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Publié le (modifié)

Concernant la question "mains dans le sac" ou pas, voici mon grain de sel:

Le fait que les manipulations dans le sac durent un certain temps (ou un temps certain) réduit à mon avis l'effet en "mais comment a-t-elle faire pour reconnaitre l'orientation des cartes". Pour éviter cela, voici comment je ferais si j'avais la même personnalité que Pit Hartling:

Mélange complet et totalement chaotique par tout le monde, puis rassemblement des cartes à la vue de tous. Petite gorgée de jus d'orange, étalement des cartes et mémorisation instantanée du pattern.

Ensuite pour montrer qu'on a mémorisé le tout, on met le paquet dans le sac et quelques seconds plus tard on le ressort en ordre.

 

 

 

 

Modifié par JMB
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Publié le
il y a 8 minutes, Alx a dit :

Mais je suis comme @Moonlight (Thierry) (oui, je sais, moi aussi, ça me surprend ! :D) : je considère que j'ai droit au libre arbitre. Parfois, il faut donc savoir se poser la question : est-ce que la règle qui est valable dans le cas général ne peut pas être contournée dans ce cas particulier ?

Je suis parfaitement d'accord avec vous deux. J'essaie tout simplement à chaque fois que je veux m'écarter du bon chemin de vérifier qu'il n'y a pas de ravin que je n'ai pas vu ...

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Publié le
il y a 19 minutes, Moonlight (Thierry) a dit :

@Mankai Je n'ai jamais dit que le sac était forcément la meilleure méthode. Depuis que j'ai reçu le produit. J'ai même dit que la version sans sac est meilleure.

@TanMai (Aurélien), je pense que c'est à toi que cette réponse est destinée ;)

L'important, c'est que ça valide !

Publié le
Il y a 3 heures, Alx a dit :

Mais je suis comme @Moonlight (Thierry) (oui, je sais, moi aussi, ça me surprend ! :D) : je considère que j'ai droit au libre arbitre. Parfois, il faut donc savoir se poser la question : est-ce que la règle qui est valable dans le cas général ne peut pas être contournée dans ce cas particulier ?

Tout à fait. Raison pour laquelle je demandais il y a quelques pages "la motivation conduisant à utiliser le sac, si c'était purement un choix de présentation, alors ce serait intéressant d'en savoir plus sur la démarche théorique qui amène à ce choix surprenant". Dominique DUVIVIER est connu pour oser contourner ouvertement certaines règles fondamentales (imprimerie, lapping running gag, etc...), il est parfois critiqué pour ceci mais il le fait en connaissance de cause. On adhère ou pas, mais lorsqu'il le fait, sa réflexion mérite le détour. Malheureusement ici, vu les réponses faites, il semblerait que le choix du sac était dicté par une facilité technique. Donc bof.

Il y a 3 heures, JMB a dit :

voici comment je ferais si j'avais la même personnalité que Pit Hartling:

[...] on met le paquet dans le sac et quelques seconds plus tard on le ressort en ordre.

Ce type d'approche "à la manière de" est très stimulante pour trouver de nouvelles idées. Enfin perso j'adore réfléchir ainsi. :) 

Ceci dit (si je peux me humblement permettre ;) ), ton approche pose comme contrainte d'utiliser le sac au lieu de considérer le tour/propos. Au regard de son travail je pense que Pit HARTING est très attaché aux règles évoquées ici (notamment ne pas maniper en dissimulant ouvertement les mains). Du coup si je devais présenter ce tour à la manière de Pit HARTLING (moi aussi je veux jouer! ;) ), les mains resteraient constamment visibles, et à la place la vue serait obstruée à l'aide des mains d'un spectateur. La phase de "mémorisation" serait faite vue cachée, à l'aide d'un toucher soi-disant exceptionnel, phase présentée sous un angle humoristique (une soit-disant grande expertise tactile alors que les mains font à l'évidence de plus en plus n'importe quoi). Quelques mélanges en queue d'aronde sont effectués, puis soudain, "ça y est"... Les mains du spectateur sont retirées. A partir de là le magicien ne touche plus au jeu si ce n'est pour faire un étalement. Révélation.

Pour ceux qui ont CIB, une petite idée de variante: le jeu est (vraiment) mélangé, étalement, une carte est (vraiment) librement choisie, la carte est montrée (sauf au magicien) puis le jeu est confié au spectateur, il y perd sa carte, puis est invité à mélanger dans tous les sens. Le magicien récupère le jeu, bidouille bidouille, étalement, toutes les cartes sont dans le même sens à l'exception de la carte choisie. 

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We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le
Il y a 7 heures, Moonlight (Thierry) a dit :

Mais qu'est ce que je suis d'accord avec toi!!!! Parfois, on se sent moins seul....

Tout à fait d'accord.
C'est comme, il y a quelque temps, un magicien qui me critiquais parce que j'utilisais un superbe jeu de cartes, très luxueux. D'après lui, si c'est luxueux c'est dire aux spectateurs que le jeu est truqué. N'importe quoi, en plus le jeu n'était pas truqué du tout. Lui il préférait des vieux jeux de cartes tout pourris, pour faire plus vrai. À mon avis, on n'est pas obligé de faire clodo pour faire un tour. Bien au contraire, la magie c'est du rêve, pas du cauchemar.

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Citation
Quand on veut on peut.
Publié le (modifié)

Je me demandais si on pouvait se servir aussi de CIB pour séparer les 4 familles de cartes ?

Comme ce qui est décrit dans « 10 séances d’illusionnisme, du professeur Boscar, copyright 1928 »

(je ne donne pas le numéro de la page en public, pour ne pas gâcher le secret, mais ceux qui ont CIB sauront ou chercher…)

A noter que dans ce livre, on ne parle pas de carte face en l'air/face en bas, il y a donc une réelle nouveauté d'utilisation dans CIB!

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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