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Frantz (CC Magique !)

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Tout ce qui a été publié par Frantz (CC Magique !)

  1. Certains mentalistes, et pas des moindres (Bob Cassidy ou Barrie Richardson par exemple), pensent exactement le contraire au sujet de la mnémotechnie. Cassidy s'en sert d'ailleurs comme justification et présentation d'un effet qu'il réalise d'une toute autre façon ("Cartes en mémoire", L'Art du mentalisme 2, p. 44)... La mnémotechnie existe depuis plusieurs siècles avant J.-C. Va te promener dans n'importe quelle librairie, au rayon "développement personnel", tu trouveras au moins une dizaine de titres consacrés à "Développez votre mémoire". Alors être courroucé par la sortie d'un n-ième livre sur le sujet a de quoi faire sourire... Certains pensent (j'en fais partie) que la mnémotechnie devrait être enseignée à l'école. On ne parle pas là d'une "petite astuce à faire sur scène", on parle "d'apprendre à apprendre", on parle de réussite scolaire, de confiance en soi, de réussite dans la vie ! Cela ne m'empêche pas de présenter ce numéro sur scène depuis plus de vingt ans, et toujours avec beaucoup de succès...
  2. Voilà. C'est bien ça l'important. Car chaque contrat est différent, chaque relation contractuelle dépend des parties, des enjeux, etc. De plus, le langage juridique est quand même assez pointu. Et autant j'aime parler de ça avec des professionnels compétents qui peuvent m'expliquer exactement les choses, autant là on risque d'avoir autant d'avis que de soit disant "connaisseurs" qui en fait n'y connaissent pas grand chose... (Il n'y a qu'à voir la discussion sur le statut d'auto-entrepreneur pour voir le degré d'incompétence de certains, qui pourtant parlent souvent et fort...) De même que l'on ne va pas demander à un garagiste des conseils pour se faire opérer du cerveau, je pense qu'il vaut mieux poser ses questions juridiques à des juristes... (Mais ça ne nous empêche pas d'aborder le sujet, "en gros"...)
  3. Bah, en fait, dans l'effet perçu par les spectateurs, il y a bien une pénétration à travers la vitre, puisque la carte que l'on découvre scotchée derrière la vitre est la carte (librement...) choisie que le spectateur tenait en mains une seconde avant... Certes, ce n'est pas une pénétration "à vue", mais l'effet est bien là. (Et, honnêtement, sur les "vrais gens", cet effet est déjà très très fort ! On peut même rajouter un coup d'intercessor si on veut, sans que ce soit réellement indispensable...) Mais, c'est sûr, le vrai effet de Window est bien le changement à vue derrière la vitre...
  4. Christian, Je ne suis pas sûr que le thread concernant Pierre Étaix soit le meilleur endroit pour répondre à tes questions, mais les administrateurs déplaceront si nécessaire. Eh bien, en fait, tout dépend de ce qui est prévu au contrat, la réponse n'est donc pas forcément simple... Mais, dans un contrat traditionnel "d'édition à compte d'éditeur" (tous les termes sont importants), figure normalement une close de ce style : « L'éditeur s'engage a assurer une exploitation permanente et suivie de l'oeuvre ». Ainsi que (attention ça devient technique) : « Au terme de la [x-ième] année d’exploitation du dernier tirage de l’œuvre sous sa forme première, si le nombre des exemplaires vendus annuellement s’abaissait à un niveau inférieur à [y], les conditions seraient remplies pour que s’appliquent les dispositions prévues au chapitre 1 intitulé "Édition seconde" du Code des usages de littérature générale : "Passé ce délai, à défaut de réponse de l’éditeur, le contrat serait résilié de plein droit." » Mais ça, ce sont des clauses usuelles d'un "bon" contrat. Si elles n'y figurent pas, ça va être dur de chercher à les faire appliquer... (D'où l'importance de bien comprendre un contrat avant de le signer...) Tout dépend de ce qui est prévu au contrat... En général, il est prévu qu'un état des ventes soit adressé une fois par an à l'auteur pendant les cinq premières années d'exploitation, puis qu'ensuite ce soit seulement sur demande de l'auteur. Mais tout ça dépend de qui il s'agit et de l'importance des ventes... (Un auteur qui vend 300 000 exemplaires par an même après cinq ans peut demander un état des ventes plus régulier). Mais de toute façon, si la rémunération est proportionnelle au volume des ventes, l'état des ventes est forcément joint à son paiement (puisque c'est comme ça que l'on calcule la rémunération). Maintenant, en cas de rémunération forfaitaire, il n'est en général pas nécessaire de fournir des états des ventes (puisque ça ne change rien au paiement de l'auteur). Mais ça peut être prévu au contrat quand même. Juste cet élément, non. Par contre, le non paiement de tes droits d'auteur, ça oui ! Le paiement de l'auteur est l'une des clauses essentielles du contrat !... Encore une petite chose par rapport à ton tour : si tu as investi dans sa fabrication, il ne s'agit plus d'un contrat à compte d'éditeur mais d'un contrat à compte d'auteur, ce qui change énormément de choses... Mais tout ça est un peu technique pour l'écrire sur un forum de magie (et ça ne doit pas intéresser grand monde...). Appelle-moi si tu veux que l'on en parle...
  5. Le problème est toujours le même : une oeuvre ne tombe dans le domaine public que 70 ans après la mort de l'auteur. Avant, il faut l'accord des ayants droit pour faire quoi que ce soit avec une oeuvre. Dans le cas d'une affiche, les créateurs de l'affiche (peintre, photographe, etc.) possèdent des droits dessus. Comment savoir qui contacter alors ? Eh bah ça dépend, et c'est effectivement parfois assez difficile... Ce peut être l'auteur lui-même s'il est toujours vivant, ses descendants, une société de production, un éditeur, etc. Bonnes recherches !... (Cela dit, même si, très rigoureusement, il te faudrait l'accord de l'auteur pour imprimer tes cartes et les utiliser en public, tu ne risques pas grand chose à le faire quand même sans rien dire à personne... C'est bien de vouloir faire les choses dans les règles, mais la vraie vie n'est quand même pas toujours aussi formelle qu'un texte de loi...)
  6. À mon avis, le plus dur maintenant, ce sera de trouver des performers capables de le présenter correctement... Car, on est d'accord : le tour est bon, l'objet est bien fait et semble effectivement chargé d'émotions... "Potentiellement", l'effet sur les spectateurs peut être extrêmement puissant... Maintenant, si c'est présenté sur une estrade à la kermesse de Pouzioux la Jarrie, à 14h00, par un adolescent affublé d'une grosse médaille et d'une bague à tête de mort, entre un Mental Epic et la divination "d'un nombre de deux chiffres, tous les deux impairs, différents et plus petits que 50", eh bien je doute que ce soit aussi fort... Donc : achetez-le, étudiez-le, mais ayez la force de ne le présenter que si vous êtes vraiment capables de restituer l'atmosphère nécessaire à son impact maximal...
  7. Très chouette spectacle présentant de superbes numéros réalisés par des mômes qui sont déjà des artistes avec un grand "A"... (Les vieux sont derrières pour les aider du mieux qu'ils peuvent quand même, mais on n'est même pas sûr qu'ils soient vraiment indispensables... ) Bravo à tous ceux qui œuvrent dans la concrétisation de cette "équipe de France de magie" et dans le soutien des candidats à la FISM !
  8. Oui, ça, on avait bien compris que tu ne sais pas qui c'est...
  9. Note que tu pourrais aussi faire l'inverse. À réfléchir...
  10. Des briquets et des portefeuilles en feu... Très bonnes idées de cadeaux à se faire offrir par une petite fille de sept ans... Avez-vous déjà aussi pensé à un kilo de "Mort aux rats" ou un abonnement à Playboy ou étaient-ce déjà les cadeaux de l'an dernier ?
  11. La réponse de Gérard est sûrement la plus belle qui puisse t'être faite... Et n'oublie pas de faire une photo à la fin (l'artiste, ta fille et toi) afin de matérialiser ce moment et de pouvoir se remémorer avec elle ce cadeau qui, par définition, restera unique à jamais...
  12. ... ou pas !... Certains effets semblent formidables à l'écrit (ou même en vidéo) et, vus en live, deviennent de vraies catastrophes (et on comprend d'un coup que ce que l'on a vu - et aimé - en vidéo a été la seule réussite du truc après 1921 prises...) Il existe même un monde dans lequel certains "conférenciers" ne feraient même pas la démonstration de certains effets, se contentant de dire un truc comme : "Bon, là, je ne vous fais pas l'effet, mais on gros les spectateurs voient ça, ça et ça... Alors, pour le faire, vous placez ce bouzin comme ça et, si vous le bossez un peu, ça marche tout seul !... Normalement le bouzin vaut 200,00 € chez les marchands de trucs, mais là je vous le vends seulement 19,95 € pour la conférence... J'en ai apporté quelques-uns, mais attention, je n'en ai plus beaucoup..." L'objectif premier d'un "vrai" conférencier n'est pas de présenter des "tours", mais de partager une expérience de vie, une expérience de ce qu'il est. Oui, j'aime aller voir des conférences sans tour. Mais pour cela il faut que le bonhomme ait des choses intéressantes à dire. Ils sont rares à être dans ce cas. (Par exemple, la conférence de Jacques Delord à laquelle j'ai eu le plaisir d'assister en 2001 fut à cet égard un modèle du genre...)
  13. ... ou un superbe numéro, qui peut "remplir" une salle de 1000 personnes avec rien d'autre que la personnalité de l'artiste... Mais, évidemment, ça demande du charisme, de la prestance et de la mise en scène... Y'a pas un DVD qui pourrait apprendre ça à ceux qui en auraient besoin ?...
  14. Une version 2 vient de sortir, avec un petit quelque chose en plus...
  15. Je ne vois que deux solutions : 1. Tu crées ta propre boutique (on n'est plus à une près... ) ; 2. Tu contactes celles qui existent déjà et tu leur demandes si elles veulent t'embaucher (et je crois que je connais déjà la réponse).
  16. Il n'existe pas vraiment de "méthode plus simple"... Les différences entre les méthodes tiennent dans quelques raccourcis de calculs, mais globalement il faut bien faire les mêmes opérations... La méthode de Charles Barbier repose sur les mêmes calculs, sauf que, pour gagner du temps, il préconise d'apprendre le maximum de choses par coeur (il n'y a ainsi plus à calculer le chiffre clé pour l'année par exemple, puisqu'on le connaît...).
  17. Étant "un p'tit peu" pris par diverses obligations pour le moins chronophages (et fichtrement intéressantes), le S. en question n'a pas pu (avec des regrets abyssaux et des sanglots dans la voix) s'atteler à cette tâche pourtant ô combien intéressante... Mais on n'y perd pas au change... Une partie du cadeau consiste justement à savoir ce qu'est le cadeau... Pour le plus grand bonheur du gagnant et la frustration interrogative des perdants... (Pour la photo en bikini, ça peut quand même se négocier... J'en possède même certaines d'un certain "marchand de trucs" qui s'échangent sous le manteaux pour des prix prohibitifs (comme disait mon coiffeur...). Faites-moi une offre ! )
  18. "Le plaisir naît de l'attente..." Encore un peu de patience, et savoure ces instants délicieux qui disparaîtront quand tu auras les réponses...
  19. Ouaip, tu as tort. Il faut fermer autant de parenthèses qu'il y en a d'ouvertes*. (Et ce n'est pas si laid que ça. Et, effectivement, ça permet aussi une certaine tranquillité d'esprit aux plus matheux...) C'était la leçon n° 4 !… * Comme les chaussettes !…
  20. - Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale (ISBN 978-2-7433-0482-9) ; - Manuel de typographie française élémentaire (ISBN 2-911220-00-5) - Mise en page & Impression (ISBN 2-911220-01-3) - Le Manuel complet de typographie (ISBN 2-7440-8067-5) Là, ça fait déjà une bonne base... Mais sinon, en tapant "typographie française" dans Google, on a déjà un bon paquet de sites (qui sont en général assez justes)... Ne pas oublier non plus que, malgré l'existence de règles et de conventions, la typographie n'est pas aussi formelle que les maths (je l'ai déjà dit ça, non ?... ), et que certains font des choix que d'autres n'approuvent pas, sans qu'il y en ait forcément un qui ait plus raison que l'autre... La typographie est parfois une forme d'art, et s'avoir s'affranchir des règles, être créatif, original et unique fait aussi partie de la pratique... PS : Rien que sur ça on peut déjà en apprendre beaucoup... Leçon numéro 1 Les signes de ponctuation s'écrivent en entier et on ne se sert pas du dernier point de suspension pour faire le point du point d'interrogation. Leçon numéro 2 En général, on évite de faire suivre deux signes de ponctuation (!… ; ?… ; etc.). Si on le fait quand même pour les points de suspension (moi je le fais tout le temps, peut-être trop !… (Tiens, la preuve !… (Eh hop, encore un !…))), on préfèrera en général terminer par les points de suspension ("!…" et non "…!"). C'est juste pour éviter le très inesthétique "trou" créé par le point de suspension. Leçon numéro 3 Le signe de ponctuation "point de suspension" est un caractère à part entière, ce n'est pas trois points que l'on place l'un à côté de l'autre. Sur PC, on l'obtient avec la combinaison ALT+0133. Trois point à la suite : ... ALT+0133 : … Étonnant, non ?… (C'était la minute non nécessaire de monsieur Bicycle…)
  21. Tu n'es pas tout seul ! Cela doit faire près de vingt ans que l'on me prend pour un dingo parce que j'embête tout le monde avec ça... Y compris des (vieilles) secrétaires et des profs de dactylo qui m'ont soutenu mordicus que "on ne met pas d'accent sur les majuscules"... (Ce qui est on ne peut plus faux...) Merci à toi, collègue de la majuscule accentuée, de me sentir moins seul dans mes névroses obsessionnelles... Si, si, c'est utile ! Sans l'accent, un mot (et donc une phrase) peuvent avoir un sens complètement différent*... Exemple classique : imaginez un journal qui mette en titre "UN VOLEUR TUE"... Quelle est l'information ? "UN VOLEUR TUE" ou "UN VOLEUR TUÉ" ? Pire : "UN INTERNE TUE". Là, on a le choix : 1. "Un interne tue" ? 2. "Un interné tue" ? 3. "Un interne tué" ? 4. "Un interné tué" ? Ces deux exemples sont classiques et académiques. Ok. Mais regardez cet exemple parlant et réel que j'ai vraiment vu. Dans un restaurant, si on vous présente une carte avec un "SOUFFLE SALE", restez-vous ? Il s'agissait bien sûr d'un "SOUFFLÉ SALÉ", mais depuis le restau a fermé... Battons-nous tous pour l'emploi des majuscules accentuées bon sang de bois ! Il y a une lutte à mener ! Regroupons-nous et manifestons ! (* Et ce ne sont pas les matheux à l'esprit tordu qui me contrediront : si vous confondez f avec f', vous risquerez de gros ennuis !...)
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