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Eflamm CAOUISSIN

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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN

  1. Sur FMR, la réédition vient d'être à nouveau évoquée à l'instant, par le Monsieur qui va faire la préface
  2. En ce moment : Pass Magic en direct sur http://www.fmr-radio.com/
  3. Pas vraiment nouveau, puisque c'est la recette utilisée dans chaque guerre, où le pékin moyen, le pauvre hère... sont les grands perdants. Si l'on regarde bien tous les facteurs de la guerre de 14, si l'on regarde bien tous les facteurs de 39-45, si l'on regarde bien tous les facteurs de mai 68 (pour ne citer que ceux-là), sans oublier d'étudier pour chacun de ces exemples les années précédentes et suivantes, on a de bonnes raisons de se dire que ce qui est actuellement utilisé est la même méthode, pour les mêmes raisons, et qui engendrera les mêmes résultats, sauf si les populations décident enfin d'être clairvoyantes et non plus manipulées par des gens qui pensent pour elles.
  4. Ca a le mérite d'être clair, et la crise montre ainsi son utilité pour certains : Commentaire de Mathilde Lemoine, directrice des études économiques chez HSBC France : « L’activité industrielle (française) devrait se replier plus fortement qu’anticipé au troisième trimestre ». « La dépréciation de l’euro ne sera pas suffisante pour compenser la faiblesse de la demande mondiale ni l’impact très négatif de la persistance de la crise européenne sur les perspectives d’investissement. L’activité des prochains mois dépend de la capacité des Européens à enfin accepter l’existence d’autorités bancaire et budgétaire supranationales. »
  5. Bonne initiative. Je suis persuadé que tu sauras en tirer profit, le personnaliser...
  6. Euh... relis bien ce que j'ai écrit ! Je ne t'ai donc pas traité de mauvais performer (je ne te connais pas, et j'aurai plus vite fais de me critiquer avant tout), mais indiqué que les mauvais outs ne peuvent être qu'affaire de présentation. Certes, il y a un out idéal, mais les autres peuvent calmer tout autant. Merci de lire la phrase comme il se doit et non de lui faire dire autre chose
  7. Et répétons-le, ce tour vaut le détour. Il n'y a de mauvais "outs" ici que pour les mauvais performers (sans vouloir te juger , Elton, mais juste pour te dire que l'impact de ce tour nécessite un bon travail de présentation, que le dévédé te propose déjà) et qu'à partir de là tu peux en faire un miracle, quelles que soient les options. Je l'utilise moi-même parfois en presta, et ca le fait, d'autant que tu peux te débrouiller pour tenter de diriger le spectateur vers la meilleure sortie. Je peux aussi te citer un ami (salut Eric si tu me lis !) qui a développé sa routine personnelle de Gambler, et que j'ai vu présentée en conditions réelles lors d'une presta. Il a scotché les gens. Vu le tarif, tu ne prends aucun risque avec ce tour, à part avoir du succès...
  8. Ayant la chance de l'avoir entre les mains*, je viens de dévorer le dernier chapitre, dédié plus à un aspect théorique (encore qu'à mon sens, c'est bien plus du pratique qu'une explication de routine) dans la droite ligne d'Our Magic (Maskelyne/Devant) et The Book of Magic (Merlin). Comment aborder certains spectateurs, améliorer ou rabaisser son statut, booster sa créativité, etc... Ce chapitre est un régal qui rien qu'à lui vaut l'achat du livre. Dans la limite de ma première lecture, voici aussi un premier avis sur les routines qui, si elles sont certes intéressantes, le sont plus encore par la façon dont les Flicking Fingers poussent la créativité jusqu'au bout. S'il est intéressant de travailler les tours proposés, je pense surtout que les FF donnent des chemins permettant de revoir notre façon de percevoir et de redonner la magie à nos spectateurs. Un autre point à souligner : nous ne sommes pas ici uniquement sur de la simple traduction, mais bien sur une traduction adaptation s'adressant directement aux magiciens français au fil de certaines pages. Nul doute que le traducteur et l'éditeur ont dû se marrer en travaillant dessus et en personnalisant la traduction. Enfin, une chose encore : j'apprécie le travail en commun effectué par deux ténors de l'édition magique française, puisque pour vous livrer ce bijou, c'est Frantz Réjasse qui a assuré la mise en page de ce livre proposé par Marchand de Trucs. Cette collaboration déjà initiée pour les jeux de cartes SAMURAI (dont les dos mythiques apparaissent dans l'ouvrage "Prédi(le)ction") continue ici pour vous proposer un ouvrage unique qui aura bonne place sur votre table de chevet
  9. D'après notre dernière conversation il y a deux semaines, non. Mais on ne sait jamais
  10. Non... épuisé. Même Fanch n'en n'a plus en stock, que ce soit en anglais ou en français. Sauf à trouver un nid comme cela arrive parfois, il est peu probable que tu le trouves.
  11. L'essentiel, dans ces deux routines, sont le travail théâtral et psychologique de la part du magicien. Avec ça, je suis persuadé que l'on peut avoir un bijou. A noter : les illustrations personnalisées du livre (p32-33)
  12. Tu les as directement commandé à Marc Antoine ? Car je les vois pas sur son site.
  13. Il n'existe aucun argument solide permettant de justifier ce choix. Tous les arguments deviennent bancals dès l'instant où l'on creuse un peu plus les réponses données dans les ouvrages ad hoc. Tu ne risques donc pas de trouver... Car comment justifier l'interdiction d'un tel sujet générant de fait la privatisation dudit sujet, et donc les abus qui peuvent en découler ? L'interdiction d'émettre sa monnaie a provoqué la logique de la dette dans laquelle nous nous trouvons, et donc de la liquidation de toutes les politiques sociales issues du Conseil National de Résistance et De Gaulle. Cette loi avait été passée par Pompidou, ex-directeur général de la banque Rotschild (quel hasard !). Rappelons au passage que Edmond de Rotschild fut membre du groupe Bilderberg et de la Trilatérale, comme les dirigeants -non élus démocratiquement- de l'Europe actuelle, de la BCE et autres organes évoqués précédemment, aux States, en Italie, en Grèce... (encore un hasard... ) (je renvoie à mes messages précédents ou à vos recherches concernant les cercles Bilderberg et la Trilatérale). Si des Goldman Sachs, Rotschild, ... semblent enfiler autant de monde (et semblent continuer en toute impunité), c'est bien parce que de telles lois ont été votées, en France et ailleurs. Il est d'ailleurs intéressant de lire ce qu'il est advenu de la FED au fil du temps. Petite précision au passage : la base du système bancaire international est l'usure et l'interdépendance des réseaux financiers internationaux. Le souci, c'est que la finance islamique est un adversaire de poids face au système actuel, puisque ne pratiquant pas l'usure. Vous avez pu lire dans un de mes messages précédents les facteurs financiers précédant la chute libyenne (source Wall Street Journal). Notez aussi qu'après la révolution tunisienne, la Banque Zitouna, qui était en voie de développer la finance islamique au niveau international (Maghreb et Europe) sous l'impulsion des Ben Ali, a été confiée à la banque... Rotschild, après le départ des Ben Ali.. Exit Zitouna et l'indépendance financière tunisienne (mais c'est encore un hasard, évidemment !) Tout cela pour dire que l'indépendance financière des états est primordiale. La grande braderie a débuté il y a bien longtemps, la France a quant à elle donné sa souveraineté en 1973, et ca continue toujours avec les autres pays.
  14. Un éclairage partiel (mais non moins intéressant) sur les crises systémiques de notre monde moderne, de 1929 à aujourd'hui, diffusé hier soir, comme le souligne Christophe plus bas. [video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=E2GJeKOKEWg&feature=share A noter qu'Arte propose en ce moment de très intéressantes analyses au niveau macro-économique, géostratégique, ... qui étaient en partie des infos uniquement relayées par des médias non-alignés jusqu'il y a quelques mois. . Reste à savoir quelles raisons poussent Arte à diffuser ces infos maintenant. Ne pensons pas qu'il s'agisse uniquement d'informer.
  15. Son adresse mail ne répond pas ? J'ai toujours réponse de sa part.
  16. Certainement... Mais quand le repérage des misdirections et manipulations devient une grille de lecture pour appréhender le monde (comme c'est le cas chez nos amis zététiciens), cela s'apparente plutôt à de la paranoïa... Mouarfff, Patrick ! Ce type d'argument est celui utilisé pour décrédibiliser les opposants dans les dictatures. Au repérage des manipulations, il convient de joindre une lecture soigneuse de la totalité des politiques et faits de l'échiquier mondial, au-delà des clivages. On n'est donc clairement pas dans la paranoïa mais dans la clairvoyance, pour reprendre un terme qui t'est cher. N'importe quelle personne en est capable. Mais qui joue aux échecs en étant capable d'appréhender au minimum 6 coups d'avance ? Il y en a peu. Il en est de même sur la lecture du monde, malheureusement, et si le bouquin de Jack peut ouvrir les yeux de certains. Rien a voir donc avec les zézettes qui ont parfois (heureusement pas tous) une vision étriquée du monde par leur seule grille de lecture. J'attends donc qu'on m'oppose des arguments solides aux lectures que Jack, moi ou d'autres donnons ici, plutôt que les qualificatifs éculés tels que ci-dessus.
  17. Par contre.... tu mentionnes qu'on peut avoir une paire de PL à moins de 80 euros, hors elles sont à 110 euros chez toi. C'est normal ?
  18. Effectivement, merci de souligner cet aspect sino-japonais. Je vous avais parlé dans ce même thread des liens entre Goldman Sachs, les Bildberger, la Trilatérale, la Troïka européenne, la crise, et la main mise des anciens de Goldman Sachs à des postes de direction gouvernementale, et l'implication de GS dans la crise économique mondiale. Nous savions que certains étaient aussi impliqués dans la crise militaire. Khadafi était loin d'être un saint, mais peu savent que la guerre lui a été déclarée dès l'instant où il a voulu se dégager de la finance internationale en remettant le dinar or en route. Je viens de découvrir un texte intéressant, qui éclaire énormément sur le boulot de sape internationale, qui est valable en Lybie comme ailleurs. Ce texte est originellement issu du Wall Street Journal : Après que les USA et l’Union européenne aient révoqué l’embargo en 2004, des dizaines de banques et sociétés financières étasuniennes et européennes affluèrent en Libye. Parmi lesquelles Goldman Sachs, une des plus grandes banques d’investissement du monde, dont le siège principal est à New York. Dans la première moitié de l’année 2008, l’Autorité libyenne d’investissement lui confia 1 milliard et 300 millions de fonds souverains (capitaux de l’État investis à l’étranger). La banque Goldman Sachs les investit dans un panier de valeurs et en actions de six sociétés : l’étasunienne Citigroup Inc., la banque italienne Unicredit et l’espagnole Santander, la compagnie allemande d’assurances Allianz, la compagnie énergétique française Électricité de France et l’italienne Eni. Un an après, Goldman Sachs communiqua à l’Autorité libyenne qu’à cause de la crise financière, le fonds libyen avait perdu 98 % de sa valeur, les 1 milliard et 300 millions se réduisant à 25 millions de dollars. Les responsables de l’Autorité libyenne, furieux, convoquèrent à Tripoli le responsable de Goldman Sachs pour l’Afrique du Nord. La rencontre fut turbulente, si bien que Goldman Sachs évacua précipitamment ses employés de Tripoli, craignant qu’ils ne fussent arrêtés. Comme la Libye menaçait d’intenter un procès qui aurait compromis la réputation de la banque aux yeux d’autres investisseurs institutionnels, Goldman Sachs lui offrit en dédommagement des actions privilégiées de la banque elle-même. Mais les Libyens étant à juste titre soupçonneux, l’accord ne fut pas signé. Restait ainsi ouverte la possibilité, redoutée par Goldman Sachs, que l’Autorité libyenne n’entreprit un procès international. Des cas analogues de « mauvaise administration de l’argent libyen » sont rapportés par une enquête publiée par le New York Times . Par exemple, la société Permal —unité de Legg Mason, une des principales sociétés de gestion d’investissements, dont le siège est à Baltimore— a administré 300 millions de dollars de fonds souverains libyens, qui ont perdu 40 % de leur valeur entre janvier 2009 et septembre 2010. En compensation, Permal a perçu 27 millions de dollars pour ses prestations. Même chose pour d’autres banques et sociétés financières, comme la hollandaise Palladyne, la française BNP Paribas, la britannique HSBCet le Crédit Suisse. L’Autorité libyenne menaçait d’entreprendre contre elles des actions judiciaires internationales, qui auraient endommagé l’image de ces « prestigieux » organismes financiers. Le tout s’est résolu de façon heureuse quand, en février dernier, États-Unis et Union européenne ont « gelé » les fonds souverains libyens. Leur « surveillance » a été confiée à ces mêmes banques et sociétés financières qui les avaient si bien gérés. Et du vol on est passé à la rapine à main armée quand la guerre a commencé, en mars. À l’abri des chasseurs-bombardiers de l’OTAN, HSBC et d’autres banques d’investissement ont débarqué à Benghazi pour créer une nouvelle « Central Bank of Libya », qui leur permettra de gérer les fonds souverains libyens « gelés » et les nouveaux qu’ils tireront de l’exportation des hydrocarbures. Cette fois, sans aucun doute, en obtenant de forts rendements.
  19. Jack... voilà l'essentiel : Entre ces manifestations dues à la crise, la flambée moyen-orientale entretenue par les puissances occidentales, la menace du conflit Israélo-Iranien, on est très mal. Car si Israël attaque l'Iran, celui-ci ripostera avec ses alliés (incluant la Russie et la Chine) sur le bloc incluant l'ensemble des autres pays. On croira ce que l'on veut, mais la proximité d'une guerre mondiale n'a jamais été aussi importante. Ca vous rappelle quelque chose, la crise économique suivie de la guerre ? On assiste en ce moment à la création de toutes pièces d'une guerre permettant d'éviter aux peuples de tomber sur ceux qui ont spéculé au maximum sur le système (jusqu'aux matières premières) et qui sont responsables de la crise et de l'effondrement total des marchés. Soit ils se font chopper, soit pour ne pas se faire chopper, il y a création d'un ennemi commun autour de qui faire l'union sacrée (et en même temps gagner de l'argent sur les ventes d'armes). Soyons conscients, nous magiciens, que la manipulation est large. Le magicien n'est-il pas plus que d'autres à même de repérer les misdirections et manipulations ? Dans ce cas, les peuples peuvent-ils être plus habiles que ceux qui les manipulent ?
  20. Ben.... je pense que certains ne souhaitent pas être traités de fondamentalistes de la magie, d'extrémistes mentalistes.... D'où ce souhait de liberté d'expression, en bravant les interdits liés au secret voulus par une minorité ... Note : Du calme Viktor... je te fais marcher...
  21. Allez... comme je ne savais pas si j'allais le mettre dans le sujet 18 mars ou ici... j'opte pour la cause animale... On parle de chiens mais les chats ? J'ai trouvé cela au détour du net, mais pas possible d'en trouver la source originelle. Je vous la partage tout de même... Le Chat, ennemi naturel du libéralisme ! Le chat est par essence un ennemi du système. Il est l’anti-efficacité, l’anti-productivité, l’antiutilitarisme même. En un mot, c’est l’animal le plus anti-libéral qui soit. D’ailleurs la vie d’un chat ressemble à s’y méprendre à celle d’un chômeur d’aujourd’hui. Le chat dort en moyenne dix-sept heures par jour. Ce qui est considérable au vu du nombre d’insomniaques qui hantent la nuit noire de notre société. Il sort principalement la nuit. Comment pourrait-il alors se rendre efficace le jour comme tout bon homo oeconomicus qui se respecte? Le chat ne connaît ni les cadences infernales, ni la concurrence déloyale. Il ne supporte pas les foules anonymes. Il aime sa différence, sa liberté, son indépendance. Le chat défend son territoire là où l’homme moderne se targue de n’en avoir aucun. Sans terre, sans patrie, sans racines, sans culture, sans identité, l’homo oeconomicus est un nomade sans foi ni loi. Il ne connaît aucune autre attache que celle de son compte en banque. Bassement matérialiste, l’homme mo-derne est un animal qui manque cruellement de grâce. Il est une bête féroce et égoïste. Le chat a quant à lui conservé toute sa malice ancestrale ainsi que sa grâce légendaire. Contrairement à l’homme moderne, le chat est un animal courageux. Pour assurer sa survie, il n’hésite pas à montrer ses griffes. Même ses ennemis, les chiens, ne l’effraient pas, tout juste peuvent-ils le surprendre. Le chat privilégie le duel quand l’homme moderne se rue sur sa proie en bande impavide. Le chat est le remède naturel à notre société. Il soigne les hommes de leurs dépressions et de leurs angoisses. Caresser un chat, c’est rependre goût à la vie. C’est se sauver soi-même du chaos libéral. C’est se soulager le corps et l’âme. L’ennemi du chat, le système libéral, ne s’y est d’ailleurs pas trompé. Partout où règne en maître le libéralisme, le chat est purement et simplement éradiqué. Pour ne prendre que quelques exemples parmi tant d’autres, Rome, la ville éternelle est devenue en quelques années la proie des promoteurs immobiliers. Elle a en conséquence été nettoyée de fond en comble. Si bien que le vieux forum Romain, refuge des chats s’il en est, s’est vidé brutalement de sa substance. Et c’est toute la ville impériale qui a brutalement vendu son âme au plus offrant. Et que dire de Venise ? Plus aucun chat pour courir sur les ponts de la Sérénissime. De sombres individus à casquette éructant du globish à longueur d’années, les poches pleines de billets verts, les ont peu à peu remplacés. Lorsque les chats désertent les rues, le chaos ressurgit. Non pas le chaos qui précède l’ordre, mais bien plûtot le chaos informe qu’appelle de ses voeux le libéralisme triomphant. Ce chaos qui dévaste tout sur son passage. Privée de ses chats, la ville perd son âme. Elle renonce à son antique statut de cité enracinée. Elle se transforme en un vaste décor à l’usage des touristes ou pire en cité dortoir. Le petit peuple des rues s’efface à la suite de ses chats. Il est rejeté vers la grande banlieue, vaste no man’s land où s’achève toute Culture. A sa place, les bobos et leur pseudo civilisation hygiéniste surgissent de toute part : propreté, sécurité, fausse mixité. Le triptyque du néo-libéralisme se cale dans les cerveaux humains déjà trop abîmés pour pouvoir encore lui résister. Pour ses détracteurs, le chat est sale. Il porte en lui toutes les maladies de l’homme. Autrefois n’était-il pas brûlé en place publique, ce fier compagnon des sorcières, ce chat noir du paganisme antique? Symbole d’une révolte totale contre le monde moderne, le chat s’oppose naturellement à la civilisation du bruit, de la vitesse et de la pollution. Il encourage la lecture, occupation devenue subversive aux yeux de la police de la pensée. Il ronronne rien qu’à cette harmonie subtile que ne connaissent plus les hommes pressés d’aujourd’hui. Ce n’est pas un hasard si le chat est l’animal fétiche de nos poètes, s’il accompagne toujours les éveilleurs de peuple dans leurs quêtes impossibles, s’il incarne encore de nos jours cette sagesse qui fait tant défaut à notre monde moderne et s’il demeure le pur symbole de notre Rébellion...
  22. Que veux-tu... c'est la liberté de l'expression....
  23. oui, c'est exactement ce que je voulais dire. je ne juge pas le bien-fondé ou non du combat, je voulais simplement signifier qu'il ne s'agit que de terminologie. terroriste ou résistant, ce sont les mêmes personnes. sauf qu'en 40 c'était un contexte de guerre. ce contexte n'est pas le fait des résistants, ce n'est pas parce qu'ils se sont adonnés au terrorisme que nous somme tombés en état de guerre. le terrorisme n'est pas la guerre, même si la guerre peut l'engendrer. En effet. Imaginons que les français aient dit que nous n'étions pas en état de guerre (ce qui a d'ailleurs un peu été fait), cela signifiait donc que les résistants étaient des terroristes. Or, ce n'était pas le cas, puisque les allemands l'étaient et que les résistants eux mêmes avaient conscience d'être en état de guerre. Prenons maintenant le cas des fondamentalistes : on nous dit que nous ne sommes pas en état de guerre. Or les fondamentalistes se considèrent pleinement comme tel, et leur terrorisme est pour eux acte de guerre. Nier cet état ne changera rien au fait qu'ils sont en guerre, qu'on le veuille ou non ! Il convient d'ailleurs de souligner que le drapeau mis en avant par les fondamentalistes sur tous les lieux de combats est le Al Raya, à savoir le drapeau de guerre noir issé lors des batailles depuis Mahomet (ou Mohammed, c'est selon). Ce drapeau est frappé de la chahada, l'acte de foi de l'Islam. L'usage de cet étendard n'est pas anodin. Il convient donc de prendre conscience d'un tel état de fait, pour mieux appréhender le pourquoi des événements actuels.
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