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il y a 21 minutes, Alx a dit :

S'il n'est question que de gagner une place au paradis, ce serait plutôt une religion terre-à-ciel, non ? ;)

C'est donc ça, "être dans les nuages"?
Et si tu loupes l'entrée du Paradis tu fini par être sur la Lune? :D 

“I know it's impossible. But I know I'll do it!”

Philippe Petit

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à l’instant, Melvin a dit :

Ben justement j'en connais de toutes les confessions par contre leur bagage "théologique" laisse à désirer ou bien est pris au 1° degré. Ce sont des gens qui stressent à ne pas avoir leur paradis au bout de la vie. C'est de la religion très terre à terre, mais bon c'est aussi ça les croyants. Mais bon apparemment il à des classes dans les croyants : les croyants de "bas étages" et les croyants plus intellos plus qui relèvent le niveau de la croyance.

Il n'y a pas de croyants ou de non-croyants de bas-étage ou de 1ère classe. Mais il existe des croyants et des non-croyants qui sont sans cesse en réflexion, et qui par leurs connaissances (et le partage qu'ils en font plutôt que de les garder pour eux) tentent d'apporter ou de participer à quelque chose qui tient à l'humain dans ce qu'il y a de plus grand. 

Certains croyants se limitent à une vision dogmatique de leur religion, à une lecture au 1er degré. Il en est de même chez certains non-croyants qui ont cette vision dogmatique de leur non-croyance et ont aussi cette lecture simpliste de la chose religieuse. 

Mais d'autres - et il en existe beaucoup - ne s'en contentent pas. Chez les croyants comme chez les non-croyants, capables de s'ouvrir à d'autres possibles. 

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« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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il y a une heure, Alx a dit :

 

Deux fois de suite, ce n'est plus un lapsus ! xD

Je pense que tu fais allusion à Christian Girard, qui porte certes le même prénom (de circonstance :D), mais dont l'univers est moins... bizarre ;)

Pas du tout. Même si j'apprécie ce que dit Christian Girard (et bien que n'étant pas forcément en phase avec certains points), c'est bien à Christian Chelman que je fais ici allusion, dans mes deux messages ;)

Ayant eu le plaisir de l'avoir cotoyé d'abord numériquement dans des cadres particuliers puis ayant pu échanger longuement notamment lors d'un repas ou encore lors d'un congrès, et faisant partie - je crois - de ceux qui sont à même de lire son travail entre les lignes,  je ne peux qu'adhérer à ses propos, et renvoyer le lecteur à ce qu'il dit. 

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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Il y a 16 heures, Arsène a dit :

LIBERTE à chacun d'avoir ses croyances, sa vision des choses et de partager ses arguments avec ceux qui n'ont pas le même avis

Arsène, soit je me suis mal exprimé, soit tu as lu mon intervention de travers, soit tu fais preuve de mauvaise foi.

Car d'après ce que tu écris, nous partageons exactement le même point de vue, à savoir le fait que chacun devrait être libre de penser ce qu'il veut, sans risquer de se faire dénigrer par les autres.

Et encore une fois, je n'ai jamais écrit que telle ou telle croyance était plus légitime qu'une autre. J'ai simplement tenté de faire remarquer à certains que traiter les croyants d'idiots ou d'ignorants était tout aussi irrespectueux que quand les rôles sont inversés. 

Le ridicule ne tue pas.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

Donc, le ridicule nous rend plus fort...

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En exclusivité, je vais vous expliquer pourquoi le paradis ne peux pas exister.

Imaginez Dieu existe et vous arrivez à ce qu'il appelle le "paradis".

Là vous retrouvez Papa, Maman, tes 2 Pépés et tes 2 Mémés. Bon vous êtes content mais v'la t'y pas que tes Pépés et Mémés te disent " tiens, viens on va te montrer nos parents, càd tes arrières Pépés et Mémés". Bon te v'la parti et tu fais connaissance de tes 4 arrières Pépés et tes 4 arrières mémés. Et là à leur tour ils te disent "tiens, viens on va te montrer nos parents" et te v'la reparti pour voir tes 8 arrières arrières grands parents qui te disent à leur tour "allez viens..." et te voilà pour l'éternité à devoir aller voir tous tes ancêtres... Ainsi ce que tu croyais être le paradis se transforme en cauchemar.

Ainsi le paradis étant un enfer, le paradis ne peut exister !

  • Haha 3

Melvin

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Le 25/06/2018 à 19:02, hokutobboy a dit :

Arsène, soit je me suis mal exprimé, soit tu as lu mon intervention de travers, soit tu fais preuve de mauvaise foi.

Car d'après ce que tu écris, nous partageons exactement le même point de vue, à savoir le fait que chacun devrait être libre de penser ce qu'il veut, sans risquer de se faire dénigrer par les autres.

Et encore une fois, je n'ai jamais écrit que telle ou telle croyance était plus légitime qu'une autre. J'ai simplement tenté de faire remarquer à certains que traiter les croyants d'idiots ou d'ignorants était tout aussi irrespectueux que quand les rôles sont inversés. 

J'imagine le dilemme si quelqu'un croit en l'existence des licornes roses bisexuels .

Pour la couleur la corne et l'orientation je dis chouette c'est cool...

Publié le

Enfin, une analyse scientifique de l'Enfer et du Paradis

"On a beau être physicien, on n'en a pas moins une âme. Et donc l'envie de savoir ce qui l'attendra dans l'au-delà. La douceur du paradis est-elle vraiment au rendez-vous ? Et les damnés rôtissent-ils réellement en enfer ? Les témoignages des revenants de l'autre monde n'étant guère concluants, mieux vaut tenter d'utiliser les lois de la physique pour calculer les températures qui règnent dans les deux lotissements message mortem. C'est ce qu'a fait un chercheur anonyme dans une célèbre correspondance publiée par la revue Applied Optics en 1972.

Pour récolter des indices objectifs, cet auteur s'est appuyé sur les meilleures sources en la matière, à savoir la Bible. Il a ainsi découvert dans le livre d'Isaïe un passage décrivant l'atmosphère du paradis. Selon son interprétation, la Lune y brille comme le Soleil sur Terre et la lumière reçue de notre étoile est 49 fois plus brillante que celle tombant sur le sol de notre planète. Par conséquent, le rayonnement, aux cieux, est 50 fois plus important que celui au sol. Après application de la loi de Stefan-Boltzmann, il en découle que la température du paradis est de... 525 °C ! Les ailes des anges sont sûrement ignifugées.

Mais qu'en est-il de l'enfer ? L'Apocalypse nous donne un indice en disant que la place des lâches, des infidèles, des menteurs, des êtres abominables, des meurtriers, des personnes immorales, de celles qui pratiquent la magie ou adorent les idoles est "dans le lac de soufre enflammé, qui est la seconde mort". Or la science nous dit que le point d'ébullition du soufre se situe à 444,61 °C. Au-delà, cet élément devient gazeux. On en conclut donc qu'il fait moins chaud en enfer qu'au paradis !

Cette découverte a fait grand bruit en 1972, mais les années qui ont suivi ont montré que l'anonyme physicien s'était trompé sur ses deux estimations. La première correction est venue en 1979, via le Journal of Irreproducible Results, magazine consacré à la science humoristique. Celui-ci a rappelé que le point d'ébullition d'un élément dépend de la pression environnante. Or la Géhenne, où est bibliquement situé l'enfer, est un endroit au volume restreint. Les milliards et les milliards de pécheurs qui s'y sont retrouvés depuis la création du monde y entretiennent une pression monstrueuse évaluée à 14,5 milliards de fois la pression atmosphérique terrestre. Dans ces conditions dantesques, le soufre est liquide à des températures bien plus élevées que 525°C. Le bon sens reprenait ses droits : l'enfer était bien le pire des endroits à visiter après la mort.

La seconde correction a concerné la température du paradis. En 1998, dans une lettre adressée à Physics Today, deux chercheurs espagnols ont expliqué que l'interprétation du livre d'Isaïe retenue dans Applied Optics était fausse et que le rayonnement lumineux reçu chez saint Pierre n'était que huit fois - et non pas cinquante - plus important que celui reçu sur Terre. Grâce à cette correction, on peut désormais affirmer que la température de la Jérusalem céleste est de 231 °C. Soit une chaleur largement suffisante pour prendre un bain de soufre liquide (à condition que la pression soit normale...).

Au terme de cette enquête scientifique, on s'aperçoit que le paradis est loin d'être aussi hospitalier que promis. Chers physiciens, l'un d'entre vous pourrait-il nous indiquer la température du purgatoire ?"

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La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le mystère des choses (A. Einstein)

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    • Un instrument assez Inclassable :  https://www.instagram.com/reel/DRRrGZDkkC6/?igsh=YzVtYWYxcW9hMnhr
    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
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