Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
Il y a 2 heures, Christian Girard a dit :

"Le végétarisme a t-il un problème ? Concept histoire assiette" :

 

Melvin, tu devrais regarder cette vidéo au moins pour ce qui concerne la troisième partie sur la santé et le végétarisme (Dr Jérôme BERNARD-PELLET, à partir de 1h13''01''), c'est étayé par des études scientifiques et la conclusion est qu' "une alimentation végétarienne ou végétalienne bien menée ne porte pas atteinte à la santé, bien au contraire. Il faut sortir du paradigme dominant comme quoi le végétarisme/lisme est un "danger" mais au contraire comprendre qu'il est protecteur si bien mené."

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le
Il y a 10 heures, Christian Girard a dit :

 

"Le végétarisme a t-il un problème ? Concept histoire assiette" :

 

 

J'ai commencé à écouter. Effectivement c'est intéressant.

Aurélien Barrau parle vraiment très bien mais je trouve qu'il élude un peu vite les 3 arguments des omnivores pour ne pas être herbivore et donc il ne me convainc pas :

- Les végétaux sont des êtres sensibles donc si on va au bout du raisonnement de ne pas manger des êtres sensibles, on ne mange pas non plus de végétaux. A cet argument il répond : les omnivores ne sont pas sincères dans leur empathie pour les végétaux. Mais ce n'est pas parce qu'on n'est pas sincère lorsqu'on donne un argument que l'argument est faux.

- Il réduit l'argument de la tradition à la simple tradition. Manger de la viande ce n'est pas une tradition de notre espèce : tous nos ancêtres homos mangeaient de la viande. Aucun n'était herbivore. Etre omnivore n'est donc pas une habitude mise au point par des sociétés humaines mais un héritage évolutif de nos espèces ancestrales. Ainsi notre organisme a été optimisé au fil de millions d'années pour être omnivore et non herbivore. (cela ne veut pas dire que s'empiffrer de viande n'a pas des conséquences néfastes).

- Enfin, sur le fait d'interdire à l'Homme de manger de la viande alors que nous l'autorisons aux animaux : il critique cette idée en parlant de maximisation de la destruction chez l'Homme : mais là il compare la totalité des animaux tués par l'Homme avec ce que tue un animal pour se nourrir ! Ce n'est pas honnête intellectuellement, il faudrait comparer la totalité des animaux tués par la totalité des animaux avec ceux tués par l'Homme et on verrait que c'est pin-up. Dans sa comparaison on voit le lion tuer une proie quand il a faim en comparaison avec les Hommes, non pas tuer, mais massacrer en masse des animaux. De plus il oublie complétement l'animalité de l'Homme. L'Homme n'a pas à avoir honte de son animalité et donc de devoir tuer d'autres animaux pour se nourrir. Et puis sur son lion qui n'écrase pas des fourmis volontairement contrairement à l'Homme, c'est ridicule, surtout quand on connait la biomasse des fourmis comparée à celle, non pas de l'Homme, mais de tous les mammifères terrestres :

Sans titre-Numérisation-01.jpg

Melvin

Publié le

Conférence du Dr Jérôme BERNARD-PELLET : très intéressante. Mais je n'aime pas l'idée d'opposer alimentation végétale et alimentation omnivore. Certes l'alimentation actuelle omnivore n'est pas forcément meilleure que la végétarienne (existence de carences diverses...) mais cela ne vient pas de la consommation de viande mais d'une alimentation mal équilibrée. Le végétarien va faire bien plus attention à son alimentation que l'omnivore de base comme moi qui mange n'importe comment sans me soucier, ainsi le végétarien aura sans doute une alimentation bien plus équilibrée que l'omnivore de base. Un omnivore faisant attention à avoir une alimentation équilibrée n'aura pas une moins bonne alimentation que la végétarienne.

Je n'aime pas non plus le concept qui dit que la santé et la durée de vie vient en majorité de l'alimentation. Il y a tellement de facteurs qui entrent en jeu dans la santé, que tout réduire à l'alimentation c'est se tromper.

Melvin

Publié le

"Résumé :

Comme le constate chaque année l’organisme officiel de surveillance de la qualité de l’air, Airparif, tous les polluants de l’air de Paris sont en très nette diminution. Certains, comme le dioxyde de soufre, le plomb ou le monoxyde de carbone ont même totalement disparu. Le bilan 2017 d’Airparif précise que « les concentrations des particules fines les plus dangereuses, les fumées noires, ont été divisées par 20 depuis le milieu du siècle dernier, du fait des progrès considérables des industries, des immeubles et des véhicules ». S’il fallait d’ailleurs une preuve de leur disparition presque totale, elle serait apportée par la blancheur de Notre Dame, plus de vingt ans après son dernier ravalement.

Pourtant, c’est au prétexte de la lutte contre une pollution devenue quasi-imaginaire que la Mairie de Paris paralyse la capitale par une politique qui ignore les besoins des Parisiens et des Franciliens.

C’est cette politique néfaste que dénonce l’auteur. Mais aussi les stratagèmes, mensonges et forfaitures que mettent en oeuvre les services officiels de l’environnement non seulement pour cacher aux Français que l’air des principales grandes villes de France est désormais pur mais surtout pour leur faire croire que la pollution s’accroît".

 

essai_couv_air_pur_4.jpg

Melvin

Publié le
il y a une heure, Melvin (Jean-Claude) a dit :

Le bilan 2017 d’Airparif (...)

Pourtant, c’est au prétexte de la lutte contre une pollution devenue quasi-imaginaire  (...)

 


Le mieux est d'aller à la source ! https://www.airparif.asso.fr/pollution/differents-polluants


pollution-polluant3.gif

Et tu vois qu'il y a un bon nombre de problèmes de pollution qui persistent à Paris : dioxyde d'azote, particules, ozone, benzène...!

Et toujours, un grand nombre de morts causés par ces pollutions.
 

POLLUTION DE L'AIR : COMBIEN DE MORTS FAIT-ELLE EN FRANCE ET À PARIS ? (Capital)

Une étude de l'agence Santé publique, parue en 2016, estime que le nombre de morts dus aux particules fines s’élève à au moins 48.000 par an, soit 9% de la mortalité nationale ! Toujours selon la même étude, à Paris, 2.500 personnes meurent chaque année de pollution atmosphérique. Ces décès seraient principalement liés à la concentration en particules fines de type “PM2.5” que recrachent notamment les véhicules diesel. Ce sont elles qui peuvent atteindre tous les organes du corps en s’incorporant dans le sang. Il en résulte ainsi des cancers ou des maladies cardio-vasculaires. 

A Paris, les morts de la pollution se comptent par milliers (Mediapart)

À Paris, la pollution tue 60 fois plus que l’insécurité routière. Environ 2 500 personnes meurent chaque année de l’exposition aux polluants atmosphériques, en partie émis par les voitures.

 

 

  • Merci 1
Publié le (modifié)
il y a 58 minutes, Melvin (Jean-Claude) a dit :

Il faudrait des données d'instituts sérieux et pas des données de la presse.

 

On ne peut soupçonner le journal Capital d'être farouchement écologiste, mais note que ce ne sont pas des données de la presse, mais de l'agence Santé publique, qui est un établissement public http://www.santepubliquefrance.fr/Sante-publique-France/Qui-sommes-nous

 

Citation

Et ça se passe comment quand on meurt de pollution atmosphérique ?


C'est marqué dans l'extrait plus haut, mais c'est de toute façon assez évident :

Il en résulte ainsi des cancers ou des maladies cardio-vasculaires. 

Modifié par Kristo (Christophe)

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8225
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Claude MAUGUIT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...