Tableau d'honneur

Mon tout premier close-up. Un restaurant avec mon club de magie. J'étais super prêt, j'avais lu tous les bouquins qu'il fallait (enfin, je le pensais), j'avais super bien préparé mes sets avec montée en intensité, etc., ils allaient voir ce qu'ils allaient voir, tout le monde allait m'applaudir, les autres du club seraient morts de jalousie, tout ça. Sauf que... le restaurant avait une configuration spéciale avec certaines tables en contrebas. En gros, les gens avaient le visage à hauteur de... notre entrejambe, quoi. Je fais un tour qui se passe bien et j'enchaîne comme j'avais prévu sur une routine d'anneaux (Messado rings) qui avait jusqu'ici toujours reçu un super accueil. Sauf que très rapidement, la dame juste à ma droite voit la clé (forcément, vu qu'elle était en contrebas) et le crie haut et fort. J'essaie de la jouer naturel, je lui dis "mais chut, faut pas le dire !" façon blague (dire le vrai pour qu'ils pensent que c'est faux... vous suivez ?), sauf qu'elle n'en démord pas et se met à carrément vouloir m'arracher l'anneau de la main. Je vous laisse imaginer la scène avec la spectatrice cramponnée à mon anneau et moi en train de tirer dans l'autre sens... Enfin bref, je ne finis pas la routine, je passe à autre chose que je fais en tremblant et je salue tout penaud. Je ne me sentais déjà pas trop bien en arrivant à la table suivante, je commence à tâter ma poche pour sortir mon jeu de carte quand le mâle alpha de la table, qui avait visiblement un peu abusé de l'apéro, me balance bien agressivement "Ouais, vas-y, trouve-les, tes cartes truquées !". Je me dis "toi, mon coco, je vais te faire mon meilleur tour" (les trois autres ne disaient absolument rien, c'était très étrange). Je lui force royalement une carte (j'étais content), je mélange, tout le tintouin et quand je sors la carte d'un endroit impossible "Ah non, c'était pas celle-là, qu'est-ce t'as foutu ?!" Je ne sais pas si c'est moi qui me suis planté (j'étais très fébrile) ou s'il l'a fait exprès. Je me dis que je vais faire une carte au portefeuille pour sauver le truc, je lui demande qu'elle était sa carte. Réponse "Ah ben non, faut la deviner, mon vieux !". A force d'insister, il finit par lâcher un nom de carte, je fais le tour, une nana fait "ooooh !" et lui dit "Ouais... pas terrible". J'ai quitté la salle les larmes au bord des yeux en me disant que j'allais arrêter la magie. Heureusement que les copains du club étaient là. Ils m'ont poussé à tenter d'autres tables à l'autre bout de la salle... et, là, par contre, ça a été phénoménal (des gens hyper gentils, super contents des tours que je leur ai faits. A une table, une dame est venue me soir pour me prévenir qu'une des spectatrices était aveugle. Histoire qu'elle participe, je l'ai prise comme complice pour un paquet invisible et d'autres tours, ils ont adoré). Enfin bref, c'était un baptême du feu riche en émotions et qui m'a bien remis à ma place. Depuis, j'ai beaucoup travaillé les sorties en cas de loupé, au point que, comme Chackan, j'aimerais parfois les faire plus souvent. J'ai aussi appris à me détendre et à plaisanter avec les chieurs (enfin, moins avec les avinés agressifs), au point que ce sont parfois mes spectateurs préférés (parce que l'effet est parfois d'autant plus fort sur eux). Quand j'y réfléchis, j'ai l'impression qu'en fait, avec l'expérience, je n'ai pas tant appris à moins "louper" mes tours qu'à faire en sorte que ça ne se voie pas.

Au temps pour moi... J'ai pas dû être suffisamment attentif... C'est vrai, j'ai la mémoire qui patine, c'était juste avant le 29/08/1977

« Les nains et les géants » ou « Une entropie de la connaissance » « Les Jours Noirs » d’Arturo de Ascanio est paru en France en 1997 (Édition Joker Deluxe) et j’ai eu depuis l’occasion de rencontrer plusieurs personnes m’ayant cité « cette fameuse phrase d’Ascanio » qu’ils avaient lue en page 96 de l’ouvrage. Comme cela arrive si souvent, leur mémoire avait réduit et déformé l’information originale exacte pour n’en conserver que le sens approximatif, tout en l’associant et la créditant par amalgame à l’auteur du livre lui-même. Ils n’en sont pas pour autant à blâmer car nous faisons tous exactement le même type de fausses références à longueurs de journée, tout d’abord simplement parce que la mémoire est quelque peu limitée et sélective, mais aussi parce qu’accéder aux véritables sources constitue un véritable travail d’investigation. Le goût de l’effort dans ce type de recherches étant malheureusement loin d’être répandu et les obstacles à surmonter nombreux pour ceux qui s’y risquent, cela entraîne ce que l’on pourrait appeler une véritable « entropie de la connaissance ». Pour lutter contre cette perte de l’information, cette dégradation de l’état des savoirs, il est nécessaire que des organismes (comme la S.I.A.M. le fait -de façon encore embryonnaire- dans le monde des arts magiques) puissent aider quiconque dans sa recherche de sources par l’intermédiaire d’un réseau d’experts, de bibliothèques, de banques de données ou tout autre système référentiel utile. Ceci est indispensable si l’on ne veut pas que se détériore la mémoire de l’art magique qui est un véritable trésor au sens le plus noble du terme. Pour ceux qui ne se sont pas encore rué sur la citation dont il est question au début de cet article, je la retranscris ici mot pour mot. « Je fais mienne cette pensée de Newton : J’ai pu voir plus loin que d’autres, Car j’ai pris appui sur les épaules de géants ». Effectivement, cette pensée révérencieuse est profonde, et elle semble encore magnifiée par l’illustre penseur qui en a la paternité, Sir Issac Newton lui-même ! Mais il conviendrait d’être prudent et se de référer au texte original car il n’est pas déraisonnable de supposer qu’Ascanio s’est servi d’une traduction en espagnol d’un texte anglais (ou peut-être latin ?), cette version d’Ascanio ayant été ensuite traduite à nouveau de l’espagnol au français pour l’édition chez Joker Deluxe (les lecteurs francophones peuvent d’ailleurs remercier Alain Midan et Laurent Vadel d’avoir effectué ce travail). Carlos Vaquera, élève d’Ascanio et auteur de la préface des Jours Noirs nous propose dans le numéro 29 d’Imagik (page 13) une autre version de cette réflexion : Comme disait Newton : « Je pouvais voir plus loin que les autres car j’étais perché sur les épaules de géants ! ». Il y a déjà là matière à écrire toute une étude comparative de ces deux versions, tant de nuances s’exprimant au travers de l’idée de base - par ailleurs implicite et bien là - mais habillée de façon différente. Aucune revue magique actuelle n’accorderait la moindre place pour publier une étude de la sorte, mais on peut brièvement observer dans la « version Ascanio » une mise en page du texte et une découpe qui lui confèrent une forme poétique (un vers) ce qui n’est pas le cas de la « version Vaquera » qui est plus une assertion de type langage courant ou parlé (…comme «disait » Newton…). On pourrait disserter et épiloguer sur la nette distinction qui existe entre le fait de « prendre appui » sur les épaules de géants où d’y être carrément « perché ». Mais mon objectif est principalement de montrer comment très vite apparaissent le flou et le sentiment désagréables de ne pas avoir accès à la source réelle, impression que j’appelle dans un jargon qui m’est propre « un lourd sentiment d’incomplétude ». Parmi les grands vulgarisateurs d’aujourd’hui de trouve un professeur de l’université de Harvard qui enseigne la géologie, la biologie et l’histoire des sciences. Chacun de ses recueils sur l’histoire naturelle est un best-seller tant ils sont stimulants pour l’esprit en renversant systématiquement de nombreuses idées reçues. Stephen Jay Gould, dont je ne peux que vous conseiller de dévorer la totalité des ouvrages afin d’exercer votre esprit critique et développer votre goût de remonter jusqu’aux sources premières, vous démontrera comment souvent il arrive qu’un document ou une source originale peut révéler des informations qui vont très exactement à l’opposé de ce que l’on croyait en connaître avant de les consulter. En Mai 2000, Gould publia aux éditions Seuil « Les quatre antilopes de l’Apocalypse ». Il est question au chapitre 7 des « redécouvertes qui ne se savent pas comme telles ». De nombreux magiciens qui me lisent comprennent là parfaitement de quoi il est question, et je ne peux m’empêcher de citer la suite tant elle s’applique à merveille à votre domaine artistique : « (…) cela concerne des cas où des personnes, tout à la joie d’avoir personnellement compris quelque chose de nouveau, pensent qu’elles viennent de deviner une vérité pour la toute première fois, alors qu’elle était déjà connue auparavant ». Ce qui va nous intéresser dans ce chapitre, c’est qu’il y est question d’un livre de Robert K. Merton «On The Shouldiers of the Giants » (« Sur les épaules des géants ») dont l’un des thèmes est « constitué par une recherche délicieusement baroque à travers l’histoire (…) » afin de retrouver l’origine d’une citation généralement attribuée à Isaac Newton (d’après une lettre qu’il a écrite à Robert Hooke) : « Si j’ai vu plus loin, c’est que je me suis tenu sur les épaules des géants ». Gould dit : « Comme le montre Merton, Newton n’avait pas prétendu en écrivant cette phrase, faire œuvre de créateur. Il avait simplement répété une formule généralement regardée comme faisant partie du domaine public, au point qu’il n’était pas nécessaire de lui adjoindre des guillemets ». Passons sur cette troisième ( !) formulation et essayons de tenir pied face à cette mise en abîme historique dans laquelle nous plonge cette seule recherche d’antériorité ! Je n’ai pas lu le livre de Merton, mais je sais que ce dernier est remonté jusqu’à 1126 pour retrouver l’origine de cette citation. J’ai eu cependant accès à la même source moyenâgeuse d’une façon totalement indirecte. Mon frère, qui consacre presque tous ses week-end depuis une trentaine d’années à la montagne, recueille systématiquement par écrit ses réflexions sur chacune de ses sorties. Également grand amateur de littérature devant l’éternel, il note régulièrement dans ses cahiers les pensées tirées au hasard de ses lectures ayant trait - de près ou de loin - à l’idée qu’il se fait de la montagne, de l’effort, et de sa philosophie de la vie. Dans le dernier recueil qu’il vient d’achever, j’ai eu la joie de découvrir ce qui me semble être la formulation la plus limpide de cette vieille citation. Je vais retranscrire ici mot pour mot cette version qui ne contient pas ce sens ambivalent que Gould appelle un peu ironiquement « une métaphore de la modestie… ou de la fausse modestie » ! (Relisez les autres ci-dessus pour constater qu’effectivement, elles cachent mal une véritable petite part d’orgueil dans leur forme tronquée). « Nous sommes comme des nains montés sur les épaules de géants, si bien que nous pouvons voir plus de choses qu’eux et plus loin qu’eux, non que notre vision soit plus perçante ou notre taille plus haute, mais parce que nous sommes transportés et élevés plus haut grâce à leur taille ». Bernard de Chartres (XIIème siècle) Mes remerciements à Fabienne Gambrelle qui a fait des recherches à la Bibliothèque Nationale sur Bernard de Chartres, ainsi qu’à mon frère Michel. Enfin, une pensée vraiment émue pour Stephen Jay Gould qui a disparu depuis peu, et qui me manque terriblement. Christian GIRARD

De bonnes astuces pour se débarrasser des "mauvais" spectateurs sont dans le Book of Magic T1 (et oui, maintenant il faut préciser le tome )

sinon y a aussi RED d'Edouard Boulanger , très bon

De nos jours, c'est plus Magimix, Moulinex, ou Krups. Mais du coup ça sonne moins bien J'espère que tu trouveras ton bonheur dans tout ça.

le Dvd de Vallarino est bien pour débuter mais pour débuter seulement.

c'est uniquement en DVD

Vallarino a sorti un DvD sur les balles mousses Baller est vraiment top

Wahou !!! Un grand merci Sébastien ! (aller, j'ose ma blague des années 90) Seb, c'est bien ! je vais regarder ce qui est dispo dans tout ça en vente dématérialisée. Rien que dans les vidéos de présentation j'ai noté déjà quelques trucs qui ne sont pas développé par Daryl. Au passage je trouve que le faux-dépôt classique est assez mal expliqué par Daryl, il le survol très vite. Alors qu'il explique très bien tout le reste !!! J'adore ses 4 DvD à Daryl. Bref, encore un grand merci pour ton retour prolifique

En téléchargement, tu peux déjà trouver ça: Duane Laflin - Clever Sponge Ball Magic Tony Clark - Sponge Balls Routine World's Greatest Magic - Sponge Balls Jay Noblezada - SPONGE Michael "Kekoa" Erickson - Sponge Ball Routine Jonathan Royle - Royle's Comedy Cabaret Sponge Ball Routine Patrick Page - Secret Seminar of Magic Volume 5 - Sponge Balls Sinon en matos tu as aussi Baller de JP CHALATSIS. On en parle ici: Une idée d'enchainement possible incluant des balles mousses. Tu fais la routine Turbo Stick de Leo Smeters (Richard Sanders). Il y a une routine "Sponge" avec des points rouges où tu fais apparaître à la fin deux balles mousse. C'est présenté par @Alex' dans sa critique du produit. Ensuite, tu fais tes routines de balles mousse, tu peux finir avec une production de Rubik's Cube en mousse. Et tu peux enchainer ensuite sur une routine de Rubik's Cube. Voili voilou...

A la base c'est une humouriste, elle fait des spectacles sympas dans le même style, jeune femme jolie avec une petite robe, une petite voix et des textes très crus. Tu trouveras des prestas sur le web. J'aime beaucoup.

Bon alors, rien à voir avec la magie mais... Wahou, j'ai été scotché par la nénette avec sa guitare !!! Je n'l'ai pas vu venir le coup de l'enfant dans sa deuxième chanson ^^ Des chansons en punch-lines concaténées ! Du grand art ! Malgré l'absence totale de talent pour le chant et la musique

C'est bien pour ça que je l'ai cité dans ma première intervention :

Une qui n'a pas encore été citée et que j'aime beaucoup :

Alors petit CR Reçu le tour et franchement c'est une tres bonne idée fred fournit tout mais alors tout pour réaliser le tour. Alors que d'autres fournissent le strict minimum voire faut se fabriquer nous même le gimmick. Fin du HS donc pour l'effet le spectateur "choisit" sa carte la regarde sous toutes les coutures la signe la remet dans le jeu lui même si il le souhaites Et lorsque le petit bouton est pressé a le paquet "explose" Le jeu est étalé et la carte choisie est noircie sur le dos Je trouve vraiment que c'est très fort Certains diront que l'on peux faire pareil avec une LD mais dans ce cas le spectateurs ne peux pas prendre la carte lui même etc ça renforce l'impact je trouve c'est clean de chez clean Niveau pratique il y a un gimmick a avoir sur soi on peux le mettre facilement dans sa poche intérieure avec le jeu Je ne peux pas trop dévoiler plus Concernant l'effet de la carte brûlé il y a timming assez serré a respecter du a la propriété du gimmick mais on a largement le temps C'est la première fois depuis steam que je suis autant étonné du procédé du gimmick qui paraît aussi magique que le tour en lui même Fred nous donne une routine clé en main mais rien n'empêche de develloper d'autres idées On peux aussi faire apparaitre la brûlure de la carte a vue si on le souhaite j'ai fait une petite vidéo vite fait pour vous présenter l'effet rapidement soyez indulgents en tout cas vraiment ravi de ce tour J'espère ne pas avoir été trop long 20171116_150816.mp4

C'est plus fort que moi mais cette phrase m'a déclenché un fou rire je vous l'avoue. Je ne suis qu'un amateur passionné sans expérience professionnelle de la magie, mais j'imagine la scène...;) Astuce : enchainer par l'apparition d'un verre d'eau plein pour éteindre le spectateur illico presto !

Il y en a tellement... Pour moi, il est impensable de parler de gobelets sans citer Al Schneider. Un peu chiant niveau présentation, mais quelle merveille de technique et de simplicité. C'est épuré au possible, hyper naturel. Jason Michaels, aussi, a une routine à la fois très distrayante et très bien construite (avec de très belles passes) Mais il y en a vraiment plein... Dans le genre "Renaissance", Master Payne a une routine très drôle qui dure un bon quart d'heure sans qu'on le voie passer. Et puis, il y a Colombini, bien entendu. Et Williamson. Et Dick Williams... En France, Olivier Mistral a une très belle routine à deux gobelets, aussi.

Alors finalement, il y a des rebondissements dans cette histoire de filament à couper le beurre : un prêtre serait également impliqué. Je tiens de source sûre qu'il s'agissait de beurre de missel.

Puisqu'il s'agit d'un jeu de cartes, ce sont les fameuses balises en carton.

Réaction à chaud de Donovan le magicien ! Plaisant à voir, belle histoire au travers des cartes, j'aime beaucoup ce principe ! Indémodable et vraiment beau quand personnalisé. Le choix de la musique ainsi que sa révélation manquent pour moi de recherche, il est allé directement de A à Z sans passer par le reste. Hâte de le voir évoluer au sein de l'emission et d'en voir d'autres.

Moi, je dis que rien que pour le bracelet du niveau 5 - Red Grand Prize, ça vaut le coup de dépenser chez eux. Je rêvais d'un bracelet avec la tête de Daniel Madison un peut partout. Mes voeux sont enfin exaucés .

Bonjour, je fais un petit retour pour ceux qui seraient intéressés par ce tour : Je commence par ce que j'ai aimé : - le gimmick est très réaliste - Originalité du tour, faire de la magie avec des animaux est une première pour moi et l'impact sur les gens est vraiment sympa. - Pas de difficulté majeure pour la version courte (juste un petit coup de main à prendre). - Fonctionne à merveille avec les enfants Ce que j'ai moins aimé : - le gimmick fait un peu de bruit - le prix : 59 € - J'attends de voir la solidité du gimmick avec le temps

Tony , n'oublie pas de demander à te faire payer pour tes passages car il ne faut pas oublier qu'une emission comme celle là génére de fabuleux profits pour les producteurs sur le dos des artistes qui y passent ( je crois qu'une emission est evaluée à 350.000 euros !)

Hâte de t'y voir alors

Et encore je me suis assagi il y a quelques années quand mes dents me le permettaient je les mangeais.

Moi les gamins y me gonflent! Si tu ne les cadres pas les mouflets ils ont vite fait de t'envahir, alors je préfère les envoyer à leurs jeux vidéo pendant que je m'occupe de leurs parents. Leurs parents,eux, sont bon public, ils ne comprennent jamais rien à rien, j'en connais même qui sont jamais allés sur le net, une disparition de foulard au Fp et ils ont plein d'étoiles dans les yeux. Et puis ce ne sont pas les gamins qui vont te donner un billet de 20 € pour le faire disparaître vu que leur tune ils la gardent pour se payer les joints qu'il fumeront dans l'escalier de mon immeuble. Mon meilleur public c'est la vieille du 3eme une fois que je lui ai monté ses courses je lui fais le coup du pouce coupé elle rit à s'en déboîter le dentier et les amortisseurs de son fauteuil roulant sont mis à rude épreuve. J'ai réussi à ce qu'elle me mette sur son testament, les autres de l'immeuble pense qu'elle n'a pas un radis mais moi je sais ou elle planque son blé alors qu'elle, a oublié depuis longtemps. Non vraiment moi les gamins y me gonflent !

Perso j'ai acheté une raquette de tennis le mois dernier comment je peux faire ça ?

Mise en page des documents refaite. J'ai dû découper le doc. en 5 parties pour que les fichiers puisent être envoyés : 11805.pdf 11806.pdf 11807.pdf 11808.pdf 11809.pdf