Tableau d'honneur
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Tellement balaise qu'il est même capable de faire apparaître un accent sur un mot anglais afin de lui conférer un tout autre sens que celui d'origine : Quelle tromperie !6 points
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Hier s'est tenue une table ronde pendant plus d'1h30 à la cité des sciences de Paris ayant pour sujet la Magie et les effets spéciaux. Animé par Sébastien Bazou, les invités en étaient : Gaétan Bloom, Claude De Piante, Sébastien Clergue, Hugues Protat et Gilles Arthur. Ces derniers ont débattus de l'apport des magiciens pour donner des idées et créer des effets spéciaux au cinéma. Actuellement la demande au cinéma s'estompe du fait du remplacement des trucages traditionnels par les trucages numériques. Cependant au théatre, là où il ne faut plus simplement produire une image aussi sophistiquée soit-elle, le trucage fait par les magiciens pour créer des effets avec de vrais objets, perdure. Hughes Protat nous conseille de voir le "Faust" qui se jouera bientôt au théatre du vieux Colombier, où les effets visuels mis au point par Raphael Navarro seront, parait-il, très impressionnants. Quand le magicien est engagé pour créer des effets spéciaux, ces derniers peuvent être des effets magiques (comme l'a fait Gaetan Bloom par exemple dans le film "un amour de Sorcière") ou des réalisations non magiques comme des effets avec du feu, de la fumée... le magicien apporte alors une solution avec son ingéniosité de magicien pour créer un effet visuel non magique. Une autre partie du débat a été de parler des émissions de magicien à la TV : Gilles Arthur explique que pour ses méga-illusions, il tenait beaucoup à l'époque à ce que ce soit des "vraies" illusions visibles par un vrai public se tenant devant la "scène" de l'illusion et que ce que voyait le téléspectateur était le captage de ce qui se passait réellement. Puis il nous dit que petit à petit s'est installé dans le paysage TV, des émissions de TV où le magicien faisait appel au trucage vidéo (montage video, trucage numérique...). Pour lui c'est une évolution naturelle et que puisque le public semble accepter qu'on puisse le tromper avec des trucages video, pourquoi les magiciens s'en passeraient-ils ? Mais bizarrement, il dit aussi que cela tue en même temps les magiciens : les effets montrés avec trucages videos étant tellement plus puissants que ceux réellement faisable en spectacle, le spectacle du magicien perd en puissance magique. Pour lui, il y aura une révolution dans le futur chez les magiciens où ces derniers s'empareront des techniques du numérique (par exemple la 3D sur scène), mais il ne sait pas quand cela se produira. Pour ma part je pense que le magicien, travaillant toujours avec des objets réels, subsitera. Le numérique aussi puissant qu'il soit ne projette qu'une image. Or si le spectateur sait qu'il ne voit qu'une image, et que l'effet magique qu'il vient de voir n'est qu'une image "projetée", aussi perfectionnée soit-elle, l'effet magique ne prendra pas totalement, on aura certes de beaux effets visuels mais c'est tout. la magie, selon mon opinion, a bcp à voir avec la réalité, la tangibilité des objets manipulés. Sébastien Clergue lui parle du dernier show de Copperfield où celui-ci fait un numéro de 30 minutes où le spectateur semble plongé dans un film de SF alors que tout se passe sur la scène en vrai devant ses yeux. Copperfield à donc pris le problème à l'envers et fait venir le cinéma dans son show. Ce serait intéressant de voir ce que cela donne, mais on peut faire confiance à Copperfield. Bon, beaucoup d'autres choses ont été dites, les noms de Robert-Houdin, de Méliès, d'Orson Welles, de Jacques Delord ont été à de nombreuses reprises évoqués, Claude De Piante nous a parlé davantage de philosophie de la magie, de l'envie de merveilleux ancrée profondément dans l'être humain... Bref, un débat riche mais trop court à mon avis. Cela a été filmé, surveillez le site de la cités des sciences et le site Artefake, où Sébastien Bazou fera, je pense, un compte-rendu très précis de la soirée.5 points
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"Cameron Black est le plus grand illusionniste au monde. Du moins, c'est ainsi que les gens le considéraient, avant que son plus grand secret ne soit exposé et que sa carrière soit détruite. Pire encore, Cameron a de bonnes raisons de croire que ce n'était pas un accident. Il met donc ses compétences sur la tromperie et l'illusion au service du FBI, pour lequel il devient consultant, afin d'aider les fédéraux à attraper les criminels les plus insaisissables. Créée par Chris Fedak (Chuck, Forever). Produite par Greg Berlanti (Arrow, Flash, Blindspot). Avec Jack Cuttmore-Scott, Ilfenesh Hadera, Amaury Nolasco... Un nouvel épisode disponible tous les lundis sur MTF1VOD en VOST SD/HD à partir de 1.99€. Prochainement sur TF1".2 points
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J'ai longtemps pratiqué le chicago tour d'entrée et je met toujours la carte dans leurs mains et les réactions sont toujours tops, je leurs met rapidement la carte dans la main et leur dit que "le faire un fois c'est bien mais deux fois ce serait mieux" je leur montre que toute les cartes sont rouges, je rassemble les cartes puis claques des doigts et je fait genre que ça à raté pendant pas mal de temps (généralement ils se foutent de moi) puis je dis "ha oui c'est vrai il y a qu'une seul carte bleu, elle est dans ta main" et là les gens ont des réactions de fou !1 point
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Peut-être est'il intéressant de mettre le doigt sur les (t)rois. Pour justement pointer l'impossibilité de manipulations. Ou peut-être est-ce que les déposer nonchalamment sur la table ne les fait pas oublier. Quand on y revient dessus, c'est le spectateur qui est obligé de se faire un recap', donc s'encrer que ce sont les "3" car la blague des as. De voir les rois iras à l'encontre de l'iMage qu'ils venaient de se faire. On n'est pas dans la tête de notre public car on ne saura jamais Mais on peut faire le choix artistique de leurs faire penser à une bidouille impossible (avec notion implicite de bidouille). Ou bien avoir une phrase pour leurs faire remarquer que les "3" sont seuls dans leurs coins (sous entendu personne ne s'en est approché, pas même toi). Il est peut-être intéressant de tester les variations sur plusieurs publics pour voir qu'est ce qui correspond le plus à ton caractère1 point
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Un grand classique de notre art à (re)découvrir : https://archive.org/details/discoverieofwitc00scot Bonne lecture !1 point
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Pour ceux qui voudraient une entrée en matière plus simple (en français) Le livre XIII : SCOT Reginald, La sorcellerie dévoilée XIII (trad. Saint Laurent), Georges Proust 2011 L'intégrale : Scot Reginald, La Sorcellerie démystifiée, trad. en fr. par Pierre Kapitaniak, Grenoble, Jérôme Million, 2015, 694 p. -1 point
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http://www.novethic.fr/actualite/environnement/ressources-naturelles/isr-rse/la-transition-energetique-est-la-plus-fantastique-operation-de-greenwashing-de-l-histoire-selon-guillaume-pitron-145489.html1 point
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Cool ! Des centaines de pages truffées de liens à explorer, de citations diverses et surement une bonne centaine d’heures de vidéos à visionner, des références vers des dizaines ou des centaines de livres, dont il faudra avoir lu une bonne partie pour se faire une petite idée du sujet. En bref des centaines et des centaines d’heures de méditation en perspective sur des sujets aussi pointus que la physique quantique, la cosmologie, la philosophie, la psychologie, les théologies, les neurosciences, la métaphysique, l’ontologie, l’épistémologie, la phénoménologie… Sans oublier le plus important : Le moment où après avoir exploré tout ça tu opère un petit retournement de conscience vers toi même (vers le sujet pensant, vers le « je suis ») pour intégrer toutes ces connaissances et réaliser que finalement la réponse que tu cherches est à l’intérieur de toi (ou bien qu’en réalité il n’y a ni intérieur, ni extérieur). Ce dernier point est un truc qui est pas mal à faire lors d’un voyage dans l’Himalaya par exemple (mais ça peut marcher aussi dans la campagne normande). Ne pas oublier durant tout le temps de la Quête d’avoir une bonne hygiène de vie pour toutes ces explorations : Même si c’est essentiellement l’esprit qui va travailler, penser à s’occuper de son corps, faire un peu de sport, penser aux petits plaisirs du quotidien : un éclair au chocolat, une caresse à un chien, s’offrir un massage aux huiles chaudes dans un salon sérieux. Bref ne pas laisser la Quête devenir trop obsédante. Et veillez également à un bon équilibre affectif. La Quête n’est pas seulement un travail intellectuel ou philosophique. Elle est éminemment existentielle comme je l’ai déjà indiqué par ici. C’est à dire qu’Elle nous confronte à nous même et à notre existence donc à nos angoisses et à nos zones d’ombre. Il peut être judicieux d’être accompagné par un bon thérapeute à certain moments de la Quête. Voila, Maxence, bon courage à toi ! Comme tu le vois la magie (et VM) mène à tout. Le but de la magie est de transformer le magicien.1 point
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Il existe un tour similaire : Blank Night (bleu) - John Archer L’émission de télévision de Penn and Teller « Fool us » avait un principe simple : réaliser un effet que le célèbre duo n’arriverait pas à comprendre. Seuls deux magiciens ont trompé Penn & Teller dans la première émission, et l’un d’eux était John Archer. Il l‘a fait avec une routine simple et intelligente appelée « Blank Night » . Cinq enveloppes sont présentées alors que vous expliquez que l’une d’entre elles contient un prix de $100 (utilisez le montant et la monnaie que vous préférez). Des membres du public choisissent 4 des 5 enveloppes, mais ne trouvent que de maigres lots de consolation (comme un billet de $0). Sans aucun mouvement suspect, l’enveloppe restante et ouverte pour révéler qu’elle contient le billet de $100. Les billets ne sont pas pliés et sont véritablement sortis de l’enveloppe. Pas de charge sur le corps, de change d’enveloppe ou de FP. Blank Night a laissé Penn & Teller sans voix Lien vidéo :1 point
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Pour le fil qui se coince, vérifie d'abord que le roulement est bien emboité jusqu'au bout, afin de ne pas avoir de sur-élévation de la bobine (J'ai du démonter le mien et nettoyer doucement l'axe avec la pointe d'un couteau car j'avais un léger "jour" qui me provoquait la même chose que toi) Pour le bruit, une goutte d'huile de machine à coudre ( parfois on reçoit aussi cette huile en petite quantité avec les rasoirs électriques )1 point
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C'est un peu plus compliqué que cela Hihihi, on semble tourner un peu en rond : Je retiens de cela une discussion de différentes méthodes de choix et de révélations… Alors voila un petit bout d’article du DEUDLMDG, cela peut donner des pistes de réflexion, et vous pourrez compléter ce qui manque Je ne parlerai pas des façons de faire, j’ai coupé la plupart des descriptions de méthodes, on est en public… Voyons cela point par point. Du choix du spectateur Voyons comme s’articule un tour simple reposant sur un choix de spectateur. 1 : -Chose pensée -Le magicien donne le nom de la chose pensée -Le spectateur confirme. C’est bien sûr l’approche la plus magique. C’est aussi, paradoxalement, la moins intéressante au niveau spectacle. Pas de suspens, dans le déroulement : pour créer un suspens, il va falloir faire la révélation par petites touches, ne pas donner tout de suite l’information complète, pour que la révélation fabrique elle-même le suspens. Mais il n’y a pas de confirmation matérielle, seul le spectateur qui a pensé à la chose sait que c’est vrai, les autres peuvent penser qu’il y a collusion. C’est aussi un terrain risqué, car le spectateur lui-même peut changer d’idée, juste pour nous contrarier. On peut arriver à un résultat qui ressemble à cela par un pré show, ou par des techniques d’effet barnum par exemple. 2 : -Chose pensée -Le spectateur matérialise la chose, en prenant un objet (ex : la carte choisie mentalement avant), en écrivant son nom, en dessinant la chose. -Le magicien donne le nom de la chose pensée -Le spectateur confirme et on peut produire la concrétisation pour preuve, pour les autres spectateurs. Déjà plus intéressant… Au moins, on est protégé d’un brusque changement dans le choix du spectateur. Le moyen évident pour avoir l’information consiste à consulter la preuve que le spectateur a concrétisée : Il faut donc qu’apparemment, le magicien ne puisse pas avoir accès à cette preuve directement. La plupart des moyens utilisés sont donc indirects. Mais pas toujours… 3 : -Chose pensée -Le spectateur matérialise la chose, en prenant un objet (la carte choisie mentalement avant), en écrivant son nom, en dessinant la chose. -Le magicien fait alors une lecture de pensée, et défini une preuve, qui reste cachée pour l’instant. -on regarde ce qu’a le spectateur, ce qu’a le magicien, cela correspond. Au niveau spectacle, les possibilités sont intéressantes, car nous avons deux objets matériels, qui apparemment ne peuvent être modifiés. On a donc un gros outil pour amener du suspens. L’ordre de révélation est à définir : Faut-il montrer en premier la preuve du spectateur, ou celle du magicien. J’écarte d’office le fait de montrer les deux en même, sauf si le type d’effet est une synchronicité : dans ce cas, montrer en simultané va dans le sens de l’effet. Sinon, c’est perdre une chance de faire monter le suspens encore plus en procédant en deux temps. Monter le choix du spectateur en premier n’est valable que si les conditions pour échanger le choix du magicien sont vues comme impossible. Sinon, je préfère que le magicien montre son choix en premier, puis on voit celui du spectateur : cela donne une impression de « risque » accru pour le magicien, qui ne peux plus faire marche arrière une fois sa preuve révélée. 4 : -La chose n’est pas pensée librement, mais choisie dans une sélection proposée par le magicien, qui peut être plus ou moins étendue. C’est le cas typique du « pensez à une carte », mais n’oublions pas que cela peut être étendu à d’autres listes d’objets. Là, on a deux orientations : Soit on est sur de la pensée uniquement, comme à l’étape 1, soit on concrétise comme en 2 et 3. C’est peut-être un peu moins fort pratiquement que le choix libre, mais psychologiquement, je trouve que cela renforce l’effet : on est dans une liste connue du reste du public, qui va ressentir une mise en confiance du fait de cette restriction. La liste permet au spectateur de prendre en compte une donnée chiffrée : c’est une liste finie. Une liste infinie est d’office plus vague. La liste apporte donc de la précision à l’effet. C’est très paradoxal de prétendre qu’une prédiction complétement libre peut être moins forte qu’une prédiction dans une liste, je m’en rends compte. Ba, c’est une impression… 5 : -La chose n’est pas choisie mentalement, mais directement physiquement parmi une sélection : Cela revient à enlever la première étape mentale des cas 2 ou 3. On peut revenir pour le public à un statut mental, en faisant oublier ce choix, et en demandant au spectateur de se concentrer sur sa carte, de préciser sa pensée, de visualiser… on va donc transformer un choix physique en choix mental, au bluff. 6 : -Non seulement la chose n’est pas choisie mentalement, mais en plus le choix est en aveugle : Le spectateur ne sait pas ce qu’il a « choisi » au moment où il le choisi. On peut redonner une impression de choix libre, en donnant une caractéristique secondaire à choisir, pour sélectionner la chose, comme sa position par exemple. Typiquement, c’est le fameux « Dite moi stop pendant que j’effeuille les cartes : vous pouvez m’arrêter au début, au milieu, à la fin, c’est votre choix… » On peut rester dans un effet de lecture de pensée, si le spectateur prend connaissance de son « choix ». 7 : -Comme le 6, mais le spectateur ne prend pas connaissance de son choix avant la révélation finale. Mais du coup, on n’est plus dans un effet de lecture de pensée du spectateur, mais dans une divination, coïncidence ou une prédiction. Il doit y avoir d’autres cas de figures, mais ceux-ci-dessus suffiront pour la réflexion : On voit que chaque modification dans la façon de choisir par le spectateur, et la façon de trouver ce choix par le magicien, peut amener à des techniques et méthodes différentes. Gardez à l’esprit qu’il y a de multiples façons de faire, mais que l’ordonnancement de votre tour va définir une plage de méthode, et en éliminer d’autres. Le but est d’aller vers un effet le plus magique possible, sans que puisse s’installer le doute du spectateur sur une méthode possible. Le plus fort n’est donc pas toujours le meilleur… Sauf si... Gilbus1 point
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L'essentiel a été donné. J'ajouterais juste quelques détails / conseils pratiques : - un bon gros dictionnaire permet de faire tenir une ou plusieurs cartes (en les glissant partiellement entre les pages); C'est plus facile de reprendre les cartes (cela simule les mains des spectateurs à peu de frais avec quelque chose qu'on a tous sous la main) - une caméra sur pied ou à défaut, un téléphone portable sur pied (un petit adaptateur pour portable à visser sur n'importe quel pied coûte trois fois rien) - un miroir mais attention, c'est un faux ami car il ne tient pas compte du point de vue des spectateurs (angles) et vous serez partagés entre regarder ce que vous faites et regarder votre image dans le miroir. Avec la caméra, vous vous concentrez uniquement sur votre routine ou numéro PUIS vous regardez et analysez (et corrigez) ce que ça a donné; et vous pouvez faire cela (simultanément ou non) sous plusieurs angles (filmer sous plusieurs angles en même temps oblige bien entendu à avoir plusieurs caméra ou à disposer un miroir de manière judicieuse mais le résultat ne sera pas aussi bon). - écrire la routine ou pas : la préparation, le scenario, l'enchaînement, c'est toujours utile, oui. Ecrire le texte, ça dépend. Parfois, on a tendance à trop réciter lorsqu'on écrit un texte. Ou alors, si on l'écrit, mieux vaut ne pas l'apprendre par cœur mais savoir en ressortit l'essentiel. J'ai appris cela grâce à Gilbus : on gagne en spontanéité dans notre façon de parler. Pour les définitions, je n'utilise pas le mot "set". Déjà parce que c'est un mot anglophone et que nous avons déjà, en Français, des mots équivalents. Ensuite parce que c'est vraiment un mot fourre-tout pour moi. Donc voici comment je raisonne : - effet : pour moi il existe deux types d'effets qui peuvent se "croiser". 1) Ce qui se passe (ex : le foulard change de couleur, la carte passe à travers la vitre, etc...). Dans les livres, la description de la démonstration est souvent assimilée à cette définition de l'effet. 2) L'effet produit sur le spectateur (ex : on a remonter le temps, on a lu dans ses pensées, etc... mais aussi le foulard qui change de couleur, la carte passe à travers la vitre, etc... - un tour comporte un effet (c'est un effet amené d'une certaine manière, avec une certaine présentation, un texte ou pas, telle ou telle méthode) - une routine est un petit ensemble d'effets qui s'enchaînent logiquement - un numéro est une plus grande succession d'effets qui s'enchaînent logiquement Remarques : - on parle plus souvent de routine en close-up et de numéro pour la scène. - la distinction entre routine et numéro n'est pas toujours facile à faire : c'est à l'appréciation de chacun. - un spectacle est une succession de numéros ou de routines présentés par un même artiste ou même groupe d'artiste - un gala est une succession de numéros ou de routines présentés par des artistes ou groupes d'artistes différents Bien entendu, chacun peut avoir des définitions différentes. J'indique les miennes uniquement pour que vous sachiez de quoi de parle quand j'utilise un de ces mots et aussi parce que je pense que nous nous rejoignions pour la plupart sur ces définitions. Derniers conseils pour les répétitions : - répéter au moins une fois avec le même costume et dans les conditions les plus proches de celles dans lesquelles on compte se produire - anticiper les problèmes éventuel et prévoir des solutions / sorties de secours (on trouve parfois des sorties plus fortes que l'effet de départ donc ça vaut d'autant plus le coup de passer du temps à en chercher) Récemment, je n'ai pas anticiper tout ce qui pouvait m'arriver dans ma routine de bouteille et j'en ai fais les frais : incertitudes, flash. On ne peut pas penser à tout mais tout ce qu'on peut anticiper est une épine potentielle en moins. Pour les premiers essais devant de vraies personnes : 1) devant des magiciens : sur un forum ou devant les membres d'un club. Si on rate, ce n'est pas grave puisque nous sommes dans la "confidence". Notez les remarques qu'on vous fait mais ne les prenez pas toujours à la lettre : ce sont des points de vue de magiciens. Ils doivent nous faire nous poser des questions qui seront à confirmer auprès d'un public profane (mais au moins, vous êtes averti sur les points sur lesquels porter votre attention). 2) devant des profanes avertis (des proches : amis, famille) : le mieux sont ceux qui n'hésiterons pas à vous dire ce qui va ou ne va pas. Ceux qui sont bluffés, quelque soit ce que vous leur présenter ne vous ferons pas vraiment avancer (mais ils pourront vous remonter le moral dans certains cas !) 3) devant des profanes inconnus : à un moment ou à un autre, il faut se jeter à l'eau. Bien entendu, l'ordre que j'indique est juste pour ceux qui veulent prendre le moins de risques possibles avant de se jeter à l'eau mais on peut très bien y aller directement. C'est une question de confiance en soi, d'assurance d'être prêt, de réussir.1 point
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Merci Erween. Pour vous qui n'avez pas acheté le Green Neck par VM, un peu de patience... L'effet est au sommaire de mon prochain livre!1 point
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Je l'avais maté à l'époque mais ça m'avait pas transcendé, malgré quelques bons passages. Pour ce qui est de l'éthique, il ne faut pas oublier que le spectateur est lui aussi la "victime" de l'expérience, et tous les procédés télévisuels que le show utilise sont avant tout dirigés vers celui qui tient la télécommande. Difficile donc de juger l'expérience en elle même. Dans le même genre: Sinon le must de D. Brown sur C4, pour moi, ça reste ça:1 point
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