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C'est clair Melvin,

Le piratage fera toujours du mal quoiqu'il en soit !

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
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Je suis bien entendu d'accord avec vous, mais je pense qu'il est inutile de se lamenter sur le piratage ou encore les DVD à 2$ (c'est à peu près la même chose pour moi), car il n'arrêteront jamais. Dès qu'un site est fermé, deux autres ouvrent, un peu comme l'Hydre de Lerne quoi.

Mais le piratage nuit-il forcément au magicien et au producteur du DVD ? Je n'en suis pas sûr: bien sûr qu'à court terme le piratage est synonyme de perte de bénéfices et d'une diminution des rentrées d'argent, mais il permet d'un autre côté de faire découvrir à la communauté de "voleurs" le travail d'un artiste, ce qui peut signifier par la suite qu'ils investiront dans ses produits qu'il est impossible de pirater, comme des conférences, ou encore des gimmicks spécifiques impossibles à refaire chez soi ...

D'autres domaines que la magie ont déjà compris la façon dont tirer profit du piratage, regardez Photoshop: qui préfère l'acheter à 500€ plutôt que l'avoir gratuitement en deux ou trois clics ? C'est pourquoi les techniciens d'adobe s'assurent au quotidien que leurs logiciels sont "piratables", pour les diffuser à plus grande échelle. Ainsi, ils se font quand même de l'argent, pas sur l'achat du logiciel en tant que tel mais plutôt avec les mises à jour obligatoires, ou encore la vente de ces logiciels aux entreprises, ce qui rapporte infiniment plus que quelques particuliers qui piratent.

Je vous invite à regarder cette vidéo de Hardis qu je trouve passionnante sur ce sujet:

Merci à ceux qui auront pris le temps de me lire, en espérant que cela attisera les débats,

Sam

Le raisonnement sur le piratge ne tient (et encpre ce n'est pas évident) que pour les grosses sociétés comma Adobe, ou Microsoft mais pour les petites boites, il est complètement faux. Et je ne suis même pas sur que les grosses boites soient satisfaits d'être piratées.

Dans le monde de la magie, les créateurs sont en général de petites boites et un produit piraté c'est du CA en moins et donc plus dur pour continuer à investir du temps et de l'argent (je suis bien placé pour le savoir).

Quand on a une entreprise, on ne vit pas d'amour et d'eau fraîche et contrairement à la pensée actuelle qui est de plus en plus présente, les sociétés ne sont pas là pour forcément voler les clients (car de façon plus ou moins insidieuse c'est ce que font entendre les pirates en prétextant le coût prohibitif d'un produit).

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

C'est vrai que certains prix sont abusif (en magie mais dans tous les secteurs) ,

mais est-ce vraiment le prix le soucis ?

Un pirate aujourd'hui dira "c'était trop cher alors j'ai piraté"....ok

Si on baisse les prix, dans la logique ils vont arrêter alors,

je doute car à mon avis ils iront quand même chercher encore moins cher,

Alors est-ce vraiment une question de prix réellement ou une question d'ego dans le sens où peut être se disent ils "pourquoi je vais payer,je suis fort,je vais le trouver gratuit(ou moins cher) "

Publié le

Je pense que c'est non seulement une question de prix, mais aussi d'efforts à fournir. Je présume qu'un pirate doit raisonner (inconsciemment ?) de la façon suivante:

- Pourquoi fournir de l'argent quand on peut l'avoir gratuitement ?

- Pourquoi se déplacer ou attendre qu'un colis arrive quand on peut avoir le fichier en quelques minutes en restant chez soi ?

Mais le prix est bien évidemment le premier facteur je pense.

Publié le (modifié)

N'y a-t'il pas en magie deux "marchés" celui des professionnels qui pour leur réputation et par conséquent la qualité de leurs tours achèteront du bon matériel

donc un truc original et non une copie et celui des amateurs, qui ne se rétribuent pas

avec leurs tours et ne peuvent de toute façon se payer un matériel original mais une

copie quitte à ne l'utiliser qu'une seule ou quelques fois selon ce que je lis ici?

D'ailleurs pour rebondir sur ce que dit melvin le prix des "objets culturels" a augmenté le développement du piratage est il un élément d'influence,?

Cela semble si c'est le cas un cercle vicieux les ventes baissent et les prix augmentent

et ainsi de suite.

L'internet est un marché qui se fabrique, une lutte a lieu entre d'anciens grand monopoles de distributions éditeurs, groupes de presses, labels de disques, film... face à des nouveaux de l'internet internet comme google, les fai, les grands systèmes du réseau (les opérateurs en téléphonie, les info centres privés ou publics, les possesseurs des réseaux et des centres internet), microsoft et d'autres qui peuvent se voir comme des diffuseurs, une fois que le nouveau aura supplanté l'ancien, pas idiot ceux-ci verrouilleront à nouveau le marché pour assurer juteux profits.

Modifié par Invité
Publié le

Message amicale -: ) :

beaucoup de paranos,

quand même,

parmi vous amis magiciens :

malgré les débines que vous soulignez,

parfois à juste titre,

les salles de spectacles programmant de la magie

(pas toutes, je veux bien),

les émissions de télé, en invités, ou propres programmes,

n'ont jamais autant proposé de visibilité...

(si dans les années 70, la tv était généraeuse)

les Delord et ses Ateliers, Webb et ses Les Magiciens,

Majax et ses Passe-Passe, Y'a Un Truc, Abracadabra...)

et bien les spectateurs achètent un billet pour venir vous voir !.

Et créer des vocations

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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Message amicale -: ) :

beaucoup de paranos,

quand même,

parmi vous amis magiciens :

malgré les débines que vous soulignez,

parfois à juste titre,

les salles de spectacles programmant de la magie

(pas toutes, je veux bien),

les émissions de télé, en invités, ou propres programmes,

n'ont jamais autant proposé de visibilité...

(si dans les années 70, la tv était généraeuse)

les Delord et ses Ateliers, Webb et ses Les Magiciens,

Majax et ses Passe-Passe, Y'a Un Truc, Abracadabra...)

et bien les spectateurs achètent un billet pour venir vous voir !.

Et créer des vocations

Ce n'est pas parce qu'il y a plus d'émissions de télé que l'on est parano.

C'est un peu hors propos. On parle de l'effet du piratage sur les créateurs et les effets sont plus que sensibles sur ceux-ci, que l'on ne le veuille ou non.

Pour ce qui est des prix, c'est vrai que le piratage ne baissera pas même si le prix baisse car l'argument premier des pirates pour se justifier est le prix (et quel que soit le prix). Il faudrait (selon les pirates) que tout soit gratuit (je ne parle pas des hackers qui s'attaquent aux bases de données sensibles de certains organismes ou sociétés car là le but est tout autre).

Peut être, comme dit plus haut, que certains prix sont abusifs, mais quand on gère une société, on met un prix sur un produit en fonction de différents critères et à la fin on fixe un prix en fonction de ceux-ci. Ensuite, à la société de voir si ce prix est trop élevé. Les clients trouvent toujours trop chers les produits mais ils ne savent pas ce qu'il y a derrière en investissement en temps, en matériel de prototypage, en packaging, etc.... Quand je vois parfois, que le prix d'un livre est trop élevé, c'est édifiant car en magie le public est restreint et les personnes qui dient ou pensent cela n'ont jamais l'expérience d'en écrire un.

Je suis d'accord sur le fait qu'il y a 2 marchés. Celui des pros et des amateurs. En tant que pro, on est obligé d'avoir des produits de qualité et par contre bien souvent les amateurs veulent tout et tout de suite (et là, le prix est le seul critère d'achat même si la qualité est mauvaise). Mais bon, pour moi, amateur ou pro, quelqu'un qui achète des produits piratés est complice et il n'y a pas d'excuses valables.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

Je suis d'accord avec petitbohomme.,Beaucoup de parano dans vos propos.Et c'est un peu un sujet évident de nos jours!

La faute de qui?La dématérialisation.

Tans que l'industrie "magic" n'arrêtera pas de pondre des downloads a tout va, le piratage ne cessera pas!A contrario grâce à eux (les downloads) ils gagnent beaucoup plus d'argent en beaucoup moins de temps!

La magie et chère, certes.Mais quand je vois les mer.. que certains vendent, je me dit que c'est eux les voleurs!Je le dit ouvertement, oui Jai deja téléchargé illégalement.Et alors, que quelqu'un ose me jeter la pierre.

Tu sais, je suis très sensible au téléchargement, et j'en suis le premier concerné de part mon métier, de directeur d'un cinéma. La fréquentation de nos salles obscures diminue?La réponse est non bien au contraire.

Le téléchargement est une pub extraordinaire et dans certains cas nécessaire! N'as tu jamais téléchargé un film?N'as tu jamais gravé un CD pour le donner à Tata Ginette?

Bref rien ne sert de crier haut et fort ton avis car quand bien meme si tu as raison, les choses ne changeront pas et tu ne feras pas évoluer les mentalités!C'est noble et courageux de ta part, mais cette polémique à fait du bruit dans bon nombres de domaines, et rien a changé, bien au contraire tout s'accélère.

"C'est dans sa forme pure qu'un art frappe fort." [Robert Bresson]

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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