Christian GIRARD

Joli.

Super, merci Melvin. Sujet connexe sur les moirés : http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/topics/320348/2

Non non ! Heureux d'avoir croisé à nouveau ton chemin à la conférence d'Éric Jones, j'espère qu'on aura l'occasion de se voir plus longuement. Pour ce qui est de cette vidéo, pour une fois il y une histoire cohérente avec le thème de la Carte contorsionniste et un début inhabituel, merci. Pour ma part, j'adore les effets topo-illogiques avec des cartes. À bientôt Paul Christian

Les relations auteurs-éditeurs se crispent. Publié le 12 mars 2012 dans LIVREShebdo.fr, extrait : La totalité de l'article ici : http://www.livreshebdo.fr/edition/actualites/les-relations-auteurs-editeurs-se-crispent/8239.aspx

Oui, je l'avais vu dans les liens connexes et donc écouté, très chouette.

Ça devrait vous plaire, quelques variations autour du thème principal du film Harry Potter, ça dépote ! : [video:youtube]

Fukushima, 11 mars 2011 : un an déjà...

Dans le cas du tour concerné par ce sujet, ça me semble au contraire inessentiel au possible ! La carte est montrée à tout le monde, même Kamel la connaît, aucune importance ne doit être donnée à cette carte qui doit passer comme quelconque, j'irais même jusqu'à dire que si Kamel nommait précisément cette carte dans la langue de l'invité comme tu le suggères (là c'est de l’anglais mais imagine une des langues swahilies, ou encore le wu si utile au Scrabble, ou le basque...), ce serait très douteux ! Il suffit de regarder comment se déroule le tour pour constater que ne pas nommer la carte en anglais n'a posé AUCUN problème dans le cadre imparti, pourquoi débattre d'un faux problème ? Bon, pour les "améliorations" potentielles (c'est le cœur de ce sujet), quelques premières idées : - Trouver un plot, une accroche de départ pour "motiver" l'action qui, là, se limite à "Je vais faire un tour de cartes". - Trouver un forçage plus pertinent (ou en tout cas mieux exécuté). - Faire en sorte qu'il n'y ait pas de contradiction entre les tailles des bouts de cartes (un quart de carte devient un coin coupé !, comme cela a déjà été souligné). - Motiver le fait de sortir une liste de courses (?!). Éviter la tenue douteuse de la main gauche qui est suspecte. De plus, le bas de la liste est visible lui (hum hum). - Motiver le fait de couper cette liste. (?) - Plus important encore pour la TV (cela n'a pas été relevé je crois), faire en sorte que les deux bouts coupés de la liste coïncident visuellement à la fin (regardez la vidéo, il semble que "ça déborde" mais je suppose que c'est juste un problème de parallaxe et/ou de perspective (mais bon, comme il est censé y avoir un gros plan de la caméra, c'est un point à ne pas négliger). - La boîte de céréales pourrait apparaître magiquement dans le sac en papier (Gaëtan Bloom a une très bonne solution pour montrer un sac vide avant une production, voir aussi Magicabrac de David Ethan pour montrer un étui vide). Pour moi, dans le cadre de l'émission (qui implique, un stress, une urgence, un timing, etc.), le contrat de Kamel est rempli mais oui, on peut toujours faire beaucoup mieux... surtout a posteriori et devant son écran d'ordi . En tout cas, il incarne le personnage d'un magicien jovial et il sait divertir les invités avec ses tours, assurément. Je retiens que Kamel prend vraiment son pied : "Je suis l'homme le plus heureux du monde" dit-il (je pense que tout magicien aurait eu le même plaisir à œuvrer devant "Harry Potter", non ?) et je note que Daniel Radcliffe s'exclame sans qu'on puisse douter de sa sincérité : "That's real magic ! " Ça me rappelle ce que disait Alain Chabat au sujet de Kamel : http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/ubb/showflat/Number/230802/Searchpage/1/Main/23363/Words/chabat/Search/true/Re_Television_Kamel_le_Magicie#Post230802

Hello XyGreg Pour info, il s'agit d'une technique pour élastiques d’Arthur Setterington. Le tour se momme Getaway et il se trouve dans The New Pentagram, vol. 2, n° 3, p. 22, mai 1970. Cette évasion au mouvement classique d’Arthur Setterington a été revue et magnifiée entre autres par Michael Ammar dans The Crazy Man's Hand Cuffs, p. 238 de The Magic of Michael Ammar, L&L Publishing 1991.

Pas vraiment une boule de voyante des temps modernes, plutôt un gadget, mais bon... Pour voir différents modèles, tapez (mais pas trop fort) "Lamp Touch Ampoule" dans Google Images. http://mycrazystuff.com/gadget-design/2199-lampe-touch-ampoule.html

S'il pouvait avoir des textes écrits par le même auteur ce serait encore mieux. Je crois que vous passez à côté de l'essentiel : ce sont justement les céréales qui leurrent. C'est d'ailleurs ce côté Scrunchy Magic qui fait rêver : Un mot rapide relatif aux interventions de Kamel, au risque de me répéter : j'ai regardé une quinzaine de vidéos disponibles sur le site de Canal+, j'ai trouvé la plupart de ses passages très sympathiques, et je n'ai pas l'impression que les invités n'aient pas pris du plaisir face à Kamel, ils semblent tous réellement enjoués. Bref, Kamel utilise des procédés magiques simples et joue ce rôle qui est aussi celui dévolu au magicien et que les détracteurs semblent oublier : il est un amuseur !, pas un créateur, pas un artiste révolutionnaire, pas un grand technicien : un amuseur ! Et il remplit très bien ce rôle-là au regard de la production qui l'emploie. Quant au fait qu'il ne parle pas (ou peu) anglais, ça me va très bien, j'aime bien la langue française (le problème étant que les détracteurs - encore eux ! - reprochent même à Kamel sa façon de parler français, on n'en sort pas... ). Ce que je trouverais plus problématique, ce serait qu'un magicien francophone parle en anglais à la télévision française, faut pas exagérer les gars !

http://mister-jacq.blogspot.com/2011_09_11_archive.html

Idée intéressante (je peux le dire désormais puisque j'ai vu le résultat). Merci Bruno. Et maintenant, une vue plongeante sur... : [video:youtube] ... une vue plongeante, disais-je, sur cet effet de Stanley Collins, qui a désormais un siècle ! L’élastique sauteur de Collins a été publié sous le titre A Trick with a Rubber Band en décembre 1911. D'autres effets avec des chouchous, un peu inhabituels (sans être mirobolants) ou des utilisations décalées : [video:youtube] [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=2jVD3XyPhq0#! [video:youtube] [video:youtube]

Élastiques à mémoire de forme, le film ! : [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=howa8pIC-Os

Le prix à payer pour aller au bout de son rêve ? Une animation vue 31 770 663 fois sur YouTube : [video:youtube]

Bon, je viens de recevoir le DVD, pas de bol, mon ordi ne le reconnaît pas (Ne me demandez pas pourquoi !, je n'en sais rien.) et le disque est rejeté, pas de lecture possible... (Bon petit test, je mets le DVD Ross Bertram's Legendary Magic, ça fonctionne impec'... Hum hum...)

Peut-être à la suite du message que j'ai édité dans le sujet Les Déchets en Ombres Chinoises ? Regard ici, Yann, j'y évoquais Lindsey Stirling : http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/ubb/showflat/Number/331065/Searchpage/1/Main/14347/Words/Lindsey/Search/true/Re_Illusions_d_Optique_Les_Dec#Post331065 Il y a effectivement un côté "décalé" (un peu) dans cette façon d'aborder le violon, pas musicalement, pas par une originalité d'une facture particulière de l'instrument, mais juste dans la façon de se mouvoir avec. Pour aller plus loin dans l'émotion (me semble-t-il), une séquence que j'ai toujours trouvée émouvante est celle-ci (Laurent Korcia interprète Les Valseuses de Stéphane Grappelli) : [video:youtube] "Il faut garder ça comme clip pour montrer au monde ce que c'est que l'amour" (dixit Guy Carlier à la fin de la vidéo). (Bon, ok, un amour qui s'est terminé au bout de sept ans, mais c'est une autre histoire). Quant à Laurent Korcia, notez ceci : "À 18 ans, il gagne le concours Paganini et le droit de jouer sur le violon du compositeur, à Gênes, pour un concert retransmis par la RAI. Il répète tout l’après-midi, escorté de deux carabiniers." http://www.vsd.fr/contenu-editorial/en-coulisses/cv-de-stars/1335-laurent-korcia "Il joue, depuis 2000, sur un Stradivarius, le Zahn datant de 1719" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Korcia Dans un autre genre, l'interaction entre l'Histoire et un musicien, Rostropovitch et la chute du mur de Berlin : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mstislav_Rostropovitch [video:youtube] De beaux témoignages ici, d'amour et d'amitié : [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3BWgIaskxPw (Les symboles sont multiples, c'est étrange de voir en la circonstance Rostropovitch jouer devant une image de Mickey...) C.G.

Très joli, bravo. (La photo nous montre un européen très porté sur la Gaule semble-t-il... )

Pôle Sud : Pôle Nord : Conclusion :

C'est aussi mon rêve, mon espoir... Le Monde semble actuellement guidé dirigé par des prédateurs de tous ordres.

(Message depuis GSM Il existe un sujet déjà ouvert sur le sujet)

Le mentaliste est louche ?

Bah, ce n'est pas exactement la même chose et d'autres y ont certainement pensé avant, t'inquiète ! Ton approche devrait stimuler positivement les neurones des lecteurs du bouquin. Petite touche par petite touche, la magie avance...

Hello David Tu écris une remarque très intéressante en page 98 de Magicabrac, relative à ce qu’un forçage PATEO permet de forcer la position (une coquille fait qu’il est écrit « positon » dans le livre ) d’une carte par exemple (et pas seulement la carte elle-même), tu ajoutes « Un exemple va tout de suite vous faire comprendre cette propriété à ma connaissance inexploitée, du forçage PATEO ». Juste pour info, j’avais utilisée cette propriété mais d’une façon différente de la tienne, lors d’une conférence à Paris en mai 2001, organisée par Joker Deluxe. Brièvement : 1/ Le magicien présente un élastique et lui fait prendre entre ses doigts différentes formes : triangle, carré, rectangle et losange. Pour le cercle, à l’évidence plus difficile à réaliser en mains, le magicien use d’un habile subterfuge : il entoure l’élastique autour du ballon d’un verre à pied, lui donnant ainsi la forme d’un cercle. Fin de la phase 1. 2/ Il s’agit de la version « élaborée » de ce tour (voir mes notes de conférence Faux-Semblants vol. 1 page 9 où est décrite succinctement la méthode expliquée plus en détail lors de la conférence). Cinq cartes blanches des deux côtés sont exposées, puis les cinq formes données précédemment à l’élastique sont dessinées au marqueur indélébile, une sur chaque carte. Les cartes sont retournées faces en bas et elles sont « brassées » sur la table. (Nota : le magicien doit juste connaître la carte où se trouve l’étoile, ce qui est assez facile puisqu’il « mélange » lui-même les cartes .) 3/ Il me fallait alors forcer la carte étoile, pour ce faire j’utilisais mon Forçage au pentacle virtuel conçu précédemment et qui figure dans ces mêmes notes et dans l’un des bulletins de Mindon Mania. Dans mes notes, j’écrivais « […] le seul impératif étant d’associer le chiffre 1 au dos de la carte étoile ». C’était là le « petit soucis ». En réalité, il est très facile de numéroter le dos des cinq cartes sans se poser de question puisque la suite (Le Pentacle virtuel) est en soi assez convaincante pour se suffire à elle-même, mais je voulais aller « plus loin » et donner l’impression de ne RIEN contrôler, pas même la numérotation. 4/ C’est alors que je procédais à un PATEO. Les cartes, au fur et à mesure de leur élimination, étaient alignées et, au final (car c’était le magicien qui pouvait choisir parmi les deux dernières cartes pointées par le spectateur ) il ne restait qu’une carte (l’étoile) qui était donc mise à l’extrême bout de la rangée. Les cartes alignées « aléatoirement » (c’est en partie vrai !) étaient ensuite numérotées de 1 à 5 dans le sens de la lecture pour le public, le 1 étant la carte étoile évidemment, seul impératif du forçage au Pentacle virtuel puisque le 1 en est « la cible ». Pour être clair, le PATEO permettait de définir une position (le début de la rangée dans cet exemple) qui était ensuite déterminante pour le second forçage. 5/ L’effet : suite à un protocole d’élimination propre au Pentacle virtuel, une seule carte reste face en bas parmi les cinq, il s’agit de l’étoile. Le magicien pose alors ses doigts sur l’élastique (ou fait exécuter ceci par un spectateur) et le fait descendre d’autour du ballon au pied du verre où instantanément il prend à vue la forme « choisie » par le spectateur, une étoile ! (Remarquez qu’à cette époque, presque personne ne connaissait les élastiques à mémoire ce qui rendait l’effet encore plus fort ). Voilà David. Tes trois idées relatives à ce que le forçage PATEO permet de forcer une position sont très chouettes , je renvoie les lecteurs à ton ouvrage. Dans ton cas, la position va concerner une prédiction (ce qui participe à l’effet), dans le mien c’était une étape permettant de rebondir sur un second forçage (ce qui participe de la méthode) mais le but était bien de forcer la position en plus de la valeur (une forme). Ta très bonne idée d'une double prédiction doit avoir des tas d'autres applications. Comme quoi il y a toujours des potentiels à explorer, je ne doute pas que le PATEO cache encore bien des surprises… Christian