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Publié le (modifié)
Il y a 7 heures, Edler a dit :

Idem pour la géothermie, j'en connais qui ont cédé aux sirènes et qui l'ont regretté ensuite : le sol s'épuise, à la longue.

Petite précision : la géothermie c'est génial. Par contre, on ne peut pas la faire partout : il faut les bonnes conditions géologiques (zone de rift, de points chauds, zone de subduction ou bassins sédimentaires à aquifère). Pour la géothermie de haute énergie, on peut faire tourner des centrales électriques. Et non, l'énergie interne de la Terre est quasi inépuisable à nos échelles de temps. Actuellement tous les besoins énergétiques humains représentent 5 x10 puissance20 J/an et l'énergie thermique du globe c'est 14 X 10 puissance 20 J/an. On a de la marge ! Il suffirait d'une impulsion politique pour développer ces énergies mais en ce moment les politiques sont obnubilés sur l'éolien.

Modifié par Melvin
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Melvin

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Publié le

D'accord avec ça. Mais il y a aussi la géothermie à “très basse énergie”, qu'on peut faire à peu près partout, pour les maisons. C'est la géothermie de surface, avec un long tuyau enterré dans le jardin et une pompe à chaleur : tout simplement un réfrigérateur inversé, qui fait du chaud avec du froid. Pour ça, pas besoin de source d'eau chaude et on n'épuise pas l'énergie interne de la terre. Par contre, on consomme un peu d'électricité (mais avec un très bon rendement)
Ceci dit, pour que ce soit intéressant financièrement il vaut mieux le faire dès la construction de la maison. A moins qu'elle dispose déjà d'un chauffage au sol.

 http://www.sortirdunucleaire.org/Geothermie-pompe-a-chaleur-le-pour

30-21-Schema-horizontal.jpg

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Publié le

L'énergie interne du globe est due essentiellement à la désintégration des éléments radioactifs du globe. Il se crée alors un gradient géothermique : l'énergie se répand à travers le globe : plus on va profondément, plus il fait chaud. En moyenne quand on s'enfonce de 1 Km dans le globe, la T° augmente de 30°C, mais le gradient peut-être plus élevé dans certaines régions. Dans le bassin parisien par exemple, on récupère de l'eau chaude (60°C) dans des nappes d'eau situées à 2 km de profondeur, eau qui est directement utilisée dans les systèmes de chauffage collectif et dans l'eau sanitaire.

 

Image1.png

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Melvin

Publié le

TF1 : SEPT À HUIT LIFE du 25 février 2018 :

L'arnaque à l'énergie verte : des particuliers trompés par le leader français des éoliennes.

Ils étaient écolos, fiers de placer leurs économies dans la production d’énergie verte ! Mais des centaines de particuliers ont été trompés par le leader français des éoliennes. L’escroc présumé risque aujourd'hui huit ans de prison pour avoir vendu du vent.

 

 

Melvin

Publié le
Il y a 9 heures, Dick Feynman a dit :

"On n'épuise pas l'énergie interne de la terre"?

Pardon mais, je ne comprends pas ce concept...

Si, justement. C'est le type d'installation dont je parlais, que celui que je connaissais avait regretté.
Il fallait, à la fin, compléter le chauffage par un chauffage électrique, pour ne pas geler quand les températures descendaient comme ces derniers jours.
En plus, l'air pulsé faisait un bruit vraiment dérangeant.

Citation
Quand on veut on peut.
Invité bénocard
Publié le

Je finis rapidement mon histoire d'arbres.

Les méthodes comme UPGMA ou le Neighbour Joining ne sont pas spécifiques aux données biologiques. Elles sont limitées, notamment lorsqu'il y a des branches longues, parce qu'elles ne permettent pas de prendre en compte les mutations inverses (A->C->A) ou convergentes (A -> C, T -> C). De plus, toutes les régions du génome ne sont pas équivalentes : en fonction des propriétés de la molécule d'ADN, on peut vouloir différencier certains sites (exemple : la première base d'un codon). On peut aussi vouloir traiter certaines régions de l'arbre différemment (par exemple, des modèles d'évolution différents pour les espèces unicellulaires).

Il faut pour cela disposer d'un modèle probabiliste qui décrive correctement les mutations (observées et cachées) : quelle est la probabilité d'observer une mutation donnée en fonction du temps ? C'est un champ de recherche en soi, qui a donné lieu à beaucoup de développements. Je renvoie le lecteur intéressé par la technique à l'article de Wikipedia en anglais : https://en.wikipedia.org/wiki/Models_of_DNA_evolution, ou à cet article qui décrit le modèle de Jukes et Cantor (1969) : https://joyeuserrance.wordpress.com/2010/03/28/modeliser-levolution-des-sequences-dadn/.

Citation

Alors bien sûr, comme toujours en modélisation, on simplifie beaucoup, mais depuis l’article de Jukes Cantor en 1969 les modèles ont été perfectionnés et cela permet de bien mieux comprendre le génome des êtres vivants: vitesse d’apparition des mutations, importance fonctionnelle de certaines séquences, relations phylogénétiques entre les espèces…

Une fois qu'on dispose d'un modèle probabiliste pour la mutation d'un nucléotide, on peut calculer une nouvelle distance entre deux séquences S1 et S2 : toujours en fonction du temps, quelle est la probabilité d'observer la mutation de l'ensemble des nucléotides de S1 en ceux de S2 ?

L'étape d'après, c'est : étant donnés un modèle pour les mutations et une topologie d'arbre donnée, quelle est la probabilité d'obtenir les séquences observées ? On retiendra évidemment la topologie la plus probable : c'est la méthode du maximum de vraisemblance, Maximum Likelihood en anglais. C'est un problème général en statistiques, il y a des outils puissants pour le traiter, même si les temps de calculs sont importants. L'article de Wikipedia en anglais est assez complet : https://en.wikipedia.org/wiki/Maximum_likelihood_estimation.

Autre possibilité, l'inférence bayésienne. Cette fois, il ne s'agit plus de calculer la probabilité d'observer les séquences données en fonction d'une topologie, mais d'observer la topologie en fonction des séquences observées : https://en.wikipedia.org/wiki/Bayesian_inference.

Cet article en français relativement lisible pour le non spécialiste fait un résumé des méthodes dont on a parlé : http://www.info2.uqam.ca/~makarenkov_v/BIF7002/Rapport_Eric_Alexandre_2009/Rapport_HTML.html.

Voilà j'ai fini. Je vais pouvoir répondre à Christian Girard que j'ai provoqué avec le "travail de la nature" :).

Publié le

 

"James Cameron va sortir un documentaire dédié au mode de vie vegan" :

Citation

Le célèbre réalisateur James Cameron n’en est pas à son coup d’essai dans le monde de la défense animale. Après avoir ouvert son propre restaurant vegan, et être devenu végétalien, il s’attache désormais à la tâche la plus fastidieuse : informer le plus grand nombre en réalisant un documentaire intitulé The Game Changers.

Source et article complet à lire ici :

 https://www.vegactu.com/actualite/james-cameron-documentaire-vegan-25034/

 

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    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
    • En effet, très sympa. Une idée simple mais très bien executée. D'où aussi l'importance d'avoir un bon public / assistants : cela renforce terriblement son numéro en créant de chouettes interactions.
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