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Tableau d'honneur

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Showing content with the highest reputation on 03/08/19 partout

  1. Hello, Inferno ou pas peu m'importe, j'ai planché sur l'idée de Cédric (pourquoi pas?) avec le Quiver + boite d'allumettes (parfois sans à cause du vent) et j'ai testé en presta ce week-end. Déroulement : Je confie le Quiver à un spectateur, je fais apparaître une pièce (STC en l’occurrence) d'à travers le porte-monnaie pour faire ma routine favorite puis je passe à autre chose en sortant les allumettes pour faire "Inferno". Il est vrai que certain ont été tentés d'ouvrir pour voir si la pièce était revenue dans le PM mais j'ai pu gérer sans problèmes. Et lors de la révélation de la carte, la pièce est oubliée. Et alors??? Les retours public m'ont semblé excellents au vu de certaines réactions. J'ai eu plaisir à travailler cette idée et à créer un set de 6 à 8 min. Avantages (à mon goût) : Aucune manips/handling , et le meilleur = reset vraiment immédiat. Tu te retournes, tu recommences. Inconvénients : Je vous laisse chercher parce que je n'ai pas encore trouvé. Moralité : Merci Cédric pour cette suggestion, grâce à toi j'ai pris mon pied et le public Belge aussi. Je vais tester et peaufiner sur notre public Français et ce set intégrera définitivement mon répertoire.
    5 points
  2. La version de Roman est très clean, et très chouette, pour l'avoir vu en live lors du premier Virtual day... Cela dit, l'origine du principe remonte à bien plus loin, et il y a même un livret très sympa, que vendait pendant longtemps Mike Ammar...ou tout se passe avec des cartes de visite... ahhhh, ces coins coupés!!!! même en "inter, je sors"....
    4 points
  3. Oui oui je sais C'était ironique par rapport à .... heu ....non rien....
    3 points
  4. La dernière mise à jour du thème du site gérant les articles / boutique / agenda devait apporter plein de chouette nouveautés. En fait, elle n'apporte que des soucis qui à nouveau me prennent des heures à tenter de trouver des solutions. Alors vous avez peut être (ou pas) expérimenté ces soucis : Accès à votre profil (ervant à mettre à jour vos informations, demander l'accès aux tours de magie ou encore retrouver vos achat) : le lien refonctionne et sur téléphone il marche même désormais en cliquant sur votre Avatar dans le menu. Disparition de la date sur certains messages : ils sont réapparus. Liens sur l'ancien logiciel du forum : peut être étiez-vous tombé sur des liens du type ubbthreads/ ? Désormais ils ernvoient à nouveau normalement au sujet identique sur le forum actuel. HTTP versus HTTPS : par défaut toutes les anciennes URL non sécurisées renvoient vers leur pendant sécurisées et du coup affiche bien comme il faut le site notamment les pictogrammes dans le menu. Encore une fois un énorme MERCI à @Alx pour sa réactivité, sa compétence et sa bienveillance.
    3 points
  5. Non mais quel toupet ! Je viens colporter sans preuve la vindicte populaire et je ne donne pas mon avis une fois l'objet en main ! Je vais corriger ça de ce pas A priori le cuir ne serait pas extraordinaire (mais les avis sont partagés) Alors personnellement je le trouve Top ! Je ne suis pas un expert mais pour un portefeuille à usage unique de magie c'est impeccable. La fabrication et les finitions sont top aussi Il n'y a pas de compartiment pour l'argent ce qui peut être un frein pour une utilisation comme un portefeuille quotidien Exact ! On ne peut quasiment rien mettre dedans... Pour un effet magique c'est parfait, il y a juste ce qu'il faut en emplacements pour faire croire à un portefeuille du quotidien. Pour tous les jours ce n'est pas envisageable une seconde par contre. pas de compartiment à billets quasiment pas de place pour la carte d'identité pas la place pour le permis de conduire a peine la place pour quelques cartes de visite et cartes de fidélité en faite (8 maxi) Il faut immobiliser un wow durablement Exact aussi, le wow va rester dans le Wowlett. L'alignement (carte/wow) semble difficile à faire en condition de travail Honnêtement je ne trouve pas, on a tout le temps du monde de réajuster grâce aux propriétés du portefeuille et aux différentes routines proposées. Mais en plus, aligner directement n'est pas non plus difficile. La carte est mise derrière le wow et non dedans + la couche de plastique du PF ça fait une grosse perte de qualité d'affichage Pas pour moi J'ai eu mon Wowlett d'occaz donc peut-être a-t-il été retravaillé avantageusement mais sur le mien il n'y a pas de fenêtre de plastique, on a directement le wow 3 sous les yeux et c'est bien évidemment tant mieux ! La carte est certes derrière mais ça revient au même vu la modification à apporter... Bref, pour la visibilité avec le Wowlett, on est exactement dans les mêmes conditions qu'avec le wow 3 nu. Et donc comme je le soulignais, si l'on gagne en crédibilité de l'objet, on perd un peu en impossibilité du changement Mon avis n'est pas encore forgé sur la question... Je viens à peine de recevoir le Wowlett... Mais j'ai encore cette sensation que le wow 3 nu est encore plus impossible de part cette totale transparence dont ne bénéficie pas le Wowlett. Autres questions ou réflexions diverses Je n'ai pas encore "customisé" mon wow 3 par l'arrière donc je ne peux pas encore dire si c'est vraiment autant compatible que les wow précédents pour le moment, mais il rentre sans problème et il est bien calé ! Le bouton est beaucoup plus difficile à activer qu'avec le wow 3 nu. Le DvD est top, handlings, routines, techniques, méthode sans empalmage, carte signée des deux côtés et caetera... (En anglais par contre... Mais ce n'est pas gênant.) Le portefeuille n'est pas examinable et pas utilisable par le spectateur tant que la carte est chargée. Voilà en premier retour day-1 Plus qu'à approfondir tout ça maintenant. Petit ajout de dernière minute : Je suis un acheteur comblé MAIS ! Je tiens à mettre en garde les acheteurs sur un petit point qui me semble très important... Quand j'ai acheté le Wowlett, c'était sur l'argument de banaliser un outil peu commun. Or, maintenant je me rends compte que le Wowlett ne sert pas banaliser le wow mais à faire une carte au portefeuille avec le wow. Donc, acheteurs qui souhaitez juste banaliser le wow, attention, certes ça le banalise mais dans le même temps ça le contraint à ne faire que l'effet de la carte au portefeuille... Bien que soient expliquées plusieurs routines différentes (dont une très belle version sans empalmage), on est toujours dans un contexte de carte au portefeuille. Moi ça me comble de bonheur mais je me suis dit qu'il fallait le préciser
    3 points
  6. Ehrlich ... Ca va envoyer du lourd ! Pas moins de 11 semi remorques dont 1 uniquement pour la régie, en voici un sur l'A1 ce matin vers 10h juste avant le péage de Senlis. Ils sont donc arrivés à Paris.
    2 points
  7. Euhhh comment vous dire c'etait une blague ....
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  8. Otto, sur le micro-entrepreneur (ex auto-entrepreneur) voici quelques lignes pour comprendre un peu le tabou : Tu peux dire que tu fais une CONFÉRENCE (en tant que professeur donc) sur la magie de 5 mn payante par facture suivie d'une petite démonstration de durée variable offerte. Franchement je n'ai jamais vu de différence entre un professeur, un conférencier et un artiste. C'est jouer sur les mots alors que l'esprit et les talents demandés sont analogues. Les charges sont payables chaque trimestre et représente 28% de ton chiffre d'affaires. Cela te donne la sécu, la retraite (si tu facture un montant minimum chaque trimestre pour pouvoir le valider) mais PAS le chômage . Tu n'a pas à facturer à ton client ni à payer de la TVA jusqu'à 35 000 € environ. Si tu dépasses ce seuil, autant changer de statut De nombreux coursiers dans Paris ont ce statut pour la livraison de repas et ... ne déclarent JAMAIS leur chiffre d'affaires trimestriels (donc 28% de benef en sus) et on ne leur dit RIEN depuis des années car on ne va tondre un pauvre. un intermittent reçoit moins que la moitié de la facture TTC ( charges + commission agence + TVA) et sera donc autrement plus cher, mais ET LÀ RÉSIDE ce qu'on ne te diras jamais, il va par contre récupérer 1300 € de chômage chaque mois. C'est la raison de la guerre entre intermittents et micro-entrepreneurs. De plus on fait uene facture en quelques minutes, sans la paperasse faite par le Guso. Voilà en quelques lignes écrite par l'auteur du "mollard dans la gamelle" en 1991 et répété par la cour des comptes bien plus tard.
    2 points
  9. Pour mettre tout le monde d'accord : que pensez vous de l'idée de coller un grattoir sur le quiver ou C-purse .
    2 points
  10. Et tu as probablement mis le doigt sur la véritable différence entre les deux produits ! Un copain un peu Geek, pourtant, a Inject et nous a souvent dit que c'était HYPER riche, mais pas facile à appréhender compte tenu de tout ce qui est possible. Et si Inject n'avait finalement pas le même public que Now ? Now, plus simple, plus rapide à mettre en place, mais une application plus "limitée". Inject : plus complet, mais plus complexe, on fait ce qu'on veut, mais ça a un coût en temps et en "paramétrage".
    2 points
  11. Évidemment! Je peux comprendre qu’inject soit compliqué! Mais vraiment quand on pousse et va plus loin, tout est presque possible!
    2 points
  12. Je commencerais par un bravo à @Thomaspour la forme de cette vidéo que je trouve vraiment bien faite et agréable à visionner. Pour ce qui est du contenu, j'aime beaucoup cette routine. Je ne sais pas si je la ferai en l'état mais elle est vraiment agréable à découvrir et le principe est très sympa. Merci pour cette video !
    2 points
  13. En voilà l’exemple type! Jeff, cesse 2 minutes s’il te plaît! Car maintenant j’en ai là certitude, tu sais clairement pas de quoi tu parles.
    2 points
  14. Finalement comment s'est déroulée la greffe ?
    2 points
  15. La magie des illusions d'optique (mais pas seulement) : PRÉSENTATION PAR LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION (MICHEL GAUTHIER ET ARNAULD PIERRE) : Si le nom de Vasarely évoque des images colorées jouant de l’illusion optique, toute l’envergure et la logique de son œuvre restent mal connues plus de vingt ans après sa disparition. La dernière grande exposition parisienne consacrée à l’artiste remonte à 1963, au Musée des arts décoratifs. La rétrospective que vous invite à découvrir aujourd’hui le Centre Pompidou aborde l’œuvre sous l’ensemble de ses facettes, plutôt que de ne privilégier que les aspects qui seraient conformes à l’idée communément reçue du Grand Art. Au travers d’un ensemble exceptionnel de près de quatre-vingts peintures, d’une intégration architecturale et d’une sélection très large de multiples, découvrez au fil de cette rétrospective une œuvre qui s’est hissée, avec la DS ou les fauteuils de Pierre Paulin, au niveau des grandes mythologies techniques et culturelles de son temps. Avec cette exposition, il s’agit de révéler le « logiciel » de Vasarely. Celui-ci possède une double dimension. En héritier des avant-gardes historiques de la première moitié du 20e siècle et tout particulièrement du Bauhaus, Victor Vasarely s’est lancé dans une entreprise radicale de sécularisation de l’art. En d’autres termes, il s’est attaché à définir des modes de conception et de production permettant une large diffusion sociale de l’art. Parallèlement, et c’est l’autre grande dimension de son œuvre, Vasarely a mis au point des formes qui sollicitent l’œil bien plus que ne le fait généralement la peinture abstraite : c’est à ce titre qu’il reste dans l’histoire comme l’inventeur de l’art optico-cinétique. L’exposition vous invite à découvrir chacune de ces deux dimensions et la manière dont elles s’articulent l’une à l’autre. Vasarely se forme à Budapest au contact des avant-gardes historiques. Son maître, Sandor Bortnyik, est l’une des figures majeures du modernisme hongrois. La première section de l’exposition révèle un Vasarely adaptant le langage du modernisme à la communication commerciale et mettant en place, dès les années 1930, dans ses travaux publicitaires et dans différentes études, les fondements de l’œuvre à venir. La série des Zèbres annonce ainsi de façon frappante les formes optico-cinétiques qui naîtront deux décennies plus tard. Une vingtaine de peintures, dont certaines appartenant à des collections privées n’ont jamais été exposées depuis plus d’un demi-siècle, viennent ensuite témoigner de la singularité de l’abstraction qu’invente Vasarely à la fin des années 1940. C’est une abstraction qui procède de l’observation du réel, de la nature et de l’architecture. L’accent est tout particulièrement mis, avec une dizaine de peintures, sur la série Gordes-Cristal. En 1948, l’artiste se rend pour la première fois à Gordes et, sous le soleil de la Provence, il fait une découverte capitale dans le développement de son œuvre : la géométrie angulaire du site et les puissants contrastes d’ombre et de lumière qui engendrent des jeux optiques et déstabilisent la vision. Le cristal, avec ses effets complexes de reflet, de transparence et de confusion des plans, devient un modèle pour son abstraction. L’instabilité de ces formes cristallines, les premières réflexions sur un vocabulaire plastique élémentaire et le désir de mettre en mouvement les formes inertes de l’abstraction se combinent pour préparer la formidable révolution esthétique que sera la naissance de l’art optico-cinétique au milieu des années 1950 – ce qu’on appellera dans la décennie suivante l’op art. Réduisant son langage au noir et blanc, Vasarely définit alors un vocabulaire qui emporte le regard dans le monde énergétique des ondes et des particules. L’exposition réunit ici quelques tableaux de premier plan qui vibrent ou clignotent. Avec eux, une forme sitôt saisie par le regard se transforme en une autre sans jamais se stabiliser. À l’orée des années 1960, Vasarely ouvre le chantier de ce qu’il appelle l’« alphabet plastique », constitué d’un lexique de six formes géométriques simples incrustées dans des carrés de couleur pure, les « unités plastiques ». Retrouvant l’un des rêves fondateurs de l’abstraction, il ambitionne de créer un langage visuel à portée universelle et offre ainsi à la société mondialisée les moyens d’engendrer un nouveau « folklore planétaire ». C’est un nombre presque infini de combinaisons que le jeu des formes et des couleurs autorise, susceptibles de multiples applications. Vasarely s’en assure la maîtrise par des méthodes de permutation et de programmation qui reflètent son intérêt pour la cybernétique et donnent à ses tableaux un aspect digitalisé avant l’heure. Dans la seconde moitié des années 1960, les teintes pures de l’« alphabet plastique » s’enrichissent de valeurs intermédiaires qui introduisent dans la mosaïque des tableaux des dégradés et des clairs-obscurs dont dépendent certaines des œuvres iconiques de l’artiste. Poursuivant l’idéal d’une socialisation de l’art qui fut celui des avant-gardes dont il est l’héritier et témoignant d’une intelligence proprement warholienne des médias, Vasarely s’engage à la fin des années 1960 dans la diffusion à grande échelle de ses formes et rencontre, le fait n’est pas si fréquent, l’adhésion de la culture populaire. La sécularisation de l’œuvre d’art emprunte différentes voies. Tout d’abord celle du multiple (et notamment du poster à grand tirage), et aussi celle des arts appliqués. De cette façon, l’artiste trouve le moyen d’assurer l’existence de son œuvre au-delà du cadre institutionnel de l’art. L’exposition, c’est l’une de ses caractéristiques, souligne l’étonnante fortune que connaît l’œuvre dans la société des Trente Glorieuses à partir des années 1965 et pendant la décennie suivante : on trouve du Vasarely dans les journaux de mode, sur les couvertures de livres et de magazines, les pochettes de disques (comme Space Oddity de David Bowie), sur les plateaux de télévision ou encore dans les films (d’Erotissimo à Peur sur la ville). La culture populaire visuelle de l’époque s’est véritablement approprié la forme vasarélienne. L’ambition d’un art social, séculier, qui accompagne le développement de l’« unité plastique » trouve son débouché logique dans la réalisation d’intégrations architecturales. Dès 1954, le chantier de la Cité universitaire de Caracas offre à Vasarely sa première occasion de concrétiser ses idées sur l’intégration de l’art à l’architecture, aux côtés de Arp, Calder ou Léger. Le début des années 1970 va voir l’artiste réaliser certaines de ses plus fameuses intégrations : dans le nouveau bâtiment de la gare Montparnasse ou sur la façade de l’immeuble de la station de radio RTL, à Paris ; ou encore dans la salle à manger d’honneur de la Deutsche Bundesbank à Francfort, remontée dans l’exposition du Centre Pompidou. Des diaporamas, dont l’un consacré à l’étonnant Centre architectonique d’Aix-en-Provence, inauguré en 1976, présentent ces intégrations. Vasarely en était venu à penser que l’architecture était le niveau où ses formes pouvaient se partager avec le plus d’efficacité. Des rêveries cosmiques, entre science et fiction, sont l’objet des effervescences formelles du dernier Vasarely. C’est un cosmos irradiant, multidimensionnel et respirant qui inspire les grandes séries qui voient le jour dans les années 1960 et 1970. Leurs titres en témoignent, qui font référence aux « signaux des mondes », aux « métagalaxies », au « bruit des quasars » et au « battement des pulsars ». En 1982, un ensemble de cinq sérigraphies de l’artiste est même emporté par le spationaute français Jean-Loup Chrétien à bord de la station spatiale orbitale soviétique Saliout 7, donnant à l’œuvre vasarélienne le cadre intersidéral dont elle rêvait. Une ultime façon de relier les deux grands axes de son œuvre : la positivité de la science dont la conquête spatiale est l’une des expressions les plus exemplaires ; le goût pour les distorsions, les excentricités géométriques et optiques, abondantes dans l’univers de la science-fiction. In Code couleur n°33, janvier-avril 2019, p. 10-15 https://www.centrepompidou.fr/cpv/agenda/event.action?param.id=FR_R-a47bfe3855b7b08b11fb8daf2c1ecf5&param.idSource=FR_E-a47bfe3855b7b08b11fb8daf2c1ecf5 https://twitter.com/hashtag/ExpoVasarely?src=hash https://www.cnews.fr/videos/culture/2019-02-16/lexposition-vasarely-au-centre-pompidou-813348 https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Vasarely "L'affaire de la Fondation Vasarely" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Debbasch
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  16. C'est à dire ? Si tu veux parler de l'application, non rien à configurer en plus de d'habitude
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  17. Je t'ai répondu en mp
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  18. Exactement, et en plus l'application s'ouvre si le téléphone du spectateur possède Google maps Google Maps + les cartes avec les lieux dessus, je vais tester ça ce weekend et je vous ferais un retour ...
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  19. Je vais essayer de me remettre un peu dans Inject mais la différence principale si je ne me trompe est et restera, le choix complètement libre avec Now et un choix parmi des propositions dans Inject ? Et donc si je ne me trompe pas, cette différence est à mes yeux, énorme. De plus du à la manière de prendre le peek avec Now il semble que plein de produits additionnels vont sortir. Ce débat me fait un peu penser à la sortie de Vanishing Ring: Quoi ? Une nouvelle boîte à disparition ? Mais pour 20 euros j'en ai une en bois qui fait la même chose ! Quoi ? Y'a vraiment des gens qui vont mettre 190 euros dans ce produit qu'on peut faire gratuitement avec un handling ? Voilà ce qu'on lisait à l'époque. Sauf qu'à la fin, le produit a mis tout le monde d'accord et même ceux qui n'en voyaient pas forcément l'utilité, l'ont acheté. Tout ça pour dire: attendons un peu, soyons plus mesurés
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  20. J'ai inject que j'adore et je viens d'avoir now et pour le spectateur c'est beaucoup plus pur l'effet de now c'est complètementaire d'inject je dirais Perso c'est une tuerie !!!
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  21. Suite à un échange animé sur le sujet de Now, Je me rends compte que pas mal de français rencontre des difficultés avec cette application. En attendant la prochaine version qui devrait sortir dans le mois (Actuellement en Beta test) et qui proposera une interface beaucoup plus user-friendly, je voulais savoir si des gens on l'application et ne l'utilise pas. Afin de comprendre pourquoi et essayer de trouver des moyens pour ne pas la laisser pourrir sur le téléphone inutilement. A votre dispo pour en parler @+
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  22. Tu risques de me trouver vindicatif mais je prend le risque Ton idée de routine est très bien mais je trouve dommage de perdre le gros avantage de Now un vrai choix libre du spectateur (en limitant a X possibilités)... Pour le coup la routine que tu décris je la réalise régulièrement avec des personnages de dessins animés à la place des cartes postales de paysages sans toucher la carte du spectateur et en laissant ce dernier mélanger le jeux pour perdre lui même sa carte (tu peux difficilement faire plus clean). Je suis désolé mais cet exemple montre à quel point l'effet est proche! et comme il est difficile de dissocier ces deux applications. Maintenant laissons sa chance au produit et nous ferons le point en fin d'année PS : Je comprend la réaction de Greg ROSTAMI même si je t'accorde que ce n'est pas très classe.
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  23. Merci pour ton retour ! Compte-tenu de la barrière de la langue (no hablo espanol ! ), il est évident que j'ai choisi de réduire le blabla... ce qui montre la force de cette belle routine puisque même sans parole on la comprend prafaitement et elle se suffit à elle-même (ce qui n'est pas donné à tous les tours). De quel point de vue ? La vidéo montre une des pires situations à savoir assis sur un truc mou avec les genoux qui remontent et le spectateur sur sa droite... et pourtant il n'y a rien à voir. Sauf à considérer qu'une LD est anguleuse tout me semble simple à maîtriser et jouable en toute situation. Une anecdote : pour les explications, je me suis mis en gros plan au dessus de son épaule droite... et je devais souvent lui demander d'aller au super ralenti et de me montrer les choses pour que vous puissiez comprendre les mouvements à faire. En clair, c'est du tout bon. Ceux qui se le sont procurer peuvent peut être nous faire un retour ? Par exemple @Daniel (Chapi) @Pascal FROMENT @Vincent C. @Bruno LANFRANCA @Pierre NARDIN @Michel BARDOULEAU...
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  24. Coucou Devant gérer pas mal de soucis techniques depuis le transfert du site sur un serveur tout nouveau tout en continuant à vous proposer du contenu (de nouvelles vidéos arrivent ), je n'ai pas trop le temps de lire en détail TOUS vos échanges. Je note toutefois quelques énervements. Je vous prie de revenir à un peu plus de bienveillance entre vous. Ce n'est que de la magie... et on adore TOUS cela. Donc zen les amis ! On nous signalé quelques débuts de débinage. J'ai donc déplacé cela en CdS si vous voulez pouvoir en dire plus à l'abir des moldus. Pease
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  25. Non non, vous vous trompez les gars! On ne vient pas seulement dire qu’inject est meilleur, on vient surtout rétablir la vérité.Car quand je vous entends parler d’inject, je me dis que c’est pas possible.Vous balancez tellement de con***ies. Et puis je vous le dis une bonne fois pour toute (pour avoir les 2). NOW c’est pas bon, ou plutôt je n’aimes pas!C’est innovant dans l’input, mais c’est tout!
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  26. Je fais selon les demandes... et puisque tu me le demandes, je vais la remonter en haut de la pile !
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  27. Tu as oublier une chose importante le prix. Now est trop cher et ne propose qu'un seul effet. Inject presque le meme prix et 15 tours magnifique. y a pas photo.
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  28. Méfiance : après l'op art, le pop art et le street art, ça sent le bob art !
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  29. Casanova ? Avec un nom pareil, son livre fétiche devait être l'Encyclopédie des tirages. (Du coup, il ferait bien de se tirer... du domaine de la grande illusion.)
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  30. Non non non, ce n'est pas parce que quelques personnes en portent à un défilé que c'est à la mode ! On m'a fait le coup avec les sacs banane il n'y a pas longtemps en m'en montrant dans un défilé... Dissociez définitivement du mot "mode" les expressions suivantes : Bob Sac banane Claquettes Claquettes/chaussettes ... Sinon je vous envoie la fashion police !! Namého !
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  31. Pour revenir plus sérieusement au sujet, celui qui croit utiliser la rétractation de la pupille pour lire dans les pensées d'un spectateur se met le doigt dans l'oeil.
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  32. L'occasion de se rappeler que Gilles Arthur a permis grâce à ces émissions (depuis plus de 20 ans) de faire venir et connaitre les plus grands magiciens du moment !
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  33. Depuis Bill Gates et son Windows, ça fait longtemps qu'on sait qu'un beta-testeur s'appelle un client
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  34. ... et la deuxième partie de l'effet est très bien pour ceux qui font de la magie en restaurant
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  35. Heureusement, tous les secrets ne sont pas dans les livres ou sur youtube. Les meilleurs sont gardés bien précieusement et ne s'échangent qu'entre "magiciens réputés et de confiance". Vous n'aurez accès à ceux ci que si vous montrez "patte blanche" et que votre réputation n'est pas entachée comme piqueur de tours ou débineur. Rien ne vaut l'échange direct avec les confrères sérieux...j'ai remarqué ceci au cours de mes nombreux déplacements et rencontres... un secret se distille et se mérite et c'est dans ces rencontres qu'il se transmet...loin de ces petits curieux, avides de savoir et incapables de refaire. Divulguer est scier la branche sur laquelle on est assis !
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  36. Sinon ? il y a un sujet qui parle du Destiny Deck quelque part ?
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  37. Sans vouloir faire "l'arbitre" ou le Michel Drucker de service, mais vous avez tous raison et ces phénomènes ne sont pas exclusifs au marché de la magie, ne voyez pas dans les lignes qui suivent un jugement mais plutôt un constat : Nous sommes simplement dans une ère ou "la donne a changé", comme il a été souligné dans un message précédent il y a maintenant de nombreuses années c'était l'offre qui faisait un marché : les entreprises proposaient tels ou tels produits et le consommateur achetait ce qu'on lui proposait ; l'offre était faible et la demande concentrée, le consommateur disposait à l'époque de très peu d'informations (sur la provenance, la fabrication, la qualité, le prix de revient, la concurrence....) et surtout il ne savait pas ou peu (limitation à son cercle de connaissances) ce que pensaient les autres consommateurs d'un même produit. C'est l'information et la rapidité de transfert du savoir qui a redistribuée les cartes : le consommateur de nos jours se renseigne, compare, analyse, décortique....il est méfiant, exigeant, pressé,....il se lasse rapidement, il est avide de nouveautés et il estime que c'est au produit de s'adapté à lui et non l'inverse; enfin, il se veut et se considère comme un véritable expert Le consommateur sait également que c'est lui qui a le pouvoir de décision dans le processus d'achat, que c'est son argent qui va "alimenter" ou non une société et que la concurrence accrue de l'offre joue en sa faveur ; de spectateur ou petit figurant le consommateur au fil des années a décroché le premier rôle. Si l'on regarde maintenant par le prisme des sociétés, le jeu de la séduction démarre ; car il va falloir capter le client, l’appâter, le solliciter, le faire rêver, lui proposer pléthore de produits tout çà dans un contexte ultra concurrentiel, bordé par un cadre légal de plus complexe et inégalitaire dans une économie ouverte. Les règles ne sont pas les mêmes, ni même appliquées de la même manière pour tous, en particulier sur la propriété intellectuel, le piratage, la copie et même la fabrication, la distribution et la commercialisation Par ailleurs, il faut faire vite car la durée de commercialisation d'un nouveau produit (hors best seller) est très courte, il faut avoir la bonne idée (ou du moins une idée), passer rapidement au stade de la fabrication et vendre le plus possible en un minimum de temps car les phénomènes de mode vont vite balayer d'un revers de la main votre produit ou ce dernier va être remplacé par un autre produit au vu de l'abondance du marché. il faut avoir de plus en plus d'idées, investir en recherche et développement, réaliser de nombreuses veilles stratégiques et emballer tout çà dans des campagnes de marketing, de communication. Comme cité précédemment, votre "nouveauté" à également de grandes chances de se faire copier, imiter revendue également de manière très rapide. Ces effets sont d'autant plus important dans le secteur de la production magique dont la distribution se fait quasi de manière exclusive sur internet et dont le marché de l'occasion n'est pas du tout maîtrisé par les professionnels (contrairement a des marchés comme celui de l'immobilier, du jeu vidéo...) et où les reventes se font exclusivement de PAP. Concernant les prix, là encore leur fixation suit une logique, en effet, le produit et vite acheté et souvent vite revendu, ce qui fait que le marché du neuf est compliqué en particulier et surtout dans la magie car ici c'est souvent un savoir, une méthodologie qui est acheté. Le consommateur va faire l'acquisition d'un tour s'en approprier la méthode et souvent le revendre ; avant cette circulation sur le marché de l'occasion existait très peu, ce qui fait qu'aujourd’hui un produit neuf va peut être passée dans 10 mains sur le marché de l'occasion ce qui va ne générer aucun revenu pour le producteur. Et c’est là je pense la grosse incompréhension entre consommateur et producteur, le consommateur s'attarde sur le produit, le contenu de ce qu'il achète et estime la marge et la valeur d'un produit d'un point de vue de ce qu'il "a dans l'assiette" alors que le producteur marge lui sur l'idée, les routines...la valeur immatérielle de la production en sachant d'ores et déjà qu'a la sortie cette propriété intellectuelle n'a déjà plus de valeur intrinsèque.
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  38. Mon point de vue c'est que, en tant qu'amateur, tes proches constituent ton principal public. Donc leur révéler tes secrets revient à scier la branche sur laquelle tu es assis. Puisqu'il s'agit de ta famille, tu as de nombreuses occasions de parler avec eux. Profites-en pour les "éduquer" et explique-leur que l'intérêt de la magie ne réside pas dans la recherche du "truc". Ce n'est pas toujours facile avec des inconnus, des rencontres de passage, mais avec ta femme, ton frère ou tes enfants, les occasions ne manquent pas Pour finir, sur la question du mensonge, il faut que tu sois en paix avec l'idée de secret, ou tu te prépares des moments difficiles : un magicien qui culpabilise quand il y a un truc, c'est un peu handicapant quand même Je te propose donc d'envisager les choses autrement : dis-toi que la plupart des gens sont déçus quand ils découvrent le secret d'un tour. Donc en ne leur révélant rien, tu leur épargnes une déception. Et tu leur laisses la possibilité d'apprécier de nouveau le même tour dans quelques temps
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  39. Y’a aussi une super chaîne d’un mentaliste talentueux :
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  40. Bien sûr,dans les mains de Juan, la merveilleuse invention de Koornwinder fait des miracles, et le mystère est total. La voiture de Morlas a l'avantage de la transparence, mais perd une partie du mystère initial... Une idée à explorer est la suivante: Achetez la voiture transparente, mais faites une coquille non transparente, en carton, métal, bois de placage, ou autre, selon vos capacités de bricoleur... Commencez la routine avec cette voiture non transparente, et en évoquant l'idée d'une "mécanique incroyable" cachée dans la voiture, pour finalement, juste avant la dernière phase, retirer la coquille, dévoilant la voiture transparente, et finissez avec.... Une autre idée: Il y a des années, un magicien espagnol, ami de Juan, avait monté une version très astucieuse.... Il partait d'une boite d'allumettes, dans laquelle on trouvait les roues et les axes, en 'pièces détachées"...Il montait la voiture devant tout le monde, la boite d'allumettes, refermée, servant de corps à la voiture...il passait les axes des roues au travers de la boite...et le tour était joué....La voiture étant prête, il sortait son jeu de cartes, et sous ce couvert, il échangeait la voiture contre une autre, identique, mais truquée "a la Koornwinder"....Vu la petite taille de l'objet, c'était du gateau.... Bonne route!!! Gaetan
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