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Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

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Publié le
Il y a 8 heures, Sébastien a dit :

Si ça vaut le coup, 

Le marquage est assez évident. 

Ça vaut le coup si tu utilises Mnemonica, ne le connais pas par cœur, et n'as pas envie de te prendre la tête avec du Letraset.
 

Circulez !

Publié le

Avec cette histoire d'articles concernant les jeux marqués, je me suis pris au jeux; du coup : 

- j'ai un peu laissé tomber le jeu de BW (j'en garde néanmoins un souvenir ému xD)

- j'ai essayé et complètement écarté le "Brooklyn Deck" (je n'ai pas les yeux de Super Jaimie),

- J'ai essayé et retenu le jeu de Rick Lax (pas cher du tout et blindé de partout; si tu vois rien, tu peux acheter directement un chien sans passer par l'ophtalmo).

- J'ai essayé le jeu de GT, le meilleur selon moi : visible comme le nez au milieu de la figure mais pourtant resistant à un examen (sommaire) classique.

- J'ai essayé le DMC; bon ben non seulement l'un de mes spectateurs m'a dit qu'il faisait mal aux yeux (sic) mais en plus le design est tellement "différent" qu'il en deviendrait presque suspect (même si le marquage est complètement indétectable et pourtant visible de loin). Ceci dit, je continue à l'utiliser de temps en temps. Ah et oui, il est cher.

- J'ai essayé le jeu de Jean-Charles Briand, RAS. A utiliser sans crainte, comme on le ferait avec un UMD ou un BW, c'est à dire avec un minimum de gestion des spectateurs (et encore).

- J'ai essayé l'UMD, pareil que le jeu de Jean-Charles; bon jeu (même si certains ont évoqué une qualité de carte un peu en dessous).

My2Cents

W.

  • Merci 4
Publié le
il y a 12 minutes, Woody a dit :

Avec cette histoire d'articles concernant les jeux marqués, je me suis pris au jeux; du coup : 

- j'ai un peu laissé tomber le jeu de BW (j'en garde néanmoins un souvenir ému xD)

- j'ai essayé et complètement écarté le "Brooklyn Deck" (je n'ai pas les yeux de Super Jaimie),

- J'ai essayé et retenu le jeu de Rick Lax (pas cher du tout et blindé de partout; si tu vois rien, tu peux acheter directement un chien sans passer par l'ophtalmo).

- J'ai essayé le jeu de GT, le meilleur selon moi : visible comme le nez au milieu de la figure mais pourtant resistant à un examen (sommaire) classique.

- J'ai essayé le DMC; bon ben non seulement l'un de mes spectateurs m'a dit qu'il faisait mal aux yeux (sic) mais en plus le design est tellement "différent" qu'il en deviendrait presque suspect (même si le marquage est complètement indétectable et pourtant visible de loin). Ceci dit, je continue à l'utiliser de temps en temps. Ah et oui, il est cher.

- J'ai essayé le jeu de Jean-Charles Briand, RAS. A utiliser sans crainte, comme on le ferait avec un UMD ou un BW, c'est à dire avec un minimum de gestion des spectateurs (et encore).

- J'ai essayé l'UMD, pareil que le jeu de Jean-Charles; bon jeu (même si certains ont évoqué une qualité de carte un peu en dessous).

My2Cents

W.

Ton message est aussi informatif que drôle.

1005.jpg.d21078ec1568c41a0b6ef31c52636b41.jpg

 

 

  • J'aime 1
  • Merci 1
Publié le
il y a 5 minutes, Woody a dit :

Informatif et drôle; c'est tout moi, ça xD .

C’est marrant : tu nous apprends un truc, là ! 😄

L'important, c'est que ça valide !

  • 1 month plus tard...
Publié le

Salut,

je fais remonter le sujet, je suis amateur et j'ai acheté l'ultimate. J'ai du faire des tours a une 10e de personnes.

2 adultes et 1 enfant ont inspecté longuement le dos des cartes sans succès lors de soirées.

je me suis acheté les maiden et le marquage est moins évident mais j'ai eu qu'une inspection, ça me fait moins peur que les ultimates vu que c'est pas en direct, je mets encore du temps a les identifier en entier, je fais que des tours autour des familles plutot que la carte exacte.

Pour en revenir aux ultimates, j'ai une bonne vue mais j'ai un peu peur de m'aventurer dans des endroits pas supers éclairés genre bars et autres, des retours d'expériences ?

insta: @jesuismagicien

Publié le (modifié)

Disons que passé 45 ans j'ai eu un peu de mal avec l'ultimate dans certaines conditions d'éclairage et je déteste mettre mes lunettes pour faire de la magie 😀 Si tu as une bonne vue et avec un peu d'habitude cela devrait bien le faire, le plus simple essaie de lire sans faire de tour dans une salle peu éclairée et tu auras ta réponse.

Pour bien utiliser un jeu marqué, je te conseille de faire toutes des routines avec (même celles qui ne nécessitent pas de marquage), de manière à ce que tu oublies que le jeu est marqué et que tes mouvements deviennent fluides et naturels sans différence avec un jeu normal.

Ce n'est pas si évident que cela de bien utiliser un jeu marqué, il faut travailler pour que ton regard soit le plus discret et rapide possible.

Si tu as ce naturel et une bonne présentation tu ne devrais avoir aucune demande d'inspection.

Modifié par darlone
  • J'aime 2

www.dedales-hypnose.fr

  • 1 month plus tard...
Publié le

Bonjour,

je reviens sur le sujet des cartes marquées.

Au final avec mes yeux de 42 ans sans lunettes, je n'ai pas de soucis malgré des lumières difficiles et autres.

Je rappelle que je fais des tours entre amis, soirées... j'en ai fait des tas, mon jeu s'abime et j'essaye de le prolonger vu le prix.

j'ai malgré tout eu des inspections, même si certains passent pas loin, le marquage est mis a un endroit stratégique au final, je touche du bois et cela fonctionne.

J'ai aussi acheté le jeu maiden back avec son marquage moins directe mais plus gros, je pense qu'il collerait plus a des personnes qui ont des difficultés a voir. Perso a presque 2 mètres j'arrive a voir le marquage si bonne lumière. Par contre je suis sur a 100% qu'un contrôle de la carte ne donnera rien, pas de frayeurs comme sur un UMD.

 

insta: @jesuismagicien

  • 2 weeks plus tard...

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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