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Publié le
Le 13/09/2021 à 08:21, Christian GIRARD a dit :

Pour info, Leo Harry Boudreau étant né à Rhode Island (c’est justement Daniel "Rhod" 😉 qui proposa quelques tours de ce monsieur dans Imagik) il est peu probable que son prénom comporte un accent.

Une recherche dans VM ouvre sur deux pages de références, dont ce sujet de 2013 qui lui est consacré :

 

J'ai déjà lu ce fil de discussion. Très intéressant. 

Ça y est j'ai commandé psimatrika... J'ai hâte de découvrir... 

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C'est parce que ça ne sert à rien qu'il faut le faire sérieusement 

Publié le

Pour avoir eu la chance de rencontrer Henk dernièrement, je peux vous dire que son travail est remarquable ! C'est une porte ouverte vers de nouvelles découvertes binaires de qualité. Que vous soyez novice dans le domaine ou aguerri, vous trouverez de très bonnes idées. 

Rien que l'idée sur le stack Si-Stebbins en vaut le détour ! 

N'hésitez plus et bonne lecture. 

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Publié le
Le 13/09/2021 à 10:30, Michael VESSEREAU a dit :

Pourquoi ? 

Pour avoir fait des expériences du style "Lie to me" ou "Manoeda" à des informaticiens et matheux habitués à manipuler des "tables de vérité", je peux dire que ça ne marche pas du tout. Quel que soit le script derrière, ils comprennent la méthode instantanément et systématiquement. Pour eux, c'est donc vraiment "bof" comme effet.

Idem pour tous les tours construits sur des listes de noms ("tu vois le nom auquel tu penses sur cette carte ? Et sur celle là ? etc."). Pour un spectateur matheux la méthode est évidente.

Idem pour la capacité à apprendre par coeur toutes les couleurs d'un jeu de cartes mélangé. Le spectateur matheux va tout de suite voir qu'il peut coder les couleurs en 0 et 1, convertir le binaire en base dix et refaire la même chose retenant uniquement deux nombres de quatre chiffres. Donc rien d'impressionnant pour eux.

Avant de faire ces tours il est donc important de savoir quel spectateur on a en face de nous.

 

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Publié le
il y a une heure, Antoine SALEMBIER a dit :

Rien que l'idée sur le stack Si-Stebbins en vaut le détour !

Effectivement, très bonne idée.
Ainsi que celles concernant plus spécifiquement l'utilisation du binaire.

Merci aussi à Henk pour les différents liens postés sur ce fil.

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Ce qui a de l'importance ce n'est pas le terme, c'est le voyage.

Publié le
Il y a 2 heures, Georges PERON a dit :

Idem pour la capacité à apprendre par coeur toutes les couleurs d'un jeu de cartes mélangé. Le spectateur matheux va tout de suite voir qu'il peut coder les couleurs en 0 et 1, convertir le binaire en base dix et refaire la même chose retenant uniquement deux nombres de quatre chiffres. Donc rien d'impressionnant pour eux.

 

 

Quand même…

Le matheux pourra toujours subodorer un code binaire et éventuellement s’il s’y connait une table de rappel et un chemin de mémoire.

Avoue tout de même, que le matheux appréciera la simple performance : pouvoir « algorithmer » un jeu de 52 cartes en 3 images sur 3 lieux et en moins de 30 secondes.

L’art du magicien sera de rendre le Tour  « non remontable »  à travers divers artifices : faux mélange, change de jeu, mémorisation en séquence ou décalage etc…

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Publié le (modifié)
il y a une heure, Yves BLANCHARD a dit :

 

Le matheux pourra toujours subodorer un code binaire et éventuellement s’il s’y connait une table de rappel et un chemin de mémoire.

Avoue tout de même, que le matheux appréciera la simple performance : pouvoir « algorithmer » un jeu de 52 cartes en 3 images sur 3 lieux et en moins de 30 secondes.

L’art du magicien sera de rendre le Tour  « non remontable »  à travers divers artifices : faux mélange, change de jeu, mémorisation en séquence ou décalage etc…

Les tables de rappel c'est effectivement moins connu  car ça ne fait pas partie de la formation universitaire🙂

 

 

Modifié par Georges PERON
Publié le

Bonsoir,

Je dois bien l’avouer, je ne suis ni  “fan” de la routine “Lie to me”, ni des systèmes de listes de noms (bien que  présenté comme David Copperfield ou par d’autres, cela peut faire son effet), et je suis incapable de retenir une liste de couleur de cartes (bien que la routine de Pit Harting, Colour-sense, ainsi que l’approche de Karlv Fulves, Combo, vallent le détour).

Heureusement, l’approche binaire offre d’autres possibilités, mais il faut bien commencer par les bases ( c’était le but de cette référence).

Enfin, heureusement pour nous, même un public “intelligent” peut être émerveillé par une magie “intelligente”. J’ai vu Juan Tamaris “rouler” tout un public de magiciens avec un tour automatique.

 

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    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
    • J'avais identifié les travaux de Fairmagic, mais je ne connaissais pas le livre de Gary Brown. Dans Puzzlers' tribute. A feast for the mind  l'un chapitre écrit par Luc De Smet décrit la technique "trapdoor". Cette technique est aussi très bien expliquée dans cette vidéo : Mais dans l'ensemble, il y a peu de ressources sur le net. Je n'ai rien trouvé d'autre de vraiment utile. D'où la nécessité du reverse engineering ! Bob
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