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Patrick FROMENT

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Tout ce qui a été publié par Patrick FROMENT

  1. J’ai toujours cru que j’étais un mec qui expérimentait l’univers jusqu’à ce que je réalise que j’ étais l’ univers qui expérimentait un mec. Jim Carrey
  2. Une petite fille regarde le plafond de la chapelle Sixtine et demande à sa mère : - Où est Dieu ? - C'est le vieux monsieur avec la barbe blanche qui tend la main à l’autre monsieur plus, jeune, Adam, son fils. La petite fille s’étonne : l'un comme l'autre ressemblent à des hommes. Ce n'est pas Dieu. - Dieu est invisible, dit-elle, il ne peut pas ressembler à quelque chose ou à quelqu’un. La mère est surprise par l'intelligence de sa fille, par son bon sens qui la traverse à son tour, comme un éclair : - Oui tu as raison. Dieu c'est cette lumière, ce silence, cet espace entre les deux doigts de l'homme qui représente Dieu et de l'homme qui représente Adam. Personne ne le regarde c'est le fond, le plafond, le ciel, l’espace dans lequel Michel-Ange a peint ses personnages, l’espace, la lumière dans laquelle, nous aussi, nous sommes. - C'est beau, répond répond la petite fille comme soulagée, c'est ça : le « souffle » entre les deux, « le grand air » qu'on ne voit pas, qu’on ne peut pas peindre ni toucher, et que pourtant on respire… Jean-Yves Leloup - Il n’y a qu’un seul Dieu, Lequel ?
  3. Dieu est une femme noire ! (peinture de l'artiste Harmonia Rosales d'après l'oeuvre de Michel Ange)
  4. Les "brèves de comptoir" des 4 ou 5 derniers messages de ce fil posent, encore une fois, d’excellentes questions. La conscience peut-elle être objet de connaissance ?… Bonne question de bac de philo ! Toute conscience est conscience de quelque chose (donc d’un objet) et en même temps il y a toujours une distance entre la conscience et l’objet qu’elle vise. Nous sommes à la fois dans la dualité et la non-dualité (mais, là encore, cette dichotomie a-t-elle un sens?). Par la conscience et grâce à la conscience, je me sens exister mais cette vérité d’exister ne me dit ne me dit rien sur la nature de ce que je suis (ou de ce qui existe). Etre conscient d’exister ne m’informe pas sur l’identité de cet existant. Qu’est ce que donc que la conscience ? A cette question le philosophe Henri Bergson répondait par une boutade : « Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l’expérience de chacun de nous (…) en donnant de la conscience une définition qui serait moins claire qu’elle… ». (les paroles troublantes sur la conscience de Ludwig Wittgenstein que je joins à ce message complètent bien ces "brèves de comptoir") Que nous reste-t-il ? Les métaphores… qui ont aussi leurs limites ! La métaphore de l’écran et des images projetées sur l’écran nous permet d’introduire une nuance entre la conscience et les objets de conscience. La métaphore de la ligne d’horizon nous rappelle qu’il a comme une gageure à faire de quelque chose d'aussi insaisissable que la conscience un objet C'est énorme comme aveu !
  5. Tu as raison. Il me semble que dans l'expérience de pensée du cerveau dans une cuve, il est plus juste de dire que la stimulation du cerveau va créer des objets de conscience et non pas de la conscience comme je l'ai dit plus haut. Cela semble une toute petite nuance mais la différence est de taille. Un objet de conscience n'est pas la conscience (je me suis mal exprimé - même moi je me fais avoir ). Il y a trois types d'objets de conscience comme je l'ai déjà expliqué par ici : perceptions, sensations, pensées. La métaphore classique de l'écran de cinéma permet de comprendre la nuance entre conscience et objets de conscience : l'écran de cinéma représente la conscience et les images projetées sur l'écran représentent les objets de conscience. Il est peut être envisageable de créer des objets de conscience en stimulant le cerveau d'une certaine manière (il semble que ce soit déjà possible (très partiellement) par la stimulation magnétique transcrânienne) mais dire qu'on "crée de la conscience" est certainement impropre. La conscience est à l'esprit ce qu'est l'horizon à la vue : une ligne qui s'éloigne à mesure qu'on s'en rapproche. C'est pour ça qu'en neurosciences on ne trouve que des objets de conscience mais on ne trouve jamais la conscience elle-même.
  6. Effectivement ! L’idée centrale du film Matrix est inspirée de l’expérience de pensée du cerveau dans une cuve de Mr Hilary Putman (une version moderne du malin génie de Mr Descartes). Mais cette expérience de pensée comporte au moins deux présupposés très forts : - La conscience résulte de l’activité neuronale et cérébrale (et donc en stimulant artificiellement l’activité neuronale et cérébrale, nous serions capable de "créer" de la conscience). - La conscience est personnelle et individuelle (et non universelle). Finalement avec Matrix ou l’expérience du cerveau dans la cuve, j’ose dire qu’on reste dans un système très conforme à la pensée mainstream du moment (le monisme matérialiste) et, par ailleurs, on reste complètement dans un système dualiste. L’expérience du cerveau dans la cuve est, finalement, une sorte de grande théorie du complot à l’échelle de la conscience mais bon ça permet néanmoins de développer une approche sceptique à assez grande échelle et de se poser quelques bonnes questions. L'argument du rêve est ton ami !
  7. Le WoWallet de Stephen Tucker + Le DVD Multiplicity de Max Maven 43 Euros fdpi C’est quoi le WoWallet ? Simplement un petit porte cartes en cuir très élégant avec 6 poches permettant 6 sorties différentes (chaque poche peut contenir une carte format Bicycle). C’est quoi Multiplicity ? Un DVD de plus de 3 h 00 (en anglais) sur les techniques de sorties multiples et de choix équivoque. Bref un très bel outil et une très belle vidéo pour travailler un des principes fondamentaux de l’arsenal du mentalisme. A noter : Le WoWallet est sans notice (mais vous trouverez très facilement les 6 poches en l’observant de près) et le DVD est sans boite (livré dans une poche plastique comme sur la photo).
  8. Je vais essayer de répondre aussi succinctement et simplement que possible aux deux questions en même temps. Quand on y réfléchit bien il me semble que la question de savoir comment nous pouvons être conscients d'une réalité extérieure à nous et aussi insoluble que la question de savoir comment l'esprit agit sur le corps. Donc... Il est possible que la question soit mal posée des le départ car elle est déjà contaminée de présupposés contradictoires et insolubles entre eux. La question de savoir comment l'esprit agit sur le corps présuppose qu'il y a une dualité entre l'esprit d'une part et le corps d'autre part (vision "cartésienne" au sens de Descartes). La question de savoir comment nous pouvons être conscients du monde présuppose qu'il y a une dualité entre nous et le monde. Il est possible d'envisager un autre présupposé qui serait que - l'esprit et le corps sont une seule et même chose - "moi" et le monde sont une seule et même chose (Le mot "moi" et à comprendre ici comme cette "chose" pensante et percevante qui se vit comme étant le sujet de son expérience) Cette vision est un autre pari métaphysique. En soi, elle n'est pas contradictoire avec la science, si on adopte une épistémologie instrumentaliste plutôt qu'une ontologie strictement réaliste. En d'autres termes les phénomènes (les apparences) sont sauvés. Cette vision amène simplement un changement de perspective, une sorte de retournement de la conscience sur elle-même, une vision de l'existence qui se veut plus proche de notre expérience la plus intime. Et, du coup, peut-être, une autre manière d'être au monde une autre éthique (éthique au sens spinoziste du terme). L'autre est-il à l'extérieur de moi ? Oui au sens où une des cellules de mon corps qui serait douée de conscience s'imaginerait "extérieure" à une autre cellule de mon corps. A un certain niveau oui Patrick est "extérieur" à Christian, Christian est "extérieur" à Patrick (et à Albert Einstein). Mais à un autre niveau il est fort probable que nous fassions tous partie d'un même "organisme". La nature de cet organisme est-elle matérielle ou spirituelle ?... Là encore la question est certainement très mal posée.
  9. Poser la question "Qu’est ce que la réalité ?" ne revient pas à nier qu’il y ait une réalité. De même poser la question "Qui suis-je au plus intime de moi même ?" ou "Quelle est la nature de cette conscience qui m’anime ?" ne revient pas à nier l’altérité et l’autre. Depuis que je m’intéresse à ce sujets, j'ai remarqué que tout au long de l’histoire des idées de de la philosophie, ceux qui interrogent la nature de la réalité et la nature de la conscience d’une manière assez radicale peuvent vite être suspectés de nihilisme ou de solipsisme. C’est d’autant plus paradoxal que le solipsisme et le nihilisme n’ont jamais été soutenus et revendiqués par aucun penseur ou philosophe. Le nihiliste et le solipsiste c’est toujours l’Autre. ... Il a bel et bien existé un Albert Einstein mais qui était-il ? Etait-il une masse ambulante de milliards et de milliards de cellules douée de raison par un étrange épiphénomène nommé conscience ? (vision disons matérialiste) Etait-il "un être spirituel vivant une expérience humaine" comme le dit la jolie formule de Pierre Teilhard de Chardin ? (vision disons spiritualiste) Etait-il un assemblage momentané de phénomènes physiques et psychologiques sur lequel nous avons accolé l’étiquette 'Albert Einstein' ? Etait-il le résultat d’une sorte de "désir d’être" issu d’une grande soupe primitive ? un "enfant de l’appel de la vie à elle-même" comme le dit Khalil Gibran. Pour moi toutes ces propositions ne sont pas contradictoires entre elles. Elles sont autant d’angles de vision sur un phénomène unique qui est l’apparition (momentanée) d’un individu.
  10. Quand on y pense bien c’est tout de même curieux que la douleur et la souffrance (physique ou mentale) soient présentées comme une preuve de l’existence d’une réalité distincte de la conscience. C’est, finalement, une vision assez morbide et doloriste de ce qu'est cette réalité mais bon, comme disait Lacan, « Le réel c’est quand on se cogne ».
  11. Ah l'argument du bâton ! ... En fait ce que tu fais là c'est (tout simplement) "travestir ton absence de contrôle en l'affirmation d'une réalité distincte de la conscience". Cette citation de Michel Bitbol issue de la même interview devrait t'éclairer : "L'événement déconcertant" dont parle Michel Bitbol cela peut être le coup de marteau... C'est peut-être aussi l'annonce brutale d'un licenciement ou d'une maladie grave, ou bien encore ton compagnon ou ta compagne qui te dit : "Je te quitte, ne cherche pas à m'appeler je ne répondrai pas" (une sorte de coup de marteau psychique ou émotionnel). Mais tous ces événements (le coup de marteau, le sang qui gicle, le crâne fracassé, la douleur, la vision du compagnon qui s'éloigne, la souffrance devant une rupture...), tous ces événements donc, sont réductibles, au plus intime du sujet qui les vit, à des faits de conscience ! Tout ce que nous pouvons dire c'est que les faits de conscience échappent, la plupart du temps, à notre volonté. Déduire que, parce que les faits de conscience échappent à notre volonté, ils sont nécessairement le reflet d'une "réalité" qui serait extérieure à la conscience me semble être l'affirmation la plus vertigineuse de... la conscience ! Les rêves aussi échappent à notre volonté et à notre contrôle (Ah ben oui... je recycle l'argument du rêve... tu recycles bien l'argument du bâton jusqu'à plus soif ! ).
  12. Et quelle est l'intérêt d'une telle construction ? Pourquoi et/ou comment une "conscience première" s'orienterait-elle vers cette confusion que serait un monde extérieur illusoire ? Je suis récemment tombé sur cet extrait d'une interview de Michel Bitbol qui tourne autour de la même question... Question qui est fondamentale dans la discussion qui nous occupe depuis 131 pages : Ce que nous observons est-il à l'extérieur de nous ou bien à l'intérieur de nous ? On n'accède à la réalité que par les "signes de l'existence de la réalité" - essentiellement perceptions et sensations - lesquelles sont bien à l'intérieur de nous. Les pensées et toutes les théories qui sont autant de rationalisations sur la réalité sont tout autant à l'intérieur de nous. Bien sûr cette idée qu'il y aurait un intérieur et extérieur à soi même est déjà contaminée par bien des présupposés métaphysiques. Peut être cette idée n'a aucun sens dans la mesure où nous avons l'impression d'observer un monde dont nous faisons nous même partie...
  13. Bon… Ce n’est pas à proprement parler un objet magique mais je suis sûr que cette petite curiosité peut intéresser quelqu’un par ci. Ce crâne en métal est en fait une boite qui s’ouvre pour y déposer un trésor ou… un secret ! Très jolie petite pièce insolite et de curiosité. Je l’ai depuis une quinzaine d’années et je n’en ai jamais vu d’autre. Origine inconnue (memento mori ? objet maçonnique ?…). Je l’ai souvent utilisé en magie bizarre pour mettre une prédiction. 40 euros avec les frais de port inclus
  14. Tout est dans le titre. 150 euros le lot frais de port inclus Je souhaite vendre les deux ensemble, inutile donc de faire une offre séparée. Les deux articles sont en état impeccable et neuf. La valeur du lot est de plus de 300 euros. C’est donc une occasion d’acquérir deux très beaux outils de mentaliste professionnel à moitié prix. Paiement par chèque ou virement. Au plus rapide !
  15. Le philosophe des sciences et académicien Michel Serres nous a quitté. Michel Serres est un peu plus radical que moi. J'ai souvent dit, ici, que dire que le réel est extérieur à nos représentations est une position métaphysique, lui il parle plutôt d'"acte de foi". source
  16. 35 euros fdpi (pour la France) Le book test + le livret d'explications Bon état
  17. Patrick FROMENT

    Set de dés truqués

    Le set de dés truqués est un accessoire indispensable pour tous les mentalistes, il permet de faire de nombreuses routines (prédictions notamment). Le set est composé de 7 dés, 6 dés spéciaux et un dé normal. Les dés truqués sont composés comme ceci : 1 2 3 4 5 1 1 2 3 4 2 6 1 2 3 3 5 6 1 2 4 4 5 6 1 5 3 4 5 6 6 2 3 4 5 6 25 euros frais de port inclus (pour la France)
  18. Hou la ! Si on part sur la querelle brahmanes-bouddhistes, laquelle a duré quelques siècles... "on n'est pas sortis de l'auberge" comme dirait @Christian GIRARD ! Bon, après, il y a de très bons arguments dans cette querelle (y compris et surtout sur le sujet qui nous occupe ici (la nature du réel, la nature de la conscience, le statut du "moi"...). Je t'avoue que j'ai pas trop le courage de me lancer là dedans ce soir (je pourrais, hein, je suis docteur honoris causa de la Nouvelle Université de Nalanda ). Je me contenterais pour le moment de mettre une référence de livre sur le sujet et un lien intéressant ICI Je doute que ça intéresse beaucoup de monde ici. Après s'il y a des questions précises je ferais de mon mieux pour y répondre.
  19. Les deux visions peuvent complètement se rejoindre. D'ailleurs au niveau ultime (tout en haut de la montagne), tous les chemins se rejoignent n'est-il pas ? Je conçois que la question de l'anatman peut poser souci à la vision chrétienne très centrée sur la notion de personne, d'altérité et de relation à l'autre. Les deux ouvrages dont je met les couvertures en photo sur ce message sont les plus inspirants que j'ai lu sur cette question. Celui de Thich Nhat Hanh est peut être un peu plus "bisounours" que celui de Fabrice Midal et Dennis Gira qui est plus un dialogue sans concessions entre deux amis dont l'un est chrétien et l'autre bouddhiste. Sur cette question de "la goutte d'eau qui retourne à l'océan" et qui, donc, devient l'océan (ce qui, d'ailleurs, est plus une image hindouiste que bouddhiste, mais bon...), il y a ces quelques mots de Kalou Rinpoché (déjà cités ici mais c'était il y a quelques années). De plus ça colle assez bien avec tout ce que nous venons d'évoquer ces derniers jours (saisie dualiste etc...) je me permets donc de les recopier à nouveau : Tu vis dans l'illusion et le monde apparent des choses Mais il y a une réalité Tu es cette réalité et tu ne le sais pas Quand tu t'éveilleras dans cette réalité, tu reconnaitras Que tu n'es rien, et qu'en étant "rien, tu es "tout".
  20. Un passage du livre de Rupert Spira précédemment cité (La nature de la conscience) exprime assez bien la méprise ( !) de la saisie dualiste : Finalement, quand je relis le tout premier message (plutôt farceur) de ce fil rédigé en janvier 2012 ainsi que le deuxième message (tout aussi farceur) par Christian Girard, je ne peux m'empêcher de conclure que l'essentiel était déjà dit en deux messages. (Bon, certes, il a fallu un peu plus de 1300 autres messages , plus de 7 ans de débats et des centaines de références philosophiques, scientifiques et spirituelles pour étayer un peu le débat et montrer que ce qui était parti comme une farce a beaucoup plus de profondeur que nos deux premiers messages le laissaient supposer ).
  21. En tout cas, quel gros pavé dans la mare, l’hypothèse que la saisie dualiste, l’objectivation du monde (notre mode de perception des choses le plus banal et le plus habituel) est la perversion d’un état "originel" qui serait, lui, bien plus proche du niveau "fondamental" de "réalité" (désolé mais je suis obligé de mettre des guillemets partout ). Comme l’écrit Schrödinger « La raison est une partie du problème et elle ne peut donc pas être la solution ». Tout ceci rend le dialogue avec un scientifique ou un rationaliste très compliqué voire quasi impossible dans la mesure où un scientifique va quasiment toujours concevoir les choses en mode objectif (je devrais même dire en mode "objectivation"). Quelques aficinados qui maitrisent tout autant la pensée scientifique que la non-dualité se sortent très bien de cet exercice néanmoins (Michel Bitbol, Mathieu Ricard…).
  22. DVD de plus de 3h15 par Max Maven sur les techniques et les subtilités qui concernent le choix équivoque et les sorties multiples. DVD en anglais. Je n'ai plus la boite de ce DVD, il est donc livré dans une pochette plastique comme sur la photo. 35 euros frais de port inclus pour la France (envoyé dans une solide enveloppe cartonnée). Je n'ai pas de compte paypal et ne souhaite pas en ouvrir, le règlement se fait donc par chèque exclusivement.
  23. Tiens je t'en ai trouvé un autre de "nœud de la pensée"... Excellent celui là ! : La science est fondée sur un protocole, assez contraignant, de démonstration et de vérification relativement universelle que tous les scientifiques acceptent entre eux. Cette science a fait la preuve incontestée, que la ''localité'' (simplifiée ici comme ''temps'', minutes, secondes) ne peut exister en simultanée avec la ''réalité''. C'est l'un ou l'autre. Pour des raisons existentialistes, les scientifiques ont tout simplement abandonnée la notion de ''réalité'' pour conserver celle du ''temps''. Ce qui correspond à affirmer scientifiquement qu'il n'existe aucune ''réalité scientifique objective''.
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