Tableau d'honneur
Popular Content
Showing content with the highest reputation on 06/17/18 partout
-
Il ne me semble pas avoir vu le sujet après plusieurs recherches, alors je vous le partage. Une nouvelle émission Netflix sur la Magie vient de sortir : the road trick. On y suit le magicien Adam Trent qui parcourt l'Europe et ses différentes capitales dans le but d’expérimenter l'impact de la magie sur les relations, les rencontres etc. Je regarde le premier épisode ce soir, je vous tiendrai au courant de mon ressenti. Bonne soirée !5 points
-
https://www.lesinrocks.com/2018/06/17/idees/rencontre-avec-alain-poussard-un-philosophe-magicien-111094136/2 points
-
2 points
-
Je me suis un peu entrainé en suivant vos conseils. Voilà ce que ça donne :2 points
-
Je vais me faire assassiner : j'ai eu l'impression d'assister à une émission de télé d'une autre époque, et Dieu sait que j'aime la télé et les programmes qui en ont fait les belles heures... :(2 points
-
Allez pour ceux qui n'ont pas encore accès... Je pense avoir une idée de comment il fait sans livre: (rien contre toi Jayce - dont je ne connais pas le travail - c'est juste pour rebondir sur la remarque de Calix qui n'a pas tout à fait tort )2 points
-
Comment France 2 ose-t-elle - sur ses ondes - célébrer en fanfare le PGCM, parler de ses audience records en France et autour du monde, laisser dire aux artistes qu'il n'y a aucune émission dans le monde équivalente et dans le même temps en réduire drastiquement le nombre d'émissions pour l'année à venir ? Où est la logique ? On marche littéralement sur la tête ! Moi hier, je n'ai pas vu une émission au bord de l'épuisement et sclérosée, j'ai vu un formidable spectacle avec des numéros originaux qui a fait décrocher la mâchoire à de nombreuses reprises à tous les spectateurs présents dans l'émission. France 2 cette année a préféré lâcher des millions à se refaire un logo minable, c'est ça la nouveauté à F2.2 points
-
2 points
-
Bonjour, Il existe beaucoup de variantes d'étalements Ascanio, et je n'en ai pas parlé dans mon ABC de la magie des cartes... Je vous conseille de vous tourner vers le cours de cartomagie moderne de Roberto Giobbi où il décrit minutieusement quelques variantes d'étalements Ascanio, et dans la revue Imagik, il y a un eu un numero "spécial Ascanio" où tous ses étalements sont particulièrement bien décrits. J'en utilise par contre à plusieurs reprises dans mon DVD Stratège, mais je ne détaille pas spécialement la technique, je montre brièvement la version que j'emploie pour les tours en questions. Concernant la carte générale, suite à une rencontre entre Ascanio et Bilis, ce dernier a monté cette routine reprenant l'intégralité des techniques que lui avait montré le maître, afin de n'en oublier aucune, ce que Bernard m'a confirmé. Le titre de la routine d'ailleurs devrait plutot être "everywhere and nowhere" (partout et nulle part) plutôt que "la carte générale", car un effet de carte générale consiste en ce qu'une carte en particulier prenne l'apparence successivement de plusieurs cartes choisies différentes. Il s'agit donc d'une carte qui se transforme plusieurs fois et non d'un carré dont chaque carte se transforme en une carte similaire. Bernard a d'ailleurs décrit recemment sa routine dans un livre offert au congressistes du congrès FFAP de Nancy en 2016, et il lui a donné pour titre "Les as magiques". Pour finir ce long message, la tenue de Bilis est par les grands côtes lors du remontrage des as puis dans la première transformation. Ensuite, par les petits côtés lors de la seconde transformation. Mon avis étant que d'un point de vue "effet", les tenues précises à ces moments n'ont pas une importance capitale. Tu fais donc comme tu sens le mieux...2 points
-
Je suis tombé sur un projet que j'ai trouvé original d'un jeu de carte dédié à l'hypnose de rue, avec des cartes pré-talk, inductions, suggestions... Je partage car beaucoup d'hypnotiseur de rue sont sur VM. Je ne connais pas la personne qui lance ce projet. Plus d'infos : Ici2 points
-
1 point
-
Bonsoir à tous. Je n'ai pour le moment par encore trouvé de références sur ce projet de jeu de cartes dans le forum. Voilà certainement de quoi éveiller l’intérêt de ceux qui comme moi sont passionnés de Rubik et de cartes. Le projet n'est encore qu'a un stade préliminaire et il est envisageable qu'il ne voie jamais le jour (le kickstarter était prévu pour le mois de Mai) Je trouve le design bien pensé (bien plus joli que le jeu Rubik's édité par Fantasma et dont je ferai une revue prochainement). Les dos sont différents et permettent donc une animation (un peu à la manière du Mechanic Deck de Mechanic Industries) et j'ai cru comprendre que ces cartes seraient marqués. Voici l'adresse de l'instagram du créateur: https://www.instagram.com/shuffeld/1 point
-
C'est un peu ça oui... Comme toi, comme beaucoup, je trouve ses présentations ennuyeuses au possible alors que Strong Magic est une lecture très importante pour acquérir un socle théorique solide. Sans doute le meilleur livre qui existe pour acquérir la base. Mais si tu as plusieurs années d'expérience et pas mal de lectures à ton actif, forcément il y a beaucoup de choses que tu sais déjà... Impossible de te dire ce que tu en retirerais, mais pour répondre à la question initiale: Darwin Ortiz est d'avantage un magicien qui se lit qu'il ne se regarde.1 point
-
J'ai assisté à une conférence de Darwin Ortiz. C'est vrai qu'il est soporifique et que ces techniques difficilement accessibles. Mais ces livres sont des bijoux !!!1 point
-
Tu es loin d'être le seul à penser ceci, Darwin Ortiz gagnerait beaucoup à lire les livres qu'il écrit.1 point
-
Suis-je le seul à trouver Darwin Ortiz soporifique ? Je n'ai jamais accrocher au personnage, ni à la longueur de ses routines de cartes... Pour cette raison, alors que je lis énormément de littérature magique et que j'apprécie particulièrement les oeuvres tournées sur la théorie (Books of Wonder, Magie Absolue, Scripting magic, The approach, Arc-en-ciel magique), je n'ai jamais acheté Strong Magic. Je n'arrive pas à me dire que je pourrais en tirer des leçons étant donné le peu d'accroche que j'ai avec ce magicien. Quand j'entends parler certains, je me demande si je ne passe pas à côté de quelque chose... J'aimerais la confirmation de quelqu'un qui n'apprécie pas la magie de Darwin Ortiz et qui aurait lu le livre, qu'il y a quand même une réflexion intéressante et réaliste de l'approche magique qui permet de créer autre chose que ses routines à rallonge... ?1 point
-
extrait de ma bio, hahaha : Souvent j’ai retrouvé Patrick Sébastien; il m’a souvent engagé dans ses émissions, notamment au « Plus Grand Cabaret du Monde ». La première fois, c’était en 1998 au Moulin Rouge. L’agence Monique Nakachian m’avait demandé de faire du « table à table », mais pas en close-up. J’imaginais donc des sketches que je pensais originaux. À la première table, j’engueulai Michel Drucker avec un mégaphone en lui conseillant « de fermer sa gueule » ; à la seconde table, je faisais apparaître sous un foulard une bouteille de champagne, en jetant la bouteille qui était sur la table par terre. Malheureusement, on ne voyait que l’ancienne bouteille qui volait en éclats, l’apparition de l’autre était coupée au montage... Pour la troisième table, la table de Jack Lang, j’avais imaginé une parodie sur « le magicien masqué » : caché derrière un masque de sex-shop, je faisais une fausse explication d’un truc. Malheureusement, ce fut aussi supprimé au montage, car au moment où Patrick annonce le magicien masqué, cette andouille de Jack Lang prend le micro et exécute un interminable speech contre ce magicien masqué. On a bien rigolé dans les coulisses, car après son speech, je sortis avec mon masque sm et mes godes... Cette mémorable séquence partit également dans la poubelle. Dommage ! Monique me dit : « Puisque ça s’appelle Le plus grand cabaret du monde, il n’y aura qu’une seule émission, car ils ont pris les meilleurs : Brachetti, Jeff Mc Bride, Rudy Coby, moi et quelques autres tombés dans l’oubli. Depuis, elle a révisé son jugement sur « les meilleurs », car actuellement nous en sommes à la 125ème émission!1 point
-
Merci les magicos, vos retours font vraiment plaisir à chaque fois.1 point
-
Bonjour, Me revoilà avec un des petites idées : Désolé pour l'angle de vue mais je ne peux pas faire mieux en ce moment... Je n'ai pas encore de boniments. Beaucoup de choses sur la techniques peuvent être améliorer comme garder les br***, ld mais j'aimerais plutôt me concentrer sur la construction du tour. J'ai finalement réduit le nombre de crevette à 3 pour le final en sandwich. Je ne vais pas laissé "mort", j'ai juste récupéré les cartes d'un autre tour... Mon problème se situe surtout à 2min 18, je dois enlever les crevettes du dessus du paquets de manière invisible et récupérer des cartes blanches. Je ne maîtrise pas le saut de coupe mais pour l'instant, c'est la seule technique qui me vient à l'esprit. Aussi, dans mon jeu, toutes les autres cartes sont blanches. Je pense pas que ça soit une bonne chose car le spectateur peut comprendre facilement la fin du tour. D'un autre coté, je ne me vois pas mélanger ces cartes avec des cartes classiques (2 de piques, 7 de trèfles…) Et quelques mouvements injustifiés...Bref encore du boulot1 point
-
Tu parles du documentaire, je pense ? Moi aussi j'ai été déçu par ce documentaire, bien qu'intéressant. Mais on voit qu'il a été fait à la va-vite avec les invités récents de la même émission. Ils n'ont pas cherché à faire un vrai travail de documentation sur l'ensemble des vingt ans. Le réalisateur s'est installé pendant une émission et a interviewé les artistes présent ce jour là sans plus.1 point
-
Ben oui, je trouve que dans la forme, sa réalisation, l'émission a bien mal vieilli, elle n'a pas su évoluer, c'était d'autant plus flagrant en revoyant les extraits des 20 années passées...1 point
-
Ceux qui croient en Dieu veulent surtout vivre après leur mort dans un paradis. La plupart se moque de Dieu, c'est leur confort poste-mortem qui les intéresse. Et pour cela ils sont près à obéir aveuglément - pendant leur vie sur Terre - à des rites écrits des centaines d'années en arrière.1 point
-
...Et qu'il subsiste une âme après la mort ne serait pas une preuve, non plus, que Dieu existe !1 point
-
J'ai de vrais pouvoirs c'est tout!!! c'est juste pour m'instruire pour pas me faire griller d'ailleurs mon contrat à las Vegas commence demain lol1 point
-
Imagines : Un athée meurt, sa conscience perdure et il voit "Dieu" (sous forme d'un vieux barbu sur son nuage ou sous forme d'une grande lumière blanche ou de quoi que ce soit d'autre). Alléluïa ! Il se rend compte qu'il s'est trompé toute sa vie. Il se dit : "Maintenant je sais que Dieu existe ! " Enfin !!! ... Mais en fait c'est juste une illusion dans sa conscience... Merde ! On est pas plus avancés !!! Conclusion : la vraie question est celle de la conscience et de ce qui apparait à cette conscience - la "réalité" quoi ! (et accessoirement la question de l'illusion aussi ! ).1 point
-
Les EMI ne permettent pas de dire si nous saurons si Dieu existe après notre mort. Les EMI nous indiquent qu’il y a peut être une vie après la mort. … ou pour être plus précis : qu'il semble que la conscience perdure après la mort. … ou pour être encore plus précis : que certaines personnes qui ont vécu un coma voire un état de mort clinique gardent des souvenirs de leur expérience (ce qui pose la question des souvenirs construits après un choc traumatique). En tout cas, certes, une conscience qui perdure après la mort est un préalable pour savoir si Dieu existe. En effet toute connaissance suppose une conscience et tout objet est objet de connaissance. Pour connaitre l’objet « Dieu » après notre mort, la conscience est donc nécessaire. Mais… Le même problème cartésien (au sens de René Descartes) se pose alors : Si la conscience perçoit un objet « Dieu » après la mort, qu’est ce qui me prouve que ce n’est pas une illusion ?... N'est-ce pas ma conscience qui est en train de me tromper ? … Et c’est reparti ! Pour les tibétains, après la mort il y a des bardos - des états intermédiaires - c’est à dire des états de conscience particuliers (sachant que cette vie-ci est considérée comme un bardo également par les tibétains (pas un fardeau, hein… j'ai bien dit un bardo !)). Donc aucune crainte, après la mort le rêve continue (avec Dieu ou pas).1 point
-
1 point
-
Pendant que les hébreux tournaient autour de la ville en faisant un bruit d'enfer, les sapeurs détruisaient les murs... Le bruit était une misdirection et couvrait le travail de sape. Plus simple, y a pas.1 point
-
Je suis sur la même ligne que Pererobert et vais donner un peu plus d'explications. Je ne parlerai ici que d'électronique, partie que je connais à travers mes études et des réalisations personnelles, sachant qu'un produit, quel qu'il soit, peut être l'association d'électronique et de mécanique (ressort, roue autour de laquelle s'enroule du fil, élastique, engrenage, etc.). Et alors la mécanique aura aussi sa part dans la qualité d'un produit. Dans l'électronique, j'inclurai les composants mécaniques tels que les interrupteurs, les connecteurs, etc. ou électro-mécaniques (relais) qui sont en général reliés par soudure aux cartes électroniques. Pour qu'un produit électronique soit fiable, il faut que les conditions suivantes soient respectées : - C1 : Choix de composants électroniques de qualité. - C2 : Conception correcte du produit. - C3 : Fabrication correcte du produit. - C4 : Logiciels éventuellement embarqués de qualité. - C5 : Test correct du produit. - C6 : Utilisation correcte du produit. Je détaille : - C1 : Choix des composants : Tous les composants électroniques ont une durée de vie. Celle-ci dépend de la nature des composants, de la qualité intrinsèque des composants, et de leur utilisation (voir détails de C2). Ainsi une diode ou un transistor auront une durée de vie quasiment infinie par rapport à un condensateur électrochimique qui est un des composants ayant la plus faible durée de vie. Mais dans les différents modèles de condensateurs électrochimiques, la durée de vie dépendra de la qualité de fabrication de ces différents modèles. Un exemple un peu plus facile à comprendre ; un interrupteur qui va servir à allumer une lampe. Dans la fiche technique de cet interrupteur, il va être indiqué le nombre de cycle marche/arrêt minimum pour lequel il est prévu. Par exemple, il va être indiqué 10000 cycles marche/arrêt pendant lesquels on est quasiment sûr que l'interrupteur va bien fonctionner; au-delà, cet interrupteur peut casser. Mais voilà, il y a des interrupteurs qui vont être donnés pour 10000 cycles et d'autres pour 1000000 cycles. Pour avoir une durée de vie la plus longue possible d'un produit, il faut donc choisir des composants de qualité ayant la durée de vie la plus longue possible, en épluchant les fiches techniques de ces composants. C'est ce que je fais quand je réalise moi-même un module électronique. Maintenant, pour des raisons d'obsolescence programmée, ou pour minimiser le coût de revient, ou tout simplement par manque de sérieux, de professionnalisme ou de connaissance, ce sont parfois des composants de faible qualité, de basse durée de vie, qui sont utilisés. C2 : Conception du produit : En supposant maintenant qu'on ait choisi des composants de qualité, encore faut-il les mettre en oeuvre correctement. Prenons l'exemple du transistor dont je disais ci-dessus qu'il a une durée de vie quasiment infinie. Un transistor dissipe une certaine quantité de chaleur, de puissance; or, il existe pour chaque transistor, une puissance maximale à ne pas dépasser. Si on va trop loin, le transistor risque de rendre l'âme. Il faut donc choisir le transistor adapté à la puissance à dissiper et/ou lui adjoindre un radiateur (petite plaque en métal qu'on va plaquer contre lui, pour évacuer la chaleur dissipée et donc diminuer la température interne de ce transistor). Mais si on adjoint un radiateur au transistor, il faudra peut-être aussi prévoir quelques trous d'aération dans le boîtier du module électronique le contenant, pour permettre à la chaleur de s'échapper à l'extérieur. Prenons aussi l'exemple des modules électroniques alimentés par piles ou accumulateurs. Au cours du temps, ces piles ou accumulateurs vont voir naturellement leur tension diminuer. Si le module n'a pas d'alimentation stabilisée (dispositif permettant d'avoir une tension stable en sortie, malgré les variations de la tension en entrée) en interne, ce module risque de ne plus fonctionner correctement si la tension a baissé, même de peu. Prenons l'exemple des lampes frontales alimentées par piles ou accumulateurs. Vous verrez clairement sur les sites des fabricants (sérieux), qu'il y a des lampes dont la luminosité va diminuer au cours du temps, et d'autres lampes qui vont garder une luminosité constante (celle avec alimentation stabilisée), même quand la tension des piles ou accumulateurs va baisser. Maintenant, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Evidemment, dans cet exemple, il y a toujours un moment où il faudra remplacer les piles. Il y a quand même une tension minimale en-dessous de laquelle le module ne pourra plus fonctionner, même avec une alimentation stabilisée. Mais avec une alimentation stabilisée, on garantit une qualité de fonctionnement plus longue. Dernier exemple, les composants électroniques sont donnés pour fonctionner dans une certaine plage de température, donc il faut les choisir, en fonction du milieu où ils vont être utilisés. Et puis il faut aussi penser à l'ergonomie du produit. Est-il facile, agréable à utiliser? C3 : Fabrication du module : Là il s'agit essentiellement de la qualité d'assemblage, de la qualité des soudures, qui doit être irréprochable. Si une soudure n'a pas été faite correctement, on peut avoir un contact, une liaison entre deux composants qui risquent de disparaître au cours du temps, suite à des vibrations ou des chocs par exemple, entraînant la panne du module. C4 : Logiciels embarqués : Ce sont de petits logiciels qui servent à programmer certains composants électroniques tels que les microcontrôleurs. Pour que ces logiciels soient fiables, il faut qu'ils aient été conçus correctement et testés correctement. Prenons un exemple simple. Supposons qu'il y ait un module avec deux boutons et une lampe à allumer ou éteindre et qu'il y ait un logiciel qui fasse le travail suivant : si j'appuie sur le bouton 1, j'allume la lampe, si j'appuie sur le bouton 2 j'éteins la lampe. Cela a l'air simple comme cela, mais il y a de petites choses à penser. Exemples : quand je branche une pile au départ, pour alimenter mon module, la lampe, elle doit être allumée ou éteinte? Si j'appuie sur les deux boutons à la fois, qu'est-ce qui se passe? Ces questions, c'est à la conception du logiciel qu'il faut se les poser. Ensuite, une fois la conception passée et le logiciel écrit, il faut tester les différents cas de figure : bouton 1 seul, bouton 2 seul, .... mais aussi les deux boutons en même temps. Et ça c'est du temps, ... et donc de l'argent. Donc il ne faut pas s'étonner, que vous ayez parfois des logiciels avec des "bugs". C5 : Test du produit. Il s'agit de tester le produit dans des conditions nominales, mais également dans des conditions plus poussées ( Le module fonctionne-t-il toujours après une chute? Le module fonctionne-t-il toujours à 35°C?). C6 : utilisation du produit : Je vais prendre deux exemples. Tout d'abord le cas des connecteurs pour port USB des disques durs externes pour PC. On a maintenant des connecteurs avec des contacts très fins. Il faut donc introduire ou extraire les câbles USB de ces connecteurs, tout droit et délicatement, au risque sinon de détériorer ces connecteurs. Autre exemple : il y a des composants électroniques qui permettent de détecter un champ magnétique. En gros, ce sont des composants qui vont indiquer s'il y a un aimant ou non face à eux. Mais voilà, leur fonctionnement dépend d'un certain nombre de paramètres : l'orientation de l'aimant (face ou perpendiculaire au composant), de la distance de l'aimant au composant, de la puissance ce l'aimant, etc. Donc si on prend un module qui est censé détecter la présence d'une pièce aimantée, et ben, il faudra peut-être que le module soit dans telle direction et à telle distance minimale, par rapport à la pièce, pour que la détection marche. Pour conclure : L'électronique est fiable si les conditions que j'ai énoncées plus haut sont respectées. Oui l'électronique est soumise à des sollicitations extérieures : température, vibrations, chocs, radiations, ... mais si les composants électroniques sont bien choisis, bien dimensionnés, bien assemblés, bien protégés, ce qui a un coût évidemment, ces sollicitations n'auront quasiment pas d'effet. Il est maintenant évident que les personnes qui n'ont pas les connaissances ou pas les moyens ou pas la volonté de faire les choses correctement, avec le temps nécessaire, ne produiront que des produits de piètre qualité. Mais ça s'est vrai dans tous les domaines, pas qu'en électronique.1 point
-
J'allais utiliser l'image de la maison....pas assez rapide. Je dirais juste,ou je préciserais qu'il ne t'aide pas à concevoir un tour mais à le rendre impossible, une légère différence. Et ÇA va t'aider à le concevoir... Une nuance importante. Par exemple : Il ne vas pas t'aider à écrire ta routine d'ambitieuse, mais il va te permettre à la rendre impossible !! Pour que les gens te disent :mais c'est pas possible, il a rien fait !!! Ce que j'aime c'est la simplicité de la description d'un effet ! Qu'est ce qu'un effet ?? Une fois que tu as compris ça, tu prends 10 level !!! Ps : Woody, les titres sont hyper bien choisir ! Y en a un,il permet de designer, l'autre de rendre strong !!1 point
-
C'est une excellent initiative de la part de Yves Doumergue d'avoir traduit ce livre. Au passage, et pour ceux qui ne connaissent pas, je vous recommande 'Strong Magic', du même auteur, traduit en français par Richard Vollmer, édité par Magic Dream en 2012. Je ne sais pas s'il est encore disponible.1 point
-
1 point
-
ce n'est pas l'équivalent en marque inférieure...c'est juste...autre chose...1 point
-
1 point
-
Suis vexé : Aucun artiste - en occurence moi hahaha - de "l'émission nr 1" a été convoqué pour un interview ou pour un replay ou tout simplement invité à assister au spectacle. Je connais le Sporting de Monte Carlo depuis 1998 (mon premier contrat la bas) jusqu'en juin 2017 (mon dernier contrat) et Patrick Sebastien depuis 1976 (cabaret "le port du Salut" 163 rue Saint Jaques....) otto émission Nr 1 avec Kris Kremo, Jeff Mc Bride, Rudi Coby, Dani Lary, moi, etc0 points
This leaderboard is set to Paris/GMT+01:00