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Gilbus

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Tout ce qui a été publié par Gilbus

  1. je viens d'essayer d'ajouter une technique: Le Gilbus move, juste pour voir... Tu ne demande pas le nom ni le mail du contributeur: Cela pourrait être intéressant pour assurer un suivi de la base et des contributeurs, même si tu n'affiches pas le mail dans la fiche publique... Gilbus
  2. chouette idée! Et surtout, c'est en français, ce qui est un gros plus, des versions en anglais existant déjà, mais faisant perdre le vocabulaire français, ce qui est ballot. Bon, dans la recherche, il y a un type "magicien", hors dans les sélections, on ne peux pas ajouter de magicien, ni voir tous les magiciens: c'est normal? de plus, dans la description du magicien, le chapitre biographie est mal formaté, il ne va pas à la ligne en fonction de la taille de fenêtre, ce qui fait qu'a moins d'avoir un écran immense, cela se lis mal. idem pour les doccuments, on ne peux pas en ajouter... petite anomalie: si je cherche "enlevage", je tombe sur une réponse: "Enlevage latéral (slice til)", ce qui est très bien! Mais dans la fiche concernée, le terme anglais n'est pas renseigné: ce n'est pas (slice til) justement? Bon, pour un début, c'est déjà très bien j'espère que d'autres vont te seconder dans l'enrichissement de la base: si chacun ne donnais ne serais ce que le contenu d'un bouquin, cela prendrais rapidement une énorme ampleur a, petite remarque: quand on fait ajouter un tour, dans les catégories, il y a "tour automatique", ce qui ne veux rien dire, si on le compare à "cartes", "pièces", "balles"... Dans un cas, on trie par matériel, dans l'autre par degrés de technicité, ce qui est incohérent. Gilbus
  3. Le texte du début : 3 objets… Bon, ça doit pouvoir se couper. Pas la peine de parler du stylo. La boite, tu la présente après avoir introduit le souvenir : c’est un cas particulier de souvenir… Tu nous introduis la notion de souvenir par le jeu de carte : Les premières phrases pourraient parler de souvenir, avant de parler de cartes : Mettre au centre dès le début ce qui est l’argument du tour… Tout le monde a de bons souvenirs. Dans le cas du magicien, c’est souvent associé à un spectateur : Tu retournes une carte, et tu nous parle du spectateur…. Tu peux même le faire 1 fois de plus : un pour un garçon, un pour le souvenir d’une fille… Ensuite, seulement, tu introduis la boite (en troisième exposé : règle des 3 étapes): C’est un cas particulier de tes souvenirs, pas un accessoire parmi 3. Je ne sais pas si tu vois la proposition, mais c’est surtout : Ne pas s’attacher aux objets qui sont la, mais à ce que tu es en train de nous raconter, et qui doit être intéressant : Le premier exemple, ça peut être un spectateur avec un lien émotionnel fort : ton grand père, le premier à qui tu as fait le tour. Le second une fille que tu n’as jamais revue. Ou un spectateur chiant (si tu veux indiquer qu’il en existe….) Le troisième, dans la boite, c’est le dernier spectateur à qui tu as fait ce tour : celui-là, par exemple, il n’était pas terrible, comme spectateur. (il sera remplacé par un spectateur super, celui à qui tu fais le tour, à la fin.) Je ne vais pas trop parler de technique, mais c’est vrai que ta manipulation de boite n’est pas très innocente, vu que c’est à un temps fort, et que cela ne se fait pas sans tenue un peu louche. Je laisse les techniciens trouver une solution plus légère… Revenons à l’effet : Tu pourrais mettre plus en valeur le climax : Tu balance rapidement « mon meilleur souvenir, en réalité, c’était le vôtre », mais franchement, dit comme ça, je n’y crois pas. Tu le pensais vraiment, en le disant ? On te sent surtout pressé d’en finir… Et il faudrait que ton texte de fin, justement, colle avec la révélation, niveau timing : Et pour cela, tu dois choisir si c’est toi qui déplie la carte, ou le spectateur. Ton climax est de plus affaibli, par la partie sur la disparition de la carte : On sent venir la carte à la boite depuis le début : Il faudrait orienter ton texte et ta présentation différemment, pour que l’on arrive soit à une surprise, soit à du suspens. Pas le temps pour des remarques plus détaillée en ce moment, désolé… Sinon, le tour est sympa, mais je pense perfectible. Gilbus.
  4. Une carte qui est courbée... Le fait de ne pas avoir des cartes parfaitement plates peut être un avantage en magie. C’est pour cela que peu de magicien utilisent des cartes plastique. Le jeu plastifié mais non « en plastique » est beaucoup plus malléable, et suit la volonté que l’on a de tordre ou non nos pauvres cartes. Le jeu plastique est beaucoup plus durable, et sans doute tentant pour débuter. Ce serait selon moi une erreur. Lors de l’apprentissage, on doit justement apprendre à tenir et manipuler les cartes avec délicatesse, sans les forcer, en leur appliquant juste la force nécessaire pour les guider, et pas plus. Les cartes plastique étant très résistantes, on peut avoir tendance à les manipuler plus en force que nécessaire, donc prendre de mauvaises habitudes. C’est vrai qu’on consomme beaucoup de cartes, surtout si l’on désire apprendre de nouveaux mouvements un peu compliqué : Il faut voir les cartes non comme un investissement, mais comme du consommable, qu’on doit renouveler régulièrement : Oui, la magie coute un peu de sous… Les bicycles seconds sont un bon compromis pour l’entrainement : La plupart du temps, elles ont des défauts visuels qui ne gênent pas l’entrainement. Par contre, nous parlons bien d’entrainement : Une fois sorti du secret de sa salle d’étude, et en présence d’autres gens, il faut avoir du matériel correct, donc avec un jeu normal, et propre. Certains magicien utilisent un jeu neuf à chaque prestation/entrainement, et ont ainsi un jeu se comportant toujours de façon identique au niveau de la glisse et de l’état général. L’amateur n’a, je pense, pas à aller si loin, mais il faut se dire que l’on en viendra à acheter les jeux par cartouche de 12, si l’on désire faire de la Cartomagie... Pour en revenir au choix des cartes : Les rider back sont intéressante, car on trouve beaucoup de tours les utilisant. Certains préfères les Tally Ho, qui ont une rigidité et une élasticité différente. Et certains préfèrent des jeux plus exotiques, pour des raisons de tenue ou d’esthétique. Il faut en essayer plusieurs, compatibles avec son budget, pour voir ce qui nous convient le mieux. Certaines sont très chères, et comme je l’ai dit, le renouvellement obligatoire des jeux fait que ce n’est pas forcément un bon choix, à moins d’être très fortuné : magie et collectionneur de jeu sont des activités différentes, même si l’un n’empêche pas l’autre… Perso, pour répondre à la question, je reste fidèle aux rider back, qui sont relativement bon marché, de qualité suffisante pour mon expérience de non technicien, et qui correspondent à beaucoup de tours que je possède. Pour les prestations contemporaines, en tout cas. Pour les animations médiévales, ou à thème, il me semble qu’on en a parlé dans d’autres sujets… Gilbus.
  5. Oui, la pratique est essentielle…La théorie aussi… Mais tu passes sous silence une possibilité, entre théorie et pratique : L’apprentissage dans des cours. Un chanteur qui lis des ouvrage sur le chant, s’entraine tout seul, et se lance en public, n’est-il pas téméraire, alors qu’on trouve des cours de chants donné par des professeurs ou des structures un peu partout ? De la même façon, être acteur ne s’apprend pas de façon complète dans un livre : Stanislavski n’était pas un écrivain avant tout : Il dirigeait des cours de théâtre ! Pour toutes ces professions artistiques, le travail en atelier, ou en conservatoire, ou en groupe structuré, si possible avec un professeur compétent, me semble la voie la plus facile. Tout simplement parce que ce que l’on aura retenu de la lecture de bouquins comme ceux de Stanislavski ne sera qu’une vision partielle du sujet : D’autre ayant lu la même chose en sortiront d’autres leçons. Car le sujet est effroyablement riche. Un travail avec un professeur mettra en évidence nos erreurs, ou nous donnera des idées d’amélioration rapide. Un travail en groupe nous ouvrira des volets de compréhensions qui vont au-delà de notre esprit certes très confortable, mais qui n’est pas d’une ampleur cosmique dans la plupart des cas (pas dans mon cas, en tout cas…) Autrement dit, il y a plus de choses dans plusieurs têtes que dans une. Le magicien, habitué à un travail solitaire, oublie parfois que dans d’autres disciplines, la formation est structurée, avec des professeurs, des cours, des académies… Pour revenir à notre domaine, c’est pour cela, il me semble, que les clubs de magie ou les rassemblements de magiciens sont utiles : Pour avoir des espaces de réflexion en communs, d’essai et d’entrainements devant un public critique, et surtout bienveillant et constructif. Et s’il s’y trouve un maitre qui enseigne, la, on a décroché le ponpon… Dans tous les cas, le travail personnel sera indispensable : On se forme, on n’est pas formé. Mais sautez sur toutes les occasions de suivre des leçons : Stages, associations, cours particuliers, troupe avec un metteur en scène… Nous en avons tous besoin… Ouarf ! Quelle compilation ! Merci pour les références, Christian… Je maintiens ce que je disais dans les citations que tu as remis la A, oui, un ajout : J’ai lu depuis « l’art dans la magie » de Maskelyne, qui est cité plus haut, et c’est aussi très intéressant : Pas pour y trouver une application pratique immédiate, je pense, mais pour se poser des questions sur sa pratique. Gilbus.
  6. J’avoue ne pas avoir compris tout ce qu’il raconte, vu que je parle anglais comme une vache espagnole. Je ne peux donc parler de la qualité de la présentation, qui est hors de ma portée, puisque très parlée. Cependant, il me semble dire des choses intéressantes : Sous prétexte d’expliquer comment on peut ruiner le tour d’un « magicien » qui dit : « tire une carte… », il montre que l’on ne devrait pas passer des mois ou des années à apprendre des choses compliquées, à lire des livres difficiles qui coutent des fortunes, et ensuite se contenter de dire « tire une carte ». En ce sens, c’est tout à fait louable. Le problème, de mon point de vue, c’est qu’il explique RÉELLEMENT comment ruiner 90% des tours : Il suffit de ne pas suivre le protocole du magicien, et faire n’importe quoi. Le risque, c’est bien sûr que les gens qui ont vu la vidéo retiennent ce conseil, et ruinent effectivement les tours des magiciens qu’ils rencontrent. Je suis sûr qu’Andrew, en dehors de ce tour spécialement conçu pour mettre en évidence SA magie, surtout dans une vidéo sans spectateur, à plein de tours équivalents à « tire une carte », et que l’on peut ruiner avec les conseils qu’il donne. Et s’il est mentaliste, on peut les ruiner encore plus facilement… Inciter les gens à ne pas suivre le protocole, et à imposer leur façon de faire au magicien n’est pas une bonne idée dans énormément de cas. Certes, cela va leur donner une sensation de liberté, mais nous sommes dans la confrontation : On doit casser le magicien… Je ne crois pas que cela soit une bonne idée. Bon, ok, j’utilise ce pitch pour des tours, moi aussi, ou « j’explique » des trucs de magiciens… Mais j’essaie de ne pas parler de moyens qui peuvent réellement être utilisés pour déstabiliser un numéro… pas fou. Quand on fait un tour « explicatif », même avec une explication bidon dans mon cas, on est du côté du public, contre ces enfoirés de magico arnaqueur : C’est une position confortable, trop peut être… Jouer sur les aprioris des gens, ce n’est pas forcément leur faire changer d’idées… Ensuite le tour : Ben, il est plutôt bien fait, je trouve. Il déstabilisera les magiciens ne connaissant pas le truc, ou les aficionados youtube, et il est fait pour cela. Je ne suis pas certain que la façon dont il remet les cartes toutes dans le même sens soit optimum, il y va un peu au bluff, sans misdirection, et les 2 fois que j’ai regardé la vidéo (ben oui, pour comprendre ce qu’il dit, il faut bien ça…), cela m’a sauté aux yeux. On peut le faire de façon plus discrète… Peut-être veut-il que les magiciens amateurs le voient faire, pour augmenter le climax ? Je ne sais pas… Un problème aussi sur la construction : Le mélange à lieu au début, et le tour est long, avec des parties parlées assez conséquentes : Un spectateur peu attentif risque d’avoir oublié qu’il y a eu mélange, même s’il essaie de le rappeler dans son texte : Quelques coupures dans le texte pourraient peut-être réduire un peu la longueur, et renforcer l’impact. Le principe utilisé pour trié les cartes m’avait été montré par Predicto (le magicien rigolo…) à Rennes, et c’est vrai que c’est une vraie bonne idée, l’utilisation qui en est faite ici est intéressante. Bon, pas de misdi non plus quand il replace la carte choisie au bon endroit, la, il aurait pu faire un peu plus de travail sur cette partie. Mais encore une fois, comme je ne parle pas bien anglais, je n’ai pas eu l’impact du texte pour m’emporter loin des mains, donc peut être que c’est bien pour les anglophones… Gilbus.
  7. Cela faisait un moment que je n’avais pas vu ces vidéos, merci de nous les remettre en mémoire C’est toujours un plaisir, et une grande leçon. J’aime beaucoup la façon, par exemple, qu’il a de mettre en avant la justification. Et de remplacer les « gestes magiques » plus ou moins grandiloquents par de la sobriété et un simple claquement de doigts. Et la façon dont il parle des fioritures non magiques, aussi… Et bien sûr, son discours sur les détails, que l’on évoquait avec EWEN il y a peu sur un autre post… Les détails sont importants, mais la perfection, c’est quand on ne les voit plus… Mon seul regret est de parler trop mal anglais pour comprendre toutes les subtilités de ses vidéos… Bon, il faut dire que son accent, surtout vers la fin de sa vie, est un peu lourd, et ne facilite pas la tâche Et il faut aussi remettre tout cela en perspective : Une bonne part des idées de Vernon étaient déjà présentes dans des ouvrages qui lui étaient antérieur. Mais il a su intégrer ces idées, les combiner aux siennes propres, pour en faire une référence. Bref, cela donne envie de relire l’expert à la table de jeu, pour se replonger à la source Je vais l’emmener en vacances… (Même si j’ai déjà plein d’autres choses à lire durant ces quelques jours…) Gilbus.
  8. Certes: il faut bien faire attention que les bouts qui dépassent ne soient jamais perdu de vue par les spectateurs. Ainsi, l'effet reste entier (comme le fil...). Sur une vidéo, l'avantage, c'est que si le "télé-"spectateur à un doute, il peut repasser le film... Donc, je trouve que cette présentation s'adapte fort bien à une interprétation en vidéo... (pour une fois que la vidéo ne dessert pas un tour...) En vrai, il faudrait effectivement gérer au plus juste les spectateurs, pour qu'ils ne soient pas inattentifs, et n'arrive à la conclusion que tu as dit. Gilbus
  9. Toujours très plaisant, bien que je trouve toujours l’intro trop longue, mais bon… Ben, un fil hindou, quoi ? Hihihi : c’est amusant de donner les noms précis pour les tours récents, et de ne pas donner le nom du tour classique du film J’aime beaucoup l’idée de la reconstitution en bouche, au passage Gilbus.
  10. Bon, c’est sans lien direct avec le sujet, mais juste une petite rectification : Galilée n’avais pas de problème avec la rotondité de la terre : Cela, on le savait en Europe depuis l’antiquité, le moyen âge l’avait confirmé, et même les gens plus obtus de la renaissance, l’époque de Galilée, ne niaient pas ce fait. La proposition de Galilée, qu’il n’avait d’ailleurs pas inventée, mais qui remontait-elle aussi à l’antiquité, était que la terre tournais autour du soleil, et non l’inverse, position soutenue par l’église de l’époque. Le problème de Galilée est qu’il ne se contentait pas de théories, mais faisait des observations et des expériences pour savoir quelle thèse était la plus proche de la réalité. Alors que l’église se reposait sur le dogme de l’humain qui est la centre de tout, puisque créature préférée de Dieu (je simplifie un peu, hein ? ) Partant de là, la terre, lieu de résidence de l’humanité, se devais d’être au centre aussi. Une vision très logique, si on admet le postulat de départ. Surtout que d’imprudents textes religieux pouvaient être interprétés comme validant ce fonctionnement, et que l’époque ne se prêtait pas à la remise en question des dogmes religieux. Voilà, c’était juste une petite remise en ordre, continuez, c’est très intéressant Gilbus.
  11. Effectivement, c'est du lourd... Merci pour ce bon moment de rigolade Mais d'un autre coté, une telle bêtise est bien triste aussi... Gilbus.
  12. quelques recherches rapide aussi, je ne suis pas historien (faudrait demander à Pierre Taillefer ou Fanch Guillemain, pour avoir plus d'info ): une référence en 1874 ici: http://www.artefake.com/MELIES-ET-LE-THEATRE-ROBERT-HOUDIN.html confirmée ici, je pense: http://www.maisondelamagie.fr/1101-robert-houdin-homme-de-lettres.htm une autre info inintéressante ici, via la musique du tour! (1874): on nous parle ici de Charles de Vere comme inventeur, effectivement: http://www.hjalmar.fr/music.htm Ce qui signifie que le tour était fait en musique, au moins en partie!!! on a aussi une description précise de la façon de faire la malle par Brunet: pas d'échange de personne, mais une malle vide au départ, cadenassée dans tous les sens, et un assistant qui y entre sous le couvert d'un rideau, sans briser les sceaux. c'est effectivement loin de la version Houdini, qui avait rebâti le scénario pour s’échapper, et non entrer dans la boite maintenant, il est possible qu'une illusion antérieure reprenne plus ou moins les même principes, les GI étaient nombreuses en ce temps la Gilbus.
  13. Arf, ça tourne au dialogue de sourd, et comme on est en public… Je viens de regarder à nouveau la vidéo, et à la seconde vision, effectivement, je me suis trompé : Je pensais que tu avais fait une certaines manip, mais en fait, je ne crois pas… MP Gilbus
  14. Juste trois petites remarques supplémentaires : Le tour de la malles des indes est assez ancien, sans doute, Robert-Houdin la faisait déjà, et je ne sais pas qui avant. Mais là, on parle bien de l’article et des plans de M. Lotth, pas du principe général. Si tu veux créer une malle personnelle, j’imagine que tu n’auras de comptes à rendre à personne. Si tu veux le travail d’un autre, ben le travail appartient à l’autre, non ? Oui, bon, cela, c’est si on veut une version papier A l’ère de la tablette, un scan couleur est facile à réaliser, puis à consulter sur écran. Heuuu, je ne dis pas cela pour que les gens le fasse, hein ! Encore une fois, je ne le fais pas. Je n’ai même plus de scanner qui marche chez moi, faut que j’en rachète un compatible avec la nouvelle version de Windows Et puis avec une bonne imprimante laser, la page couleur reviens en gros à 10 centimes (à la louche, je n’ai pas fait de calcul réel, mais en comptant 4 cartouches génériques à 8 euro les 1000 pages, et un papier standard…) Ainsi, un ouvrage de 200 pages A4 peut être copié pour environ 20 euros. Pour un ouvrage à 35 euro, cela ne vaut visiblement pas la peine. Pour un bouquin à 100 euro, cela peut susciter des vocations. La protection est donc limitée… A moins d’introduire des jeux de couleurs qui affolent les scanners, comme c’est parfois le cas : Mais ça serait ballot, cela gêne pas mal la lecture naturelle du livre… Il reste l’impression en filigrane ou en relief de certains secrets ou explications déterminantes… Mais cela représente un surcout important, et n’améliore pas non plus la lisibilité Bon, il existe sans doute d’autres méthodes, mais je ne suis pas imprimeur… C’est certain : et l’esprit de la loi dépend de la façon dont l’auteur voit son œuvre… C’est pourquoi tu peux aussi lui écrire Bien sûr : j’ai indiqué que c’est pour la France (pour moi) et la Belgique, puisque tu es en Belgique. Au niveau international, je n’irais pas plus loin, déjà que ce n’est pas simple chez nous… Bon, essayons d’être un peu constructifs sur ce post : Il y a plein de façon de présenter la malle des indes, depuis la version ancienne, ou des spectateurs sont conviés sur scène et examinent tout de près, jusqu’à la version ou on roule la malle sur la scène à toute vitesse, sans aucun examen, ou on ne sort même pas le sac de la malle, et ou le tour s’exécute en moins de 15 secondes, saluts compris (j’exagère à peine ) Il est évident que les solutions technique ne vont pas être les mêmes dans chacun des cas. Tu es plus dans quelle version ? Il y a aussi les choix indiqués par Seb plus haut, qui connaît bien son sujet, forcément Gilbus.
  15. J’aime beaucoup. Beaucoup d’aisance, excellente gestion des temps d’avances, et ton faux retournement d’une main est vraiment chouette, j’ai cru que c’était un vrai… (J’avais essayé un peu il y a un bout de temps, mais je n’y arrive largement pas aussi bien ! mais j’essayais d’en faire un vrai, moi bon, je ne suis pas vraiment magicien, non plus…) Si j’ai bien suivi, même la petite erreur de texte à une importance… j’aime bien ce principe Si j’ai bien suivi aussi, tes « manipulations de doubles » avec le 9 et l’as sont juste pour les magiciens, non ? Si cela se passe comme je l’imagine, elles sont faciles à faire, non ? Que dire d’autre ? A, si, peut être finir sur autre chose qu’un tas de cartes ? Tu devrais avoir moyen, au final, d’aligner les cartes en quinte flush, sans que rien ne bave, non ? Mais bon, c’est juste pour pinailler, le tour est très bien, et ses deux niveaux de lecture profane/œil averti sont intéressants… A moins que je ne fasse un film, et que ta méthode soit différente de celle que je crois Auquel cas, ça ferais 3 niveaux de tromperies, encore plus fort Gilbus.
  16. Le marché de l’occasion n’est pas illégal ni immoral. Par contre, si tu ouvres le menu des ventes sur ce site, tu lis : « Attention, la vente de copies est interdite sur ce site ! » Bon, la, on ne parle pas de vente, puisqu’il est question de communiquer une copie gracieusement… Mais cela donne une idée des relations entre magie et copie… Et tu as raison, c’est une pratique assez répandue. Cela ne veut pas dire qu’il faut l’encourager… Si cette page existe sur internet sans le consentement de la FFAP (et de l’auteur), ben c’est déjà un piratage, non ? Ce n’est pas l’impression qui est alors répréhensible, mais la simple consultation… Et bien sûr, il n’est pas bon de copier un livre à usage personnel, comme copie de travail, si on n’a pas l’original. Du moins tant que courent les droit d’auteurs… C’est pour cela que je parlais d’ouvrages anciens, dans mon post précédent… 1995, ça parait loin. En Belgique et en France, les œuvres de l’esprit sont protégées pendant 70 ans après la mort de l’auteur, avant d’entrer dans le domaine public. Plaise aux puissances qui font régner la magie que ce délai vienne le plus tard possible dans le cas de Bertrand Lotth Mettons un autre cas de figure : J’ai entendu parler d’un tour rigolo, qui est dans un bouquin d’un belge, qu’on appellera pour l’histoire CC, au hasard. Il fait de beaux livres, mais d’un prix exorbitants pour mon budget. Je vais donc emprunter un de ces livres à un copain, faire la photocopie du tour, ou de tout le livre, pourquoi pas (vive les scanners…), et ça me fera moins chers. Je ne crois pas que l’auteur sera aux anges. Même (et peut être surtout !) si c’est un de ses vieux bouquins, du genre introuvables… Mais en fait, je n’en sais rien. Faudrait-lui demander. C’est pour cela que dans les choses à faire, j’invitais à contacter l’auteur, pour parler avec lui du projet de construction, et du meilleur moyen de se procurer ses plans.… Après tout, c’est l’auteur. Vouloir ses plans, c’est montrer de l’intérêt pour son travail, avoir une certaine une considération pour ce qu’il fait. Partir dans une démarche qui l’exclus, juste en prenant, ce n’est pas vraiment le considérer comme une source de connaissance, ce n’est pas le respecter… Et une formidable opportunité pour discuter un brin avec lui, s’il se trouve d’humeur sociable à ce moment-là ! Beaucoup d’auteurs (et pas qu’en magie…) sont souvent enchantés qu’on s’intéresse à leur travail, et à part quelques vedettes, ils ne croulent pas sous les demandes de fan… D’ailleurs, malgré son aspect un peu fermé vu de l’extérieur, le milieu des magiciens est très ouvert et accueillants, une fois qu’on a montré qu’on est passionné. Il n’y a qu’à voir les nombreux pros ou auteurs qui échangent souvent ici, par exemple… Je sais que la FFAP ne va rien perdre si on photocopie une page d’un vieux magazine. Mais puisqu’on posait la question, j’ai simplement signalé qu’il est plus correct de demander avant de le faire. Il ne faut pas y voir une attaque personnelle… Gilbus.
  17. je ne sais pas ce qu'il utilise réellement: je n'ai donné une proposition qu'a titre indicatif, sur ce que j'utiliserai pour faire cet effet si je le faisais et était aussi maladroit que je le suis réellement. Et ce produit, qui n'est pas une colle, a fait l'objet de nombreuses discussion un peu partout, fouille les forums. On peut aussi faire la même chose juste avec de la précision: DC est très fort, lui Gilbus
  18. La première question qu’on peut se poser : Ce numéro de la revue est-il épuisé ? Bon, sur le site FFAP, ils ne vendent les revues que pour 2007 et au-delà. Il faudrait leur écrire pour savoir s’ils ont encore des stocks de ce numéro. Sinon, il semblera intéressant de poser la question à Bertran Lotth : peut-être l’a-t-il publié ailleurs ? Le commerce d’occasion existe aussi, bien entendu. Et les « échanges » entre copains sont inévitables. Mais en terme général, quand on publie dans un magazine, cela ne veut aucunement dire qu’on met la chose dans le domaine public. L’acquisition du plan est « au moins » conditionné à l’acquisition du magazine, non ? En ce sens, la circulation de photocopies, à part pour des documents d’archives réellement introuvables et anciens, c’est du piratage, non ? Par ailleurs, encore une fois, je n’ai pas lu l’article, mais à moins qu’il n’incite explicitement dans le texte à dupliquer sa création, il serait poli de demander à M. Lotth l’autorisation de se servir du plan, avant d’entamer la construction… Bref, si des gens publient dans ce type de revue, c’est pour la soutenir, en plus de se faire voir eux même. Si on se revend des photocopies, la revue n’est plus soutenue du tout, ce qui va à l’encontre de l’intention de départ de celui qui a publié. C’est un peu mon idée, j’imagine qu’on peut voir les choses autrement. Mais faudra m’expliquer pourquoi… Gilbus.
  19. A la fois mignon, drôle, sympathique, et simple! Beaucoup d'avantages pour un tour! Si on donne la carte avec les yeux en souvenir, l'idéal serait quand même d'avoir 2 type d’œil, non? Un jeu qui marche, l'autre qui ne marche pas... Mais bon, en l'état, c'est vraiment très rigolo, j'étais aux anges quand je l'ai vu Un tour pour donner le sourire pour un dimanche pluvieux... Gilbus.
  20. Un grand sage a dit en substance (Je crois que c’est Meven, mais le raisonnement n’est peut-être pas de lui ) : « Les détails sont importants » Les détails bien gérés ne se voient pas : ils sont invisibles, car tout a été pensé et réglé pour qu’on n’ait pas à s’en occuper. Mais si un détail pose problème, la, on va le voir. C’est une partie difficile de l’illusionnisme que de s’occuper des détails. C’est pourtant souvent ce qui fait la différence entre une belle illusion et une pantomime sans aucun sens. Je ne dis pas que dans la vidéo montrée, tout est mauvais. Mais il manque une poignée de détail qui fait que la magie aura du mal être convaincante. Tiens, pour n’en citer qu’un, et pas le plus grave : Le bruit, qui a été évoqué. Les cartes ne font pas naturellement ce bruit la, maniées avec délicatesse. Cela indique une torsion, un arrachement. On peut se demander pourquoi ? Quel est la raison de ce bruit ? Il se passe une chose étrange…il nous enfume, la. Ce bruit va alarmer l’esprit du spectateur. Surtout que le magicien parle à ce moment : Le bruit détourne une partie de l’attention pour la centrer sur les cartes. Il faut bien sûr que le spectateur regarde les cartes. Mais comme une chose innocente, on est juste en train de les passer en revue. Pas comme quelque chose de suspicieux. Bref, ces petites choses, souvent anodines, on parfois des répercutions gênantes, du point de vue de l’honnêteté apparente d’un mouvement. Bon, après cela, on peut discuter de variantes d’exécution du rumba count : Faut-il par exemple que ce soit la carte qu’on vient de prendre qui retourne le paquet, ou les doigts qui sont sous cette carte, ou les doigts de la main qui tient le paquet ? Un « détail » qui mérite, comme tous les autres, d’être réfléchi, expérimenté… et dont la réponse n’est pas forcément figée dans le marbre pour tout le monde. Je n’ai pas pu regarder à nouveau la vidéo, elle est devenue privée depuis tout à l’heure. Mais je crois, d’après le seul souvenir que j’en ai, qu’il y manque aussi de la délicatesse. Une des choses qu’on m’a suggéré, quand j’ai commencé les cartes, c’est la légèreté des prises. On devrait tenir les cartes avec juste assez de force pour qu’elles ne tombent pas, mais pas plus. Les serrer plus entraine plein de choses : Déjà, on va ruiner les cartes plus vite (d’où une effroyable consommation de cartes, quand on travaille de nouvelles techniques ). Mais aussi, cela va crisper les mains. Cette crispation fait partie des détails qui agissent sur la qualité du rendu : Une main crispée, un visage figé, une posture coincée, cela se sent coté spectateur. Et même s’il ne sait pas ce qui l’a dérangé, le spectateur va partager la tension du magicien, et donc être dans l’inconfort. Bon, on peut se servir de la crispation exprès, pour justement donner un sentiment d’imminence de l’effet au spectateur. Mais dans un mouvement cool et fluide comme le roumba, la décontraction semble la meilleure option. A, inutile de me demander de faire une vidéo : Déjà, je ne suis pas un bon exemple à suivre Et je ne travaille quasiment jamais pour le net, il y a déjà assez de gens à le faire On se voit en vrai quand vous voulez Sauf si tu es JB13, cela fait des années que je ne perds plus de temps pour cette personne. Gilbus.
  21. whaouuu, la aussi, c'est du lourd! Dans un autre genre merci Otto pour ce moment, heuuuu... différent. Gilbus.
  22. wouaaa, merci, je ne connaissait pas, et c'est proprement incroyable! ça fait tellement de bien de se prendre ce genre de claques, de temps en temps ok, ok, la musique est ce qu'elle est, le style leur est personnel, mais l'effet est vraiment fort... très impressionnant. Gilbus
  23. Allez, encore des questions, puisque tu sembles d’humeur explicative… (Ben oui, à force, j’aurais tous tes secrets, et je ferais fabriquer par des chinois, et deviendrais riche !) L’impression laser couleur sur papier glacé rend bien ? J’ai une imprimante, mais je n’ai jamais essayé le papier glacé, en fait : Comme je passe tout mon temps sur les forums, comme les autres trolls, je sors peu, et j’ignorais donc qu’on trouvait du papier glacé pour laser… C’est ce genre-là ? http://www.tinkco.com/fr/?q=papier-laser-brillant-160g-boite-de-100-feuilles-a4-21x297,pap049 Ou ce qu’ils vendent comme étant du « papier photo » ? Pas pour faire ton nuancier, le grammage est ton secret de fabrication, juste pour savoir le type de papier… Mais je cherche à imprimer « classe », pour d’autres choses, donc comme tu as dut essayer plein de papiers… L’idée des références qui servent à forcer un chiffre ou la sortie, c’est malin : Bon, la sortie, ce n’est pas très dur, 130 possibilité, on a vite fait le tour. Mais le forçage d’un nombre, cela semble évident à postériori, mais je n’y avait même pas pensé Je ne sais pas si cela existe, mais il y a des noms aux couleurs ? Car on pourrait alors aussi forcer un mot… (Bon, ça ferait peut être trop, je ne sais jamais m’arrêter… enfin, c’est ce qu’elles disent toutes…) Dans les nombres forcés, tu as prévu quelle plage ? (lien avec une page de livre, même si cela peut faire beaucoup de matériel… un livre sur le bricolage, genre catalogue leroy merlin , pour rester dans le thème… mais le nombre de pages est limitée… ou alors, une référence longue, avec page, ligne, mot ?) J’allais te demander si tu avais prévu une application de numérologie (en faisant la somme des chiffres du nombre, pour obtenir un chiffre de 1 à 10), mais à réflexion (pour une fois que je réfléchi avant de poster…), cela me semble un mauvais plan : on partirai d’une chance sur plein, pour réduire cela a une chance sur 10… pas très probant… J’allais aussi te proposer de sortir une feuille entière de la couleur choisie, mais cela serait moins bien : Avec la même feuille que dans le nuancier, c’est beaucoup plus fort. Par contre, pour rebondir sur les idées ci-dessus, peut être sortir une photo d’une pièce ou d’un meuble, peint de la couleur choisie. Bon, l’effet est moins lisible, car il faudra comparer les nuances de couleur exactes. Mais cela peut peut-être s’intégrer à une histoire, ou on montre le résultat du choix ? Tiens, cela me donne une idée, tu sais, ce genre d’idées qu’on n’expérimente jamais, et dont l’accumulation commence à devenir gênante à force…) Une bande dessinée. Qui raconte l’histoire du couple qui veut repeindre sa maison. Ils se disputent sur le choix de la couleur, demandent un avis extérieur, et on arrive à la couleur choisie par le spectateur. A la fin, ils le félicitent (ou l’enguirlande, parce que c’est pas ça qu’ils voulaient, suivant le style du magicien ) Si tu fais tout le livre en noir et blanc, sauf la dernière page couleur, par exemple, ça donne une révélation intéressante. Soit on commence à feuilleter le livre, page par page, on s’arrête à la page du choix du spectateur, pour faire tirer dans le nuancier, puis on reprend le livre, qu’on effeuille rapidement jusqu’à la dernière page, ou on voit le résultat. Soit on raconte l’histoire, et on se sert du livre pour en faire le résumé après le choix du spectateur. Le livre de la BD, avec ses 130 sorties différentes, n’est pas très dur à faire, d’un point de vue magique. Si on n’as pas de talents de dessinateur, ça peut être aussi un roman-photo… Bon, cela demande encore du matériel en plus, juste pour le même effet. Je ne sais pas si cela vaut le coup : Mais cela peut servir de support pour raconter une histoire, pour ceux n’ayant pas un talent de conteur trop travaillé… Et puis on sort de la famille d’effet (une prédiction ou une osmose de gouts, dans ton cas) pour aller vers un genre d’imaginaire qui envahi le réel, BD et choix du spectateur communiquant… Mais la photo ou le livre, cela va plus loin que le simple résultat du choix: ce sont les conséquences du choix, que l'on montre, une étape de plus vers du concret, et donc c'est plus fort, je crois. Mais sans doute moins simple et lisible, je veux bien le croire Bref, encore une idée en l’air : ton truc invite à réfléchir, alors j’en profite pour essayer de me mettre encore en avant… Gilbus.
  24. Ce n’est pas terrible : Il n’y a pas de paillettes ni de glimer, le portefeuille n’est même pas truqué, et quelle est la justification pour le faire en table à table, hein ? En plus, à moins d’avoir une chambre à repeindre, ce n’est pas utilisable. Je ne comprends même pas que tu nous montre ça. Ben oui, un truc comme ça, ça se garde précieusement, sinon, une meute de magicien va le copier !!!! Félicitation, c’est très chouette Bon, je vois au moins 2 ou 3 façons de le fabriquer, bien entendu, vu que c’est un peu un hyper classique. Mais c’est tellement bien revisité que ça renouvelle l’effet, clairement Je ne suis pas spécialiste, mais les vrais nuanciers n’ont pas les couleurs triées par couleurs, justement ? Bon, c’est juste une remarque, vu que tu es obligé de mixer les couleurs dans ta version, pour montrer celle d’avant et d’après. Je ne pense pas que quelqu’un qui ne soit pas très branché peinture remarque cela… Pour la couverture, tu as pris une authentique couverture de nuancier ? Ou tu as imprimé comme le reste ? Et dans un nuancier, il n’y a pas de références dans la marge, pour indiquer justement le numéro de la couleur ? Je ne vois pas cela sur ton modèle… Mais je me trompe peut être (ça fait longtemps que je n’ai pas eu de nuancier entre les mains ), ou cela faisait peut être un parasite visuel que tu as supprimé ? Bref, quoi qu’il en soit, bravo, c’est très chouette ! Gilbus
  25. Je rejoins les autres sur Invisible, c'est une très bonne technique, et on casse beaucoup moins qu'avec d'autres que j'ai pu essayer par ailleurs. Mais on casse quand même, au début, c'est normal avec le FI. En tout cas, il ne faut pas croire que la manip de la bague d'invisible est compliquée: elle est beaucoup plus compliquée à expliquer qu'a faire. une fois que tu as compris la manip, ça se fait tout seul, sans grande difficultés, vu qu'il n'y a pas besoin d'une extrême précision, qu'on peut rectifier en cours de route etc. Mais effectivement, la plus grosse difficulté ensuite, c'est de savoir ou et quand le faire: la gestion de l'éclairage demande de s'entrainer, d'observer les différents environnement etc. il y a des conseils donnés dans Invisible, mais cela ne remplacera pas l’apprentissage sur site. j'avoue ne pas le faire, dans beaucoup de cas, car je ne suis pas sûr de l'environnement... mais quand tu le fait, c'est que du bonheur Pour la casse, il y a un coup à prendre aussi, pour réparer. Le conseil de prendre 2 ITR me semble bon, j'ai racheté des ITR à ludo en plus de celui d'invisible, pour avoir du change, en cas de casse durant la prestation. Bon, si tu casses 2 fois de suite en presta, là, c'est que tu n'as vraiment pas de chance, ou que tu ne t'es pas assez entraîné Gilbus.
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