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Pour ma part, j’aime bien faire :

Twisting the aces, version Vernon: peut se faire en impromptu dès lors qu’on a un jeu pas trop collant.

Twisting the aces parfait, un tour de Duvivier : l’intérêt est que l’on ne touche le paquet que du bout des doigts, et qu’il n’y a aucune manip.

J’aurais aimé continuer à faire “image subliminale” du même Duvivier, mais il ne l’a pas sorti en bicycle, dommage.

Par contre, je préfère presto printo à l’imprimerie :

Comme beaucoup d’autre, apparemment, cette carte verte me chagrine :

Non pas pour la couleur, mais pour la bordure blanche tout autour : si cela doit s’imprimer comme les faces, toute la carte devrait passer verte, non ?

Cela m’a interpelé dès la première fois où j’ai vu le tour…

Il y a aussi le problème de l’étui : déjà, les étuis évoluent, et ne sont plus compatibles…

Ensuite, j’ai vu beaucoup de gens présenter le tour comme DD en vidéo :

Un petit paquet sorti d’un étui presque vide.

Mais essayez donc de conserver un étui presque vide dans un état présentable, en condition réelle de transport !

Les étuis deviennent rapidement avachis et moches.

De plus, cela fait participer cet étui à CE tour : un lien que j’aimerai faire oublier.

Je préfère, dans bien des cas, sortir mes tours de petits paquets d’un jeu qui a servi antérieurement (un ajout sur temps faible est relativement facile à faire…)

Pour presto printo, par exemple, je préfère sortir un paquet entier de cartes blanche, faire examiner quelques cartes, pour montrer comme c’est fait (ou pas fait, vu que c’est blanc ;) ), puis reprendre les cartes, et en poser un petit nombre sur la table.

La carte d’impression aussi : je fais choisir une carte dans un paquet qui avait été utilisé avant, comme ça, on part d’une carte aléatoire, ce qui casse une explication autrement trop évidente.

Certes, l’imprimerie a un effet un peu cathartique, quand on se met à imprimer sur le tapis ou l’étui, ce qui veut dire, sur n’importe quoi…

Mais on peut avoir le même type d’effet avec les bavures et déformations de presto printo.

Sinon, dans le genre impromptu avec n’importe quel jeu de carte, même un mickey, j’ai "destinée" de l'excellent livre ALTITUDE par Stéphane Chenevière, un peu modifié pour convenir à ma petite tête…

Mais là aussi, c’est un tour de petit paquet ou l’on commence par prendre quelques cartes (normales, pour une fois) dans un jeu ordinaire.

En fait, je vois deux approches (au moins ;) ) pour ce type de tour :

-Soit on sort un petit paquet de la poche :

Ce sont donc des cartes TRES spéciales, et on explique au spectateur qu’il ne faut surtout pas les mélanger avec d’autres, pour X raisons :

Et justement, on va montrer à quel point elles sont spéciales.

Une dramatisation dans la sortie de ces cartes est alors facile, après tout, on va montrer un « objet magique »

J’utilise cela quand je sors des cartes d’aspect différent, genre des atouts de tarots.

-Soit on prend un petit paquet dans un jeu que le public a déjà utilisé avant :

Ce sont donc des cartes « ordinaires », implicitement, et on n’a donc pas de suspicion de trucage à priori :

La magie ne vient donc pas des cartes en elles même, mais d’autre chose.

Je ne distingue pas les présentations entre cartes ordinaires et cartes spéciales quand on les sort d’un paquet : Le fait que les cartes utilisées soit réellement normale ou pas ne concerne pas le spectateur, pour qui tout doit sembler normal dans les deux cas.

Ce n’est que de la mécanique de magicien, donc il ne devrait pas y avoir de différence entre ces deux cas, vu du spectateur…

Gilbus.

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Et bien je viens de découvrir Duplicity de John Bannon, ça devient mon tour de petit paquets favori, vraiment un superbe effet. 3 participation active du spectateur, 3 phases qui montent en intensité, une seule technique à employer, cartes examinables à la fin, bref du tout bon :)

  • 2 months plus tard...

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    • (Ou moins de 40000 personnes selon les estimations, mais ça fait quand même du monde.) Que dit ChatGPT à ce propos ? : « Le terme « hallucination collective » est souvent utilisé dans les récits populaires, les légendes urbaines ou la fiction, mais il n’a pas vraiment de fondement scientifique au sens strict. En psychologie et en neurosciences, une hallucination est une perception sans stimulus externe, générée par le cerveau d’une personne. Par nature, c’est un phénomène individuel : ton système sensoriel et ton cerveau créent cette expérience pour toi seul. Quand on parle d’« hallucination collective », on imagine plusieurs personnes voyant ou entendant exactement la même chose inexistante, de façon synchrone, comme si leurs cerveaux étaient reliés. Scientifiquement, ce n’est pas observé : il n’existe pas de mécanisme biologique connu qui ferait « diffuser » une hallucination d’un cerveau à l’autre en temps réel. En revanche, il y a des phénomènes qui peuvent ressembler à l’idée : Suggestion et influence sociale Si une personne convaincante décrit quelque chose (« Regardez, là-bas, un OVNI ! »), d’autres peuvent finir par croire l’avoir vu, surtout dans des contextes ambigus. Ce n’est pas une hallucination pure, mais une construction de mémoire et d’interprétation partagée. Biais de mémoire et reconstruction Avec le temps, un groupe peut « se souvenir » d’un événement de façon similaire, même si l’événement n’a pas eu lieu ou était très différent. C’est ce qu’on retrouve dans le faux souvenir collectif ou l’effet Mandela. Contexte physiologique ou environnemental commun Des facteurs comme le manque d’oxygène, certaines drogues, ou une privation sensorielle dans un groupe peuvent provoquer des hallucinations individuelles… qui se ressemblent parce que le contexte et les attentes sont communs. En résumé : Non : il n’y a pas d’hallucination véritablement partagée par transmission directe. Oui : il existe des illusions, faux souvenirs et perceptions influencées par le groupe qui peuvent donner l’impression d’une hallucination collective. Si tu veux, je peux aussi te donner des exemples documentés d’événements interprétés comme des hallucinations collectives, mais qui s’expliquent autrement. Les « apparitions » de Fatima (Portugal, 1917) Des dizaines de milliers de personnes disent avoir vu le « miracle du soleil » : l’astre aurait dansé dans le ciel, changé de couleur, etc. Explication possible : observation d’un phénomène optique (parhélie, halo solaire) + effets physiologiques d’un regard prolongé vers le soleil + attente religieuse intense amplifiant la perception et la mémoire. […] »
    • Pas depuis la Terre mais, en effet, depuis Mu Arae (à 49,8 années lumière), tu n'existes pas puisque tu n'es pas encore né selon ce qui peut s'observer depuis là-bas....
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