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Alx

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Tout ce qui a été publié par Alx

  1. Tout à fait d'accord. D'autant que, comme le disait Karl à la page précédente, la méthode la plus naturelle pour un profane pour compter 4 cartes, c'est de les étaler et de les dénombrer visuellement. Pour moi, l'étalement Ascanio est particulièrement indiqué ici, à ceci près que je me contenterais de séparer les cartes. Ascanio les gardait en mouvement (d'où le nom original El Culebreo, la couleuvre), mais dans ce contexte, ça me paraît injustifié : le magicien n'est pas en train de faire une fioriture, il montre juste les 4 cartes. Ceci dit, pour le Biddle trick, je me limite moi aussi à 4 cartes, et je fais un comptage Elsmley de 3 pour 4.
  2. Bonjour Xavier, Mon fils (11 ans à l'époque) a testé the Magic Box pendant quelques mois. Sur le papier, l'idée est intéressante : l'enfant reçoit chaque fois un colis qui contient : un QRcode pour accéder à une vidéo en ligne (en français) le matériel pour les 4 tours expliqués dans la vidéo un livret une photo d'un magicien célèbre un jeu de cartes Mais dans les faits, c'est assez décevant : Le choix des tours ne semble pas répondre à une progression pédagogique : ce sont très souvent des tours automatiques, qui fonctionnent exclusivement grâce au gimmick. On aurait apprécié que l'enfant puisse apprendre au moins une manipulation "générique" à chaque fois (faux d*pôt, glissage, empalmage, p*ddle move...) Les gimmicks sont des chinoiseries (très) bas de gamme ; leur principal intérêt, c'est d'avoir en main un modèle pour pouvoir s'en bricoler un soi-même (avec l'aide de papa, qui connaît le tour original, et qui peut expliquer comment corriger le défaut) Sans être un objet de collection, le jeu de cartes est sympa (il s'agit d'éditions spéciales de Tally Ho, d'Aviator ou de Bicycle), et il pourra rejoindre la collection de papa pour le remercier du temps consacré à refaire les gimmicks. Toutefois, on apprécierait que l'enfant apprenne un tour de cartes de temps en temps, pour justifier la présence du jeu. Le livret contient quelques éléments de culture magique intéressants, mais il est très bref et il sert surtout à récapituler les 4 tours fournis. De format souple, il n'a pas vraiment sa place dans une bibliothèque, et il finira à la poubelle. Par ailleurs, le gros défaut des vidéos, c'est que ce sont des vidéos YT, donc il ne faudra pas perdre le QRcode si on veut y revenir plus tard. Et cerise sur le gâteau, il est beaucoup plus difficile de résilier son abonnement que d'y souscrire : j'ai envoyé une lettre recommandée et plusieurs emails avant de me résoudre à bloquer le prélèvement. Je ne pense pas que l'entreprise soit malhonnête, mais ils sous-traitent visiblement une partie de leur activité, notamment la logistique, et il y a une grosse inertie avant que les changements soient pris en compte. Bref, je trouve l'idée intéressante, mais la mise en oeuvre largement perfectible. Je pense notamment que les points suivants gagneraient à être améliorés : Envoyer un seul tour de qualité plutôt que 4 tours bas de gamme Utiliser une plate-forme distincte de YouTube pour accéder aux vidéos (et permettre le téléchargement) Apprendre aux enfants que la magie, ce n'est pas que du matériel truqué (même si je comprends que les gimmicks, c'est ce qui fait vendre les abonnements)
  3. Du coup, comme une chanson populaire, il s'en va, Cervin. L'illustrateur nous a bernés
  4. J'aime beaucoup le concept de "réplique authentique" Ca me rappelle le porte-bonheur de Brice de Nice
  5. La comparaison avec la calculatrice est intéressante. Effectivement, les écoliers apprennent à s'en servir pour aller plus vite. Et effectivement, c'est utile dans une certaine mesure. Mais tu as raison de pointer le revers de la médaille : de plus en plus de gens ne connaissent pas leurs tables de multiplication, et sont incapables de réaliser des opérations simples de calcul mental. Pourquoi ? Parce qu'ils ont confondu un outil qui permet de gagner du temps avec un outil qui permet d'éviter de réfléchir. Avec ChatGPT (et consorts : je n'ai rien contre ce logiciel en particulier), nous sommes confrontés au même dilemme. Et visiblement, certains sont déjà prêts à commettre la même erreur... Pourquoi les écoliers apprennent-ils à poser une multiplication ? Pour connaître le résultat ? Bien essayé, mais non : si c'était le cas, on leur apprendrait dès l'école primaire à utiliser une calculatrice. Non, c'est évidemment parce que ça leur permet de comprendre les ressorts mathématiques élémentaires qui la sous-tendent, et dont l'assimilation est indispensable pour pouvoir un jour lire l'heure ou payer sa baguette (dans les rares boulangeries où un automate ne se charge pas encore de cette "corvée" pour eux...). De même, pourquoi les élèves apprennent-ils à disserter ? Pour le plaisir des profs en manque de lecture ? (Quand on a lu tous les classiques, il nous reste heureusement les perles des lycéens !) Non, c'est évidemment parce que cela leur apprend à structurer leurs pensées, à échafauder des raisonnements et à argumenter. Le genre de choses qui leur permettront de remettre en question ce qu'on raconte à la télé et sur les réseaux, et d'exercer leur libre-arbitre. Alors bien sûr, ChatGPT, c'est la bonne note assurée... à court terme. Mais c'est aussi la mise en place d'un lien de dépendance extrêmement fort : que feront-ils, quand ils auront besoin de réfléchir sans IA ? Quand je vois des gens sortir leur téléphone pour faire des calculs aussi élémentaires que partager l'addition au restaurant, je m'inquiète de ce que l'humanité va devenir, à force de "progrès"...
  6. J'espère que non ! On peut légitimement supposer que l'objectif des professeurs qui posent ce genre de problèmes n'est pas de connaître les âges respectifs des protagonistes, mais de développer les capacités de réflexion de leurs élèves. Or, en demandant à ChatGPT (de mon temps, on demandait à Agnan, mais le principe est le même), on obtient certes la réponse, et même le raisonnement, mais on n'utilise pas son cerveau. La compétence "copie servile" a-t-elle autant de valeur que la compétence "réflexion" ? J'en doute... (du moins, tout dépend de la carrière qu'on veut embrasser : moine copiste ou ingénieur...) Par ailleurs, je pense qu'il faut préciser une fois de plus que ChatGPT n'est pas une intelligence artificielle, mais un modèle de langage. Pour l'anecdote, un psychologue finlandais a essayé de lui faire passer un test d'intelligence. Le programme s'en sort très honorablement, avec un QI de 155, mais le psychologue note quand même qu'il a été incapable de répondre à la question "qui est le père des enfants de Jean ?" (comme quoi c'est bien beau de savoir calculer l'âge de Jean, mais ça ne fait pas tout !) A titre personnel, j'en déduis que le test, étalonné sur un échantillon humain, n'est pas adapté à mesurer l'intelligence d'un programme. Et que l'intelligence ne se résume pas à accumuler des connaissances pour les reformuler. Et, plus globalement, qu'il ne faut pas perdre de vue l'objectif de l'école, qui est d'éduquer et de former, et non de collecter des données.
  7. comment concilier et S'il y avait un continent unique, comment distinguer la Russie de l'Afrique ? A l'époque de la Pangée (c'est le nom qu'on donne à ce continent unique, avant la séparation), la Terre était plus petite ? Que s'est-il passé depuis ? Elle a terminé sa croissance ? Et surtout, pourquoi la Genèse ne mentionne-t-elle que deux humains s'il y en avait quarante-deux (Notons au passage que Douglas Adams, qu'on savait bien informé, nous avait déjà signalé l'importance du nombre 42) ? On nous cache la vérité sur les 40 autres ! Et à quelle époque les tares congénitales ont-elles été inventées ? Pas trop tôt, visiblement, car les premières générations n'en ont pas trop souffert... Que de questions soulevées par ces révélations...
  8. Alx

    Aurore boréale

    Je souscris entièrement à l'avis de @Mathieu : attention à ne pas colporter des choses qui ne sont pas encore vérifiées. En outre, je rappelle que la religion est un sujet sensible, que @Thomas demande à tous les membres de ne pas aborder sur le forum : Chacun est libre d'y voir ce qu'il veut (rideau du temple de Salomon, OVNI, justaucorps de Walkyrie, chaudron de lutin ou arc-en-ciel monochrome), mais à condition de rappeler qu'il s'agit d'interprétations. Et pour les interprétations les plus religieuses, merci de les formuler dans le sujet "Signes de l'existence de Dieu" : ce sujet est tellement long et tellement perché que les modérateurs n'y mettent plus les pieds depuis 2014 environ, donc il bénéficie d'une dérogation exceptionnelle au sujet de la religion (on y a d'ailleurs lu des trucs bien plus abracadabrants que ça )
  9. Ouais ouais... tu dis ça parce qu'un certain "TanMai" squatte le sommet du tableau de scores, quand d'autres piétinent en position 27 !...
  10. Je crois qu'il s'agit plutôt d'un forçage classique avec un jeu Bicycle normal On regrettera un peu le débinage de cette technique (qui n'est pas expliquée, mais quand même, le simple fait de dire au grand public qu'on peut leur forcer une carte...), même si on comprend bien que c'est un ressort scénaristique nécessaire (?) pour que tout le monde comprenne la fin (que je ne dévoilerai pas ici pour ne pas divulgâcher, comme disait l'autre )
  11. Je pense qu'Otto faisait allusion au fait que Noël n'a qu'un message à son actif, ce qui devrait inciter les lecteurs à la circonspection. Visiblement tu ne partages pas son analyse Je ne doute pas que les informations fournies soient fiables (quoique, Noël dit lui-même qu'il va falloir faire de nombreux essais pour trouver les conditions optimales), mais je pense quand même qu'il faut insister lourdement sur le fait que ce sont des manipulations dangereuses, qui mettent en jeu des produits dangereux. Surtout que, compte tenu de la facilité à se procurer du papier flash aujourd'hui, je ne vois vraiment pas l'intérêt de prendre ce genre de risques... Je serais intéressé par l'avis de @Marc Page sur la question : lui aussi connaît très bien son affaire, et il précise toujours, quand il donne ce genre de "recettes", les risques qu'elles présentent et les précautions qui s'imposent.
  12. Tu peux aussi fabriquer ton propre sac à forcer. Personnellement, j'utilise des sacs congélation type "Ziploc", que je découpe et que je "soude" avec un appareil de conservation sous vide. Tu dois pouvoir trouver des feuilles de plastique opaques qui correspondent à ce que tu veux faire (format, rigidité, couleur...)
  13. Merci Patrick pour cet ouvrage qu'on pourrait traduire en français par 7 nuances de Gray
  14. Alx

    Humour Noir

    Et n'oublions pas le relooking capillaire, qui est manifestement une des raisons (et pas des moindres) de son succès !
  15. Réflexion très intéressante, et qu'on peut élargir encore : non seulement cet "abus de langage" s'applique quand les patates ne sont pas strictement identiques, mais aussi, parfois, quand elles sont franchement différentes. Ainsi, si on ajoute deux carottes (qui elles-mêmes ne sont pas rigoureusement identiques), on compte quand même 2 carottes et 2 patates. Mais, selon la raison pour laquelle on les compte, on pourra aussi dénombrer "4 légumes" (et là, les différences entre les items sont tellement voyantes qu'on a du mal à comprendre qu'on puisse les associer). La vérité est qu'on ne compte pas les choses parce qu'elles sont plus ou moins identiques, mais parce qu'elles correspondent aux critères discriminants qui nous intéressent. Un producteur de pommes de terre comptera séparément les pommes de terre de calibre A et celles de calibre B ; mais le nutritionniste qui conseille de manger 5 fruits et légumes par jour comptabilisera en vrac poireaux, carottes et navets. Bref, ce qui compte, c'est le dénominateur commun. D'ailleurs, j'ai une pensée émue pour Mme Bouchard, mon institutrice qui nous répétait inlassablement qu'on "ne peut pas additionner les choux et les carottes". Elle a traumatisé des générations d'écoliers, mais force est de constater qu'elle avait tort
  16. Du coup, cela soulève une question : n'y aurait-il pas un marquage secret pour chaque couleur ?... Je n'ai pas de Phoenix sous la main, je vérifierai ce soir si je trouve quelque chose.
  17. Je n'ai pas encore regardé la vidéo, mais je rebondis déjà là-dessus. Je ne vois pas de différence fondamentale entre considérer qu'une discipline n'est pas une science et considérer qu'elle est une pseudo-science. Or, une pseudo-science qui prétend être une science est forcément criminelle, puisqu'elle ment en affirmant être ce qu'elle n'est pas, et profite potentiellement de la crédulité des gens qui ne sont pas au courant de cette distinction. Mais après tout, n'est-ce pas le cas de toutes les pseudo-sciences ? Une pseudo-science qui ne prétendrait pas être une science ne serait pas une pseudo-science : ce serait un concept, un hobby à la limite. Le qualificatif de pseudo-science n'est utilisé que pour qualifier les domaines qui se prétendent scientifiques. Donc il me semble que toutes les pseudo-sciences sont criminelles. Maintenant, reste à savoir si la psychanalyse est une pseudo-science. Personnellement, je ne le pense pas, tout simplement parce que les psychanalystes eux-mêmes ne prétendent pas être des scientifiques. C'est sans doute la voie médiane dont tu parles.
  18. Ah d'accord. je trouve un peu tiré par les cheveux de qualifier de croyances ceux qui ne croient en rien, mais admettons que ce soit une figure de style, et que l'auteur ait voulu parler de leur ferveur à ne pas croire, qui vaut celle des croyants à croire. C'est amusant, parce que c'est l'exact contraire du scepticisme, qui professe que, tant qu'il n'est pas démontré qu'une chose existe on doit en douter. Je souligne, car je trouve qu'on a un peu tendance à l'oublier, que quand un scientifique teste une théorie, il s'autorise à envisager, sinon sa probabilité, du moins sa possibilité. Donc quand un chercheur se demande si un phénomène est un OVNI (par exemple !), c'est qu'il s'est autorisé à penser que, peut-être, ça pouvait en être un. Contrairement à ce que semblent penser les "anti-sceptiques" (des infects !), les sceptiques ne sont pas des gens bornés qui refusent de voir l'évidence en face : ce sont seulement des gens qui ont besoin que les choses soient vérifiées avant d'y croire. Une croyance n'est pas une mauvaise chose : au commencement, tout était croyance. Puis, avec le temps, certaines croyances ont pu être confirmées et sont devenues des connaissances ; d'autres n'ont pas pu l'être, et sont restées des croyances. Tout à fait juste : personne n'a dit que les extra-terrestres n'existaient pas. Dans l'état actuel de nos connaissances, c'est une possibilité. A l'inverse, certains n'hésitent pas à dire qu'ils existent, qu'ils nous surveillent et nous protègent des catastrophes nucléaires*.Dans l'état actuel de nos connaissances, c'est un peu gonflé... Ce qui me gêne un peu avec ce genre de discours, c'est que leurs auteurs manipulent avec éloquence de grandes phrases qui font consensus (tout le monde est d'accord pour dire que, quand on ne sait pas, on ne peut pas se prononcer), mais que, en même temps, ils utilisent ces vérités essentielles pour soutenir des thèses qui ne respectent pas le doute qu'ils louent. Dans l'article cité juste au-dessus par Christian, l'auteur nous dit que, à moins d'accepter la sortie du corps ou la communication avec les morts, on ne peut pas expliquer certains phénomènes : Il est vrai que je serais bien en peine de fournir une explication à ces mystérieux résultats. Mais ça s'explique sans doute parce que personne n'a obtenu les résultats en question : on n'a pas connaissance de renseignements exacts fournis par un mort. Du moins rien qui ait été jugé recevable par la communauté scientifique/sceptique (qui est pourtant la seule qu'on devrait chercher à convaincre, la communauté des croyants étant déjà acquise puisque, de l'aveu même de l'auteur, elle croit souvent à tout).
  19. Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que tu voulais dire. Pour expliciter mon propos, je précise que la nuance que je fais entre croire et savoir réside dans la possibilité de vérifier. Il y a des témoignages d'EMI. C'est un fait incontestable, et on en trouve la trace dans Wikipedia. Ce que rapportent ces témoignages n'est pas vérifiable, mais on peut établir des concordances entre les témoignages. L'existence de ces témoignages est aussi un fait incontestable. Maintenant, ce qu'il faut en déduire reste sujet à discussion, parce que ça n'a pas pu être reproduit et vérifié. Le sentiment que tu évoques peut faire penser à plusieurs hypothèses : quand on meurt, on se retrouve en présence de Dieu quand on meurt, on reçoit une dose conséquente d'endorphine quand on meurt, notre cerveau fabrique du LSD quand on meurt, on se retrouve au paradis quand on meurt, nos perceptions ne fonctionnent plus quand on meurt, nos perceptions se mettent à fonctionner différemment etc. Ce que je veux dire, c'est que le fait de ressentir quelque chose ne nous permet pas automatiquement de savoir ce qu'il nous arrive (une réflexion qui fera plaisir à Patrick, et qui nous ramène vers le fil de ce sujet). On a bien sûr le droit de privilégier une de ces hypothèses, mais ça n'en fait pas une vérité pour autant : cela reste une croyance (qui peut certes avoir force de conviction, mais être convaincu, ce n'est pas savoir). Je pense que c'est là que tu fais fausse route : la manière dont ces sujets sont traités ne dépend pas du courant de pensée majoritaire, mais de la ligne éditoriale d'une encyclopédie (et de celle-ci en particulier). Une encyclopédie n'a pas vocation à recenser les croyances (aucun sous-entendu péjoratif dans ce terme), mais seulement les savoirs. Par conséquent, on n'y trouve que ce qui est prouvé et vérifiable. Le reste, que ce soit vrai ou pas, n'y a pas sa place.
  20. J'ai sans doute l'air d'enfoncer les portes ouvertes, mais si la "bible des sceptiques" n'est lue que par des sceptiques, le travail de sape anti-spirituel ne leur fait pas beaucoup de mal... Ca paraît évident, mais puisque ce qui va sans dire va encore mieux en le disant, rappelons que Wikipedia est une encyclopédie, c'est-à-dire un ouvrage qui regroupe des connaissances. C'est-à-dire des choses que l'on sait, par opposition aux choses que l'on croit (ou que l'on croit savoir). Il est donc tout à fait normal de n'y trouver que des informations vérifiables : il a déjà été dit ici que la vérifiabilité d'une information est le seul moyen de distinguer les connaissances des croyances. Ceci n'enlève aucune valeur aux croyances. Simplement, elles n'ont pas leur place dans une encyclopédie. Je ne parle pas seulement des religions, mais de toutes les croyances, au sens large, que l'on peut avoir : phénomènes paranormaux, OVNI, cryptozoologie, rêves prémonitoires, etc. On comprend évidemment que, pour un croyant, la foi a valeur de certitude, ce qui fait que cette distinction est difficile à accepter : je suis catholique, donc je sais que Dieu existe, donc je ne peux pas admettre que son existence ne soit pas attestée dans une encyclopédie. Par conséquent, cet ouvrage qui se prétend encyclopédique ne peut pas être valide, puisqu'il se trompe sur cette vérité essentielle dont je suis sûr et certain. Je souligne qu'il serait tout aussi incorrect qu'un article Wikipedia affirme que Dieu n'existe pas : nous n'avons pas plus de preuves dans ce sens que dans l'autre. Son inexistence n'étant pas attestée, elle n'a pas non plus sa place dans une encyclopédie.
  21. Ton avoir a peut-être été envoyé à la personne qui a reçu ton colis
  22. Je crois qu'elle est un peu endormie . Crevée, la bulle ?
  23. C'est aussi mon opinion, mais je trouverais intéressant de connaître les défauts du gimmick, pour imaginer une solution qui permette de les corriger. L'un des reproches principaux sur Penguin est l'absence d'instructions. D'une part, Michael Dawson laissait entendre en 2022 que les instructions seraient bientôt ajoutées et, d'autre part, ce n'est pas forcément rédhibitoire dans mon cas, puisque j'ai déjà une routine. L'autre problème m'inquiète davantage, puisqu'il concerne la conception même du gimmick. Si ce n'est pas utilisable, c'est déjà plus gênant... Pour cette routine spécifique, j'ai besoin d'utiliser mon téléphone pour saisir des informations sur un site web. Très peu d'informations : il y a 3 ou 4 boutons à cliquer en fonction des réponses du spectateur. C'est une routine assez classique de type "devinez combien il y a de bonbons dans le bocal". Actuellement (version scène), j'ai un assistant qui saisit les informations en coulisse, mais je voudrais me débarrasser de l'assistant (enfin, sans faire appel à un nettoyeur, hein : je veux juste pouvoir présenter cette routine dans des conditions plus informelles !) Pour couvrir l'utilisation du téléphone, je pensais noter les suggestions des spectateurs sur un bloc notes, pour trouver, après la révélation, celui qui était le plus proche. Sur scène, je note les pronostics sur un tableau. Il y a bien sûr la possibilité de noter les propositions dans une note du téléphone, et de switcher entre les applications pour saisir ce qui m'intéresse, mais je préférerais éliminer toute suspicion et ne pas utiliser ouvertement d'appareil électronique.
  24. Bonjour à tous, Dans le but d'adapter pour le close-up/salon un numéro de scène, je suis à la recherche d'un dispositif qui me permettrait d'utiliser un téléphone à l'insu des spectateurs. Je suis tombé sur Incognito, de Michael Dawson, mais je ne sais pas ce que ça vaut : impossible de trouver une vidéo de démonstration, et le seul avis que j'ai trouvé sur Penguin est très négatif. Si certains d'entre vous l'ont déjà utilisé, pourriez-vous me donner vos avis ? Ou le cas échéant, me suggérer d'autres solutions ?
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