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Frantz (CC Magique !)

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Tout ce qui a été publié par Frantz (CC Magique !)

  1. Personne n'a dit le contraire. Dans la liste de ceux qui ont trouvé leur propre variation sur ce thème, tu peux donc rajouter Stéphane Chenevière.
  2. Lors de la sortie du livre Altitude, Stéphane a fait une petite tournée de conférences et offrait* un VCD à cette occasion. Les originaux de ce VCD doivent exister en nombre plutôt réduit... (*En fait, Stéphane n'offrait rien du tout, c'est son éditeur qui offrait... Mais bref... )
  3. Eh bien justement ! Le statut AE permet donc de tester une activité plus facilement qu'avant ! Avant (il y a un an et demie...), si on voulait créer quelque chose, il fallait le faire au moins en EI et, effectivement, il y avait un minimum de charges à payer même si on faisait 0,00 € de chiffre d'affaires... Cela en refroidissait plus d'un et la plupart des gens pensaient "monter une entreprise ? Pfff, trop compliqué et trop de charges..." Le statut AE permet aujourd'hui de créer une structure facilement et légalement, et de ne pas payer sur ce que l'on ne gagne pas. C'est quand même un progrès, non ? Je ne "minimise" rien, j'essaye juste d'exposer mes idées.
  4. Certes, mais encore faut-il comparer ce qui est comparable... Un intermittent a un statut de salarié avec tout ce qui va avec (assurance chômage, droit à la formation, congés payés, etc.), un AE n'a droit à rien de plus que ce qu'il gagne... Si on veut comparer les différents statuts (ce qui n'est l'objet ici me semble-t-il), il faut le faire de façon complète et exhaustive... (Et ça, ce n'est pas une mince affaire ! ) Ce qu'il faut retenir, c'est que les différents statuts (AE, EI, SARL, SA, intermittent, etc.) ne sont que des enveloppes. Ces statuts ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients, leurs forces et leurs faiblesses. Suivant les activités, les lieux, les situations des personnes, les envies, ce qui est un inconvénient pour l'un est un avantage pour l'autre, et réciproquement. Il n'existe pas de statut universel, simple et dans lequel on ne paye rien... À chacun de se renseigner (auprès d'experts compétents, pas sur le premier forum internet venu...) et de déterminer ce qui lui conviendra le mieux...
  5. Encore une fois, on confond ici le statut et la fonction. Il n'y a pas forcément moins de charges en AE qu'en EI. L'une des différences principales est que en AE elles sont calculées sur le chiffre d'affaires alors qu'en EI c'est sur le bénéfice. Il est très facile de trouver des cas (réels) où un entrepreneur individuel paye moins de charges qu'un auto-entrepreneur... Il est donc faux de dire qu'un AE paye moins de charges qu'un EI. Chaque cas est différent. Rappelons que le statut AE est calqué sur le régime de la micro-entreprise, c'est-à-dire qu'il y a tout un paquet de limitations : franchise de TVA, plafond de CA, etc. Ce statut permet donc d'exercer légalement et facilement une petite activité, ou de tester une activité avant de "se lancer pour de bon". (Quand on pense comment certains râlaient à propos de "l'administration française" et de la "complication à pouvoir faire quelque chose dans ce pays"... Maintenant que c'est possible et facile (administrativement parlant), certains (les mêmes ?) viennent râler que c'est trop facile et que ça crée trop de concurrence... À croire que râler est parfois une activité à plein temps...) Dire que le statut d'AE fait de la concurrence déloyale aux artisans est la même chose que de dire les fêtes d'écoles font de la concurrence déloyale aux Palais des congrès et autres salles de spectacle...
  6. Jean Merlin refuse systématiquement tout enregistrement vidéo de ses prestations, justement pour ne pas qu'elles se retrouvent sur YouTube & Cie... Bien sûr, quelques collectionneurs ont réussi a dégoter quelques moments où Merlin apparaît sur une bande vidéo, mais ils sont rares...
  7. Ah ok... Désolé, je pensais que tu disais que ça te faisait penser à celle de Choquette... J'ai lu trop vite, toutes mes confuses !
  8. Heu, oui, le type de la vidéo c'est Alain Choquette ! (P.S. : Choquette a bien vendu le numéro à DC, mais ce qu'il en a fait n'a plus grand chose à voir... Pour comparer : [video:youtube]
  9. Si un marchand de truc ne pense qu'à l'argent, alors je pense qu'il faut changer de marchand. Ce n'est pas choquant qu'un marchand veuille gagner sa vie, ça l'est plus si c'est à n'importe quel prix et au détriment de la qualité de son travail...
  10. Comme dit précédemment, il y a de tout : des personnes sérieuses et compétentes établies depuis trente ans, et des nouveaux qui après deux mois de magie se disent : "Je vais monter ma boutique de magie et gagner plein d'argent". Après tout il suffit – en apparence – de monter un petit site internet gratuit et de se déclarer en autoentrepreneur... Il faut donc, effectivement sélectionner les boutiques dans lesquelles on achète son matériel. Mais il y a un autre point important qui est celui-ci : Mon avis est que l'on ne devrait pas acheter un produit dont on ne connaît pas les caractéristiques... Si l'acheteur ne sait pas ce qu'il achète, il peut difficilement venir se plaindre... (Oui, je pense que l'acheteur a une (grosse) part de responsabilité dans le fait que de grosses daubes soient en ventes ; pour citer Coluche : "Quand on pense qu'il suffirait que vous n'achetiez pas pour que ça ne se vende plus...") Arrêtez d'acheter tout et n'importe quoi juste après avoir vu un teaser sur internet. Renseignez-vous sur ce que vous allez acheter et n'achetez que lorsque vous savez ce que vous achetez... Si tout le monde faisait comme ça, il y aurait moins de m*rdes en circulation... P.S. : c'est hors-sujet – et ce devrait être évident – mais ce ne sont pas les marchands de trucs qui feront de vous des magiciens...
  11. Avec cinquante-deux jeux normaux, on fait cinquante-deux jeux à forcer... Il n'y a donc "que" cinquante-deux jeux normaux...
  12. En faisant ça, tu ne déposes que le "modèle", c'est-à-dire son design, mais pas son utilité. C'est pour ça que tout dépend du gimmick... Si la fonction du gimmick est indissociable de son design, alors ça marche... Mais si on peut construire un autre gimmick qui ferait la même chose, avec un design suffisamment différent, alors ça ne sert à rien... Imaginons que le gimmick soit une bouteille (un truc plus haut que large, de forme vaguement cylindrique, en verre, avec une ouverture rétrécie). Alors Perrier ou coca-Cola peuvent déposer le design de leur bouteille et interdire d'autres personnes de fabriquer les mêmes. Par contre, ils ne peuvent empêcher personne de faire d'autres formes de bouteilles (pourvues qu'elles soient suffisamment différentes des leurs...)
  13. Non, ça ne sert à rien du tout... Cette "astuce" circule depuis longtemps, mais je ne connais aucun procès au cours duquel elle fut utilisée comme argument convainquant. De plus, si un juge reconnaissait ainsi une date certaine d'antériorité (le cachet de La Poste (ce qui, une fois encore, m'étonnerait fortement...)), ça ne protègerait pas du tout le gimmick. Le seule protection qui existe du fait de sa création et sans obligation de dépôt est le droit d'auteur. Pour une marque, un dessin ou modèle, ou un brevet, ça ne marche pas de la même façon... Mais, on l'a déjà dit, non ?...
  14. L'antériorité, oui, mais pas la protection... Une enveloppe Soleau ne protège de rien, elle permet juste, effectivement, de poser une date sur une création (ce qui n'est déjà pas si mal).
  15. Un film de cinéma dans lequel l'héroïne vous appelle et vous demande ce qu'il faut faire (et vous obéit...), ça vous tente ?
  16. Ça ne marche pas tant que ça... À vouloir garder le truc trop secret, on prend le risque qu'un autre se l'approprie (ou le redécouvre tout seul) et que lui le revendique... Pour la petite histoire, c'est la raison qui a poussé Lennart Green à publier sa GAS qu'il gardait secrète depuis longtemps : un petit jeune du moment commençait à dire partout que c'était de lui... La première des "protections" est bien la reconnaissance de paternité et, si c'est ce que l'on souhaite, il vaut mieux en laisser des traces... (Et, comme l'a dit je ne sais plus qui : "Si vous voulez gardez un truc secret, publiez-le dans une revue..." )
  17. Tout n'est pas brevetable... En l'occurrence, ton gimmick ne l'est absolument pas... Mais, effectivement, le fait de le décrire dans une revue ou de le présenter en concours permet de montrer une antériorité, et c'est déjà pas mal... Pour Magicart : si on ne te répond pas simplement, c'est parce qu'il n'y a pas de réponse simple à ta question. Le Code de la propriété intellectuelle fait plus de mille pages et tout ça est un chouïa plus compliqué que ce que beaucoup pensent... Ton gimmick est peut-être protégeable au titre du droit d'auteur, du droit des marques, du droit des dessins et modèles, du droit des brevets. Ou peut-être pas. Toutes ces choses là ne fonctionnent pas exactement de la même façon... De plus, qu'entends-tu exactement par "protéger" ? Tu veux empêcher que quelqu'un d'autre s'en serve ? qu'il le fabrique et le vende ? qu'il le décrive ? Toutes les "protections" qui pourraient exister n'existent que si tu es prêt à aller faire un procès. C'est du temps (beaucoup), et de l'argent (pas mal). Si tu n'as pas inventé un truc qui révolutionne la magie et les arts visuels en général, ne perds pas ton temps à essayer de le "protéger". Décris-le quelque part afin d'avoir – au moins – l'antériorité et la reconnaissance morale de tes pairs, ce ne sera déjà pas si mal...
  18. Qui, pour info, est la version de Alan Wakeling... (César, tout ça, tout ça...) Mark Kalin et (la belle) Jinger ont été les premiers à la remettre au goût du jour il y a une quinzaine d'années : [video:youtube]
  19. Je ne suis absolument pas d'accord. Je pense que l'on peut débattre en public, mais il faut toujours bien veiller à ce que l'on écrit et faire attention au sens qui peut parfois être perçu dans certaines formulations. Au vu de tes écrits, ce n'est pas toujours évident. Je ne dis pas que c'est volontaire, mais fais bien attention à la formulation de certaines de tes phrases, à la façon dont elles sont dites, à la façon dont tu poses les questions, etc.
  20. Olivier, je ne comprends vraiment pas pourquoi tu t'en prends ainsi à Pierre... Pierre a répondu consciencieusement et précisément aux questions posées... Que cherches-tu ? Tu essayes de "te faire" un universitaire ? C'est un jeu sadique ? Un exercice de style pour occuper des journées mornes ? J'avoue ne pas bien comprendre...
  21. Peu importe. Rigoureusement, les frais de douane sont dus dès que la valeur des objets dépasse une certaine somme ridicule (de l'ordre de 15,00 € je crois). S'il est vrai que les petits paquets à destination des particuliers ont une chance de ne pas être contrôlés, ce n'est pas systématique... (Cela m'est arrivé il y a moins de 15 jours : j'ai dû payer 57,00 € pour récupérer un paquet dont le contenu ne valait même pas plus...)
  22. Toutes ces considérations pour essayer d'économiser quoi ? Trente centimes par jeu ? Même pour 100 jeux, ça fait trente euros de "potentiellement" économisés, à mettre en face du risque de se prendre des frais de douane de l'ordre de 120 ou 150 euros (au mieux) ?... Le raisonnement humain est parfois bizarre quand même...
  23. Non. Il fut un temps où il fallait en commander au minimum pour 1000$ pour passer en direct avec eux, mais je ne suis pas sûr que ce ne soit pas plus maintenant. Quand tu rajoutes le port (c'est lourd les cartes !) et la douane, ça ne te reviendra pas moins cher que de passer par une boutique française. (Pour info, les cartes sont des produits d'appel pour les boutiques françaises et sont vendues quasiment à prix coûtant... Il est difficile de trouver des "plans" réellement plus avantageux...)
  24. Cela dit, en magie, la pub c'est quand même un peu de l'information, non ?
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