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Belle liste de livres sur le vampirisme. On pourrait  ajouter une curiosité comme : "The occult significance of blood" authorised translation from notes of a lecture by Rudolf Steiner.

Occult & Modern Thought Book Center 687 Boylston ST., Boston, Mass (1912)

Cela ne devrait pas être introuvable !

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email : zoroastre@skynet.be   ou  rbottemanne@skynet.be

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Publié le
Le 11/1/2017 à 12:56, Christian Chelman a dit :

Le Surnatéum participera en septembre de cette année à l'exposition Ensorceler-Guérir organisée par le Centre Albert Marinus et le Musée du masque de Binche à la Médiatine de Woluwé Saint Lambert.

Qui dit que la magie n'est limitée qu'à la scène ou au close-up de table en table?

Une fois de plus, à suivre.

Monsieur Bavard et ses petits camarades vont aller faire un tour...

http://www.albertmarinus.org/

 

marinusAffiche_portail.jpg

Deux jours de tournage photo pour le catalogue de l'exposition Ensorceler/Guérir qui aura lieu en septembre. Encore une exposition que les magiciens belges pourront éviter à cette période, comme, pour toutes les précédentes. :) En partenariat avec le centre Albert Marinus et le musée du masque de Binche.

marinusweb00.JPG

marinusweb03.JPG

marinusweb05.JPG

marinusweb09.JPG

Publié le (modifié)
il y a 48 minutes, Hervé VSB a dit :

A propos du musée du masque de Binche, l'émission Gimmick (ça ne s'invente pas) vient de consacrer un reportage sur la nouvelle directrice, à voir ici :

http://www.antennecentre.tv/www/cl_mence_mathieu_nouvelle_directrice_au_m_m_est_l_invit_e_de_gimmick-88130-999-404.html

Oui, elle est passée au Surnatéum et est fort sympathique. Le musée de Binche peut être content d'avoir une directrice aussi dynamique.

Il est même hautement probable que l'exposition soit présentée à Binche en 2018 ou 2019. Les magiciens belges auront ainsi une possibilité de plus de ne pas aller la voir la-bas.

Modifié par Christian Chelman
Publié le
il y a 1 minute, Hervé VSB a dit :

Tant qu'à parler du Centre Marinus ou du musée du Masque, je suggère une visite au Centre Marlier, à Mouscron (B) dédié à l'oeuvre de l'artiste. Infos http://www.centremarcelmarlier.be/crbst_8.html

(fin du HS)

arf, ils ont un musée sur Martine!

Ces Belges sont terrifiants!

 

Gilbus

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Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

  • 1 month plus tard...
Publié le (modifié)

Le dossier de Presse de l'exposition" Ensorceler-Guérir" est disponible.

Citation

Ensorceler–Guérir. Pourquoi ce thème? Parce qu’il est universel et qu’il constitue une des préoccupations majeures de l’humanité. Il fait écho au Bien et au Mal, aux forces positives et négatives inhérentes à la conception du monde dans la grande majorité des cultures. Dans la plupart des sociétés, ces forces, synonymes de surnaturel et de dialogue avec l’au-delà, sont associées aux esprits, au monde des morts lesquels peuvent s’avérer, selon les circonstances, bénéfiques ou maléfiques. Le Mal s’explique différemment selon les lieux et les époques, il n’en est pas moins toujours présent. Ainsi, le mythe de Pandore le décrit dans la Grèce antique. Afin de punir les hommes, Zeus, leur envoie la première femme, Pandore, qu’il avait créée avec l’aide d’autres dieux. La mortelle ouvre la fameuse boîte (en réalité une jarre) dont s’échappent tous les maux. Dans le bouddhisme tibétain, la Roue de la Vie reproduit le schéma que le Bouddha aurait lui-même découvert en cherchant les causes de la douleur universelle. La Roue représente le Samsara, cycle des morts et des renaissances. Par ailleurs, a contrario, le mythe d’un Paradis terrestre, d’un Jardin des délices, d’un monde sans mal ni souffrance se retrouve dans un grand nombre d’imaginaires humains. Maléfice et guérison constituent in fine deux aspects d’une même réalité. D’un côté, il est question d’un mauvais sort dont on tente de se débarrasser. De l’autre, il s’agit d’infliger un charme à autrui ou de l’envoûter. Bien sûr, les rituels sont différents mais les chamans et les sorciers sont dépositaires d’un savoir qui leur permet d’invoquer les forces du bien comme celles du mal. Pour devenir capable de guérir les autres hommes, le futur chaman doit s’exposer préalablement à la violence maléfique sous toutes ses formes. Il doit se laisser submerger plus longuement et plus complètement que les mortels ordinaires afin d’émerger en triomphateur. Il lui faut démontrer, en somme, qu’il n’est pas seulement le protégé de la violence mais qu’il participe de sa puissance, qu’il peut maîtriser jusqu’à un certain point la métamorphose du maléfique en bénéfique (et inversement). Il doit donc pouvoir solliciter l’esprit nuisible et malin, le provoquer et le canaliser, le lancer sur la personne (la maison, la communauté) visée et engendrer ainsi la maladie, le malheur ou la mort, ou être capable de combattre cette influence néfaste. Lorsqu’il recourt au médecin ou au guérisseur, le malade se soumet au pouvoir de ce dernier, à qui il demande de nommer l’objet de son mal et de lui enlever. Il y a pouvoir réel lorsque la guérison se fait avec des médicaments, et pouvoir imaginaire ou rituel sacré, quand il y a une implication d’un esprit ou intervention d’une force surnaturelle destinée à exorciser la souffrance. Face au tourment et à la mort, qui s’imposent de manière inéluctable, la pensée magique a toujours représenté pour l’homme la possibilité d’échapper à la conscience de sa propre faiblesse ainsi qu’aux sentiments d’anéantissement et d’angoisse que celle-ci provoque. Lors de rituels de guérison et de divination, les chamans qui servent de relais avec l’au-delà utilisent des masques rituels qui ne manquent de combattre la maladie mais s’inscrivent aussi dans une dimension bénéfique beaucoup plus large. En effet, ces pratiques qui sollicitent l’intervention d’un esprit considéré comme redoutable et tout-puissant peuvent également être liées à l’agriculture et à la fertilité (obtention de bonnes récoltes), elles peuvent jouer un rôle dans la cohésion ou le bien-être d’une société, elles peuvent éloigner les catastrophes naturelles, les épidémies et les dangers encourus par l’homme, les plantes ou le gibier, elles peuvent expulser les démons d’un corps malade, d’une maison ou d’une communauté, elles peuvent annihiler les influences maléfiques et démoniaques, elles peuvent obtenir santé et prospérité ou maintenir l’ordre et la justice, ou elles peuvent encore évoquer l’organisation cosmique et rejouer la création du monde. Si vous désirez connaitre le rôle exact d’un bâton trembleur, d’un nkisi ou d’une figurine d’envoûtement, si vous rêvez de savoir comment fonctionne un accordéon divinatoire, si la confrontation avec un fétiche d’Afrique centrale ou un masque Egungun ne vous fait pas peur, si vous vous intéressez aux rituels d’exorcisme chinois ou à ceux des Indiens d’Amérique, l’exposition Ensorceler-Guérir est faite pour vous.

 

http://www.albertmarinus.org/docs/DossierEnsorcelerGuerir.pdf

 

MarinusAffiche_portail1.jpg

Modifié par Christian Chelman

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    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
    • En effet, très sympa. Une idée simple mais très bien executée. D'où aussi l'importance d'avoir un bon public / assistants : cela renforce terriblement son numéro en créant de chouettes interactions.
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