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Frantz (CC Magique !)

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Tout ce qui a été publié par Frantz (CC Magique !)

  1. Que son équipe fasse bien attention à ce que les vitres soient parfaitement propres et sans traces de doigts... L'effet des traces de doigts qui bougent n'est sûrement pas l'effet voulu... La HD sur grand écran, ça ne pardonne pas...
  2. De William Gibson... Walter Gibson a écrit des trucs aussi, mais pas celui-là...
  3. Il existe 22 000 magiciens français qui dépensent tous environ 400,00 € par mois en "matériel de magie" ? Damned... Cela représente environ 105 millions d'euros de chiffre d'affaires par an, que doivent se partager une vingtaine de magasins... Voyons, voyons... Chaque magasin réalise donc environ 5 millions d'euros de chiffre d'affaires par an... Effectivement, c'est un bon business le marché de la magie... (À moins que la réalité soit à mille lieues de cela et que ces chiffres soient du n'importe quoi... Nooonn... Ils ont été dit à la télé ces chiffres, ils sont forcément vrais...) P.S. : à l'attention de tous ceux qui voudraient monter une boutique de magie, je vous encourage fortement à baser votre étude de marché sur d'autres chiffres que ceux-là...
  4. Je n'ai pas eu le temps de voir cette réponse, et c'est finalement tant mieux. Acceptées, même si "l'emballement" n'est certainement pas une excuse à l'insulte, surtout à certaines catégories d'insultes faisant référence à un passé historique peu glorieux. Bref.
  5. Eh ! Oh ! C'est dur, ta demande, là... On est magicien, hein.. on fait pas des miracles ! J'ai vraiment de plus en plus de mal avec ce genre de remarques définitives et démagogiquement méprisantes. La généralisation est d'une part une attitude qui en dit long sur le manque d'ouverture d'esprit. Dire que "untel est un menteur" (de façon absolue et définitive, comme ancrée au plus profond de son être) n'est pas du tout la même chose que de dire "untel a menti à ce moment sur ce point". Mais surtout, surtout messieurs : votre remarque est des plus méprisantes pour ceux qui aiment les programmes que vous détestez (car, vue l'audience, il y a bien des gens qui aiment ; en tout cas qui regardent). Vous êtes sûrement très cultivés, avez sûrement un goût très raffiné et savez sans nul doute ce qu'il conviendrait de diffuser au "bon peuple" pour son épanouissement intellectuel. Mais être méprisant envers ceux qui n'aiment pas les mêmes choses que vous est une belle preuve d'intolérance...
  6. Ah ?... Non, on ne sait pas. Peux-tu détailler ? Sois sans crainte. Les gens réfléchis et sérieux assument leurs actes et leurs décisions et ne sont pas du genre à "venir pleurer". Le paternalisme et la condescendance n'aident pas à essayer de garder un certaine objectivité dans le discours. On essaye juste de comprendre certains aspects d'un sujet sérieux et pas très facile, mais il semble que, pour toi, ce soit un "combat" et qu'il faut que tu le "gagnes". Essaye un jour d'aborder une discussion en imaginant qu'il n'y aura ni "gagnant", ni "perdant", que les échanges d'arguments enrichissent la réflexion de tout le monde. Tu verras, c'est vachement plus agréable...
  7. Merci pour cette tentative de réponse, mais elle n'explique rien... Je viens de passer un (long) moment à relire les lois relatives à l'attribution de la licence d'entrepreneur de spectacle, et ce qu'il ressort c'est que : "toute personne physique ou morale désirant exercer l’activité d’entrepreneur de spectacles doit être titulaire de la licence d’entrepreneur de spectacles correspondante, qu’elle soit productrice ou organisatrice dés lors qu’elle fait appel à des artistes percevant une rémunération". Si je suis le seul artiste de mon spectacle, je ne fais donc pas appel à un autre artiste percevant une rémunération, et je n'ai pas l'obligation de posséder la licence. (Il n'en va pas de même si je viens avec une partenaire et un technicien que j'emploie ; là, oui, il faut la licence.) Je ne dis pas que j'ai raison, mais c'est mon (et pas que la mienne ! ) interprétation des textes qui est confirmée par la connaissance de nombreux professionnels (et pas des moindres) fonctionnant ainsi depuis des années. Si j'ai tort, je souhaiterais que l'on me mette face à un texte officiel ou une décision de justice qui le confirme. Pour l'instant, je continue de croire que, si l'on n'est l'employeur de personne, on n'a pas a avoir de licence d'entrepreneur de spectacle.
  8. Bah... Si tu l'as dit... Juste quelques messages plus haut : Voilà déjà un discours plus nuancé (et, à mon avis, plus proche de la réalité), qui contraste fortement avec plusieurs de tes précédentes interventions...
  9. Il s'agit de la "présomption de salariat", telle que définie dans l'article L.7121-3 du Code du travail. Je ne trouve pas dans quel texte officiel il est dit qu'il doit posséder la licence. Merci de nous donner une référence officielle précise. Je n'envoie personne dans le mur. Un artiste qui veut vivre professionnellement de son art est, à mon avis, suffisamment mature et intelligent pour se renseigner précisément et complètement sur ses devoirs et ses obligations professionnelles. Chacun est responsable de ses actes. Mais quand on demande sous quelle forme on peut exercer l'activité de magicien, je réponds que le salariat (intermittence) n'est pas la seule solution possible, mais que l'on peut aussi exercer en "indépendant" sous le régime de le micro-entreprise (et donc, maintenant, de l'auto-entrepreneur). C'est très bien et cela force le respect. Si ce sont des affaires qui en finale jugent qu'un artiste ne peut pas exercer sous le régime de l'auto-entrepreneur, alors partage avec nous des références précises et des textes précis. Si ces affaires ne concernent pas ce sujet, alors ta référence ne sert à rien dans cette discussion... La discussion ici doit se faire sans passion, juste du point de vue formel du Droit.
  10. Pas d'après le Cour de cassation : "La Cour de cassation a ainsi refusé le bénéfice de la présomption à un soi-disant « artiste du spectacle » qui était immatriculé au registre du commerce et qui, en outre, « choisissait sa clientèle, organisait librement son activité, dont il supportait les charges et risques, et négociait le tarif horaire de ses prestations », de sorte que l’intéressé « devait être considéré comme travaillant à titre indépendant pour son propre compte et non pour celui de la société, les contraintes de lieu et d'horaire auxquelles il était soumis étant imposées par la nature même de l'activité » (Cass. soc., 12 janv. 1995, n° 92-11944)." Alors, qui a raison ? Teddy Rex ou la Cour de cassation ?
  11. Non. Pourrait-on avoir copie de ces courriers (en cachant bien sûr ce qui doit rester confidentiel) afin de lire les termes exacts de ce qui est exactement reproché ?
  12. Si le créateur de sites web travaille pour un seul et même client qui lui assure son chiffre d'affaires, alors oui, on est dans un lien de subordination et cette situation sera requalifiée de salariat par l'administration (et l'employeur sera sanctionné). Si le créateur de sites web a plusieurs clients, qu'il gère lui-même sa démarche commerciale, il n'y pas lien de subordination, et il peut exercer en indépendant. Non, il n'y a aucun lien de subordination ici. Ce n'est le client qui exige du vendeur de vendre des Bicycles bleues, ni qui lui impose comment gérer son affaire.
  13. Ça m'intéresse grandement en effet... Peux-tu préciser exactement ces cas (sans citer les noms bien sûr) ? Quand tu parles de "redressement", tu parles de quoi ? Non paiement des impôts ? Non paiement des charges sociales ? Erreur dans la déclaration du chiffres d'affaires ? Je serais très intéressé pour voir un compte-rendu de justice qui interdise à un artiste vivant d'exercer son activité en "indépendant", i.e. en entreprise individuelle ou en auto-entrepreneur, s'il réunit les conditions pour le faire. Un peu de mauvaise foi lancelot sur ce coup là... Quand je dis "tu peux", ce n'est pas au sens "propriété physique", mais au sens de "la loi l'autorise"... Donc non, au sens de la loi tu ne peux pas rouler à 220km/h sur route (mais sur circuit, oui !)... La réponse est donnée dans la circulaire citée précédemment : "... dans des conditions qui impliquent son inscription au registre du commerce." (Je t'ai connu plus perspicace lancelot... ) Si par exemple un artiste est placé par un seul agent, qui se charge de lui trouver ses contrats (et qui donc lui impose ses dates et heures de travail), on peut considérer qu'il y a lien de subordination et donc salariat. L'artiste ne peut donc pas exercer ainsi en auto-entrepreneur. (Ce cas est d'ailleurs valable pour tous les autres milieux : certaines sociétés demandant à leurs salariés de démissionner, puis de revenir faire le même travail sous le régime de l'auto-entrepreneur, ce qui efface les contraintes du salariat pour l'employeur ; cette façon de faire est complètement illégale.) A contrario, un artiste qui gère sa publicité, ses contrats, ses relations commerciales avec ses clients, qui mandate occasionnellement plusieurs agents (et donc dont la source de travail ne provient pas d'une seule personne), est complètement dans le cadre qui implique son inscription au registre du commerce, et peut donc exercer en auto-entrepreneur.
  14. Once again : "Lorsqu’un artiste choisit d’exercer exclusivement son activité artistique dans des conditions qui impliquent son inscription au registre du commerce, il peut utiliser le régime de l’autoentrepreneuriat pour l’exercice de cette activité indépendante." – Circulaire du Ministère de la Culture et de la communication du 28 janvier 2010 Avec de plus la précision donnée par Tanhouarn dans un thread précédent (temps de recherche sur VM : moins de dix secondes...) : Dont acte. Un artiste du spectacle vivant peut exercer sous le régime de l'auto-entrepreneur.
  15. Il y a au moins trente ans, Gaétan Bloom a créé exactement cet effet : une feuille posée à plat se plie elle-même à vue en cocotte en papier. Et il n'y avait pas besoin de tout ce bazar électronique...
  16. Et comme l'a dit un jour un grand sage (du marketing) : "Si vous demandez le prix, c'est que vous ne pouvez pas vous l'offrir..."
  17. Bah, pas tant que ça en fait. Il n'y en a même qu'un. En 1882, Lindemann prouve que pi est transcendant, ce qui démontre l'impossibilité de la quadrature du cercle. CQFD. That's all folks. Bonjour chez vous (dis-je en claquant la porte dans le dos de celui qui vient de sortir et en me resservant un whisky devant personne parce que c'est les vacances...)
  18. Heureusement que les étudiants en science (fussent-ils lycéens) sont encore en droit de publier les travaux de leurs recherches... Les "magiciens" n'ont pas le monopole de tout !...
  19. C'est Pierre Fleury. La durée d'un Bruxelles-Paris en train, c'est moins d'une heure trente, c'est ça ?... C'est pas très long, une heure trente... Si. Tout-à-fait. En tout cas, pas sans l'accord de l'auteur. Mais, dans le domaine de la magie, il est généralement tacite que l'achat des tours commercialisés autorise celui qui les achète à s'en servir et à les présenter en public (seuls quelques-uns mentionnent l'interdiction de les présenter hors du cadre familial). C'est ce que l'on dit depuis le début. Certains ont soutenu une thèse de doctorat sur la "propriété intellectuelle des tours de magie", c'est dire si ce n'est pas sur un forum de magie que l'on trouvera une réponse, simple, complète et définitive sur la question...
  20. Bah, ça dépend... Parfois oui, parfois non... On ne peut pas protéger l'idée de placer un aimant dans une corde. Par contre, si on en place plusieurs et que l'on présente l'effet d'un noeud qui se ballade, on obtient une oeuvre protégeable. La conférence existe ! Proposée par Pierre Fleury, elle aborde tous ces points... Je pense qu'il est prêt à se déplacer dans tout club qui lui ferait la demande... Cela dit, la réponse à ces questions figurent déjà sur ce forum...
  21. Eh bien tu déduis mal... Relis le premier email de l'INPI... Le brevet est une forme de protection pour une certaine forme de choses, dans certaines conditions. Mais une oeuvre de l'esprit est protégée au titre du droit d'auteur (qui n'a rien à voir avec un brevet). La forme de la bouteille de Perrier est protégée au titre des dessins et modèles (qui n'a rien à voir avec un brevet). La marque Coca-Cola est protégée au titre de marque (qui n'a rien à voir avec un brevet). Le brevet n'est pas la seule forme de protection possible...
  22. Faudra quand même lui dire qu'il y a un américain sans scrupule qui lui pique toutes ses vannes de présentations (et qui se permet de faire un show à Vegas avec !)... Celle de dimanche dernier se trouve à 3'42 dans la vidéo suivante : [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=KNJtvAc_KAs&feature=related
  23. Ça, c'est une remarque de quelqu'un de conscient et réfléchi... Je ne parierai pas un bras sur le fait que c'est représentatif de la majorité... De plus, si on considère que c'est "sans importance" de s'échanger les explications des "trucs", qu'est-ce qui empêcherait d'échanger sur les idées, les présentations, les subtilités fournies avec le tour ?... (Ce que l'on peut d'ailleurs faire, et qui est enrichissant, sans avoir besoin de l'expliquer en détail, le "truc"...) Du peu que je connais du fonctionnement de l'Être humain, il me semble qu'il ne faut pas partir non plus de l'idée préconçue que tout le monde est honnête et respectueux... Et c'est bien ça le problème !
  24. Ou alors de ne pas l'acheter, de se le fabriquer et de l'utiliser sans que le créateur en soit (financièrement) récompensé... Car ce qu'il faut comprendre, c'est que l'on n'achète pas nécessairement un "matériel" mais une "idée". Et une (bonne) idée, ça peut valoir très cher... Celui qui l'a trouvée a pu y consacrer des années, à la faire évoluer et à l'améliorer pour la rendre le plus efficace possible. Peut-être qu'au final elle ne nécessitera que l'emploi d'un trombone et d'un élastique, mais sa valeur intrinsèque sera bien supérieure au prix des matériaux... Cela me rappelle l'histoire de cette grande dame qui va chez Duchemole, le plus grand chapelier de sa ville, pour avoir un très beau chapeau pour le mariage de sa fille. Monsieur Duchemole coupe une bande de soie de deux mètres de long, prend quelques épingles et passe un vingtaine de minutes à créer et installer la coiffe de la grande dame. – Voilà madame, cela fera 100 pièces d'or... – Quoi ? Cent pièces d'or pour deux mètres de soie ? – Ah non, deux mètres de soie ne coûtent qu'une pièce... Je croyais que vous vouliez un chapeau de chez Duchemol... Bien sûr, parfois (souvent ?), le prétexte de la "création" a bon dos pour tenter de nous refourguer de grosses daubes... Il ne faut donc pas forcément acheter tout et n'importe quoi... Mais on peut échanger des avis sans forcément révéler tous les secrets... Dans une activité comme la nôtre, cela me paraît être la moindre des choses...
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