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Il est vrai qu'il faut le temps pour fréquenter les ventes et que souvent les ventes se font durant la semaine. Au premier rang des acheteurs il se trouvent en général les antiquaires. Comme ils se connaissent entre eux et que chacun est plus ou moins spécialisés, ils ne surenchérissent pas afin de laisser l'objet a un prix très bas. Par la suite ils se réunissent entre eux et font des enchères internes et évitent ainsi de payer les taxes. C'est illégal mais c'est ainsi que cela fonctionne !

Publié le

PaulMagie : « Les frais qui s'appliquent à la vente sont bien trop importants… Certains ici avaient fait remarquer que des lots étaient également surestimés ».

Tout a fait d’accord

PaulMagie : « Je m'interroge quand même sur certains choix, qui est disponible pour se rendre à une vente en pleine semaine? Sans fréquenter VM, un amateur, même éclairé, comment est-il au courant de ce type d'évènement? »

Pour acheter, inutile de se déplacer, on peut faire une offre à distance depuis chez soi, c’est prévu et facile.

D’autre part il est simple de constituer une alerte sur Ebay et sur Interenchères, pour être averti par mail d’une vente de livre ou d’objet de prestidigitation.

PaulMagie : « J'aime aller jeter un oeil sur certains sites proposant de vieux objets de collection, les prix demandés sont justes repoussants, quid de celui qui veut commencer? »

Effectivement ce n’est pas sur ces sites qu’il faut acheter. On peut commencer une quête par des repérages sur Ebay ou sur Le Bon Coin. Copier-coller les photos des annonces pour avoir une banque de données et des prix comparatifs.

Ne pas hésiter à investir dans les catalogues de ventes aux enchères, pour se familiariser.

Faire les vides greniers…Je m’y suis mis il y a quelques années sans rien acheter au début. Puis j’ai franchi le pas et trouvé des affaires intéressantes qui me seraient passées sous le nez, si je n’avais pas fait ce travail préliminaire (Exemple : L’escamoteur de Bosio avec cadre d’époque impeccable pour 50 euros.Il trône dans mon salon).

Connaître les cotes prend du temps.

Pour moi, le but n’est pas la collectionnite, mais plus la recherche historique. Alors j’ai trouvé sur Google livres des livres anciens à télécharger. Pour les cartes à jouer on trouve des « reprints » sur Ebay très bon marché (environ 6 euros) en attendant de tomber sur des vraies et rares cartes anciennes.

Pour les livres les cotes sont plutôt à la baisse depuis quelques années. C’est le moment d’acheter (et pas de vendre). Et il y en a pour tous les prix. Si j’étais jeune débutant je commencerais par me faire conseiller par les anciens un top 10 parmi les livres du patrimoine (Deux exemples : Frank Garcia (VBO), la Magie des Cartes d’Hugard et Braue (Payot)

Publié le
Certains ici avaient fait remarquer que des lots étaient également sur-estimés. Tous ces facteurs pris en compte... et bien le succès de cette vente n'aura pas été au rendez-vous.

Malgré les prix élevés, je trouve qu'il y a eu tout de même pas mal d'objets vendus, même si tout ne s'est pas vendu et si les prix ne sont pas tellement montés.

Sauf erreur, on voit les prix de vente en rouge (Adj. pour Adjugé) sur le lien donné plus haut :

http://www.cornettedesaintcyr.fr/flash/index.jsp?id=19225&idCp=124&lng=fr

Publié le

Les premiers lors relèvent plus de l'ésotérisme que de la magie, ce n'est pas étonnant qu'il n'y ait pas eu beaucoup de ventes...

Les derniers lots (les affiches de spectacles) ont été très bien vendus.

Entre les deux : couci-coussa; dommage qu'il n'y ait pas eu plus d'accessoires de magie, et à une mise à prix plus raisonnable..

Publié le
Tu voudrais dire par là qu'une vente est truquée...???

Francis , ne fait pas dire ce que je n'ai pas dit !!!!!!

Une vente doit être organisée d'une façon méticuleuse.... c'est un travail énorme.....

Les estimations doivent être au plus juste, et chiffrées avec l'avis de plusieurs personnes compétentes.

Dans les ventes étrangères il est courant de voir des lots de 20 à 30 livres voire plus.......CETTE façon d'opérer évite les longues séries de lots sans acheteurs qui gangrènent les ventes.

J'ai travaillé sur de nombreuses ventes organisées en France, aux USA, et en ALLEMAGNE.....et j'ai beaucoup appris !

Pour répondre à Melvin je précise que le commissaire priseur donne EVENTUELLEMENTun avis sur les évaluations, mais c'est le vendeur qui les fixe lorsque la vente est volontaire. Souvent le vendeur donne un prix de réserve.

Pour les ventes de successions les commissaires priseurs sont beaucoup plus impliqués dans les évaluations. Plus celles ci seront dans la fourchette basse et plus le public des acheteurs sera attiré.

De plus il est courant qu'aucun prix de réserve ne soit fixé.

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

Publié le

Reçu ça dans ma boîte mail.

En mettant aux enchères sa collection d’objets magiques, Gérard Majax espérait gagner beaucoup d’argent. Malheureusement, les apprentis sorciers n’ont pas assez mis la main au porte-monnaie.

C’était la vente aux enchères que les fans de magie ne pouvaient pas manquer : dimanche, l’incroyable, le superbe, le génial Gérard Majax, l’un des plus grands prestidigitateurs français, se séparait de sa collection de magie. La maison de ventes Cornette de Saint Cyr proposait le week-end dernier une foule d’objets étranges, de pièces et d’ouvrages rarissimes ayant appartenu au présentateur de Y’a un truc. Ce dernier, qui avouait dans le catalogue que cette vente lui « serrait le cœur », pensait que les acheteurs passionnés de magie seraient nombreux à sortir le chéquier. Ça n’a pas été tout à fait le cas.

Au total, la vente a rapporté 62 000 euros. Une somme pas assez importante pour Gérard Majax : invité sur le plateau d’On ne parle que de ça, sur la webTV du Figaro, le magicien a eu un peu de mal à cacher sa déception. « On pensait que ça allait faire beaucoup plus, a-t-il avoué. Quand vous savez la valeur des choses… Par exemple, la valeur de certaines affiches, qui sont parties moins cher que ce que je les avais payées moi-même. » Si tout son stock n’est pas parti ce dimanche, triste coup du sort, ce sont ses ouvrages préférés qui se sont vendus le plus vite : « Comme par hasard, c’est ceux que vous aimez le plus qui partent en premier », a-t-il regretté.

Et maintenant, la question que tout le monde se pose : qui a mis la main sur les vieux grimoires de sorcellerie de Gérard Majax ? Une bande de sorcières ? Un culte sataniste ? Daniel Radcliffe ? Tout est possible, car comme l’explique le magicien, les adeptes de ce genre d’ouvrages préfèrent rester discrets : « Pour tout ce qui est occultisme, magie noire, ils se cachent. Ils achètent par internet, par ordres d’achat… » Maintenant, on sait où était Voldemort ce dimanche : devant son ordinateur, en train de taper son code de carte bleue.

Publié le

Cette video est tres touchante : Majax parle avec bc de respect, il voit tous les pièges du journaliste sans les éviter. Mieux : il s'en sert de son humour pour que cet interview ne devient pas pathétique et amer, mais constructif et - pourquoi pas - spirituel. Du grand Majax !

otto

www.ottowessely.fr

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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