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Le chat de Schrödinger


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  • 1 month plus tard...
Par ailleurs, il existe ce que l'on appelle les protosciences ( CLIC) et les sciences marginales (fringe science) :

La fringe science (littéralement « science marginale ») est un terme anglo-saxon désignant les recherches scientifiques, au sein de sciences académiques reconnues, qui s'éloignent significativement des théories généralement admises. La fringe science est donc la science à la frontière des disciplines scientifiques actuellement établies.

Elle s'oppose à la mainstream science, c'est-à-dire la science conventionnelle (mainstream signifie « courant principal » en anglais) . Les scientifiques mainstream considèrent typiquement que la fringe science repose sur des concepts très spéculatifs ou réfutés, contrairement aux protosciences qui représentent des pistes plausibles pour faire émerger des sciences nouvelles.

Il faut noter que :

La science fringe peut inclure des propositions originales et des interprétations, qui comptaient au départ seulement quelques partisans et beaucoup d'opposition. Certaines théories qui ont été développées en marge, par exemple, la dérive des continents de Wegener, l'existence de la cité antique de Troie, la théorie de l'héliocentrisme de Copernic, la colonisation scandinave des Amériques, et la théorie du Big Bang, sont devenues conventionnelles en raison de la découverte de preuves à l'appui.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fringe_science

Par acquit de conscience ;) , j'ai visionné l'intégralité des épisodes de Fringe (et puis, même s'il apparaît peu dans la série, j'aimais bien l'acteur Leonard Nimoy).

Un résumé de tous les épisodes (bonne chance pour y comprendre quelque chose sans avoir vu la série mdr ) :

[video:youtube]

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j'avoue que je n'avais pas reconnu William Bell, mais il faut dire qu'il a un petit rôle.

Pour info :

de nombreuses références à Star Trek sont faites dans sa série Fringe.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/J._J._Abrams

***

Depuis sa série Alias, J.J. Abrams a dans ses trade marks ce nombre 47. Il s'amuse à le cacher dans tous ses projets depuis 2001, même ceux qu'ils ne réalisent pas. Alias est le projet où 47 aura une importance majeure dans l'histoire. Tandis que, dans Fringe, 47 joue de l'ironie étant le nombre qui coïncide avec tous les événements importants à la série : le compte à rebours d'une bombe, une adresse etc. Il est aussi le nombre de vaisseaux Klingons détruits dans Star Trek, un bâtiment où des expériences sur les êtres humains ont lieu pour les changer en zombies dans Super 8 et l'âge en 2013 de J.J. Abrams.

***

September, l’observateur, est un personnage mystérieux présent à chaque fois qu’un événement important de la section Fringe se produit. Il fait partie d’une équipe plus large d’Observateurs répartis à travers le monde. Chauve, dépourvu de sourcils et portant systématiquement le même costume noir, il apparaît dans chaque épisode, plus ou moins caché. Il ne peut intervenir dans le cours des événements qu'il observe et semble connaître le futur. Il utilise des jumelles d'une technologie sophistiquée avec lesquelles il semble prendre des mesures. Il note ses observations en utilisant une écriture inconnue dans un carnet noir. Au fur et à mesure de leurs enquêtes, les membres de la section Fringe s'aperçoivent qu'il est présent sur tous les lieux où se sont produits des évènements inexpliqués. En tentant de trouver des informations le concernant, ils découvrent que l'Observateur a toujours assisté aux principaux évènements historiques, et ce dans les deux univers. De plus, il dispose d'une technologie avancée et de pouvoirs surnaturels. Il révèle finalement être membre d'une équipe de scientifiques provenant d'un futur où en 2609, la Terre sera détruite par l'action humaine. Septembre et d'autres Observateurs sont alors envoyés dans le passé pour étudier l'évolution humaine, sans intervenir. Septembre, en distrayant Walter-ego au cours de ses recherches, déclenche une série d'événements qui conduisent à l'enlèvement du Peter alternatif par le Walter original, le déclenchement d'une guerre entre nos deux univers et la naissance du fils de Fauxlivia et de Peter. Cet enfant étant une anomalie temporelle, les Observateurs décident tout bonnement d'effacer Peter de l'espace-temps. Mais Septembre choisit de désobéir aux ordres de ses supérieurs et laisse Peter réapparaître. Il avertit également Walter du véritable objectif des Observateurs : prendre le contrôle de la Terre à notre époque. Il aide donc Walter à concevoir un plan de défense, et prend le nom de Donald. Après l'emprisonnement dans l'ambre de Walter et les autres, il commence à suivre lui-même son plan, avant de disparaître mystérieusement.

[video:youtube]

Pour info, le carnet de l'observateur nommé Septembre "existe" :

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91TnHOD7CqL.jpg

L'Observateur me semble très inspiré de l'un des personnages de l'univers Marvel, à savoir Uatu Le Gardien (Uatu The Watcher) :

Uatu, est l'un des Gardiens. C'est une entité cosmique (en) dont le but est d'observer ; il observe le déroulement de l'histoire dans tout l'univers sans jamais intervenir. Il observe aussi les terres alternatives

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Uatu

uatu_mainimage.jpg

Source image : http://www.marvunapp.com/Appendix6/uatu_thewatcher.htm

***

Amusant également :

Les personnages principaux portent le nom de famille d'un prix Nobel ou d'un scientifique renommé : Nom du personnage de la série - scientifique (domaine scientifique et date du prix Nobel)

Dunham - Kingsley Charles Dunham (chimie)

Bishop - J. Michael Bishop (physiologie et médecine 1989) ; en anglais cela signifie « évêque » et désigne aussi le Fou dans le domaine des échecs donc les références au fait que Walter soit devenu croyant, à son aliénation et à l'importance stratégique du père et du fils dans l'intrigue.

FRINGE

Difficile à décoder :

Les symboles

Au cours des épisodes, différentes images énigmatiques bleutées et translucides apparaissent entre les scènes. Leur point commun est d'être accompagnées d'un point jaune et d'avoir un détail anormal :

une moitié de pomme avec des fœtus humains à la place des pépins,

une grenouille dont les taches dans le dos forment la lettre grecque Phi,

une main à 6 doigts,

une marguerite avec une aile d'insecte à la place d'un pétale,

une feuille avec des nervures formant la lettre grecque Delta,

un papillon aux rayons X avec des phalanges osseuses dans les ailes,

un hippocampe avec la construction géométrique d'une spirale d'or,

une fumée représentant un visage criant, de profil,

une corne gravé des premières décimales du nombre d'or.

Les producteurs ont déclaré qu'il s'agissait d'un code difficile à décrypter : « Not easy to crack ». La solution a été trouvée par le bloggeur Julian Sanchez. Il s'agit en fait d'un alphabet, qui se décrypte grâce à une méthode analogue au chiffre de César. En réalité, il faut coller chaque image à son "reflet" ce qui donne ainsi une vision plus facile des éléments sur le dos des symboles qui vont révéler chaque lettre une par une. La position du point jaune et la rotation ou orientation de l'image sont déterminants pour différencier les « lettres ». Ils donnent un indice sur l’épisode suivant (comme les lettres blanches de la série Alias, du même J.J. Abrams).

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Je trouve chat amusant :

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Source : https://www.pinterest.com/pin/297519119110402305/

***

"Le paradoxe du chat de Schrödinger et la décohérence", extrait :

La théorie de la décohérence, récemment vérifiée expérimentalement, ne résout pas, en un sens fort, le paradoxe du chat de Schrödinger. Elle n’explique pas pourquoi les superpositions du chat mort et vivant disparaissent mais pourquoi elles ne peuvent pas être observées. D’après cette théorie, « c’est notre incapacité à observer certains états de l’environnement qui serait responsable de l’aspect classique du monde ». C’est du moins, comme le souligne H. Zwirn, la conclusion à laquelle on est conduit si l’on est, soit « réaliste métaphysique » (si l’on considère que la réalité est indépendante de nos perceptions), soit « réaliste empirique de principe » (si l’on considère que la réalité ne doit pas dépendre de nos capacités perceptives pratiques). La solution du paradoxe du chat de Schrödinger par la décohérence semble finalement dépendre des positions métaphysiques adoptées puisqu’ « en revanche, pour celui qui considère que la seule réalité est celle des perceptions pratiquement réalisables (réaliste-empirique-pragmatique), la décohérence est la solution définitive », en un sens fort, au paradoxe du chat de Schrödinger.

Source et article complet ici : http://www.implications-philosophiques.org/implications-epistemologiques/sciences/paradoxes/le-paradoxe-du-chat-de-schrodinger-et-la-decoherence/

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la conclusion à laquelle on est conduit si l’on est, soit « réaliste métaphysique » (si l’on considère que la réalité est indépendante de nos perceptions)

;)mdr !!!

On ne le répetera jamais assez... Cette vision qu'on peut aussi appeler "matérialisme" ou "réalisme naïf" ou "hypothèse du monde extérieur" est juste une posture métaphysique.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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