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Qui suis-je (Histoire)


Valentin LECOMTE

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il y a 3 minutes, Alx a dit :

Françoise Delord ?

Non, mais c'est déjà bien comme proposition car elle vaut de l'or. 

 

il y a 5 minutes, Alx a dit :

en dehors de la "plume" je ne vois pas le rapport

La plume a en effet un rapport étroit avec le personnage recherché. 

 

il y a 6 minutes, Alx a dit :

à moins qu'elle ne soit la Françoise de Avanie et Framboise...

Hi hi, non mais c'est marrant.

(Pour anecdote, quand je suis arrivé à Paris il y a quelques décennies, je me suis un jour retrouvé à la table d'un café et, à côté de moi, se trouvait, seule également, Suzanne Gabriello qui fut "peut-être" l'inspiratrice de la sublime chanson de Brel Ne me quitte pas 🙂  CLIC, ce qui en fait un moment inoubliable pour moi).

Pour ce qui concerne l'énigme : on peut établir un rapport indirect entre le personnage recherché et Boby Lapointe mais ce n'était pas l'intention première de cet indice. 

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Il y a 23 heures, Christian GIRARD a dit :

Le personnage de cette énigme se fiança avec un homme qui pratiquait la prestidigitation (d'où mon choix) mais allez savoir si ça n'était pas juste pour se marrer ? 

Il est tentant de penser que, dans l'environnement familial dans lequel elle grandit, on aurait pu la qualifier de belle plante, pourtant ça n'a rien à voir avec son style de figure. 

J'ajoute ce dernier indice (qui est de ma plume), histoire de vous mettre au parfum :

Boby l’appointe et moi je l’attire.

Boby la pointe et moi je la tire.

Elle fut éprise à deux reprises du même homme (une personnalité française bien connue) avec qui elle termina ses jours. 

Hongrois (mais en fait on en est sûr) que les plus belles années de sa vie se déroulèrent lorsqu'elle fut mariée à un comte. 

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Je ne trouve pas toutes les correspondances avec tes indices, mais il semble que ce soit une femme de lettres (ou de plume), donc un peu au hasard, Colette ?

Pas sûr du tout, mais c'était pour faire avancer le shemeleuh, le schmil, le truc.

  • Haha 1

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

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Il y a 4 heures, Christophe MAGNIAT a dit :

Françoise Braconnier ?

Euh, non, désolé. Je ne la connais pas. De qui s'agit-il ? 

  

Il y a 4 heures, Olivier SSK (If....) a dit :

Je ne trouve pas toutes les correspondances avec tes indices, mais il semble que ce soit une femme de lettres (ou de plume), donc un peu au hasard, Colette ?

Pas sûr du tout, mais c'était pour faire avancer le shemeleuh, le schmil, le truc.

Oui, c'est une femme de lettres connue pour sa plume, en effet. 

Il ne s'agit pas de Colette, ni de Colette Renard d'ailleurs. 😉 

 

Elle fut l'épouse d'un consul honoraire et vécu un temps aux USA.

Elle entretint également une liaison avec un vicomte mais aussi avec un prince et un ministre.

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Le 17/03/2022 à 11:15, Christian GIRARD a dit :

Le personnage de cette énigme se fiança (...) mais allez savoir si ça n'était pas juste pour se marrer ? 

Qui sait ? Christian, dit le coquin, l'amer des halls aux rimes, agent net et sûr, cèle les indices. Avoue !
Qui c'est ? Christian, dis-le, coquin ! La mère des holorimes ? Ah ! J'en étais sûr : c'est les indices ! A vous !

Enfin bref, tout ça pour dire que je pense à Louise de Vilmorin... 😅

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L'important, c'est que ça valide !

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Il y a 13 heures, Alx a dit :

Qui sait ? Christian, dit le coquin, l'amer des halls aux rimes, agent net et sûr, cèle les indices. Avoue !
Qui c'est ? Christian, dis-le, coquin ! La mère des holorimes ? Ah ! J'en étais sûr : c'est les indices ! A vous !

Enfin bref, tout ça pour dire que je pense à Louise de Vilmorin... 😅

Il s’agit bien d’elle !

(Et non « Ilsa Chippendale ».)

(Des précisions demain soir peut-être, et quelques explications.) 

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louise_de_Vilmorin

Bravo Alx 👍🏼

Modifié par Christian GIRARD
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Explications :

Le personnage de cette énigme se fiança avec un homme qui pratiquait la prestidigitation (d'où mon choix)

Il s'agit d'Antoine de Saint-Exupéry.

mais allez savoir si ça n'était pas juste pour se marrer

Louise de Vilmorin a écrit Fiançailles pour rire (Gallimard,1939).

 

Il est tentant de penser que, dans l'environnement familial dans lequel elle grandit, on aurait pu la qualifier de belle plante,

La belle Louise grandit dans une célèbre famille de botanistes et grainetiers. 😉 

 

pourtant ça n'a rien à voir avec son style de figure

Louise est connu pour aimer les figures de style. 😉 

 

J'ajoute ce dernier indice (qui est de ma plume), histoire de vous mettre au parfum :

Boby l’appointe et moi je l’attire.

Boby la pointe et moi je la tire.

Il s'agit de vers holorimes, une figure de style qui justement était pratiquée avec brio par Louise de Vilmorin.

Citation

Des vers holorimes ou olorimes sont des vers entièrement homophones ; c'est-à-dire que la rime est constituée par la totalité du vers, et non pas seulement par une ou plusieurs syllabes identiques à la fin des vers comme dans la rime « classique ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Vers_holorimes

 

Pour ce qui concerne l'énigme : on peut établir un rapport indirect entre le personnage recherché et Boby Lapointe mais ce n'était pas l'intention première de cet indice. 

La poétesse Louise de Vilmorin, amatrice de jeux de langage, a écrit un joli texte n’utilisant que les syllabes do, ré, mi, fa, sol, la, si. : 

Fado

L’ami docile a mis là
Fade au sol ciré
la sole
Ah ! si facile à dorer [...]

https://jardinauxchansons.blog/category/louise-de-vilmorin/

Boby Lapointe a écrit Le Poisson Fa :

Il était une fois
Un poisson fa
Il aurait pu être poisson-scie
Ou raie
Ou
sole [...]

https://www.google.com/search?q=Le+Poisson+Fa&rlz=1C1AVFC_enFR733FR733&sourceid=chrome&ie=UTF-8

 

histoire de vous mettre au parfum :

Elle fait la connaissance de Coco Chanel en 1947 alors qu'elle songe déjà à écrire sa biographie, chose qui se réalisera 10 ans plus tard avec la sortie des Mémoires de Coco en 1957.

 

Elle fut éprise à deux reprises du même homme (une personnalité française bien connue) avec qui elle termina ses jours. 

André Malraux. 

Divorcée, elle a une liaison en 1933 avec André Malraux et Friedrich Sieburg (séparément) [...]

Elle termine sa vie avec son amour de jeunesse, André Malraux.

 

Hongrois (mais en fait on en est sûr) que les plus belles années de sa vie se déroulèrent lorsqu'elle fut mariée à un comte

Elle épouse en secondes noces, en 1938, le comte Paul Pálffy ab Erdöd (1890–1968), un aristocrate et magnat hongrois dont elle divorce en 19431. Ces années sont pour Louise « les plus belles de [sa] vie ».

 

Elle fut l'épouse d'un consul honoraire et vécu un temps aux USA.

Elle épouse finalement en 1925 un Américain, Henry Leigh Hunt consul honoraire de Monaco à Las Vegas (1886–1972) et s’installe à Las Vegas, au Nevada. Trois filles naissent de ce mariage : Jessica, Alexandra et Elena.

 

Elle entretint également une liaison avec un vicomte mais aussi avec un prince

 Elle devient la maîtresse du prince hongrois Paul V Esterházy (1901–1964), à partir de 1942, puis de Duff Cooper, vicomte de Norwich, ambassadeur du Royaume-Uni en France.

 

et un ministre.

Encore Malraux 😉 ! :  https://fr.wikipedia.org/wiki/André_Malraux

 

Quelle vie ! Source et détails ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_de_Vilmorin#Fatrasie

 

Un livre :

9782262091453_internet_w290.jpg

Résumé :

D'un charme et d'une élégance sans pareils, Louise de Vilmorin (1902-1969), issue d'une famille de grainetiers et de botanistes renommés depuis Louis XV, fut une des femmes les plus admirées des années 1920 aux années 1960. Séductrice de mille et un cœurs, égérie et complice de Saint-Exupéry, Malraux, Cocteau, Jean Hugo, Orson Welles, Roger Nimier, et tant d'autres, Louise ne subjuguait pas seulement par sa beauté et sa fantaisie, mais aussi par sa poésie. Arrivée à la littérature en 1934, sur les conseils de Malraux, cette femme du monde, hors école, impose un style. Fiançailles pour rire, "L'alphabet des aveux" et trois autres recueils de poèmes révèlent une riche imagination. Plébiscitée par les Surréalistes, elle entraîne le lecteur dans un monde merveilleux, où l'absurde se moque des conventions. Sainte Unefois, Le Lit il colonnes, Madame de... Julietta, L'heure maliciôse, parmi une dizaine de romans, la propulsent en tête des meilleures ventes, en rivale de Simone de Beauvoir. Amoureuse aux multiples conquêtes, mariée de 1925 à 1937 à Henry Leigh Hunt, homme d'affaires américain, et de 1937 à 1944 au comte Paul Palfy, un grand seigneur de Slovaquie, cette volage, fidèle dans ses amitiés jusqu'à l'obsession, affirme son indépendance et son originalité bien avant que les femmes ne s'émancipent. Généreuse et capricieuse, charmeuse et tyrannique, elle avait aussi le courage d'être franche jusqu'à l'insolence.

Modifié par Christian GIRARD
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