Tableau d'honneur
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Voici un lien vers un un article du numéro 27 de revue d'histoire du cinéma: "Trucs et illusions. Applications de l'optique et de la mécanique au cinématographe" on y parle entre autre des effets d'optique utilisé par Méliès.. https://www.persee.fr/doc/1895_0769-0959_1999_num_27_1_13903 points
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Bon puisque personne ne l'a encore fait, je suis heureux d'inclure celui sans qui ce sujet n'existerait pas: Georges Méliès: Je me dois donc d'inclure également dans cette liste le bel hommage que lui a rendu Martin Scorsese avec Hugo Cabret: Ne pas oublier les cinéastes magiciens. Le plus illustre d'entre eux, Monsieur Orson Welles dont les 3 premières minutes du film "F for Fake" sont une belle réflexion sur la magie: Même si elle n'apparaissait que de manière indirecte, la magie irrigue également tous les films du Grand Pierre Etaix: Il serait dommage dans ce sujet d'oublier le magicien actuel du cinéma français Bruno Podalydes et son très sympa (et émouvant) "Adieu Berthe", avec notamment des apparitions de Pierre Edernac et Pierre Switon: EN vrac: Judex de Georges Franju, avec l'immense Channing Pollock: Également Passe Passe de Tonie Marshall dans lequel Edouard Baer joue le rôle d'un prestidigitateur au chômage: Sans oublier le très beau My Magic du chinois Eric Khoo: "Depuis que sa femme l'a quitté, Francis est au bout du rouleau. Il travaille comme serveur dans une boîte de nuit, et noie son chagrin dans l'alcool. Son fils de 10 ans se débrouille seul, mais reproche à son père de se laisser aller. Par amour pour son enfant, Francis décide de renouer avec son ancien métier : magicien..." Et enfin pour terminer cette liste non exhaustive, voici deux très beaux court-métrages que vous pouvez voir ici en intégralité: "L'illusionniste" d'Alain Cavalier (l'un des plus grands réalisateurs français): Et le génial court-métrage "Presto" de Pixar:3 points
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Bonne fête à tous les magiciens, en ce jour où nous fêtons St Jean Bosco, qui est le St Patron des magiciens. Je sais que dans notre monde athée et coupé de ses racines, à l'heure du hors-sol, il est déplacé de parler religion mais il est toujours bon de rappeler les fondamentaux. En effet, comme de nombreuses corporations, les magiciens ont eux aussi leur saint patron. Le monde a besoin de structures, de références, de colonnes sur lesquelles édifier peu à peu un monde plus humain. Parmi elles, il y a souvent une référence à un saint patron, qui bien au-delà d'une figure catholique, est aussi porteuse de sens. Les corporations se réfèrent ainsi à des personnes qui se sont données d'une manière ou d'une autre : les gendarmes ont Ste Geneviève, les pompiers ont Sainte Barbe, les avocats ont St Yves, les policiers ont Saint Martin, les paras ont St Michel, les cuisiniers ont St Laurent (de Rome), les gens de la télé (et radio) ont l'archange Gabriel... St Jean Bosco fait partie de ces références et, que l'on soit croyant ou non, les valeurs portées et le travail pour les autres peuvent interpeller. Même nous les magiciens. Je vous laisse découvrir la figure de Jean Bosco via ce lien. C'est Tréborix qui, dans les années 1930-35, a été à l'origine de cette initiative. Connaissant bien la vie de Don Bosco (il a été chez les salésiens), il eut l'idée de proposer à l'association syndicale des artistes prestidigitateurs, alors présidée par le docteur Dhotel, saint Jean Bosco comme patron des illusionnistes. Cette proposition fut adoptée à l'unanimité. Il faut dire qu'il se basait sur des sources réelles rappelant que le prêtre italien faisait de la magie. Comme vous l'avez vu récemment sur VM avec le Père Alex, il existe des prêtres (ou hommes d'église) qui sont magiciens : Vincent de Paul, Zeferino Namuncura, Dominique Savio et bien d'autres. Otto Wessely avait parlé un jour sur VM de Don Silvio Mantelli. Par la suite fut institué l'ordre de Don Bosco (French ring) par le Cercle Français de l'Illusion Jules Dhotel, qui avait pour mission de récompenser ceux qui avaient oeuvré et rendu de multiples services à la corporation. Je ne sais si cet ordre existe toujours. _________________________________________________________ Voici quelques extraits des "Souvenirs Autobiographiques de Don Bosco" - J'avais repéré aux Becchi une prairie plantée alors de différents arbres dont un poirier sauvage, encore debout, qui me rendit grand service à cette époque. A cet arbre j'attachais une corde et la nouais à un autre, à quelque distance. Je plaçais à proximité une table et une sorte de sacoche. J'étendais un tapis sur le sol pour y faire mes culbutes. Une fois que tout était prêt et que les spectateurs demeuraient bouche bée dans l'attente de quelque nouveauté, je les invitais à réciter le chapelet suivi d'un cantique. Puis je grimpais sur une chaise et débitais un sermon, c'est-à-dire que je répétais ce que j'avais retenu de l'explication de l'évangile entendue le matin à l'église. Parfois je citais quelque épisode ou quelque exemple que j'avais entendu ou lu dans un livre. Le sermon se terminait par une courte prière et aussitôt commençait la partie récréative. Vous auriez vu alors comme je viens de vous le dire, le prédicateur se changer en acrobate de profession. Tours de prestidigitation, sauts périlleux, marche sur les mains, pieds en l'air; puis, muni de ma sacoche, c'était des pièces de monnaie avalées puis retirées du nez de tel ou de tel spectateur, la multiplication des balles, des oeufs, le changement de l'eau en vin, les volailles dépecées et rendues à la vie au point de chanter mieux qu'auparavant; tout cela composait les divertissements habituels. Puis je marchais sur la corde comme sur un sentier, je sautais, dansais, me suspendais tantôt d'un pied tantôt de l'autre ; parfois c'étaient mes deux mains qui me soutenaient, parfois une seule. Après quelques heures de ces exercices, quand je n'en pouvais plus, on levait la séance, on récitait une courte prière et chacun s'en retournait à ses affaires. De ces réunions étaient exclus ceux qui avaient blasphémé ou tenu de mauvais propos ou refusé d'assister aux cérémonies religieuses. - Entre mes études et divers passe-temps: chant, musique, déclamation, petit théâtre , (activités) auxquelles je m'adonnais de tout coeur, j'avais encore appris bien d'autres jeux : cartes, tarots, billes, échasses, saut, course. C'étaient des divertissements de très bon goût. Sans y être passé maître, je n'étais cependant pas un piètre joueur. J'en avais appris beaucoup à Murialdo, d'autres à Chieri. Si, dans les prés de Murialdo, je n'étais encore qu'un apprenti, en cette année j'étais devenu un maître compétent. Tout cela causait un véritable émerveillement. Il faut dire qu'à cette époque, ces genres d'amusements peu connus, semblaient choses d'un autre monde. Mais que dire de mes tours de passe-passe ? Je donnais souvent des spectacles privés et publics. Ma mémoire étant très fidèle, je connaissais par coeur une grande partie des classiques, surtout les poètes: Dante, Pétrarque, Le Tasse, Parmi, Monti et beaucoup d'autres. Ils m'étaient si familiers que je pouvais me servir (de leurs oeuvres) comme de mon propre bien. Aussi pouvais-je improviser aisément sur n'importe quel sujet. Lors de ces réunions ou de ces séances, je me mettais à chanter, à jouer de quelque instrument, je composais des vers qui passaient pour des chefs-d'oeuvre, mais qui, en réalité, ne consistaient qu'en bribes d'auteurs que je transformais selon les thèmes proposés. C'est d'ailleurs pour cette raison que je me refusai toujours à communiquer mes compositions à d'autres. Certaines même, que j'avais transcrites, je pris soin de les mettre au feu. L'émerveillement devant mes tours de prestidigitation allait grandissant. Faire sortir d'une boîte une quantité de balles plus grosses qu'elle, tirer d'un petit sac toute une cargaison d'oeufs, voilà qui plongeait dans l'ébahissement. Quand on me voyait recueillir sur le nez des spectateurs une quantité de boules, deviner dans leurs bourses les sommes qu'elles renfermaient, quand, d'une simple pression des doigts, je réduisais en poudre les pièces de monnaie, de quelque métal qu'elles fussent, ou bien que je faisais apparaître toute l'assistance sous un aspect horrible, même sans tête, tel ou tel commençait à se demander si je n'étais pas un sorcier ou si je pouvais vraiment accomplir de telles choses sans l'aide du diable. Mon logeur, Thomas Cumino , en était convaincu. Chrétien fervent, il ne détestait pas les farces et je savais profiter de son caractère ou, pour mieux dire, de sa naïveté, pour lui en faire voir de toutes les couleurs. Un jour, il avait mis tous ses soins à préparer un poulet à la gelée afin de régaler ses pensionnaires à l'occasion de sa fête. Il apporta la casserole sur la table et, enlevant le couvercle, il vit s'en échapper un coq qui, ailes battantes, poussait d'énergiques cocoricos ! Un autre jour il apprêta un plat de macaronis. Quand il les eut longtemps fait cuire, au moment de les verser dans le plat, il ne trouva plus qu'un peu de son desséché. Maintes fois il remplit sa bouteille de vin, mais, au moment de servir, il n'en voyait couler que de l'eau claire ; ou bien, voulant boire de l'eau, il trouvait le verre plein de vin. Au lieu de confitures, il ne trouvait que des tranches de pain. L'argent de sa bourse se transformait en morceaux de fer blanc tout rouillés et sans aucune valeur. Son couvre-chef se voyait changé en bonnet de femme. Des noix, des noisettes se métamorphosaient en sachets de petits cailloux. Et ces phénomènes se renouvelaient très souvent ! - Un prêtre qui lui parle : "On me dit que tu sais pénétrer la pensée des gens, deviner combien d'argent renferme leur bourse, faire voir blanc ce qui est noir, connaître les choses de loin et mille autres affaires semblables. Cela fait beaucoup jaser. Bien des gens te soupçonnent de faire de la magie et voient en tout cela l'esprit de Satan. Dis-moi donc, qui fut ton maître en cette science ? Où l'as-tu apprise ? Dis-moi tout confidentiellement. Je puis t'assurer que je ne m'en servirai que pour ton bien." Sans me décontenancer, je lui demandai cinq minutes pour répondre. Puis je le priai de me dire l'heure exacte. Il porta la main à son gousset ; mais point de montre. « A défaut de montre, dis-je, donnez-moi au moins une pièce de cinq sous. » Il farfouille alors dans toutes ses poches mais ne trouve plus son porte-monnaie. « Coquin! me lança-t-il, plein de colère. Ou tu es au service du démon, ou le démon se sert de toi. Tu m'as déjà volé ma bourse et ma montre. Maintenant je ne puis plus me taire, je suis dans l'obligation de te dénoncer. Je ne sais ce qui me retient de te donner une volée de coups de trique. » Comme je ne bronchais pas, que je demeurais calme et le sourire aux lèvres, il sembla s'apaiser et reprit : « Prenons les choses tranquillement. Comment se peut-il que ma bourse et ma montre aient disparu de mes poches sans même que je m'en sois aperçu ? Où se sont envolés ces objets ? - Monsieur l'archiprêtre, répondis-je respectueusement, je vais tout vous expliquer en peu de mots. C'est tout affaire de dextérité, d'intelligence exercée ou alors quelque chose de préparé. - Je me demande quelle intelligence il peut y avoir dans le cas de ma montre et de mon porte-monnaie! - Je m'explique brièvement. A mon entrée chez vous, vous donniez une aumône à un mendiant. Vous avez alors déposé votre bourse sur un prie-Dieu. Passant ensuite dans votre bureau, vous avez laissé votre montre sur cette petite table. Je cachai l'un et l'autre, alors que vous étiez convaincu d'avoir ces deux objets sur vous. En réalité, ils se trouvent sous cet abat-jour. » Je soulevai alors l'abat-jour et apparurent les deux objets que l'on pensait avoir été portés ailleurs par le démon. Le bon chanoine partit d'un long éclat de rire; après quoi il me demanda d'autres échantillons de mon adresse. Ayant ainsi appris comment je faisais apparaître ou disparaître les objets, il s'en amusa beaucoup, me fit un petit cadeau et, sur le seuil de la porte, il conclut: "Va dire à tous tes amis que ignorantia est magistra admirationis" (L'ignorance est pourvoyeuse d'étonnement.) En 2003 sur VM, dans un sujet similaire, Arthuro Brachetti laissait ce commentaire que je reprends ci-dessous :2 points
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Je ne suis (très) malheureusement pas sur de pouvoir assister à ce petit moment qui promet d'être très agréable et enrichissant, mais je ferais tout pour y être en tout cas. C'est effectivement une très sympathique opportunité de pouvoir rencontrer un créateur tel que Xavier, avec en bonus Paul qui nous a déjà régaler d'un certains nombre de tours et de riches conseils! au top VM!2 points
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Si on peut mettre les court-métrages alors je recommande aussi celui là : Pour tous ceux qui ont déjà été confronté à ce type de public !2 points
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Suite à un passage inopiné à Paris, je vous propose de venir découvrir de visu et toucher le travail de @Xavier LEPRONIER, le créateur de Handcraft Magic ! C’est la première fois qu’il exposera son travail en France ! En temps que magicien professionel, @PaulMagie assurera aussi une démonstration des produits ! Il apportera des idées de routines en provenance de son expérience sur le terrain. C’est l’occasion de donner un coup pouce « équitable » à des artisans du monde tout en économisant de gros frais de port (facilement 15€ sur les chop cup) ! Toutes les photos et détails des produits présentés sont ici : https://www.virtualmagie.com/évènement/dealer-show-des-produits-handcraft-magic-jakx-c-purse-92/ > Réserve tout de suite ta venue !1 point
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Bonjour à tous, pour ceux qui se posent parfois cette question: Pourquoi pratiquons-nous la magie (quelle qu’elle soit) ? Qu’est-ce qui nous pousse à en faire, à vouloir voir l’émerveillement dans les yeux des autres? Cela révèle t-il une part de qui nous sommes, peut-être liée l’enfance, ou, si on remonte encore le fil du désir, cela pointe t-il vers une Sagesse cachée? Y a t-il des ouvrages qui vous ont inspiré sur ce thème?1 point
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Salut les p'tits loups Certains le savent déjà, je suis un grand fan du WOW de Masuda Je me suis longuement exprimé sur les différents WOW du 1 jusqu'au 3 en passant par le WOW "Dos" et également sur le fil du Wowlett, ce portefeuille bien pratique pour accueillir le WOW. Dernier petit mot sur cette technologie, j'ai listé pas mal d'effets à destination du WOW dans le fil dédié pour ceux que ça intéresse ! Mais aujourd'hui nous avons le WOW Cube et le WOW Money qui sont venus agrandir cette belle famille Déjà en image ça donne ça : J'ai naturellement foncé vers cette nouvelle itération du WOW Pour être honnête, je n'ai pas le même enthousiasme que pour les WOW accueillant des cartes... Je pensais pouvoir étendre mes effets et rajouter une notion de billets, d'argent, chère aux spectateurs. Transformer un billet de 10 en billet de 20 euros, rien que ça sur le papier c'est vendeur. Sans FP, sans pliage, sans angle à masquer... Mais en plus, des routines fichtrement bien pensées ! Et des idées à combiner avec l'Intercersor du truculent Gaëtan Bloom ! Pourtant je suis déçu de mes premiers pas avec WOW Money Si les idées sont bonnes, elles sont pour partie applicables au WOW classique. Mais surtout, j'ai deux problèmes techniques : J'ai beaucoup de difficultés à entrer et sortir un billet de 20 euros du gimmick. Pire, lorsque j'ai un billet dans le gimmick, j'ai beaucoup de difficultés à déclencher le gimmick... Alors qu'avec le WOW classique c'est fluide, souple, facile et je dirais même : intuitif. Pour ceux d'entre vous qui ont sauté le pas, avez-vous ces même difficulté pour insérer un billet ? Et pour activer le gimmick quand il est chargé d'un billet voire d'encore plus d’épaisseurs ? [vmprod p=345]1 point
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brut de décoffrage, effectivement le billet a du mal à rentrer on peut alors le pousser avec une carte comme le fait Alexis: ou bien repousser la colle avec la carte pour élargir un peu par contre, on peut difficilement bomber du plastique !1 point
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même si la grille n'est pas aussi fine que sur certains modèles il n'y a pas de problèmes techniques avec quelques rodages :1 point
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Sleight sorti en 2016. Y'en a plein d'autres ! Je suis en train d'en rechercher. On trouve aussi de nombreux épisodes sur le thème de la magie dans différentes séries.1 point
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Les amis, je précise en préambule que je ne gagne rien sur les ventes, Xavier est un ami de longue date et je suis un vrai fan de ses créations. Venez ! La rencontre est gratuite, et organisée dans la convivialité et le partage. Mais surtout venez pour VOIR les produits, connaître leur histoire, je vous assure qu'il est impossible de se rendre compte de la beauté du travail, et de la qualité des produits, chaque pièce est unique, et c'est l'occasion de CHOISIR ( ce qui est impossible en ligne). Histoire de rendre encore plus intéressant la rencontre, il y a des produits exclusifs (donc pas sur son site) et/ou des coloris uniquement disponibles ce jour. Je serai ravi de vous faire les démos de certains articles, et de vous partager des idées perso (je travaille sur un nouveau concept avec le Jaks'x) Xavier présentera également ses routines. Au pire, même si vous n'achetez rien ce jour là, vous aurez passé une heure à boire une bière et à voir des objets magiques magnifiques. Hâte de vous y voir !1 point
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Le book test, malgré sa vidéo explicative en anglais (Haha le con il lit pas les consignes données..), de Chad Long est compréhensible, et abordable techniquement, empli d'humour, et offre un joli moment magique. Le book test du bordel, prix low cost, mais redoutable. À essayer vraiment.1 point
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Hello Mikaël Je vais essayer de répondre à tes questions, même si ce n'est pas évident parce que je ne me formule pas les choses sous cet angle. J'ai déjà fait assez long dans les premières pages de ce fil et je pense que pas mal de tes questions peuvent y trouver des "réponses". (Ça ne signifie pas que tu sera "d'accord" avec ces "réponses", mais ça peut préciser des "points de vue".) Et puis c'est toujours mieux de se parler en direct, donc je vais essayer de formuler quelques trucs. En ce qui me concerne, il n'y a pas à proprement parler de "peur". Il y a principalement un désaccord. Un désaccord de principe déjà, en général, avec le fait de collecter et de contrôler des données (et pas seulement les miennes). Je me sens assez proche, à quelques détails près, de l'argumentaire de la vidéo postée par @Aurélien (TanMai). Indépendamment de l'éventuelle bienveillance, et pourquoi pas même des bonnes intentions qui animent les initiateurs de ce genre de programme, je pense que c'est inutile en ce qui concerne les objectifs affichés (économie d'énergie), extrêmement coûteux (pas uniquement à titre individuel, mais principalement pour la collectivité) et liberticide. Je m'autocite plus haut : Il ne s'agit pas simplement des x kW consommés le 27 décembre 2019 entre 19h15 et 23h32, mais de données beaucoup plus fines. Ils se sont calmés sur la communication enthousiaste sur le genre de prouesses que le dispositif permet : savoir en temps réel quel appareil fonctionne chez qui, quand la machine à laver est en marche, quels sont les habitudes des gens, à quel moment ils ont des visites, l'archivage de ces données, etc, etc. Tout le monde voit bien le problème de ce genre de dispositif entre les mains du gouvernement Coréen, par exemple... Mais le problème n'est pas seulement qui l'utilise aujourd'hui, il réside dans le fait que, dans ce genre de cas, l'outil crée la fonction. Puisqu'il existe il sera utilisé. Et au rythme ou les concessionnaires d'énergie changent de nom et de prérogatives... Ce désaccord porte principalement dans le cas présent sur le fait que des aujourd'hui, ces collectes de données sont mises en place dans le cadre (et avec le prétexte) d'une mission de service public, alors qu'elles servent des intérêts privés. Pourquoi inutile ? Le but affiché de l’opération est d'aider les usagers dans le contrôle de leur consommation (en gros faire des économies) et de répondre au souci d'uniformisation de la directive Européenne. L'interprétation en droit français de cette directive, la loi sur la transition énergétique et la croissance verte, est utilisé par ENEDIS pour fourguer son Linky. Mais d'autres choix étaient possible. L’Allemagne n'a pas fait les mêmes, et n'installe des compteurs communiquants que pour de gros usagers (entreprises et collectivités). Pourquoi n'a t'on pas posé la question aux citoyens sur le choix d'un dispositif mis en place dans le cadre de l'évolution d'un service public ? Etait-ce vraiment la meilleure solution pour faire des économies d'énergie ? Etait-ce vraiment la solution la moins onéreuse pour la collectivité, pour le bien commun ? L’Allemagne, pour reprendre cet exemple, n'a pas choisi ce genre de dispositif parce qu'elle ne l'estimait pas rentable... La cour des comptes est pour le moins mitigée sur la pertinence financière du dispositif... (a part le fait que ENEDIS empochera dans les 500 millions d'euros de bénéfice en intérêts...). Il y a plein de moyen d'aider les usagers à faire des économies d'énergie. Par exemple, dans un premier temps, ne pas en consommer là où ce n'est pas nécessaire semble un réflexe et un conseil de bon sens. Je ne pense vraiment pas que le plus judicieux soit l'installation d'un dispositif qui permet, en se connectant, de consulter ses courbes de consommation. Si on est dans une réflexion globale sur la consommation d'énergie, le but c'est de trouver tous les moyens, là où c'est possible, pour ne pas en consommer, pas seulement à titre individuel, mais également collectif. Toutes ces personnes qui vont, en plus du reste, se connecter pour consulter leurs consommation, vont, pour ce faire, consommer de l’énergie. pas seulement chez elles, mais là où elles vont faire tourner les Datacenters... Bien sûr c'est le cas à chaque fois qu'on utilise internet, mais dans ce cas précis, ou un des objectifs affichés et de faire des économies d'énergie, pourquoi ne pas avoir pensé le système pour que les données soit consultables sur place ? Pourquoi coûteux ? Les quelques paragraphes ci dessus en parlent, tant le coûteux et l’inutile sont liés dans cette opération. Ces 5 milliards (au minimum, sans les surcoûts et surtout pour une durée de vie du matériel qui laisse présager qu'il va falloir de nouveau changer de compteurs assez vite), seront peut-être en partie indolores pour les consommateurs, mais n'y aurait-il pas meilleure utilisation de fonds publics de cette envergure ? Pourquoi liberticide ? Tu l'as compris, Mikaël, c'est le principe même de collecte de données à grande échelle, qui me parait liberticide. Évidemment, de tels dispositifs existent dans bien des domaines, mais c'est justement le fait d'utiliser un bien public, le service public de distribution d'énergie, pour mettre en place un tel dispositif qui suscite mon désaccord. Extrait d'un message plus haut : J'ajoute qu'au delà de ma vie privée, c'est le recul des libertés en général qui me parait problématique. Et je ne pense pas qu'il soit anodin de mettre en place des usines à gaz en terme de contrôle, précisément sur la distribution d'énergie. Ça donne un pouvoir énorme à celui ou ceux qui l'ont entre les mains. Certes, peut-être, ceux qui l'ont aujourd'hui (normalement ce devrait être nous, citoyens) n'ont pas de plus mauvaises intentions que de faire un peu de profit au passage, mais sait-on qui peut l'avoir entre les mains demain ? On peut très bien imaginer qu'on te coupe l'électricité si tu ne te comportes pas comme il faut selon des critères à discrétion de celui qui aura l'outil entre les mains. Pas la bonne couleur, la bonne orientation politique ou sexuelle par exemple... Certes on en est pas tout à fait là, mais on a créé l'outil. (D'ailleurs on va te la couper à cause de tes questions impertinentes ). Le plus simple pour éviter ce genre de dérive, c'est de ne pas créer d'outil qui le permette, c'est de réfléchir les outils de gestion de biens communs... dans un but de bien commun. Bien sûr, tout le monde ne pense pas la même chose, tout le monde ne voit pas la collecte de données permanente comme un recul des libertés. C'est une question de point de vue. De mon point de vue, ce n'est pas une crainte, une peur, une inquiétude ; c'est un fait, c'est une fabrique de soumission et de conformisme. Et à l'inverse, si toi tu vois dans l'énoncée de cette problématique l'expression d'une psychose collective, Je pourrais avoir tendance à trouver que ne pas y voir de problème relève d'une certaine inconséquence. Mais je préfère ne pas laisser s’exprimer cette tendance et échanger mon point de vue, c'est à dire ce que je peux voir de là où je me trouve, avec d'autres points de vue qui expriment ce que peuvent voir de là où ils se trouvent ceux qui les expriment. Du coup, petites questions : Toi tu en penses quoi des collectes de données à grande échelle ? Ce sont juste des outils pour satisfaire des usagers ? ou autres ? Il n'y aurait pas eu moyen de mettre en place un dispositif visant à faire des économies d'énergies qui soit plus économe que le dispositif linky ? Avec plus de concertation et de réflexion ? Bon, désolé, j'ai encore fait long et indigeste.1 point
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J'aime beaucoup les casses têtes en tout genre, les Mathématiques et les bonnes blagues qui rompent la logique du chemin du point A au point B et qui donnent ainsi cette surprise et donc le rire. Depuis tout jeune. Tout naturellement, j'y ai retrouvé des liens avec la Magie et ce qu'elle procure. Ça m'a donc fasciné pour cet aspect et je crois d'aussi loin que je me souvienne, c'est cela qui m'a fait franchir le pas.1 point
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Ah oui je suis d'accord ! Je suis très volubile en presta et je pense que l'on peut raconter beaucoup de choses sur soi dans la peau d'un magicien. Personne ne saura jamais quelle part est réelle ou quelle part est imaginée pour le spectacle ! Certains penseront que tout n'est que spectacle D'autres penseront que tout est vrai Mais personne ne saura quelle part est issue de notre vie et quelle part est imaginée Et ça j'aime beaucoup1 point
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Je suis parfaitement d’accord avec Philip59. La magie est pour moi avant tout un moyen d’expression. Tout simplement. Comme l’écrivain communique en écrivant, et le peintre communique en faisant des tableaux, et bien je communique tout un tas de choses (émotions, anecdotes, réflexions) en faisant de la magie... D’ailleurs, dans mes tours je me dévoile sur tout un tas de sujets, qui sembleraient totalement « sortis du chapeau » (c’est le cas de le dire) si je ne les évoquais pas à travers le prétexte magique !1 point
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Oui mais elles ne l'ont pas acheté au même endroit : Alors Mary Poppins elle l'a acheté chez Marchand de Trucs Et Mimie Mathy elle l'a acheté chez Magic Dream Enjoy1 point
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Pour ressembler à Mary Poppins et Mimi Mathy ? Quelqu'un connais la boutique où elle a achetée son sac tiens ?1 point
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- c'est facile - on peux l'acheter dans l'après midi et le faire le soir meme - ça frime - c'est convivial (le faire devant un miroir est nul) - pour draguer c'est pas mal non plus1 point
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Je pense avoir fait de la magie d'abord et essentiellement pour des raisons très égoïstes. Ce que, en vrac, la magie m'a apporté (et ont été les bases de ce sur quoi je me suis construit) : - un esprit critique (sans doute le truc le+important) - une passion (c'est à dire une manière de se rapporter au monde : tout voir au travers de ce prisme là) - une manière de comprendre le monde (en tout cas une dynamique de cet ordre : comprendre les tours = comprendre le monde) - une activité à la fois intellectuelle et manuelle - être valorisé (qui n'en a pas besoin ?!) - le mystère (être mystérieux auprès des autres c'est être différent, donc exister de manière spéciale) - une activité quasi gratuite (on peut faire de la magie avec rien, et j'aime la "magie de pauvres") - un bon support à ma curiosité et mon inextinguible soif d'apprendre - ne pas se faire avoir (par les arnaqueurs de tout poil de notre monde capitaliste) - apprendre à se sortir de situation difficiles (savoir manipuler, planquer, dissimuler, mentir… avoir expérimenté cela en conditions réelles, m'a été parfois être d'une grande aide dans la vraie vie) - le plaisir de l'expérimentation - la capacité à anticiper, a avoir un temps d'avance - se mettre en jeu - se "challenger" - l'accès à un certain "monde du rêve" - développer sa perspicacité, son intelligence, son acuité du regard et de l'esprit (apprendre à observer, à regarder, à ne pas se laisser duper), être malin - développer sa dextérité (ça sert à plein d'autres choses dans la vie !) - imaginer, inventer, contempler, jouer, rigoler - etc Ce avec quoi j'ai toujours du mal à dealer : - le secret (au delà du mystère, je me demande toujours pourquoi "tromper" l'autre, et je n'aime pas ça) - le langage codé, de "spécialiste" ou d'initié (même si c'est agréable de sentir appartenir à un milieu, et se reconnaître entre soi) - se mettre en représentation (je n'aime pas trop ça) - crâner, se la péter, ridiculiser l'autre, écraser l'autre (ce que font beaucoup de magiciens) - la dimension sexiste du monde de la magie (bon, comme le reste du monde, mais la magie en tient une bonne couche quand même) - la dimension commerciale de nombres de magiciens et marchands de trucs Heureusement les qualités sont +importantes que les défauts que j'y vois.1 point
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Pour ma part la magie est une échappatoire au chômage. Pire même, je dirais que c'est un bâton de survie. C'est pour ça que je m'intéresse aussi à la jonglerie, la ventriloquie et l'escapologie. Le chômage longue durée est un véritable enfer et ce monde artistique apparaît alors comme une parenthèse enchantée. Toutefois je me suis rendu compte il y a peu que la magie n'avait jamais été très loin de moi depuis mon enfance : jeu de cartes et boîte tiroir dans Picsou Magazine, apprendre à c*rner une carte, boîte jamais utilisée reçue à 8 ans, achat comme ça d'une boîte Marvin d'occasion... Les tours de magie avec les numéros de chant sont même les seuls qui m'intéressent dans Incroyable Talent et ce avant d'être tombé réellement dedans.1 point
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Pour ma part, c'est comme un coup de foudre, depuis tout petit. Parce qu'un monde sans rêve et sans magie, bien ce n'est vraiment pas amusant C'est ce qui permet d'exprimer la magie qui est en nous peut-être, d'apporter du bonheur.1 point
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Alors j'ai eu la chance de faire quelques "grandes salles" avec 120 personnes (pour moi c'est énorme déjà !) Mais j'ai plus souvent fait des structures avec peu voire pas de moyens... Prenons un exemple parlant : les crèches et micro-crèches de villages. Ce sont des structures dans lesquelles il n'y a quasiment pas de budget, il est impensable de faire venir un prestataire (musicien, conteur, magicien...). J'ai fait des animations dans ces types de structures où tu te sens vraiment utile... C'est l'attraction de l'année pour la plupart. Je vois les enfants émerveillés, qui ne te quittent pas du regard même après la prestation, qui ont des paillettes plein les yeux. Souvent les parents restent ce jour-là justement parce qu'il y a "le magicien". C'est cette sensation d'apporter du bonheur dans leur journée qui me fait plaisir. A plus forte raison lorsque ce sont des structures sans moyens. J'ai fait un Noël dans un hôpital l'année dernière, ce n'était pas super facile psychologiquement, certains enfants étaient très malades... Et pourtant, tous avaient les yeux émerveillés et ne pensaient qu'à la "magie de Noël". C'est le genre de situation où tu te sens utile.1 point
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Justement, en quoi apporter du rêve aux enfants te fait plaisir A titre personnel, je pense qu'on a tous une grosse part d'égoïsme, qui se traduit de façon différente en fonction de chacun et qu'elle joue dans notre envie d'en mettre plein la vue aux spectateur. L'être humain est égoïste de par sa nature, nous restons des animaux, je pourrais m'attarder dessus, mais ce serait bien trop long ... J'ai beaucoup réfléchis à cette question qui portait atteinte à ma vie personnelle et professionnelle ( je suis éducateur spécialisé ) et je donne une grande part de mon temps à aider les autres ( 35heures / semaines si ce n'est plus en fait ... ), j'organise également des maraudes tous les ans en y investissant des centaines d'euros. Pourquoi est-ce que je fais ça ? pourquoi je ne pense pas à moi, et que je me sens bien quand je vois d'autres personnes heureuses ou me sens utile ? Pour faire plaisir, évidemment, pour me faire plaisir, absolument, mais aussi car mon égaux est flatté de toute cette "empathie", bienveillance, redevance sentimental / émotionnelle que je reçoit quand on me dit merci, quand je vois un sourire, ... Pour moi, c'est également ça qui me pousse à faire de la magie, me voir progresser, m'améliorer, prendre un plaisir à faire quelque chose et voir que mon travail paie. Mais également parce que je me dis, de façon non intentionnel, que je suis fort car j'ai réussi à glisser une carte sous la montre du spectateur juste sous son nez, j'ai empalmé une carte juste sous ses yeux, je lui ai laissé croire qu'il avait le choix en citant n importe quelle carte, alors qu'en fait non, ... Ce sentiment un peu honteux de "toute puissance" qui nous envahi et qui nous pousse à aller de plus en plus loin pour présenter les effets les plus What The Fuck à quenqu'un. Voilà, j'espère ne pas être passé pour un [grossièreté]d vaniteux, prétentieux et ayant pensé qu'à sa gueule, mais je pense que c'est ce que nous ressentons tous, sans forcement nous en rendre compte, mais c'est aussi ce qui nous permet de nous améliorer dans notre domaine ( et peut importe la discipline ) après tout, je pense que quand on en retire aucune satisfaction, on ne peut pas avoir envie de s'améliorer et de présenter de belles choses à d'autres1 point
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J’ai vue le gimmick, c’est absolument pas faisable en close up d’après moi et c’est pas faute d’avoir utilisé des gimmick et tours tendu niveau condition : sketch de Joâo Miranda, du FI, Acme Hole de Lloyd Barnes ou par exemple de faire passer un 7 de carreau pas signer en 7 de cœur signer mais True Color, pour moi, c’est impraticable en table à table. Après, si certains magiciens diront qui l’on utilisé régulièrement en close up, ce sera que, clairement, je me suis trompé et que j’ai juste pas assez approfondi le tour.1 point
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Bonjour, je vends le livre en excellent état. 20€ fdp Merci et bonne journée Lolo1 point
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je crois que vous êtes tous un peu TOO MUCH je viens de recevoir mon set et je viens de tester quelques routines, je me considère comme un spécialiste des pièces et bien j'en suis très content Évidement c'est léger mais ce qui compte c'est le spectateur, et je pense que le point de vue du spectateur est bon. Evidemment, cela nous oblige à avoir un touché plus léger, mais non moi je n'ai aucun problème pour séparer les splits, je pense que c'est parfait pour qu'elles se centrent et aussi quelles ne se séparent pas intempestivement. (vous n'avez jamais touché mes splits Hercule argent!!! mdr ) la coquille est bien elle recouvre le bord complètement sans laisser un petit jour comme souvent sur les pièces. j'ai un sticker qui n'est pas bon sur le total, en fait ce n'est pas le centrage mais la découpe du sticker qui est déportée. Comme sur le site on trouve un pdf pour se refaire des stickers, cela ne me pose pas de problème pour me le refaire. La vidéo est très bien, Eric Jones est comme toujours parfait. c'est un minimum de ce que l'on peu faire avec un exemple pour chaque gimmick, mais j'ai déjà plein d'idée pour d'autres routines. La traversée de la table en verre ne serait pas possible avec des pièces lourdes, à moins de mettre un peu de cire sur la pièce, ce qui est parfait c'est ce petit temps entre le moment ou l'on lâche la pièce et ou elle tombe dans la main, ce qui n'est possible dans ce cas là qu'avec la légèreté du jeton qui reste une seconde collé par le vide d'air entre la table et le sticker. Les changement de couleur c'est un grand plus, car pour faire la même chose il faut avoir des splits différents et vu le prix je ne connais personne qui en dispose (par exemple comme moi, 2 split hercules + 2 splits centavos) En plus il y a un problème avec les pièces c'est la tranche des splits qui n'est pas de la même couleur dans le cas de pièce argent et cuivre. donc quasiment impossible de faire ses changements de couleurs avec des pièces. donc cela m'apporte un plus impossible à faire avec des pièces. Enfin je crois que si l'on fait aussi les cartes, les jetons se marient très bien avec. Donc pour moi les spécialistes des pièces n'hésitez pas pour le prix (hé!, c'est quasiment gratuit pour nous mdr ) c'est un vrai complément aux pièces qui élargie notre champ d'utilisation.1 point
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