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Publié le
Il y a 3 heures, Kristo a dit :

 

Ce n'est pas contradictoire. Tes schémas indiquent que le taux de CO2 était très haut il y a des centaines de millions d'années, il n'empêche que la dernière fois qu'il a été aussi haut que maintenant était il y a 3 à 5 millions d'années.

Voir aussi cet article du Monde :

Le taux de CO2 dans l'air au plus haut depuis plus de 2,5 millions d'années

 

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Pour retrouver de tels niveaux de gaz carbonique, il faut remonter à l'ère du pliocène, il y a 2,6 à 5,3 millions d'années. Les créatures les plus proches du genre humain qui arpentaient alors la surface de la Terre étaient les australopithèques. "Les températures moyennes globales étaient de trois à quatre degrés supérieures à celles d'aujourd'hui et d'environ dix degrés aux pôles" (...) Et le niveau de la mer, "supérieur de 5 m à 40 m au niveau actuel".

Le pb c'est surtout de savoir si effectivement un très faible taux de CO2 joue un rôle ou pas dans l'augmentation des T° du globe.

Par exemple à l'ordovicien, le taux de CO2 atmosphérique était d'environ 4 200 ppm soit
15 fois le niveau d'avant la révolution industrielle et pourtant la T° du globe n'était que d'en moyenne16 °C (contre 15°C actuellement).

On sait très bien que le taux actuel de CO2 est des plus bas à l'échelle des temps géologiques de la Terre (quand bien même si on prend en compte la très faible augmentation actuelle).

De plus - programme de T°S spécialité SVT - les archives climatiques nous disent qu'au cours du temps c'est toujours la T° qui augmente avant le taux de CO2 (et non l'inverse).

Melvin

Publié le

Je ne sais pas , Christian, si cette référence à cette dame qui fait de la communication intuitive avec les animaux, est ironique et moqueuse de ta part ?

En tout cas , je peux t'affirmer que la communication intuitive avec les animaux existe, et que nous avons tous cette possibilité là en nous, à condition de s'y exercer sérieusement, voir  de se faire enseigner la chose...

Luc JOHN : magicien, hypnotiseur, mentaliste, spectacles pour enfants (  magie, ventriloquie, marionnettes, clown , sculpture de ballons)

Site : www.magiest.com

Publié le

Mieux comprendre les animaux, savoir analyser leurs réactions, anticiper leurs réactions, déceler un problème, etc... je veux bien. Mais dire que l'on peut entrer en télépathie avec des animaux, pour moi, la barrière est franchie. C'est un mensonge. Dans un cadre artistique, je veux bien mais là, c'est comme les voyants : n'y croivent que ceux qui ont besoin d'y croire.

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L'illusionnisme est l'art de donner une réalité à des choses impossibles ou très peu probables.

Publié le
Il y a 9 heures, Luc John a dit :

Je ne sais pas , Christian, si cette référence à cette dame qui fait de la communication intuitive avec les animaux, est ironique et moqueuse de ta part ?

En tout cas , je peux t'affirmer que la communication intuitive avec les animaux existe, et que nous avons tous cette possibilité là en nous, à condition de s'y exercer sérieusement, voir  de se faire enseigner la chose...

Je n'ai le choix qu'entre "ironique" et "moqueuse" :crazy: ? En fait ma remarque est totalement neutre dans ces cas-là, je laisse chacun libre de ses points de vue pour ce qui concerne le "paranormal"  et je t'invite (sans la moindre once d'ironie ou de moquerie) à venir nous donner des infos précises et constructives à propos de "communication intuitive avec les animaux" dans le sujet sur la cause animale. Je t'assure que j'y ai déjà édité  ces dernières années des infos sur le sujet que tu soulèves (mais il faudra les trouver dans les 314 pages du sujet !) :

 

 

Publié le
Le ‎16‎/‎02‎/‎2018 à 11:58, bénocard a dit :

De chimie des polymères ? De physique simple ?

Ne sois pas de mauvaise foi, tes sources sont pourries, c'est tout xD

Vas-y, balance.

N'oublie pas, si c'est pas relu c'est comme si c'était pas écrit.

"Cependant, comme il sera montre ci-dessous, la théorie de l'effet de serre est déficiente a un point tel qu’elle ne peut être maintenue. Les erreurs concernent les méthodes de mesure pratiques et l’évaluation des résultats, ainsi que son arrière-plan théorique, même en ce qui concerne les propositions de base." :

https://www.omicsonline.org/open-access/the-refutation-of-the-climate-greenhouse-theory-and-a-proposal-for-ahopeful-alternative.pdf

Sur le calcul des T° des planètes du système solaire sans faire intervenir l'effet de serre comme c'est habituellement admis :

https://www.omicsonline.org/open-access/new-insights-on-the-physical-nature-of-the-atmospheric-greenhouse-effect-deduced-from-an-empirical-planetary-temperature-model.pdf

Melvin

Invité bénocard
Publié le
Il y a 1 heure, Melvin a dit :

Ca c'est ce qu'on appelle du "Predatory open access publishing". J'avoue que je découvre. Il s'agit en fait de payer pour être publié.

Citation

In academic publishing, predatory open-access publishing is an exploitative open-access publishing business model that involves charging publication fees to authors without providing the editorial and publishing services associated with legitimate journals (open access or not). The idea that they are "predatory" is based on the view that academics are tricked into publishing with them, though some authors may be aware that the journal is poor quality or even fraudulent.[a] New scholars from developing countries are said to be especially at risk of becoming victims of predatory practices.[2][3]

OMICS ça a l'air d'être des jolis cocos :

Citation

OMICS is widely regarded as a predatory publisher.[3][4][5][6][7][8] It has been subject to widespread criticism, notably by Jeffrey Beall, who included OMICS in his list of "potential, possible, or probable predatory" publishers. Among the criticism leveled at OMICS are that its journals are not actually peer-reviewed as advertised, often contain mistakes, and that its fees are excessive.[10] OMICS says that its activities are legitimate and ethical, and that the quality of its editorial control does need improvement.[4][11] Other criticisms of OMICS include the publication of pseudoscientific articles,[4] deceptive marketing practices,[10][7] targeting of young investigators or those in lower income regions,[7][8] holding papers hostage by disallowing their withdrawal (preventing them from being published by other journals).[14]

It has also been suggested that OMICS provides fake lists of scientists as journal editors to create the impression of scientific legitimacy, even though these are editors in name only and are not involved in the critique or editing process.[4] One such editor-in-chief was contacted by Science, where he stated that he had never handled any papers;[7] in an interview with The Hindu, another said he had not been informed of his purported editorship.[8] Other academics have said that OMICS published articles unaltered in spite of their request for revisions.[9] The company has also been slow to remove the names of editorial board members who requested to terminate their relationship with OMICS activities, in some cases taking almost two years.[11][9] One author received an invoice for US$2700 after her paper was accepted; this fee was not mentioned in the email message OMICS sent her to solicit a submission.[6] In 2012, while one OMICS journal rejected a paper after the reviewer noticed it was plagiarized from one of his own co-authored paper; another OMICS journal published the same paper later that year. When the reviewer again pointed this out, the paper was removed from OMICS' website in 2014 but no official retraction was posted.[15] In 2013, an OMICS journal accepted a bogus and obviously flawed publication submitted as part of a sting operation by Science.[16][17] As a result, some critics have asserted that the main purpose of the publisher is commercial rather than academic.[4][5]

In September 2014, Pubmed Central blacklisted OMICS journals, claiming serious concerns over OMICS' publishing practices.[7] In 2017, Scopus delisted several OMICS journals for "publication concerns".[18]

Ca vaut rien comme publi. En particulier : pas de comité de lecture.

Tu auras du mal à trouver quelque chose de solide. Si tu regardes l'entrée "effet de serre" dans Wikipedia, tu verras qu'il n'y a aucune controverse sur le sujet. Idem dans la version américaine. D'habitude ils le disent quand c'est controversé un tant soit peu.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_serre

Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, bénocard a dit :

Tu auras du mal à trouver quelque chose de solide.

Et toi as-tu trouvé quelque part le faisceau de preuves qui montre que c'est le CO2 qui est à l'origine du RC ? je les attends toujours aussi ! Elle devraient être accessibles facilement normalement, comme pour toute théorie scientifique.

Modifié par Melvin

Melvin

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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