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Le chat de Schrödinger


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Pour compléter… Une citation issue d’un livre dont nous n’avons pas encore parlé :

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Je souhaitais en parler sur le "sujet frère" ( :) ) de celui-ci (celui qui parle grosso modo du même sujet mais avec une approche plus philosophique que scientifique) mais peu importe :

L’hypothèse de départ, celle qui pose l’existence d’un monde objectif indépendant de la conscience et des constructions conceptuelles, est en fait une croyance métaphysique. La plupart des scientifiques se refusent même à envisager qu’elle pourrait n’être pas exacte car elle passe, souvent de manière implicite, pour une vérité à priori. Etant donné toutefois les effondrements successifs du prestige à priori accordé aux hypothèses scientifiques - la géométrie euclidienne ou l’espace-temps absolu par exemple -, il y a peu de raisons de tenir cette hypothèse pour sacrée.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Elle est pas belle celle-là :

Il ne va pas de soi qu’une physique, une science de la nature donc, soit possible. Il ne va pas de soi qu’elle nous apprenne quelque chose du monde qui dépasse ce que notre esprit y a lui-même instillé. Qu’est ce exactement qu’une science ? Qu’est ce que la nature ? Et cette science à supposer qu’elle soit possible, nous parlerait-elle d’ailleurs réellement du monde en tant que tel ou plutôt de nous mêmes et du fonctionnement de notre cerveau ?

Big Bang et au-delà - Aurélien Barrau, Professeur à l’Université Joseph Fourrier de Grenoble et chercheur au Laboratoire de physique Subatomique et de Cosmologie au CNRS.

Merci Shiva.

Je reprends une citation du même Aurélien Barrau, que j’avais déjà donnée plus haut :

« Plus qu'une "chose", le monde est une "réponse." »

Je vous l’avoue, j’adore qu’un physicien pose ce genre de questions. :)

J’aime quand Max Tegmark (un autre physicien chercheur au MIT, dont j’ai déjà cité le travail sur ce forum) utilise, dans un de ces ouvrages, cette expression que je trouve sublime : l’hypothèse de la réalité externe, hypothèse qu'il définit ainsi : il existe une réalité physique externe complètement indépendante des êtres humains.

… Ces physiciens sont extraordinaires, ils ne sont même pas sûrs de la nature voire de l’existence réelle du sujet auquel ils consacrent leur étude. :)

Oui, les physiciens ne sont pas sûrs de la nature des objets ou des sujets auxquels ils consacrent leurs études et certains doutent même de leur existence, alors que tout au contraire certaines approches spirituelles ou mystiques ont des certitudes bien établies sur « l’existence » de mondes cachées et de « forces », d’énergies, de vibrations, d’ondes ou de formes de consciences inaccessibles ;) . Vaut-il mieux douter de ce que l'on observe ou avoir des certitudes sur ce que l'on n'observe pas ? On est peut-être en train de basculer dans une nouvelle ère, après une longue période d’une science plutôt « classique » qui étudiait principalement (mais pas seulement) les phénomènes physiques et matériels et qui est passée à une approche relativiste et quantique depuis le début du XXe siècle. Des questions d’ordres « métaphysique », philosophique ou spirituel semblent désormais devoir intégrer l’approche scientifique, non que cela ne fut pas le cas par le passé mais depuis peu le « regard de l’observateur », la richesse du vide quantique, les questions sur les origines du Monde (ou son intemporalité, c’est selon), etc., pousse la pensée scientifique dans ses retranchements, comme si cette dernière ne suffisait plus pour rendre compte des observations sans intégrer de nouvelles voies de "recherche"plus "exotiques".

J’ai envie d’évoquer ici cette différence établie entre un sujet dit libéral ou conservateur dans le domaine de la psychophysique :) :

En mesurant non pas seulement la performance par le nombre de détections correctes mais en comptabilisant aussi les détections manquées et les fausses alarmes (les cas où le sujet a cru détecter un stimulus ou une différence entre deux stimuli alors qu'il n'y en avait pas) on obtient un indice du rapport sensibilité/spécificité des capacités de discrimination d'un individu donné.

Cela permet de comparer la capacité purement perceptive d'un sujet qu'il soit conservateur (c'est-à-dire réticent à rapporter qu'il a vu un signal dont il n'est pas sûr) ou libéral (ayant tendance à dire "j'ai vu" même s'il n'est pas sûr de lui).

***

Extrait tiré d’un article sur la psychophysique, voir ici :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychophysique

Je vais parler des frères Bogdanov souvent critiqués (mais également soutenus par des scientifiques de renom, ne serait-ce que pour des questions de principe : est-ce si constructif de les frapper d’anathème ?), personnages cultivés et parlant beau, sachant jouer des médias, et dont les ouvrages se vendent plutôt bien car ils ont sans doute des talents de vulgarisateurs (finalement, on leur reproche de prendre des « risques » et d'avancer certaines thèses très peu mainstream ;) ). Lors de la dernière émission de Ruquier (qui les aime bien ne serait-ce qu’en tant que clowns de service pour son émission mais qui, de part son esprit « terrien » comme il le dit lui-même, ne perçoit pas à l’évidence à quel point ils évoquent bien souvent des sujets fondamentaux et que l’éducation des plus jeunes sur ces mêmes sujets serait une clé de liberté individuelle et d’apaisement social), les Bogdanov ont fait la promotion d’un ouvrage (que je me suis empressé de commander aussitôt, je suis curieux :) ), intitulé 3 minutes pour comprendre la grande théorie du Big Bang.

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Pour écouter le « son du Big Bang » (en tout cas une sorte de transposition en « image sonore » de ce phénomène) allez sur cette page, montez le volume sonore de vos haut-parleurs et écoutez (personnellement, je ne trouve pas du tout ça « décevant » comme le dit l’article, mais alors pas du tout !) :

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/04/11/boum-ecoutez-le-son-du-big-bang/

Dans la foulée, voici une vidéo (obtenue grâce au commentaire d’un internaute de ce blog). Simple – voire "vague" – analogie, mais c’est « amusant » n’est-ce pas ? :

« Diverses techniques du chant diphonique par 4 maîtres mongols »

[video:dailymotion]

Les Bogdanov expliquent qu’au fur et à mesure que l’énergie décroit, l’information augmente. Leur exemple : lorsque une bille est lancée sur le plateau tournant d’une roulette de casino, on est (pour faire court) à 100 % en mode énergie, personne ne saurait dire où va s’arrêter la bille. Au bout d’un moment, le système devient plus vacillant, la bille commence à rebondir de case en case et l’énergie du système décroit. Finalement, la bille va se stabiliser sur une case, l’énergie tombe à zéro et l’information est précise à 100 %. En réponse à Gérard Darmon qui prétend avoir comme une sorte de lien invisible avec son père décédé, les deux frères expliquent qu’il est sans doute en relation non plus avec la part énergétique de son père (cela inclut de fait la matière) mais avec sa substance « évaporée », l’information de Lui qui laisse trace dans l’Univers. Cela me rappelle aussi les propos de Douglas Hofstadter lorsqu’il parle de la notion d’ « âme » (dans Je suis une boucle étrange), les annales akashiques ou le champ informationnel dont j’ai déjà parlé précédemment, ainsi que les expériences de mort imminente ou provisoire de certains « expérienceurs » qui racontent qu’à un moment donné de leur voyage dans l’Au-delà ils ont eu accès à une sorte de conscience cosmique, à une sensation de TOUT comprendre, à une connaissance complète des choses, etc.

L’Univers est-il Matière et Énergie circonscrits dans l’Espace et le Temps ?, est-il fondamentalement mathématique ?, est-il Conscience ?, le monde matériel n’est-il qu’une écume quantique issue d’une mer immensément plus vaste ?, est-il une illusion ?, ne sommes-nous en définitive qu’information ?... :D

Lire également Planck et le nouveau son du Big Bang, ici :

http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/actu/d/physique-planck-nouveau-son-big-bang-45751/

CG

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Oui, les physiciens ne sont pas sûrs de la nature des objets ou des sujets auxquels ils consacrent leurs études et certains doutent même de leur existence, alors que tout au contraire certaines approches spirituelles ou mystiques ont des certitudes bien établies sur « l’existence » de mondes cachées et de « forces », d’énergies, de vibrations, d’ondes ou de formes de consciences inaccessibles ;) . Vaut-il mieux douter de ce que l'on observe ou avoir des certitudes sur ce que l'on n'observe pas ?

La question que tu mets en gras est, effectivement, importante.

La réponse est assez simple pour moi : Il faut faire le tri, dans les approches spirituelles, entre celles qui fondent leurs certitudes sur "l’existence", comme tu le dis, de mondes cachés, d’énergies, de vibrations ainsi que d’êtres (ou d’entités) supérieurs et celles qui se fondent sur des expériences que chacun peut faire.

En fait le véritable point d’achoppement entre la science et la spiritualité n’est, peut être, pas tant le fait de "douter de ce qu’on observe ou d’avoir des certitudes sur ce qu’on n’observe pas". Il est celui de la prise en compte ou non d’expériences intérieures subjectives.

Trinh Xuan Thuan explique ça assez bien dans son ouvrage Le Cosmos et le Lotus :

Comme la science, donc, le bouddhisme repose sur une base empirique.(...) Quand il parle d' "évidence empirique", il ne veut pas seulement évoquer les observations perçues par nos sens et nos instruments de mesure, comme en science, mais il inclut aussi celles acquises par la méditation et la contemplation. En d'autres termes, le domaine d’investigation du bouddhisme ne se limite pas au monde objectif, il englobe aussi le monde subjectif du vécu et de l’expérience intérieure. Pour les sciences naturelles, seul le savoir objectif à la troisième personne a du sens. Elles excluent d’emblée tout phénomène vécu de manière subjective ainsi que tout phénomène immatériel, tandis que pour le bouddhisme, l’expérience subjective et immatérielle est essentielle.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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...ainsi que les expériences de mort imminente ou provisoire de certains « expérienceurs » qui racontent qu’à un moment donné de leur voyage dans l’Au-delà ils ont eu accès à une sorte de conscience cosmique, à une sensation de TOUT comprendre, à une connaissance complète des choses, etc.

Un peu comme quelqu'un qui prend du LSD ?

...comme décrit, si je me souviens bien, par Charles Duchaussois dans son excellente biographie "Flash, ou le grand voyage".

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Voilà d'ailleurs qui interroge sur les substances qu'ont parfois l'air d'avoir pris les frères Bogdanov...

et la boucle est bouclée. ;)

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Un peu comme quelqu'un qui prend du LSD ?

mdr

Pour les effets du LSD, il vaut mieux se tourner du côté de Stanislav Grof :

Stanislav Grof commence ses recherches sur les drogues psychédéliques, surtout le LSD, en 1956 à l'Institut de recherches psychiatriques de Prague où il les poursuit jusqu'en 1967. Il part alors pour Baltimore (Maryland, États-Unis) pour devenir chercheur et professeur de psychiatrie à l'université Johns-Hopkins. Vient le Printemps de Prague (janvier-août 1968), il reste aux États-Unis où, de 1967 à 1973, comme chef de projet au Centre de recherches psychiatriques du Maryland, il poursuit ses travaux sur le potentiel psychothérapeutique des états de conscience produits par l'utilisation du LSD dans un contexte approprié. Le programme porte en particulier sur certains types de population (toxicomanes, personnes en phases terminales, etc. Dans les années 1970, sa première épouse, Joan Halifax, anthropologue, collabore avec lui dans un projet de recherche sur le LSD et sur "la rencontre de l'homme avec la mort".

Il est clair que ceci laisse à se poser des questions :

Les travaux de Grof sur le LSD aboutissent à l'idée que de certaines problèmes psychiatriques, classés comme psychoses, sont en réalité des expériences spirituelles et que le LSD et d'autres substances psychédéliques peuvent être des outils de guérison en psychologie et psychiatrie. Le LSD a été interdit aux États-Unis dès 1966.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stanislav_Grof

... comme décrit, si je me souviens bien, par Charles Duchaussois dans son excellente biographie "Flash, ou le grand voyage".

flash.jpg

Je ne connais pas Flash, merci, du coup je passe commande immédiatement, en plus des Royaumes de l'inconscient humain : la psychologie des profondeurs dévoilée par l'expérience LSD de Grof.

910558741.jpg

***

Puisque le Big Bang a été évoqué plusieurs fois dans ce sujet, voici une intervention d'Hubert Reeves (aux RENCONTRES DU CIEL ET DE L'ESPACE 2014) qui explique que le Big Bang n'est pas un début, c'est juste un horizon (13,8 milliards d'années environ) au-delà duquel on ne peut rien dire (j'ajoute "ou presque, puisqu'il existe des spéculations" ;) ) mais pour lequel on n'a pas à se sentir autorisé à affirmer qu'il n'y a plus rien. Reeves dit que l'Univers est un événement que, pour l'instant, le scénario du Big Bang est le plus crédible à expliquer ; il étaie ce scénario avec ce qu'il appelle des fossiles cosmologiques, à savoir onze preuves à conviction de sa validité. Reeves insiste néanmoins sur le côté provisoire des théories scientifiques qui, paradoxalement, fait la force de la science puisque ainsi elle se montre souple et adaptative face aux observations qui contredisent les théories.

Note pour Shiva ;) : plutôt que d'employer les termes de science mainstream (en référence à la pensée dominante qui s'opposa au début à cette théorie du Big Bang), ce Québécois de Reeves nous donne une belle leçon de français en employant l'expression "orthodoxie scientifique d'une période".

[video:youtube]

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Tu ne seras pas déçu par Flash. Il est passionnant, il se lit d'une traite et surpasse à mon avis tous les autres bouquins sur la période hippie et tous ceux sur la question des drogues.

Super !

Mention spécial du jury à Les Portes de la perceptions d'Aldous Huxley quant à l'usage de la mescaline ;)

Sinon je ne peut être que d'accord !

Lu sous les conseils d'un ami il y a de ça 4 ans, j'avais franchement adoré.

(D'ailleurs c'est un des seuls livres "non-magique" (quoi que) qui m'a suivi en Angleterre avec le projet de le relire.)

Merci Max A, je vais donc lire également cet ouvrage d'Aldous Huxley, j'ai passé commande (je viens juste de recevoir le livre de Grof, LSD et mescaline ça va faire un sacrée mélange mdr ).

Voilà d'ailleurs qui interroge sur les substances qu'ont parfois l'air d'avoir pris les frères Bogdanov...

et la boucle est bouclée. ;)

Je viens de recevoir ce nouveau livre des Bogdanov, il est tout simplement magnifique du point de vue iconographique. Du excellent travail d'édition au moins de ce point de vue ; pour le fond, je ne sais pas encore mais je ne m'inquiète pas trop, ça a l'air très factuel et historique, un peu ce qu'on attend d'un bon ouvrage de vulgarisation. Le Chat de Schrödinger y est rapidement évoqué en page 154 en association avec la théorie des univers (ou "mondes") multiples d'Everett (ou encore "théorie des états relatifs"), dont j'ai parlé précédemment.

(Tiens, Everett à l’envers, ça donne phonétiquement quelque chose comme "Tes rêves").

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    • Bonjour à vous toutes et à vous tous, Je m’appelle Eric de Sarria, je suis comédien, metteur en scène auto-proclamé, et à vrai dire, je n’ai pas un grand lien avec la magie. Cependant, pour ceux qui connaissent,- surtout les anciens-, j’ai été pendant une vingtaine d’années assistant de Philippe Genty. Ce marionnettiste, de réputation internationale, a développé une écriture théâtrale qui  très tôt,  a mélangé, à travers la technique du théâtre noir, la marionnette, la magie, le jeu de comédien, et le mouvement dansé. Pour ceux qui ne connaissent pas son travail je vous conseille de regarder des extraits des Autruches, la totalité de  La Fin des Terres et de Voyageurs Immobiles. Dans ces deux derniers spectacles vous ne verrez pas de théâtre noir, mais vous comprendrez en quoi la magie peut être au service du rêve. Regardez aussi  des extraits de Boliloc, avec Christian Hecq. Je vous conseille un petit numéro qui s’appelle les Floppy sur une musique de René Aubry. Certains disent que je suis le fils artistique de Philippe Genty ,mais c’est faux !  Par contre, je continue à développer, avec d’autres membres de la compagnie Philippe Genty, le corpus pédagogique de Philippe Genty et de sa femme Mary Underwood. C’est à cette occasion que nous donnons des formations, ouvertes aux professionnels et aux amateurs éclairés ! Ce sont des  formations qui combinent le travail d’acteur, le mouvement, et le travail avec la lumière, dont celle du théâtre noir. Pour ceux et celles qui ne connaissent pas cette technique, elle permet de manipuler dans le noir habillé de costume habillé  en velours noir (cagoule, chaussettes et gants inclus), sur fond en velours noir, des objets que l’on met en lumière dans un couloir très précis. Les  projecteurs sont des découpes  équipés d’un cache – halot, qui permet de passer de la pleine lumière au plein noir sans passer par une zone grise. C’est cette technique, mélangée avec du théâtre d’ objets et  du travail d’acteur sur la mémoire sensorielle que nous transmettrons,  du 27 mai au 7 juin 2024, au Studio Philippe Genty (70 heures). Nous nous adressons bien sûr aux artistes du spectacle vivant et par conséquent aux Magiciens est aux magiciennes. Thomas m’a proposé de parler de la compagnie Philippe Genty  lors de ses rencontres Cercle VM du lundi à 18h30 et  j’y serai. Ouvrir nos mondes, c’est nous enrichir de nouvelles rencontres et de nouvelles compétences ! Je vous remercie de votre attention. Très cordialement et très Magiquement !   Eric de Sarria La photo me représente dans Dédale, crée en 1997 par Philippe Genty et mary Underwood. LIEN FACEBOOK: https://www.facebook.com/reel/8029439353749999 LE THÉÂTRE NOIR AU SERVICE DU THÉÂTRE D'OBJETS.pdf
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