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Alx

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Tout ce qui a été publié par Alx

  1. Bah alors Christian ? On oublie les liaisons ? Leia actuelle ? Si HeyGen achoppe sur les liaisons, je pense qu'elle a encore du chemin à faire avant de développer une conscience
  2. Personnellement, j'utilise le mélange Charlier (ou mélange paysan), qui donne une impression de désordre (voire de joyeux b*rdel ) mais qui revient finalement à faire une coupe. Ensuite, tu peux facilement te débrouiller en prenant connaissance de la carte inférieure ou, si tu veux retrouver ton chapelet dans l'ordre initial (c.-à-d. la première carte en haut), tu peux utiliser une carte courte ou une breather crimp pour couper au bon endroit et revenir à l'ordre initial. C'est un faux mélange parfaitement adapté aux non cartomanes.
  3. Oui, effectivement, tu vas un peu trop loin dans l'analyse ! Je faisais seulement allusion au passage où il mélange les mots. C'était une taquinerie sans méchanceté par rapport à ta formule télégraphique ("soit blanc soit noir , entre deux pas la devise !") : tout le monde comprend ce que tu as voulu dire, mais il aurait paru plus naturel d'écrire "ma devise, c'est soit noir soit blanc, mais pas entre les deux !". Exactement comme M. Jourdain avec "Belle marquise, vos yeux beaux d'amour mourir me font", en somme. Oui, je sais : la vanne était déjà pas dingue au départ, et c'est encore pire une fois qu'on l'explique... Donc aucune allusion aux caprices, à la naïveté ou à la vanité de M. Jourdain, je soulignais juste que cette formule était amusante ! Et mes excuses si je t'ai vexé.
  4. Ca a le mérite d'être clair ! D'ailleurs, je crois que c'est aussi la devise de M. Jourdain
  5. Françaises, Français, Belges, Belges,©Pierre Desproges J'ai déjà donné mon avis sur le sujet il y a quelques pages, mais je ressens maintenant le besoin de me justifier, parce que l'un des arguments les plus récents avancés ici, notamment par Etienne et Frédéric, me met dans une situation délicate : adopter l'écriture inclusive, c'est embrasser la cause des femmes. Si cette proposition est exacte, on devine confusément que, à l'inverse, ne pas adopter l'écriture inclusive, cela doit être rejeter la cause des femmes. Pourtant la proposition réciproque* n'est pas nécessairement vraie *Décidément, nous faisons tous des efforts pour argumenter avec les profs de maths ! C'est ce raisonnement fallacieux, je crois, que Mickaël dénonçait avec le sophisme "Socrate est un chat" : ce n'est pas parce qu'on critique l'écriture inclusive que l'on est misogyne. Evidemment, modifier sa manière d'écrire pour mettre en avant (ou un peu moins en arrière) les femmes, c'est un acte militant et, à ce titre, c'est respectable. Mais est-ce le meilleur moyen ? Ou, au minimum, est-ce un moyen satisfaisant ? En ce qui me concerne, je trouve que c'est un outil parmi d'autres, et qu'il apporte son lot d'inconvénients. En particulier, il est souvent difficile de transposer à l'oral une phrase inclusive : dans le meilleur des cas, on perd l'inclusion ("les employé·e·s de cette société sont bien payé·e·s" se prononce exactement comme "les employés de cette société sont bien payés"), et dans le pire des cas, c'est carrément imprononçable (comment lire "les contrôleur·se·s du ciel ont de lourdes responsabilités" ?). Pire : il y a plusieurs formes écrites acceptables (contrôleur·se·s, contrôleurs·euses, contrôleur(se)s... ça promet des dictées sympa ; heureusement que les correcteur·rice·s ne sont plus trop à cheval si j'ose dire sur les accents circonflexes : c'est déjà un souci de moins) Sans parler des situations où l'écriture inclusive ne peut pas s'appliquer (quand je dis "les artistes méritent de plus gros cachets", je ne peux pas ajouter de point médian ; cela signifie-t-il que, dans ce contexte, il ne faut pas souligner que les femmes sont également concernées ?) Le bon vieux français standard permet déjà d'inclure les femmes et les hommes. Pour reprendre les trois exemples, je pourrais écrire : Tous les employés de cette société, que ce soient des hommes ou des femmes, sont bien payés Les contrôleurs et les contrôleuses du ciel ont de lourdes responsabilités Les artistes, quel que soit leur sexe, méritent de plus gros cachets Ces trois phrases sont claires, faciles à comprendre à l'écrit, elles portent le même sens à l'oral qu'à l'écrit et, cerise sur le gâteau, on peut même les prononcer ! Certes, leur sens n'est pas exactement le même que dans les phrases originales, car ces formulations mettent l'accent sur l'inclusion. Ainsi, la première devient une comparaison, et on croit comprendre que, ce qu'il faut retenir, c'est qu'il n'y a pas d'inégalités salariales. Alors que la phrase initiale mettait plutôt l'accent sur les salaires, qui sont meilleurs qu'ailleurs. Donc oui, le sens est légèrement altéré. Mais après tout, n'est-ce pas aussi le cas avec l'écriture inclusive ? En ajoutant des points médians partout, est-ce qu'on ne "pervertit" pas légèrement le fond, en ajoutant le même genre de sous-texte ? Quand je parle des cachets des artistes, quelle est ma cause ? Est-ce que je milite pour une meilleure rémunération des artistes, ou pour une meilleure égalité des traitements ? Attention : comprenez moi bien : je ne prétends pas qu'une cause soit supérieure à l'autre, ou qu'une formule soit préférable. Je dis simplement que notre langue est extrêmement riche et subtile, et qu'elle permet déjà de dire énormément de choses. Il suffit pour cela de réfléchir à la formule la plus adaptée au message que l'on veut faire passer. Parfois, je veux mettre l'accent sur la présence des femmes, mais parfois je veux juste parler des conditions de travail, sans considération de sexe. C'est d'ailleurs un autre travers de l'écriture inclusive : elle ramène tout au sujet des inégalités hommes-femmes, ce qui signifie nécessairement nier (ou à tout le moins amoindrir) les autres problématiques. Enfin, si on adopte l'écriture inclusive, est-ce qu'on ne risque pas l'excès inverse ? Par exemple, si j'écris "Quarante magiciens ont assisté au dernier VM Live", je mets en évidence l'absence de magiciennes ce soir-là en particulier, voire leur rareté dans la magie en général. A vouloir systématiquement souligner la présence des femmes quand elles sont là, est-ce qu'on ne souligne pas davantage leur absence quand elles n'y sont pas ? Le problème ne vient pas de la grammaire, mais des mentalités, et ce n'est pas en réformant le français que nous le réglerons. En revanche, il ne tient qu'à nous d'employer des périphrases et des formes épicènes. Je pense que cela peut entrer dans les mœurs plus facilement que si on impose par décret des formes écrites absurdes.
  6. Objectivement, ce n'était pas la pire non plus, inutile de cracher dans la soupe...
  7. Il me semble qu'en attendant, il faisait de la prose...
  8. Bravo, c'est très astucieux ! Je me posais la question de la pertinence du quatrième dé alors que tu l'élimines dès le début, mais ce dé noir que tu n'utilises pas est en fait très utile !
  9. Ca, c'est un bon moyen de protéger ton scénario, pour éviter qu'il soit utilisé par d'autres sans ton accord et sans que tu sois rémunéré. Mais ça ne répond pas vraiment à la question de Benjamin : une fois que cet aspect légal est réglé, comment faire pour le proposer à d'autres magiciens ? A qui le proposer ? Comment le faire savoir qu'il existe ? Je ne suis pas du tout expert, mais je pense que le plus facile est de le proposer à quelqu'un qui t'a vu le jouer : s'il l'a apprécié, il est possible qu'il ait envie de le jouer à son tour. Mais dans le cas présent, il n'a jamais été joué... Et là, vendre un spectacle que personne n'a jamais vu, ça me paraît compliqué, a fortiori s'il n'a pas été rôdé...
  10. Sois le bienvenu sur VM, Alexandre ! Ton parcours est intéressant, j'ai hâte de lire tes interventions sur le forum !
  11. On a déjà mis 11 ans et 270 pages à débattre de la réalité, et voilà qu'on part sur 270 pages sur l'existence. Promis : à partir de la page 540 (vers 2034), on discutera de ce que sont les "signes", et je pense que nous serons tous d'accord vers 2045 sur le sens la question posée par ce sujet. Ensuite, on pourra s'attaquer sereinement à la réponse
  12. Attention quand même à ne pas confondre "un magicien craint" et "un magicien qui craint"
  13. Est-ce que c'est là l'unique but qui vous a poussés à faire de la magie ? Et surtout, y a-t-il un seul magicien qui ait choisi d'être magicien parce qu'il voulait être "craint" ? (à part Voldemort et Sauron, bien sûr !) Toutes considérations morales mises à part, je voudrais adresser un messages aux jeunes qui nous lisent : si vous voulez être craints, vous vous êtes trompés d'orientation : apprenez plutôt la boxe thaï ou le krav-maga !
  14. Oui, je suis d'accord : je ne prétends pas que les magiciens vont remplacer leurs dés de Marc Antoine ou de Tony Anverdi par des dés GoDice, qui ne me paraissent pas à la hauteur. Mais ça n'empêche pas que leur existence risque d'être connue du grand public. Pire : certaines personnes en auront entendu parler sans les avoir essayés et ne connaîtront donc pas les problèmes de portée dont tu parles. Tout ce qu'ils sauront, c'est qu'il existe un dé connecté qui envoie sur ton téléphone le résultat... Je suis d'accord avec ça aussi : l'important, c'est de construire une routine qui ne repose pas simplement sur la connaissance du résultat du dé. C'est exactement ce qui se passe avec le FP : on peut toujours réaliser de petits miracles avec du sel, une cigarette ou un change de billet, mais on ne peut plus guère faire disparaître un foulard. Moi, en tout cas, il y a longtemps que je ne prends plus le risque... Donc ce n'est pas la fin des dés connectés, mais c'est quand même une remise en question d'une partie du répertoire qui y est associé...
  15. Hélas, on commence à en trouver. Pas dans les boutiques de magie, mais sur Amazon et sur les autres sites généralistes... Un petit malin a eu l'idée d'utiliser la technologie utilisée dans "nos" dés connectés pour fabriauer un produit grand public. La marque GoDice, par exemple, propose des dés connectés autour de 150€ les 6. Evidemment, ils ne servent pas à faire de la magie, mais à... jouer à des jeux de société (drôle d'idée !) On peut se féliciter de cette aubaine qui nous permet d'acheter des dés connectés à petit prix, mais on peut aussi supposer que les spectateurs en auront bientôt tous entendu parler...
  16. Fais le tour avec l'oeil auquel tu ne tiens pas !
  17. Je ne pense pas que l'idée soit de plagier Luke Jermay. Il s'agit plutôt d'un argument qui indique que LJ livre l'intégralité de ses routines, donc de la réflexion qu'il y a derrière, et qui ne pourra qu'être profitable pour le lecteur. La difficulté, quand on veut faire la promotion d'un livre magique (c'est-à-dire dont le contenu est secret), c'est qu'il faut convaincre les acheteurs de la valeur des secrets, sans les révéler évidemment (sans quoi on n'a plus rien à vendre). Ici, l'argument que je comprends entre les lignes, c'est que Luke Jermay révèle tout, et pas seulement les secrets élémentaires. Concrètement, il ne se contente pas de dire "dans cette routine, j'utilise une enveloppe à fenêtre", mais il dit pourquoi il a choisi cette enveloppe, comment il la manipule, pourquoi il emploie tel mot plutôt que tel autre, etc. Libre à chacun de s'en inspirer pour s'approprier la routine, ou d'utiliser une astuce secondaire dans une autre routine existante.
  18. Oui, c'est ce que je propose : avec un étalement Ascanio, tu montres 5 cartes comme 4. Mais du point de vue du spectateur, tu montres juste les 4 cartes C'est @Etienne HRBT qui propose une solution à un autre problème, pas moi ! [Edit] Mea culpa ! J'assume ce que j'ai répondu à @Eric DUBS: cette technique permet bien de montrer 5 cartes comme 4. Mais en fait, la question, c'est de montrer 4 cartes comme 5, et non 5 cartes comme 4. Du coup, j'avais tort : l'étalement Ascanio n'est pas du tout adapté ici, contrairement à ce que je viens de dire pour ma défence, sournoisement induit en erreur par la typo du message précédent (je ne tomberai pas seul !) La solution d'Etienne est donc adaptée, contrairement à ce que je viens de dire (et à ce qu'il avait avancé lui-même) (et vas-y que je t'entraine aussi dans ma chute) Conclusion, nous sommes tous les trois aussi irrécupérables les uns que les autres. CQFD.
  19. Oui, enfin, il faut relativiser quand même : à l'époque, qui aurait acheté une baguette à 6,50 francs ? (chez le boulanger, hein : pas chez @David BERTON (Gunnm) !)
  20. Je ne comprends pas bien le problème de "l'aimant au bout". Tu ne peux pas couper le bout du fil pour te débarrasser de l'aimant et y attacher ce que tu veux à la place (pince crocodile, tête de hareng...) ? A moins que j'aie mal compris, et que l'aimant soit à l'autre extrémité (côté barillet). Mais dans ce cas, je ne vois pas en quoi c'est gênant...
  21. Et quand c'est rage, je suis colère ! D'ailleurs, un membre par alliance de la famille de Woody, dentiste-sophrologue à Atrabile-les-Pulpites, me faisait récemment remarquer que, quand on sent la colère monter, il faut impérativement l'extérioriser, car il n'y a rien de plus douloureux qu'une rage... dedans.
  22. Ah oui, tout à fait juste ! En fait, ça marche seulement avec un jeu multi-effet, mon histoire. Ou en passant au massicot le paquet B. Du coup, je ne vois vraiment pas ce qu'on peut en faire, de ce jeu à forcer radio. Mais bon, ça sert au moins à se moquer des copains qui l'ont acheté, c'est déjà ça !
  23. Et si c'était tout bêtement un jeu que tu peux utiliser pour transformer deux jeux ordinaires en jeux radio ? Prenez un jeu de cartes ordinaire, format poker, avec des dos identiques aux dos des jokers Séparez-le en deux paquets de 26 cartes, que nous appellerons A et B Dans le paquet A, insérez tous les jokers courts aux positions impaires (inutile de recompter à chaque insertion) Dans le paquet B, insérez tous les jokers longs aux positions paires A et B sont désormais deux jeux radio complémentaires : le jeu A semble normal, mais vous couperez toujours sur un joker ; le jeu B n'a l'air de contenir que des jokers, mais vous couperez toujours sur une carte quelconque. Je ne pense pas que ce soit l'usage prévu pour ce jeu, mais c'est ce qui arrive quand un piaf acheteur compulsif achète n'importe quoi sans réfléchir * *inutile de signaler ce message : je suis déjà au courant
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