Tableau d'honneur

L'image passée au rayon X. Perso je pencherai plutôt pour un enfant de quatre ans!!!

Ahhh, les classiques de la BD.

Georges je t'embauche comme communiquant de R-Digit !!! Pour information, Apple m'a appelé pour me remercier, car depuis la sortie, les ventes d'Iphone ont éxplosé...

Comme je l'ai déjà remarqué sur ce forum, si on ne prend pas mille pincettes pour dire quelque chose, certaines personnes prennent facilement les choses de travers. Donc une petite mise au point : comme le dit Christian, oui je suis tout à fait d'accord que Philippe présente des routines de qualité, propres, bien exécutées, sans bafouillage. Simplement, pour la routine présentée ici, je n'aime pas la technique utilisée au début pour montrer et poser les soi-disant As. Donc, affaire de goût, mais, et ce serait un autre débat : peut-on considérer qu'il y a des techniques meilleures que d'autres pour un sujet donné? Maintenant comme promis, j'ai fait ma petit recherche et j'ai retrouvé les vidéos dont j'avais un vague souvenir. Je précise tout de suite, car sinon on va à nouveau tout de suite me chercher la petite bête : - Ce sont des routines d'assemblage d'As qui sont complètement différentes de celle présentée par Philippe. - Je préfère le début, en ce qui concerne la présentation des As et la pose des As, qui me semblent plus convaincantes. Par contre, je ne sais pas si les méthodes utilisées pourraient être utilisées pour la routine de Philippe. Donc voici les 2 routines (je les ai vues sur des DVD donc je ne peux vous donner de lien où les regarder), qui sont de John Bannon : - "Four shadow aces" de son DVD "Bullet party". - "Iconoclastic aces" de son DVD "Bullets after dark".

Lorsque Christian a créé le sujet, je ne me suis pas senti à la hauteur de la réflexion que cela pouvait induire. En effet, le titre, "Le paradigme de l'art contemporain : Structures d'une révolution artistique, Nathalie Heinich", suivi d'une présentation laissant à entendre que le sujet allait être ardu ("[...] Nathalie Heinich proposait de considérer l’art contemporain comme un genre de l’art, différent de l’art moderne comme de l’art classique. Il s’agissait d’en bien marquer la spécificité - un jeu sur les frontières ontologiques de l’art - tout en accueillant la pluralité des définitions de l’art susceptibles de coexister.[...]) était intimidant en soi. C'est pourquoi je remercie l'ensemble des intervenants sur ce sujet qui ont réussi à vulgariser le propos de Nathalie Heinich permettant ainsi de le rendre accessible aux moins bien équipés d'entre nous. Ainsi lorsque l'auteur écrit "[...] « une structuration générale des conceptions admises à un moment du temps », un modèle inconscient qui formate le sens de la normalité [...]", elle voulait en fait parler de cela : Ce qui est effectivement plus clair; comme quoi un bon dessin... .

Très bonne chanson écrite par gainsbourg. Et oui la version du gisti est excellente. J'ai commencé la masterclass et c'est très bon.

Est-ce que l'iPhone est fourni avec l'application ?

Marrant que tu fasses pareil

Je comprends que pour ce début tu puisses préférer d’autres méthodes évidemment mais au regard des techniques utilisées on peut dire que Philippe Noël s’en sort haut la main. On peut par ailleurs aimer ou pas sa façon de présenter (affaire de goût) mais il est important de saluer la qualité de ce que Philippe présente dans les nombreuses vidéos qu’il soumet à notre regard. C’est propre, bien exécuté, et le texte est en phase avec les routines, sans bafouillage, sans hésitation verbale. Pour ma part je trouve plutôt claire cette présentation des as et le dépôt des cartes (toujours en gardant en tête qu’il s’agit d’un choix de techniques qui ont fait leurs preuves mais qu’il en existe d’autres bien sûr).

Bon obligé de la ressortir chaque année Mais perso, si je ne vais pas à Blackpool cette année, c'est pas bien grave. J'ai déjà tout sur place.

Du coup, on sait déjà quelles ne sont pas tes boutiques préférées, @Olivier HELMUS !

inscris les nombres sur des pièces ... lol !

« Les nains et les géants » ou « Une entropie de la connaissance » « Les Jours Noirs » d’Arturo de Ascanio est paru en France en 1997 (Édition Joker Deluxe) et j’ai eu depuis l’occasion de rencontrer plusieurs personnes m’ayant cité « cette fameuse phrase d’Ascanio » qu’ils avaient lue en page 96 de l’ouvrage. Comme cela arrive si souvent, leur mémoire avait réduit et déformé l’information originale exacte pour n’en conserver que le sens approximatif, tout en l’associant et la créditant par amalgame à l’auteur du livre lui-même. Ils n’en sont pas pour autant à blâmer car nous faisons tous exactement le même type de fausses références à longueurs de journée, tout d’abord simplement parce que la mémoire est quelque peu limitée et sélective, mais aussi parce qu’accéder aux véritables sources constitue un véritable travail d’investigation. Le goût de l’effort dans ce type de recherches étant malheureusement loin d’être répandu et les obstacles à surmonter nombreux pour ceux qui s’y risquent, cela entraîne ce que l’on pourrait appeler une véritable « entropie de la connaissance ». Pour lutter contre cette perte de l’information, cette dégradation de l’état des savoirs, il est nécessaire que des organismes (comme la S.I.A.M. le fait -de façon encore embryonnaire- dans le monde des arts magiques) puissent aider quiconque dans sa recherche de sources par l’intermédiaire d’un réseau d’experts, de bibliothèques, de banques de données ou tout autre système référentiel utile. Ceci est indispensable si l’on ne veut pas que se détériore la mémoire de l’art magique qui est un véritable trésor au sens le plus noble du terme. Pour ceux qui ne se sont pas encore rué sur la citation dont il est question au début de cet article, je la retranscris ici mot pour mot. « Je fais mienne cette pensée de Newton : J’ai pu voir plus loin que d’autres, Car j’ai pris appui sur les épaules de géants ». Effectivement, cette pensée révérencieuse est profonde, et elle semble encore magnifiée par l’illustre penseur qui en a la paternité, Sir Issac Newton lui-même ! Mais il conviendrait d’être prudent et se de référer au texte original car il n’est pas déraisonnable de supposer qu’Ascanio s’est servi d’une traduction en espagnol d’un texte anglais (ou peut-être latin ?), cette version d’Ascanio ayant été ensuite traduite à nouveau de l’espagnol au français pour l’édition chez Joker Deluxe (les lecteurs francophones peuvent d’ailleurs remercier Alain Midan et Laurent Vadel d’avoir effectué ce travail). Carlos Vaquera, élève d’Ascanio et auteur de la préface des Jours Noirs nous propose dans le numéro 29 d’Imagik (page 13) une autre version de cette réflexion : Comme disait Newton : « Je pouvais voir plus loin que les autres car j’étais perché sur les épaules de géants ! ». Il y a déjà là matière à écrire toute une étude comparative de ces deux versions, tant de nuances s’exprimant au travers de l’idée de base - par ailleurs implicite et bien là - mais habillée de façon différente. Aucune revue magique actuelle n’accorderait la moindre place pour publier une étude de la sorte, mais on peut brièvement observer dans la « version Ascanio » une mise en page du texte et une découpe qui lui confèrent une forme poétique (un vers) ce qui n’est pas le cas de la « version Vaquera » qui est plus une assertion de type langage courant ou parlé (…comme «disait » Newton…). On pourrait disserter et épiloguer sur la nette distinction qui existe entre le fait de « prendre appui » sur les épaules de géants où d’y être carrément « perché ». Mais mon objectif est principalement de montrer comment très vite apparaissent le flou et le sentiment désagréables de ne pas avoir accès à la source réelle, impression que j’appelle dans un jargon qui m’est propre « un lourd sentiment d’incomplétude ». Parmi les grands vulgarisateurs d’aujourd’hui de trouve un professeur de l’université de Harvard qui enseigne la géologie, la biologie et l’histoire des sciences. Chacun de ses recueils sur l’histoire naturelle est un best-seller tant ils sont stimulants pour l’esprit en renversant systématiquement de nombreuses idées reçues. Stephen Jay Gould, dont je ne peux que vous conseiller de dévorer la totalité des ouvrages afin d’exercer votre esprit critique et développer votre goût de remonter jusqu’aux sources premières, vous démontrera comment souvent il arrive qu’un document ou une source originale peut révéler des informations qui vont très exactement à l’opposé de ce que l’on croyait en connaître avant de les consulter. En Mai 2000, Gould publia aux éditions Seuil « Les quatre antilopes de l’Apocalypse ». Il est question au chapitre 7 des « redécouvertes qui ne se savent pas comme telles ». De nombreux magiciens qui me lisent comprennent là parfaitement de quoi il est question, et je ne peux m’empêcher de citer la suite tant elle s’applique à merveille à votre domaine artistique : « (…) cela concerne des cas où des personnes, tout à la joie d’avoir personnellement compris quelque chose de nouveau, pensent qu’elles viennent de deviner une vérité pour la toute première fois, alors qu’elle était déjà connue auparavant ». Ce qui va nous intéresser dans ce chapitre, c’est qu’il y est question d’un livre de Robert K. Merton «On The Shouldiers of the Giants » (« Sur les épaules des géants ») dont l’un des thèmes est « constitué par une recherche délicieusement baroque à travers l’histoire (…) » afin de retrouver l’origine d’une citation généralement attribuée à Isaac Newton (d’après une lettre qu’il a écrite à Robert Hooke) : « Si j’ai vu plus loin, c’est que je me suis tenu sur les épaules des géants ». Gould dit : « Comme le montre Merton, Newton n’avait pas prétendu en écrivant cette phrase, faire œuvre de créateur. Il avait simplement répété une formule généralement regardée comme faisant partie du domaine public, au point qu’il n’était pas nécessaire de lui adjoindre des guillemets ». Passons sur cette troisième ( !) formulation et essayons de tenir pied face à cette mise en abîme historique dans laquelle nous plonge cette seule recherche d’antériorité ! Je n’ai pas lu le livre de Merton, mais je sais que ce dernier est remonté jusqu’à 1126 pour retrouver l’origine de cette citation. J’ai eu cependant accès à la même source moyenâgeuse d’une façon totalement indirecte. Mon frère, qui consacre presque tous ses week-end depuis une trentaine d’années à la montagne, recueille systématiquement par écrit ses réflexions sur chacune de ses sorties. Également grand amateur de littérature devant l’éternel, il note régulièrement dans ses cahiers les pensées tirées au hasard de ses lectures ayant trait - de près ou de loin - à l’idée qu’il se fait de la montagne, de l’effort, et de sa philosophie de la vie. Dans le dernier recueil qu’il vient d’achever, j’ai eu la joie de découvrir ce qui me semble être la formulation la plus limpide de cette vieille citation. Je vais retranscrire ici mot pour mot cette version qui ne contient pas ce sens ambivalent que Gould appelle un peu ironiquement « une métaphore de la modestie… ou de la fausse modestie » ! (Relisez les autres ci-dessus pour constater qu’effectivement, elles cachent mal une véritable petite part d’orgueil dans leur forme tronquée). « Nous sommes comme des nains montés sur les épaules de géants, si bien que nous pouvons voir plus de choses qu’eux et plus loin qu’eux, non que notre vision soit plus perçante ou notre taille plus haute, mais parce que nous sommes transportés et élevés plus haut grâce à leur taille ». Bernard de Chartres (XIIème siècle) Mes remerciements à Fabienne Gambrelle qui a fait des recherches à la Bibliothèque Nationale sur Bernard de Chartres, ainsi qu’à mon frère Michel. Enfin, une pensée vraiment émue pour Stephen Jay Gould qui a disparu depuis peu, et qui me manque terriblement. Christian GIRARD

Je ne sais pas. En revanche il y a fort à parier qu’un texte que j’ai publié dans VM il y quelques années a fortement « inspiré » un auteur pour écrire une partie de la préface d’un livre quelques mois plus tard. j’avais vaguement exposé cela en fin de ce message Je t’enverrai des infos plus précises à titre privé.

C’est bien un mammouth invisible qu’on voit à gauche ?

A noter en sujet en Chambre des Secrets qui développe quelques idées intéressants à retrouver ici https://virtualmagie.com/forum/topic/84234-distancia-des-french-twins

Il est revenu le temps des cathédrales :

Allez; un peu d'humoir nour léger pour accompagner ce samedi:

Ah mince, on est coincés, là ! Il va falloir se mettre à la philo pour pouvoir être athée ? Je vous le dis tout de suite, vous pouvez me classer parmi les croyants. A partir de l'an 01 après Houellebecq, je crois en Dieu, au petit Jésus, aux anges et tout ça ! Au diable aussi, mais ça c'était déjà le cas avant.

Merci de m'inclure à la conversation ! (et... yep, c'est drôle. )

J'ai toujours pensé que la première femme au foyer avait été Jeanne d'Arc

Je devrais le recevoir lundi donc, cr pour mardi.

Je me demande si des fois, il ne vaut pas mieux ne pas donner d'indices

Difficile de donner le contexte, je peux éventuellement, par la négative, dire de quel contexte il ne s'agit pas... Le protagoniste qui formule cette phrase ne fait pas allusion à un jeu marqué. C'est déjà ça... Et bon, je suis particulièrement bien luné, c'est le début de l'année, il fait beau, alors je peux dire comme un 10, qu'il est question du marquage d'un stationnement...

Oui, j'avais le Spider Pen Pro et je préfère le X (au fait, c'est "x" ou "10" ?) Il est beaucoup mieux fini, les petits reproches faits au Pro ont disparu : bonne qualité, tout métallique, fente fonctionnelle et sans problème, capuchon revu et corrigé, embout tenant parfaitement (il suffit d'en presser légèrement l'extrémité entre deux doigts pour le resserrer de façon invisible, à volonté). Il y a bien la mise en pause de 45 secondes. J'ai agité légèrement le stylo et la pause a été annulée, ou bien en augmentant légèrement la tension du FI. Mais pas d'action de redémarrage sur le capuchon, c'est dommage. J'ai trouvé la gestion de la tension du FI plus performante, également : plus douce et mieux stabilisée. On peut s'éloigner et se rapprocher, l'objet en lévitation ne bouge pas, ne vibre pas. Sur le Pro également, difficile de dire si c'est plus parfait. Mais j'aime mieux utiliser le X (dissonance cognitive ?). Le FI casse en utilisation ? Au lieu de réparer, en une seconde c'est remplacé et prêt à l'emploi. La réparation aura lieu plus tard, au calme. Donc il est intéressant de commander plusieurs bobines de FI Mesika. Seule interrogation : je pense que l'on peut laisser la pile dans le stylo, si on ne s'en sert pas : le moteur s'arrête une fois le FI rétracté. Sauf en cas d'inutilisation longue, comme avec toute pile. Je ne regrette pas du tout mon achat, même si j'avais déjà le Pro.

Idem, précommandé depuis un petit moment puisque la sortie était initialement prévue avant Noël mais avec ce fichu virus...

Mind Power Deck (Version Bicycle) 22 € FDPI (neuf 45,00 € )

Pour tous ceux qui aiment l'univers du gambling, je ne peux que vous conseiller cette vidéo où Joshua Jay et Andy Gladwin ont pu découvrir l'antre, le "Gambling Museum" de Jason England. On y découvre, entre autres choses, une partie de son impressionnante collection dédiée aux ouvrages sur la triche.

Enfinnnnn ! Ce livre tant attendu est sorti aujourd’hui ! édite à 100 exemplaires ! Pas un de plus ! Les précommandes sont ouvertes , pour ma part j ai passé commande ... il a prit du temps à le préparer mais il est sorti. je vous le recommande ! Imaginez pouvoir révéler la date de naissance de votre participant de façon la plus pur qui soit en mentalisme… Pas de pré show Pas de peek Pas de double réalité Juste vous et le participant Basé sur un principe de calendrier perpétuel, mais sans calculs complexes. Retrouvez aussi l’origine du système avec le calendrier perpétuel. Vous recevrez un livre vous expliquant le système et comment interpréter l’aide mémoire. Vous recevrez aussi deux plaquettes aide mémoire (une plaquette de 12 pour CARMA System et une plaquette de 12 pour le calendrier perpétuel), celui-ci peut être collé sur un sharpie, le bord d’un porte bloc, un carnet ou autre, il peut être à la vue de tous car vous serez le seul à pouvoir l’interpréter. Cet aide mémoire se présente sous forme de code barre. Voici la préface de mon ami JM Maries-Cervier avec qui j’ai énormément partagé sur ce projet. Sans ses retours ce projet ne serait ce qu’il est aujourd’hui, notamment pour tous les moyens mnémotechniques et ses réflexions sur le système qui a permis de le rendre utilisable même sans l’avoir pratiqué depuis un moment. Je te remercie infiniment. Voici ses mots : Les formules dites « de calendrier perpétuel » m’ont toujours intéressé à deux titres. D’abord, parce que je suis curieux et que j’aime l’aspect ludique des maths (eh oui !). Et aussi, je pense que la capacité à savoir instantanément à quel jour de la semaine correspond une certaine date est tout à fait le genre de compétences que le public attribue naturellement à un mentaliste. Alors, je me suis plusieurs fois penché sur les formules qui existent, comme la plus classique qu’utilise entre autres Philippe Socrate, ou celle qui m’a le plus inspiré, « Doomsday » du mathématicien récemment disparu John H. Conway. J’avais même un temps exploré l’idée de faire l’inverse, c’est-à-dire d’utiliser le jour de la semaine où était né un spectateur pour en déduire sa date de naissance complète, mais je n’avais rien trouvé qui me semble utilisable, ni dans mes propres essais ni ailleurs. Alors quand Christian m’a parlé de son système, j’étais à la fois très curieux et, je l’avoue, dubitatif. Et puis… La première chose qui m’a frappé en lisant son manuscrit, c’est la masse d’informations captivantes qu’il est allé chercher pour les assembler dans son système ! Il y a du calendrier perpétuel, du Zodiaque, de « l’anagramme progressive » et j’en passe ! Chacun des éléments est un sujet à lui tout seul, et même quelqu’un qui ne voudra pas mettre en œuvre le système complet fera certainement des découvertes intéressantes qui lui donneront envie de creuser plus tel ou tel principe. La deuxième chose, c’était que Christian avait trouvé des façons de simplifier certaines étapes critiques, ce qui faisait de son système une méthode utilisable sans greffe d’un cerveau supplémentaire ! Par exemple, son adaptation d’un système de calendrier en fait le plus direct que j’ai rencontré. Certaines compétences méritent qu’on y mette les efforts nécessaires. Vous savez, ce qui fait qu’on va apprendre un ou deux chapelets, ou les dates du Zodiaque, ou une table de rappel de deux cents nombres… C’est un investissement en temps et en énergie, mais si on trouve que certains effets en valent la peine, si on estime que le rapport « impact de l’effet / difficulté » est acceptable, on le fait. Pour finir, je voudrais vous dire un mot de l’auteur. À une époque où tout le monde peut écrire un PDF, il est encore plus facile à une invention purement intellectuelle d’aller directement du clavier à la diffusion sans même passer par la case « phase d’essais ». Christian, lui, vous montre ce qu’il utilise professionnellement, dans sa pratique réelle (le pléonasme est voulu). Son style, aussi, me fait penser à celui d’un artisan, qui met les mains dans le cambouis, qui utilise des outils simples pour faire des choses solides. Quand vous l’aurez lu, relu, travaillé, assimilé, adapté, vous aurez sûrement des idées ou des questions. Je vous recommande de les soumettre à Christian ! Un réflexe naturel des créateurs est de recevoir avec suspicion toute insinuation que leur bébé pourrait être « amélioré ». Mais dans mes discussions avec l’architecte de CARMA à propos de son livre, j’ai tout de suite senti qu’il était au contraire ouvert aux suggestions (il en accepté plusieurs), même aux critiques, et prenait plaisir au partage. Vous le ressentirez vous-même dans les pages qui suivent. Bonne lecture ! Adishatz. Cervier Livre : Numéro : 1 à 100 Format fini 15.24 x 22.86 cm Couverture Papier Couché moderne brillant 2 faces 300 g/m² Impression Quadri recto/verso Finition : Pelliculage mat (CNum) R° Intérieur 96 pages Papier Couché moderne brillant 2 faces 135 g/m² Impression Quadri recto/verso Façonnage dos carré collé colle Planatol type PUR Poids théorique 246.99 gr l’exemplaire

Bonjour à tous, Je suis à la recherches d'effets pouvant évoquer le pickpocketisme sans en être... Explications. Je suis un feignant de 1ere (ou de terminale) et je n'ai pas du tout la force de me mettre à bosser les picks... (j'ai essayer, et j'ai du mal, c'est poussifs, et surtout j'ai pas les corones en presta pour le faire -j'ai aussi du mal à secouer un spectateur pour rien pendant 3mn pour essayer de lui taper une flic-flac) Donc j'ai envie de contourner le problème... Je fais cette routine depuis un moment: C'est très fort, et l'impact est bon... Auriez-vous des idées de routines qui pourraient surfer sur cette idée (pas nécessairement que des cartes... ) Biz les copains.

Du coup je l'ai regardée hier soir... La claque ! Le mec est incroyable. Une des plus grandes conf penguin (et j'en ai vu... Beaucoup !). Minimaliste, les effets sont costauds, les méthodes pas toujours applicables dans mon univers, mais les conseils sont justes dingues, la construction, le visuel... L'effet dont on parle ici est très très bon - même s'il ne répond pas à mes critères de travail - et les tips autour excellents (et Dan Harlan est également de bon conseil). Ça manque un peu de rire, même si y'a des vannes, si je devais faire une critique. Si votre niveau d'anglais vous le permet (ça ne fait que parler pendant plus de 3h et a un rythme soutenu) et que vous aimez le mentalisme (plutôt scène): foncez!!

Il parle également de la routine sur son Penguin Live

Y'a une ou deux routines utilisant des principes de pick pocket dans Cultural Exchanges (1 et 2) d'Apollo Robbins & Shoot Ogawa. Demandent un peu d'entraînement mais pas insurmontables.

Ceci dit le principe de la disparition de l'avion a été évoqué rapidement, on nous parle vaguement d'une maquette pour remplacer le vrai avion substitué sur des rails derrière une cloison escamotable, ce sont des explications bien succintes, elles apparaitraient presque abracadabrantesques. Mais bon, une telle série, dans le monde de la magie, doit forcément passer par le côté trucage pour réaliser des choses impossibles, créer une illusion.

Oui pour moi c'est plutôt

http://justabouttv.fr/actualites/la-serie-deception-debarque-prochainement-sur-tf1-sous-le-titre-cameron-black-lillusionniste/ "30 mai 2018 La série Deception débarque prochainement sur TF1 sous le titre "Cameron Black, l’illusionniste" : Nous vous parlions il y a quelques mois de la série Deception qui a été diffusée aux Etats-Unis sur le network ABC. Malheureusement, le show a été annulé au bout d’une seule saison. Cependant, la chaîne française TF1 en avait tout de même acheté les droits et diffusera prochainement les 13 épisodes de 42 minutes qui composent la série. Public francophone oblige, le titre a dû être repensé, le mot “deception” étant un faux-ami qui signifie “duperie”. La série s’appellera donc Cameron Black, l’illusionniste. Le show met en scène un célèbre magicien contraint de travailler avec le FBI s’il veut blanchir son nom. L’histoire est beaucoup plus complexe qu’elle n’y paraît mais afin de ne pas vous spoiler l’intrigue, nous ne nous étalerons pas davantage sur le synopsis. En revanche, vous pouvez lire notre avis sur le pilote rédigé lors du lancement de la série, écrit de manière à ne pas vous gâcher la surprise. Aucune date de diffusion n’a été communiquée pour le moment mais nous ne manquerons pas de vous informer dès qu’elle sera annoncée."

Après avoir maté les 3 premiers épisodes voilà ce que j'en pense : Le personnage de Cameron Black est assez intéressant et apporte un bon potentiel narratif grâce à son frère, à voir comment cela sera exploité par la suite. J'aime particulièrement que chaque épisodes se concentre sur un aspect particulier de la magie (Perspective, Escapologie, Divination ..) cependant ça suit toujours la même trame scénaristique (introduction - meurtre - histoire personnelle - tout semble perdu - plan magique - conclusion - ouverture). J'ai vraiment hâte de voir l'évolution du personnage par la suite en espérant quelques rebondissements et une trame qui nous tiendra jusqu'au bout de la série un peu comme ce cher John Le Rouge et notre charismatique Patrick Jane)

Je viens de regarder les 18 premières minutes (j'ai arrêté en cours). C'est trop gros je trouve, ce qui se passe avec le cadavre, avec l'avion.. (je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler). Là, j'y crois pas... Le super méchant illusionniste contre le gentil magicien... C'est effectivement dans le même genre que "The Mentalist", mais Simon Baker portait beaucoup plus la série que l'acteur principal de "Deception". Ce ne sera pas pour moi.

Tellement balaise qu'il est même capable de faire apparaître un accent sur un mot anglais afin de lui conférer un tout autre sens que celui d'origine : Quelle tromperie !

Voici deux dispositifs anciens mais de fabrication moderne permettant de "travailler" les cartes. - Le premier est un Card Punch, ou "Pegger". Ce dispositif est utilisé pour créer une marque sur la carte. Un petit relief en forme de point plus ou moins profond sur la surface de la carte, permettant de la détecter au toucher. Une vidéo du dispositif : - Le deuxième est un Stripper Jig, ou Card Trimmer. Ce dispositif permet de préparer les cartes pour en faire des cartes courtes, biseautés. Stripper deck ou N-Stripper (Negative Stripper) La carte est maintenue dans le dispositif, avec la profondeur de carte choisie qui dépasse. Et cette partie de carte qui dépasse est découpée avec une lame de rasoir. On enlève donc une fine lamelle de carte. Le réglage étant maintenu, on peut donc mettre dans le dispositif autant de cartes que l'on souhaite, qui auront toutes la profondeur de découpe choisie à partir du réglage. Une vidéo du dispositif : En fonction du travail sur la carte, il faudra reprendre les coins à l'aide d'un Card Corner Cutter. On peut également préparer des N-Stripper à l'aide de limes à ongles comme celles-ci. Ces deux dispositifs sont fabriqués par Eoin O'Hare. On parle de ce type de cartes sur Virtual : A noter que l'on trouve quelques rares ressources vidéos sur l'utilisation des N-Stripper. Il y a la vidéo de Jason England - SubRosa Et celle de Ben Train - The Myth On en parle également dans la conférence Penguin Live de John (Fast Jack) Farrell.

Vous connaissez ce jeu où il faut deviner le nombre de deux chiffres qui se cache sous la carte vue de dos. Ce que je vous propose : Le magicien présente les cartes au public de telle sorte que le nombre ne soit pas facile à trouver : 12-X-69-89-29-99-59 Puis un spectateur est invité à rejoindre le magicien (le spectateur aura alors une vue à 180° des mêmes cartes) et il pourra nommer alors le nombre caché : 65-66-67-68-69-X-71, soit X = 70. Alors que quelques secondes auparavant, il ne le pouvait pas.

Alors il faut essayer les cordes.

Aie ! Dure dure la vie d'artiste...

j'adore, merci. @Gérard Bakner :Est que tu connais l'origine de ce tour? Personnellement une idée de présentation au début du tour: j'empalme les sept cartes (en faisant attention à l’orientation), je donne le reste du jeu de cartes numérotées au spectateur pour les mélanger comme il le souhaite. En lui reprenant le paquet, je rajoute au dessus du jeu les cartes empalmées et je demande à un autre spectateur de distribuer les sept cartes sur la table par le dessus du paquet, les unes à coté de l'autre. Et je procède comme c'est expliqué dans l'effet. Cela évite les faux mélanges et supprime toutes idées de manipulation des cartes par le magicien.

Bien vu ! Il y a deux-trois trucs à voir pour la présentation, parce qu'il n'y a pour le moment pas d'effet pour le spectateur sur scène, il faut une justification à ce qui se passe, etc. Mais, oui, c'est une très bonne base de départ, simple et prometteuse ! J'applaudis l'idée ! Merci

+1 Merci à vous . On peut lire ceci dans les discussions sur cette page Wiki : À ce qu'il me semble (?), la page Wiki a été créée le 8 janvier 2009 soit 6 ans après mon propre article dans VM qui date de 2003. Je reviendrai ultérieurement vous faire part de quelques anecdotes relatives à ce texte que j'ai écrit. Pour ceux qui ne le savent pas, il a été augmenté et publié dans un ouvrage il y a quelques années mais je donnerai des détails à ce sujet dès que j'aurai plus de temps. C. G.