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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. Fais-tu référence à cet article ? https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/553661/metaphysique-de-hawking
  2. Tu critiques le côté doctrinaire du « rationalisme », ou de certaines formes de « rationalismes », ce qui peut se comprendre. Quant à la rationalité, d’une façon ou d’une autre chacun la revendique. Pour ce qui concerne « la portée de l’intelligence », elle est réduite dès qu’on a créé le cadre dans lequel on la développe. Comment pourrait-il en être autrement ? Créer un cadre pour penser, c’est en effet réduire, mais sans cette réduction impossible de penser (de la même façon qu’il est impossible de créer sans contraintes).
  3. Une interprétation curieuse ? OK, on y revient alors. Néanmoins je pensais l'affaire classée puisque tu as ensuite signalé que tu appréciais le travail de Gérald Bronner et que l'absence d'émoticônes fut fatal à la portée humoristique de ton message. En réalité, dès la première ligne du message concerné, toute une portée négative transparaissait dans le choix des mots : 1/ La moindre des choses est d'orthographier correctement le nom d'un auteur dont on prétend respecter le travail. Il ne s'agit pas d'une bourde occasionnelle puisqu'il manque également l'accent à « Gérald » dans un autre de tes messages. Mais j'admets que ça reste un problème mineur sur le fond. 2/ L' expression « proche de la mouvance ... » est très nettement péjorative car suivie le plus souvent d'un adjectif chargé de négativité (réelle ou supposée, là n'est pas la question), c'est une formule utilisée à l'envi dans les médias. 3/ L'activisme peut certes être considéré comme une démarche positive mais ce n'était pas le cas dans ta phrase puisque, tu l'as dis toi-même, il fallait comprendre le contraire de ce qui était écrit : c'était censé être de l'humour, à interpréter à contresens paraît-il. 4/ Pour ce qui concerne le rationalisme et la zététique, tu te présentes de façon assez systématique dans ce forum comme un pourfendeur de ces deux approches. Bref, ça faisait beaucoup en une seule ligne pour accabler Bronner, si à cela j'ajoute que tu soulignais le tout par une mise en « alerte » en caractères gras (donc une sorte de « danger pour l'intellect »), tu comprendras mieux le problème. Mais tu nous as déjà dis dans VM que tu aimais bien créer des polémiques, donc tout reste finalement très cohérent. Bon, faut passer à autre chose maintenant (sinon je te promets une analyse de tes messages sous l'angle des accords toltèques, na ! ). Ciao
  4. Des reconstitutions, des supputations, du conditionnel, des extrapolations... Ce qui m’a le plus amusé c’est ce gars s’exprimant sur la quantité de « preuves accumulées et gardées secrètes qui doit atteindre des niveaux à vous donner le vertige ». Par définition, si c’est secret, on ne peut s’exprimer ni sur la quantité ni sur la qualité des documents concernés et encore moins suggérer qu’il s’agit de « preuves ». Par ailleurs, la définition même du mot vertige prête à sourire quand on s’exprime sur le sujet OVNI : « Impression par laquelle une personne croit que les objets environnants et elle-même sont animés d'un mouvement circulaire ou d'oscillations. »
  5. Pour ceux qui sont abonnés (ce qui n’est pas mon cas), un article dont les exemples lisibles sont intéressants : https://www.lefigaro.fr/sciences/nous-sommes-tous-des-m-jourdain-de-la-manipulation-20210606
  6. Amusante « reconstitution » en vidéo qui permet d’alimenter l’imaginaire, à défaut du sens critique. J’avais relevé cet article il y a quelques jours : « Un rapport américain très attendu n'explique toujours pas certains phénomènes aériens » : https://www.lefigaro.fr/sciences/un-rapport-americain-tres-attendu-n-explique-toujours-pas-certains-phenomenes-aeriens-20210604
  7. Presque un tour de force, réalisé en un tour de main.
  8. C’est toujours avec le même plaisir que je lis ta prose constructive. À l’évidence je t’inspire toujours autant. À chacun ses addictions...
  9. Qu'en est-il réellement de l'addiction ? « Pourquoi "demain, j'arrête" ne marche pas ? » (Scilabus)
  10. « Victor, un maître formidable... Le portrait d'un instituteur parisien » : « Après 41 ans à enseigner, 35 ans passés dans la même salle de classe de dernière section d'une école maternelle dans le 11ème arrondissement de Paris, Victor Ruiz-Huidobro prend sa retraite. Nos journalistes Mathilde et Mustapha ont suivi ses derniers mois de classe, entre février et juillet 2018. Drôle, humain, merveilleux pédagogue... Il crée un univers unique et magique, met en place des activités et des rituels qui émerveillent et font grandir les enfants de cinq ans. Dans la sphère privée, son imagination débordante a aussi toute sa place. Car Victor est aussi un artiste qui mériterait sa place dans les musées. 35 ans après, il quitte donc son école, sa salle de classe. Autour de lui, ses collègues regrettent déjà de voir partir un homme unique. »
  11. Ce n'est pas un Bullet Catch mais... hum... je préfère ne rien dire pour ne pas divulgâcher :
  12. Un autre article relatif à l’écriture inclusive : https://www.lemonde.fr/blog/fredericjoignot/2017/10/10/lecriture-inclusive-exclut/
  13. As-tu cet article ? : https://reporterre.net/Jean-Marc-Jancovici-polytechnicien-reactionnaire
  14. Ryan Gander (qui a également réalisé une souris animatronique à la Bourse du Commerce) : « Le regard des enfants »
  15. Je ne savais pas que Clément Freze était belge...
  16. À ce propos : « La chanson “The Impossible Dream / Rêver un impossible rêve” est devenue, dès sa création en 1965, un standard international repris par Frank Sinatra, Elvis Presley, Diana Ross ou Ken Boothe. Son adaptation par Jacques Brel en 1968 en fera un succès francophone interprété par Julien Clerc, Johnny Hallyday, Maurane, Jean Piat ou encore José van Dam. Découvrez-là sur scène, interprétée par Filip Jordens, à l'occasion de la présentation de la comédie-musicale "L'Homme de la Mancha" au Théâtre du Châtelet » « A l'occasion de la présentation de L'Homme de la Mancha au Théâtre du Châtelet. Filip Jordens, qui incarne le rôle de Cervantès / Don Quichotte, interprète dans l'intimité du Grand Foyer, l'une des plus belles chansons de Jacques Brel, "Quand on a que l'amour". »
  17. Serais-tu passé à côté de l’info que j’ai mise en exergue, à savoir le triste record français de plus de 100 000 abandons ? Serais-tu passé à côté de mon « parmi d’autres » qui souligne qu’il y a effectivement bien d’autres façons de défendre la cause animale ? Serais-tu passé à côté de l’entièreté de ce sujet qui, depuis des années dans VM, explore toutes les voies possibles de la question animale et notamment les animaux qui ne sont pas « dits de compagnie » ? Je sais bien que non.
  18. 8 façons de défendre la cause animale (parmi d'autres) : https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/animaux-8-facons-defendre-cause-animale-14090/ (Autre record, celui du nombre de messages dans les Chemins de Traverse pour ce sujet en cours, preuve que la question suscite l'intérêt.)
  19. Je viens d'être informé de la récente parution de cet ouvrage qui cadre avec le sujet en cours : Sauver la liberté d'expression, de Monique Canto-Sperber « Jusqu'où ? Jusqu'où laisser les apprentis censeurs d'aujourd'hui définir ce qu'on peut dire et ce qu'il faut taire ? Jusqu'où tolérer que défoulements et protestations envahissent le monde numérique ? Jusqu'où supporter que des extrémistes privatisent les règles de la parole, refusent le débat et installent leur hégémonie ? La parole publique est déjà l'objet d'un rapport de forces, elle sera demain l'enjeu d'un conflit. Le temps des injonctions est révolu, il faut désormais résister. La parole fait mal, change le seuil du tolérable et peut même réduire au silence. Il est donc légitime de la limiter, mais au plus près des délits et sans censure préventive. Bien sûr, on peut tout dire, mais pas n'importe comment et à condition de ne pas vouloir être seul à parler. Le concept moderne de liberté d'expression fut forgé entre le xviie et la fin du xviiie siècle. Les outils numériques, le multiculturalisme, la démocratisation de la parole l'ont rendu peu à peu inadéquat pour régler la parole publique. Fidèle à la tradition libérale, ce livre revient sur l'histoire de la liberté d'expression et en renouvelle le sens, comme la garantie de la plus grande diversité de points de vue. Pour la défendre, une philosophie des limites, des concepts sobres, des moyens inventifs seront plus utiles qu'une croisade. Ne pas se lamenter sur l'état des choses, mais combattre pour ne pas nous retrouver un cadenas sur la bouche et une prothèse dans la tête. » https://fr.wikipedia.org/wiki/Monique_Canto-Sperber
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