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Publié le
C'est quand même étonnant que Francis ne soit pas intervenu pour nous parler de son Vollmer effect!!!

Oui et heureusement d'un côté... Le sujet dévie déjà assez comme cela. On parle de John Born dans un sujet sur le livre de Richard Kaufman!

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Publié le

...d'autant plus que la routine est très complexe à effectuer: il faut maitriser parfaitement un chapelet apériodique (quand je dis "parfaitement", ça veut dire non seulement connaitre chaque carte à chaque rang, et chaque rand pour chaque carte, mais également être capable de faire ces mêmes opérations en commençant par le bas du chapelet (c'est-à-dire à l'envers), et également en commençant par le milieu du jeu - en allant vers le haut ou vers le bas. Je ne connais pas beaucoup de monde maitraisant à ce point un chapelet apériodique. Mais ça n'est pas tout. Il faut aussi improviser en fonction de ce que les spectateurs décident ("think on your feet", ce qui est une autre grande spécialité de Berglas) - c'est-à-dire décider "à partir d'où on va commencer à compter" dans le chapelet, et enfin maitriser parfaitement l'équivoque (ce qui est la marque de fabrique de Berglas - regardez sur un dictionnaire au mot "équivoque", et vous verrez sa photo!). Bref, cette routine est hors de portée de la plupart des magiciens. Ce qui me laisse perplexe quand je vois certains d'entre vous critiquer ses prestations (de ACAAN - ET NON PAS du Berglas Effect, soit dit en passant...).

Je pense que ces quelques informations donneront à réfléchir à ceux d'entre vous qui souhaitent acheter le livre (excellent) de Kaufman pour présenter cet effet tel que Berglas l'a conçu... et qui si toutes ces conditions sont remplies, oui, est un vrai miracle.

JJS

Publié le
...d'autant plus que la routine est très complexe à effectuer: il faut maitriser parfaitement un chapelet apériodique (quand je dis "parfaitement", ça veut dire non seulement connaitre chaque carte à chaque rang, et chaque rand pour chaque carte, mais également être capable de faire ces mêmes opérations en commençant par le bas du chapelet (c'est-à-dire à l'envers), et également en commençant par le milieu du jeu - en allant vers le haut ou vers le bas. Je ne connais pas beaucoup de monde maitraisant à ce point un chapelet apériodique. Mais ça n'est pas tout. Il faut aussi improviser en fonction de ce que les spectateurs décident ("think on your feet", ce qui est une autre grande spécialité de Berglas) - c'est-à-dire décider "à partir d'où on va commencer à compter" dans le chapelet, et enfin maitriser parfaitement l'équivoque (ce qui est la marque de fabrique de Berglas - regardez sur un dictionnaire au mot "équivoque", et vous verrez sa photo!). Bref, cette routine est hors de portée de la plupart des magiciens. Ce qui me laisse perplexe quand je vois certains d'entre vous critiquer ses prestations (de ACAAN - ET NON PAS du Berglas Effect, soit dit en passant...).

Je pense que ces quelques informations donneront à réfléchir à ceux d'entre vous qui souhaitent acheter le livre (excellent) de Kaufman pour présenter cet effet tel que Berglas l'a conçu... et qui si toutes ces conditions sont remplies, oui, est un vrai miracle.

+1... Tout est parfaitement résumé

Bref, cette routine est hors de portée de la plupart des magiciens.

Et tant mieux :)

Publié le (modifié)
...d'autant plus que la routine est très complexe à effectuer…

…Bref, cette routine est hors de portée de la plupart des magiciens. Ce qui me laisse perplexe quand je vois certains d'entre vous critiquer ses prestations (de ACAAN - ET NON PAS du Berglas Effect, soit dit en passant...).

La fin de ta phrase contient en partie la réponse à ta perplexité.

Pour l’instant, je n’ai pas vu Berglas réaliser un « Berglas Effect ».

Les vidéos ou je l’ai vu, ce sont des ACAAN ou il a le jeu en main, n’arrête pas de le tripoter et de le couper, et donne lui-même les cartes la plupart du temps.

Partant de là, ceux qui le « critique » ne mettent pas l’accent sur la difficulté à réaliser l’effet, qui est certes compliqué d’une certaine manière, et demande une excellente maitrise du chapelet, ou des « aides » incorporées au paquet (après tout, quitte à ne pas avoir un jeu emprunté ni mélangé par le public…)

On ne nie pas la difficulté, on nie le mystère de la méthode pour un magicien de base.

En cherchant sur le net, on trouve des apologies du secret, disant que c'est le secret le mieux gardé du répertoire magique.

Cool.

Mais on a l’impression que le « génie » de Berglas est d’avoir donné son nom à un effet dont il ne respecte pas les caractéristiques quand il le fait lui même :

-Le jeu est en vue avant de commencer.

-Un spectateur dit une carte,

-un autre un nombre,

-un troisième compte les cartes.

Si ces conditions sont remplies, et qu’aucun des spectateurs n’est un compère, c’est assurément un effet parfait.

Simplement, le battage autour de l’effet Berglas est une mayonnaise qui retombe dès qu’on voit faire le maitre :

Il ne respecte tout simplement pas, dans les vidéos que j’ai vues, les conditions qu’il a posé.

C’est un ACAAN, pas un « Berglas effect » selon la définition.

Pire, il manipule tellement le jeu que ce n’est même pas un ACAAN très clean, et que du coup, certains évoquent des méthodes plus mystérieuses de faire l’effet.

Les critiques ne vont donc pas vers Berglas pour dire qu’il est nul (il fait de très belles choses par ailleurs… et son livre est sans doute intéressant…), mais pour dire qu’il abuse un peu de « vendre » un effet qu’il ne montre pas, voire ne peux pas montrer (ou alors, une fois sur 52 ? ;) ).

Je sais, la mode est à la « jazz magie », aux sorties multiples reconfigurables et à l’improvisation.

Mais en posant les conditions strictes énoncées ci-dessus, pour définir un « Berglas Effect », on sort un peu de ce domaine…

C’est ballot, de construire une légende sur un effet qu’on ne peut pas faire.

Quand le dé grossissant de buatier de Kolta est devenu une légende, il l’avait présenté en spectacle dans les conditions qui étaient celle décrites par ses zélateurs…

J’attends toujours la vidéo de Berglas lui-même qui me fera croire à son effet.

Maintenant, lancer des légendes, est ce bon pour l’illusionnisme ?

Peut-être…

En tout cas, c’est bon pour Berglas, on dirait ;)

Je ne suis personne d’important, pour critiquer ainsi un grand de la magie.

Mais bon, c’est le principe de base : celui qui se produit s’expose aux critiques, je n’ai donc pas d’état d’âme à dire quand ça ne me plais pas… Mais je suis prêt à changer d’idée, si on me montre (pratiquement, pas juste avec des théories) que j’ai tort.

Donc, si vous avez une vidéo de Berglas présentant un vrai Berglas Effect, je suis preneur !

Gilbus.

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Dans un des dvd du livre de Berglas, la routine idéale est effectuée par Berglas lui-même (dans la séquence avec plusieurs spectateurs et des tours allant crescendo).

En ce qui concerne le Berglas effect tel que vécu par Kaufman, Richardson ou qques autres (lire leurs témoignages), le nombre et la carte sont donnés et seulement alors, Berglas désigne un endroit où prendre le jeu qui est pris par le spectateur et qui compte lui même les cartes. La "faiblesse" de sa méthode est que le jeu n'est pas en vue depuis le début du tour.

Melvin

Publié le
Pour l’instant, je n’ai pas vu Berglas réaliser un « Berglas Effect ».

Les vidéos ou je l’ai vu, ce sont des ACAAN ou il a le jeu en main, n’arrête pas de le tripoter et de le couper, et donne lui-même les cartes la plupart du temps.

Tu as vu des ACAAN, pas de Berglas effect. Comme l'a bien expliqué JJS, lors du Berglas effect, il ne touche JAMAIS le jeu. Carte et nombre choisis, distribution depuis le dessus ou le dessous, etc... Tout est librement choisi par le spectateur.

On ne nie pas la difficulté, on nie le mystère de la méthode pour un magicien de base.

En effet, il faut mieux que cela reste mystérieux "pour un magicien de base" :)

Mais on a l’impression que le « génie » de Berglas est d’avoir donné son nom à un effet dont il ne respecte pas les caractéristiques quand il le fait lui même :

-Le jeu est en vue avant de commencer.

-Un spectateur dit une carte,

-un autre un nombre,

-un troisième compte les cartes.

Si ces conditions sont remplies, et qu’aucun des spectateurs n’est un compère, c’est assurément un effet parfait.

Et bien c'est le cas, lorsque Berglas réalise le Berglas effect.

Simplement, le battage autour de l’effet Berglas est une mayonnaise qui retombe dès qu’on voit faire le maitre :

Il ne respecte tout simplement pas, dans les vidéos que j’ai vues, les conditions qu’il a posé.

Comment as-tu pu voir les vidéos incluses avec le livre, où il présente le Berglas effect plusieurs fois, ainsi que des ACAAN, en live, alors que tu n'as pas le livre? J'avoue que je suis confus...

il abuse un peu de « vendre » un effet qu’il ne montre pas, voire ne peux pas montrer (ou alors, une fois sur 52 ? ;) ).

Beaucoup de personnes ont vu cet effet, en ont été les témoins (tu peux écouter cet extrait pour entendre un effet Berglas, enregistré dans les années 80 après un de ses spectacles, comme il l'a fait aussi de nombreuses fois, en privé, sur scène, en close-up)

C’est ballot, de construire une légende sur un effet qu’on ne peut pas faire.

Faux (

), ce n'est pas une légende... Lis le livre et tu comprendras, je ne peux vraiment pas en dire plus.

Je ne suis personne d’important, pour critiquer ainsi un grand de la magie.

Mais bon, c’est le principe de base : celui qui se produit s’expose aux critiques, je n’ai donc pas d’état d’âme à dire quand ça ne me plais pas…

Tu as tout à fait le droit de faire ces critiques, fort heureusement.

Publié le
Dans un des dvd du livre de Berglas, la routine idéale est effectuée par Berglas lui-même (dans la séquence avec plusieurs spectateurs et des tours allant crescendo).

.

Il est intéressant de noter que dans cette fameuse séquence (la seule sur ses dvd où il fait réellement l'effet idéal) berglas fait choisir d'abord le nombre et ensuite la carte ce qui est l'inverse de ce qu'il développe dans son livre....

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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