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Mankai EZZEDINE

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Tout ce qui a été publié par Mankai EZZEDINE

  1. Ce n'ai pas l'objectif, car tout simplement, je souhaite gagner un autre effet sur un mot existant déjà sans cache. En gros, je fait une première transformation d'un mot (ou apparition) en supprimant un cache, puis dans la foulée, je fais apparaitre un autre mot hybride (ou muté) du dernier mot en effaçant une partie des lettre qui le composent.
  2. Grace à la magie le monde est petit : Après le bac, j’avais étudié deux ans dans la faculté de Physique et Chimie de Tunis, ma passion pour la magie n’était pratiquée que pendant les vacances scolaires, et encore quand je le pouvais car la magie pour ma famille n’était pas un vrai métier. Surtout que mon père était boulanger, le vrai métier pour lui c’était de l’aider dans la boulangerie. Quand je dis l’aider, c’était de prendre le service à 5 heures du matin jusqu’à environ 22 heures, heure à la quelle il n’y avait plus de client. Constatant que le milieu universitaire était trop perturbé par les grèves étudiantes incessantes, je m’étais inscrit à la faculté de médecine de Rouen. Une journée avant le voyage pour la France, pendant que je bossais à vendre le pain dans la boulangerie, vers les coups de 20 heures un animateur de jeunesse local est venu me voir en urgence car, il y avait un spectacle d’animation qui s’était annulé à la dernière minute pour des enfants français (colonie de vacances) venus passer les vacances à Hammamet. Après hésitation, je me suis fait remplacer dans la boulangerie, et j’avais assuré un spectacle (bénévolement en plus). Le jour suivant (le 16 septembre 1983), j’avais pris l’avion et rejoint la Cité Universitaire du Bois à Mont Saint Aignan (Rouen). Mais le problème, était que la chambre universitaire était juste pour dépanner une période de deux jours, le temps de chercher et de trouver un logement permanent. Au dernier jour, je n’avais pas trouvé de logement, j’avais redonné la clé de la chambre et j’étais avec ma valise dans la cours de la cité universitaire, ne savant pas où habiter. C’était à ce moment là qu’un miracle s’était produit : Un petit garçon s’était approché de moi, et m’avait dis : « Monsieur, monsieur, vous n’êtes pas le magicien qui nous a fait le spectacle de magie en Tunisie ? ». j’avais appris alors que : les enfants de la colonie de vacances à qui j’avais fait le spectacle étaient originaires de la ville de Rouen. Hé bien figurez vous que cet enfant, était le fils du Directeur Régional Du Crous En Normandie. Le petit garçon m’avait présenté le jour même à son père, qui a eu la gentillesse de m’aider à trouver une chambre universitaire. Le monde était vraiment petit où c’était le pur hasard ???
  3. Une petite anecdote avec le magicien Kassagi qui était tunisien d'origine, il m'avait été présenté par mon frère à Hammamet en Tunisie en juin 1981, je venais juste d'avoir mon Bac, c'était l'époque où Kassagi était entrain de mettre au point sont projet de méga complexe pour les arts et le jeu à Hammamet (qui malheureusement s'était soldé par un échec et ruine). En discutant avec lui il m'avait posé la question si je voulais vraiment faire de la magie comme métier, je lui ai répondu que je voulais d'abord finir mes études. Puis il m'a posé une autre question si je croyait ou pas en Dieu, j'avais répondu que oui. Il m'a viré de sa table car il était vraiment athée car s'était pas son cas apparement. Quelques jour plu-tard, je l'avais revu au centre ville de Hammamet il était accompagné de son épouse. J'étais sur une mobylette, étant encore jeune, j'avais un look mal rasé, un jean délavé et déchiré (la mode actuelle). Kassagi était tout le contraire un homme très élégant, il m' avait alors conseillé de me raser et de mettre un autre pantalon: il m'avait textuellement dit: tu es très beau, ne gâche pas ta beauté avec cet accoutrement.
  4. Ma première expérience avec l’hypnose: Dans le collège/Lycée Du Bardo à Tunis, où j’étais pensionnaire en 1974, un magicien Tunisien du nom de « Dortus » avait fait une représentation dans la salle des fêtes. Un spectacle de magie générale avec des tours de passe-passe dans une première partie. Ce qui m’avait marqué avec ce magicien, c’est qu’il utilisait les croyances des autochtones de la magie noire. Dans ses gestes et mimiques, il appuyait les effets de ses tours. Il avait un visage figé d’un parkinsonien, une exophtalmie bilatérale ce qui rendait son spectacle vraiment impressionnant malgré la simplicité de ses tours. Ce comportement sur scène avait un but important lors de la seconde partie de son spectacle qui était : l’hypnose. En effet pendant toute la première partie, le magicien était pris non pas comme un artiste, mais comme un faiseur de miracle et donc, il avait déjà préparé toute une partie du public à être sensible à l’hypnose. Il faisait une première sélection générale dans la salle en suggérant à chacun des spectateurs que leurs doigts des deux mains se sont soudés, ou que leurs bouches restent ouvertes avec une impossibilité de la fermer. Les spectateurs les plus sensibles montent sur scène. Il fait une deuxième sélection pour choisir les plus hypnotisables en les attirant en avant de loin. Celui qui chute, les pieds joints, sans réaction de défense pour parer la chute sera un des acteurs du reste de la présentation du magicien. Son show consistait à faire jouer les scènes classiques qu’on peut suggérer à un sujet pendant le show de l’hypnose. Comme, j’étais passionné par cet art, et pour percer de près les secrets de l’hypnose, j’ai joué le jeu pour être sélectionné lors du premier test, j’avais simulé que mes doigts s’étaient soudés. Lors du second test collectif (on était 7 ou 8 spectateurs) de la suggestion de la chute en avant, j’étais le seul à avoir résisté. Par professionnalisme, Dortus m’avait pris à part, pour faire son expérience en individuel. Il s’était placé devant moi, on était tous les deux de profil par rapport au public. Son visage à environ une vingtaine de centimètres (avec ses yeux exorbitants). La main droite avec les doigts écartés était latéralement surélevée mais restée dans mon champ de vision. La main gauche était en arrière de mon cou et apparemment à distance. Dortus , avait fait une deuxième tentative pour m’attirer en avant qui n’ avait pas marché. Pour faire réussir son expérience : avec un des doigtes caché par rapport au public et en appuyant en arrière de ma nuque, il me poussait vers l’avant jusqu’à ce que je perde l’équilibre. Comme le public a vu que je tombais, ils ont applaudit la performance du magicien. Dans la chute le magicien m’avait bien-sur réceptionné, il avait profité de ce moment en me chuchotant de jouer le jeu. J’avais accepté sa demande. J’ai découverts à ce moment la notion de compère dans la magie. Le thème de la scène d’hypnose, que j’ai simulé était la suivante : Au premier rang parmi les spectateurs il y avait entre autres un surveillant (pion) du pensionnat qui était particulièrement sévère avec les élèves. Il faut rappeler que dans les années 70 la discipline scolaire était bien appliquée : les retenus et les baffes aux élèves étaient monnaies courantes, les punitions étaient approuvées avec la bénédiction des parents. Dortus m’avait ordonné de dormir, c’est que j’avais fait : simuler l’état hypnose. Il m’avait montré du doigt, notre surveillant, et m’avait suggéré que cette personne avait fait du mal à mon frère et que ne devais pas laisser passer cette situation sans répondre. Dans mon état de « pseudo-hypnose », je ne me suis pas démonté, je me suis lâché pour sortir les insultes les plus dures. Le plus amusant, vous ne pouvez pas savoir le bien que cela m’avait fait à époque. Le magicien m’avait réveillé, j’ai fait celui qui ne se rappelait de rien. Je ne vous décris pas l’état de la salle des fêtes avec tous les élèves qui dans un chahut général applaudissaient ces insultes « immunisées » de toutes sanctions.
  5. @Maxence MURA : Excellent. Merci je vais essayer d’intégrer cette idée dans l'une des applications.
  6. Par contre le revers de la médaille, cette passion était la cause majeure de mes deux divorces (lol).
  7. Comment je suis devenu « MAGICIEN ». Dans mon enfance dans les années début 70, je vivais à l’époque en Tunisie. Dans cette période hormis la grosse radio qui occupait à elle seule tout un coin de la salle, tous les médias n’existaient pas encore du moins comme la télévision était dans quelques rares foyers, avec une seule chaîne diffusant de 19 heures à 22 heures maximums. Pour téléphoner, il fallait passer par une opératrice postale qui branchait la ligne avec un l’interlocuteur. Rassurer vous, ce n’était pas non plus l’époque des cavernes. Tous ce vide social et intellectuel était à l’époque encore occupé par les charlatans sous plusieurs déguisements, voyants, guérisseurs,… : les uns utilisaient des textes divins, dérivés de la religion pour accomplir des miracles, d’autres dans des temples appelés Marabout donnant des offrandes sous une atmosphère rituelle. Marabout, Lieu dans lequel est enterré un « Saint » à qui on fait des offrandes pour guérir une maladie grave, ou pour donner de la fertilité et avoir des enfants mâles, pour une célibataire de trouver un mari de « bonne famille ». Dans ma ville natale Hammamet en Tunisie, le Marabout Sidi Bouhdid : Le Saint Protecteur des pécheurs et des attaques maritimes, comme le célèbre Barberousse, ou les Maltais… Ce lieu s’est transformé en « Café-maure » touristique très réputé où l’on vient surtout pour admirer le coucher du soleil avec thé à la menthe. Ci-joint une vidéo que j’avais réalisée du lieu en question : A cette époque et pendant mon enfance, ce qui m’a le plus marqué ce sont les Voyantes ambulantes habillée en bédouine qui rodaient dans les rues de la ville en criant d’une voix aigue et chevrotante : « TAKEZA, TAKEzaaaa… » (Voyante). Ces femmes avaient une logorrhée et un bagout débitants répondant et résolvant avec miracle, tous les malheurs de leurs clients en détresse. Elles avaient comme instrument non pas une boule de cristal, mais un morceau de plomb (récupéré dans les vieilles tuyauteries). Ce dernier est chauffé et liquéfié dans une petite casserole, puis jeté dans un récipient contenant de l’eau froide. Le plomb en se solidifiant instantanément, prend une forme solide aléatoire. La Voyante (La TAKEZA), interprète ces formes pour prédire tout ce que la victime demande. Pour moi, ces phénomènes étaient paranormaux. Avec mon esprit cartésiens qui cherchait une explication à tout, la question était : Comment peut ‘on prédire et connaitre un événement qui ne s’est pas encore déroulé dans le temps ? Dés mon jeune âge, il me fallait trouver une explication logique à un phénomène de mentalisme. Dans les Marabouts, il y avait aussi un ou plusieurs danseurs masqués habillés en « Vaudous » qui dansent sous un rythme de tambour qui reproduisent les battements cardiaques. Ces sons, sans doute par leurs caractères infra soniques, pénètrent directement dans nos tripes et donnent une sensation bizarre. Les spectateurs les plus sensibles et vulnérables entrent dans un état second de transe et commencent à danser en tremblant souvent jusqu’à en perdre connaissance. Ces phénomènes, illogiques dans mes esprits m’ont beaucoup intrigué. Il me fallait trouver une explication. Comment une personne normale, pouvait ‘elle tomber dans un état hypnose? Toutes ces questions sont restées en moi sans réponse. Entre autres, je me posais aussi d’autres questions concernant des phénomènes physiques. Par exemple, un jour sur un bateau, je me suis posé la question suivante : Pourquoi quand je saute et je bondis, pendant ce laps de temps où je suis suspendu dans l’air, alors que rien ne me lie au bateau qui continu à avancer, je ne me retrouve pas dans la mer ? J’ai eu la réponse dans les cours de physiques, car en sautant, j’avais déjà une vitesse initiale qui est la même que celle du bateau… Avec le temps et en découvrant « La magie » non pas « noire mais sous son angle le l’art de la prestidigitation, j’ai compris qu’en définitive, la vraie magie n’existait pas (j’avoue ma déception). Et tous ceux qui prétendent de l’être sont souvent des charlatans mercantiles ou à la recherche de pouvoir… J’ai découvert dans les années soixante dix le journal « PIF GADGET » qui a joué beaucoup dans mon développement logique avec les jeux et les gadgets (voir photos ci-dessous). J’insiste pour remercier la rédaction de l’époque de ce journal, car je le rappelle, je vivais dans un pays « pauvre » ou même les jouets pour enfants n’avaient pas place dans le commerce. Dans ce journal, et par moment, il y avait des tours de magie que je dévorais pour apprendre le secret. Mais comme il n’était pas facile voire impossible pour moi de se procurer du matériel de magie, j’ai donc appris à fabriquer tout ce dont j’ai besoin moi-même. J’ai découvert aussi le bricolage comme autre passion. Pour anecdote : mon premier « FP » était fabriqué avec un bouchon métallique d’un flacon de parfum. Pour lui donner la couleur chair, je l’avais entouré avec un Pansement Sparadrap. Ce gimmick fonctionnait à merveille. Ma passion pour la magie était connue de tout mon entourage, il faut avouer que pour l’époque et le lieu c’était une passion assez particulière dans un monde sociétal hostile où la superstition guidait la vie de tous les jours. Pour certains religieux, faire de la magie en dehors du code sacré relève de la mécréance de Dieu et la collaboration avec le diable. Malgré tout ces obstacles, j’ai pu apprendre avec le temps des petits tours à droite et à gauche. Je notais tous les tours dans un petit cahier (voir photos ci-dessous). J’avais eu de la chance d’avoir eu un frère aîné qui par son métier pouvait voyager (pilote d’avion). Il m’avait offert un coffret de magie du Magicien Kassagi : Magie 2000. Ce qui m’a le plus aidé dans cette discipline, c’est d’avoir connu dans ma période d’adolescence, un promoteur immobilier qui était passionné aussi de magie. Comme il avait les moyens financiers, il s’est abonné à la boutique de Mayette Magie. C’est avec lui que j’avais découverts mes 3 premiers vrais livres de la magie : Cours Magica de Robert Veno , Les Merveilles de la Prestidigitation de G. Kaplan et Théorie et Pratique de l’Hypnose. Ces ouvrages étaient pour moi une bible de la découverte du monde magique. Dans mes temps libres hors des études, je passais du temps à fabriquer et à reproduire tous les tours que j’apprends. Mes présentations de spectacle étaient toujours locales, soit dans mon entourage direct, dans le collège, lycée, dans les hôtels, les colonies de vacances. Puis, depuis l’année 1984, je suis venu en France pour faire mes études de médecine et là, j’ai pu encore m’améliorer dans cet art. Pour résumer, contrairement à beaucoup, je n’ai pas découverts la magie en tant que art de spectacle, mais en tant que magie noire. J’ai été beaucoup marqué par les charlatans qui ont abusé de la naïveté ou de l’ignorance de la société dans laquelle je vivais. J’ai donc milité en apprenant cet art dans le sens de lutter contre les forces occultes et dire que finalement il y a toujours un truc. En 2010 après les événements en Tunisie du Printemps arabe, j’ai été choqué par la récidive et recrudescence des charlatans qui sous couvert de la religion, replongent la société tunisienne dans la croyance de la magie noire. Je me suis rendu alors compte que le combat est loin d’être fini. (Pour ne pas rallonger la publication, dans les commentaires , je vous raconterai quelques anecdotes amusantes que j’ai pu vivre en rapport avec la magie).
  8. Merci @Melvin, je suis entrain justement de mettre au point une autre présentation avec du mentalisme , mots et nombres
  9. Merci, je vais le consulter, mais ce n'ai pas vraiment ce que je cherche. Car, dans mon exemple c'est effacer une partie d'une lettre pour donner une autre (c'est une sorte de mutation d'une lettre): Comme exemple: la lettre "E" peut se transformer en effaçant la barre du dessous en "F" ou la barre du milieu en "C" ou les trois barres en "I". Sauf que dans mon exemple il faut utiliser plusieurs lettres à transformer tout en formant un mot qui a un sens.
  10. Dans la vidéo, j'ai enregistré le résultat pour vous montrer ce que ça donne. En utilisant le " T'BOA BARBEU qui donne TOUR EIFFEL et le nombre 1678 qui donne 513
  11. @TanMai tu as mis une vidéo de 45 mn pour me faire voir juste les 3 premières secondes lol
  12. T'BOA-BARBEU se transforme bien en TOUR-EIFFEL @Niels PoP's MERCI
  13. @Niels PoP's, très bien je vais retenir ce que tu as fait.
  14. @dub, pour le moment ce que je vais faire, montrer un mot qui ne veux rien dire et le transformer en un mot souhaité, je justifierai cette lacune par boniment.
  15. au contraire , il ne faut pas s'excuser , car c'est moi qui te remercie pour ton effort. C'est juste pour t'expliquer mon but, car cela n'est pas évident.
  16. Dan ton exemple, il n' y a pas de transformation d'une lettre en une autre. Si j'efface le "a" dans le mot paris: il reste un espace vide: P ris. On se doutera qu'on a effacé une partie du mot. pareil pour le mot surpris: tu supprime le "sur". Dans ce que je souhaite c'est que le 2éme mot ne ressemble pas au premier par la métamorphose des lettres. Merci pour l'effort mais ce n'ai pas ça.
  17. Avec les nombres je n'ai pas eu de problème par exemple: 648 peut se transformer en effaçant certaines parties en 513
  18. Pour l'instant tout est bon à prendre, cela peut inspirer d'autres
  19. Demande d’une aide linguistique Bonjour à tous, pour le besoin d’une nouvelle création d’un tour de magie, je fais appel à votre culture linguistique pour m’aider et me fournir des exemples de mots en français (de préférence des mots universels connus hors de frontières) une sorte d’anagramme ?. Je vous donne les conditions comme exemple : Sur une ardoise (type veleda) est écrit un mot, composé d’une superposition de deux mots superposés en écriture (l’un au dessus de l’autre), je montre au départ le premier mot. Dans un geste, j’efface une partie du mot (qui est délébile) pour faire place à un autre mot qui est indélébile (ce mot était intégré et caché dans le premier). A savoir que le premier mot peut’ être plus long que le second. Je n’ai pas d’exemple de mots, sinon je n’aurais pas sollicité votre aide. Mais, j’ai déjà fait un travail avec les lettres de l’alphabet : comme exemple : - En effaçant une partie de la lettre « A » (on prend en considération les différent polices d’écriture) on peut la transformer en lettres « H » ou « F » et ou « P ». - « B » peut se transformer en : « P », « E », « C » et « P ». - « D » peut se transformer en : « C ». - « E » peut se transformer en : « F ». - «G » peut se transformer en : « C ». - « H » « L » … peuvent se transformer en : « I ». - «O » peut se transformer en : « C ». - « P » peut se transformer en : « F ». - « R » peut se transformer en : « P ». - « W » peut se transformer en : « V ». - « X » peut se transformer en : « Y ». Merci pour votre contribution
  20. Rebonjour, Je vais fabriqué une autre application de "Palette Révélation (V.Mankaï) "où un spectateur via un bloc note choisit "un mot" et "nombre". Dans un premier temps de la routine, il va y avoir un scénario dans lequel la palette apprend à lire et à compter. Puis dans un 2ème temps, elle devine un mot et un nombre, sauf que ce ne sont pas les bons choisis. Finalement comme par magie les faux mot et nombre se transforment en bons le choix. Le tout dans une chute finale surprise.
  21. Oui, c'est vrai, j'ai coupé le manche un peu trop large, avec la transpiration ça glisse et ça ne facilite pas la manip.. Dans les prochaines fabrications le manche sera un peu plus étroit.
  22. Bonjour à tous, ci-joint une première application essais en vidéo de ma nouvelle version de la palette magique, qui apporte comme nouveauté une extension de plusieurs effets en cascade par rapport à la publication de Richard Sanders: Turbo Stick. Cette application Utilise des cartes, mais peut avoir beaucoup d'autres exemples de présentation. Je voudrais savoir (hormis que la routine n'est pas encore rodée) Ce que vous pensez de cette extension des effets?
  23. Moi, cela remonte à très loin dans les années 70. Mon parcours dans la magie est assez particulier. Dans mon enfance, des prestidigitateurs se produisaient à l’ école. De là est née ma passion pour la magie. J’ai commencé à apprendre de petits tours dans le journal Pif Gadget, puis de petites représentations dans mon entourage devant les copains, en classe dans l'école puis au collège, au lycée dans les colonies de vacances, dans les hôtels car j'habitais à l'époque en Tunisie à Hammamet une ville très touristique. Originaire de Tunisie, où il n’était pas facile de se procurer du matériel de magie, j’ai donc appris à fabriquer tout ce dont j’ai besoin moi-même ( j’ai donc le bricolage comme autre passion ). Je n'ai pas de conseil à te donner car chacun à son propre parcours et sa propre touche personnelle. Tous ce que je peux te dire, ce n'ai qu'on forgeant qu'on devient forgeron. Ce qui veut dire "la pratique". Il faut se lancer et ne pas avoir peur de louper un tour. Tout magicien qui dit qu'il n'a jamais rater un tour devant ses spectateurs est difficilement crédible. Par contre si tu rates un tour, il ne faut jamais paniquer, il faut juste essayer de faire en sorte de trouver le moyen de te rattraper sans perdre la face toujours dans la détente et humour. Cela amuse encore plus les spectateurs. Avec l'expérience, tu va trouver toi même ta propre voie de présentation qui s'adapte au type de public devant lequel tu te reproduits.
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