir rapidement le jeu et le séparer où on veut en écartant les main : « votre carte est quelque part dans ce jeu ». - La carte étant placée en telle ou telle pos. On peut utiliser un cull ou une autre technique pour la produire au nombre voulu… Dans le même ordre d’idée, la version de Valarino (chap + formule pour déterminer certaines actions) serait, finalement, dans beaucoup de cas assez similaire au Berglas effect l'obligation d'être réactif et créatif en moins. Ensuite, bien sûr, le Berglas Effect est servi par le charisme, la présence, la prestance, l’habilité…de son auteur. C'est probablement pour cela qu'il est seul à faire ce qu'il fait comme il le fait en laissant une telle impression.
  23. Quand Bocuse faisais ses tartines, c'était de l'art. Quand ma copine cuisine et qu'elle carbonise le lard ce n'est pas de l'art...
  24. Bonjour. Il ne faut pas trop laisser le temps de réflexion. D'où l'utilité des allumettes comme il le dit. Et avec la présentation, ce que tu dis n'est pas perceptible. Il ne faut pas dire "on les garde", "on les supprime". Mais impossible d'en dire plus sans tout raconter.
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