Christian GIRARD

« Un philosophe, Claude Henri de Rouvroy de Saint-Simon, a bâti une théorie philosophique dans les années 1810-1825, selon laquelle Dieu est remplacé par la gravitation universelle. Saint-Simon est mobilisé par la recherche d'un principe universel capable de sous-tendre une philosophie conçue comme la science générale, c'est-à-dire la synthèse des sciences particulières. La gravitation universelle fera office de principe unique. Saint-Simon propose donc de remplacer l'idée abstraite de Dieu par la loi universelle de la gravitation, loi à laquelle Dieu aurait soumis l'univers. » https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Loi_universelle_de_la_gravitation

À quand une chaîne Thiébaut InShape ?

Leurs meilleurs titres :

Polémique art et cause animale : https://fr.rbth.com/ps/2016/11/18/les-animaux-empailles-de-jan-fabre-font-polemique-en-russie_649089

Alors je te dois bien ça : https://fr.rbth.com/art/86984-moscou-vague-haine-sculpture-urs-fischer

« Pourquoi l'un des pays les plus vaccinés présente aujourd'hui un des pires taux d'infection au monde ? » : https://www.google.com/amp/s/www.futura-sciences.com/alternative/amp/actualite/93122/

On peut également donner cet autre lien : https://www.afis.org/De-la-verite-dans-les-sciences-node-lecture-no1 Les livres d’Aurélien Barrau peuvent et doivent être soumis à la critique. C’est très sain en science. Pour ce qui concerne l’AFIS (association que j’ai déjà évoquée dans VM, qui organise des réunions où j’allais régulièrement à une époque et qui est à l’origine d’une revue à laquelle j’étais abonné), autant lire ceci : https://www.afis.org/Qu-est-ce-que-l-AFIS

Aurélien Barrau, à écouter comme toujours avec beaucoup d’intérêt.

La Croix titre : « L’Italie prise dans l’étau de Lucifer » https://www.google.com/amp/s/www.la-croix.com/amp/1201170740

Désolé mais la question n’est pas pertinente. il suffit de lire cette page Wiki : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Zététique Extrait :

« PAN » ne désignant pas une périartérite noueuse, évidemment (CLIC), même si cette maladie rare consiste en une vascularite systémique nécrosante touchant... les vaisseaux.

Ou un peu long. On peut considérer qu’il n’existe qu’une seule famille d’effets, celle englobant toutes les formes de modification apparente des phénomènes communément admis comme compatibles à notre échelle avec les lois de la physique.

Ce que croit Rovelli : « [...] nous devons accepter l'idée que la réalité n'est qu'interaction. » (Cf. Sept Brèves Leçons de physique, un ouvrage remarquable recommandé par le Guide Girard, page 28) P. 16 : « [...] le champ gravitationnel est l'espace [...] » « L'espace [...] est une des composantes "matérielles" du monde. » « [...] nous sommes immergés dans un immense mollusque flexible. » À propos de l'électron « qui n'existe pas tout le temps » et qui « est nulle part » : « C'est comme si Dieu n'avait pas dessiné la réalité d'un trait continu, mais s'était contenté d'un pointillé. » Forum de magie oblige : il ne tient qu'aux illusionnistes de remplir ces interstices entre les points. En tout cas quel joli thème pour un boniment.

Les chips sont des légumes, et côté fruit il existe de la bière de banane : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bière_de_banane

« Les anges montent l'échelle de Jacob. Sculpture sur la façade ouest de l'abbaye de Bath » : Mystérieux : « Plus qu'un simple feu d'artifice, c'est une véritable œuvre d'art qui a éclaté dans le ciel de Quanzhou, en Chine. Cette échelle de feu est juste magique. » (Sky Ladder - Le feu d'artifice de Cai Guoqiang)

« LE VIEUX TOUR DU BÂTON ROMPU » : http://www.crcb.org/le-vieux-tour-du-baton-rompu/.html

Hello Stéphane Cela ne concerne pas les cartes, mais je te conseille vraiment de lire ce bouquin, Pensée positive 2.0 d'Yves-Alexandre Thalmann, qui pourrait t'éclairer sur certaines raisons objectives qui font que tes tirages donnent parfois des résultats qui peuvent surprendre : Je te conseille également cet ouvrage pour ce qui concerne l'astrologie, de Serge Bret-Morel, L'Astrologie : la fin des mystères (tome 1), j'en parle notamment ici :

Mais non pas du tout. Je dois avoir deux rayons complets de bouquins sur le sujet (très sérieux) des excréments, que ce soient des analyses historiques, par exemple Pipi, caca, popo - Histoire anecdotique de la scatologie... : (... qui me confirme une fois de plus que ce n'était pas forcément "mieux avant", loin de là , sur le plan sanitaire au moins), ... ou des ouvrages péda-gogues-giques, l'un des tout premiers (paru en 1993 je crois) étant devenu un classique des livres pour l'enfant : Le sujet prêtant facilement à de multiples déviances il faut un effort particulier des auteurs et des éditeurs pour l'aborder et le traiter avec sérieux (et humour) sans être graveleux, pas facile. Léon l'étron est en ce sens un ouvrage d'une grande portée philosophique (la fin est véritablement dramatique, surtout pour un livre destiné à la jeunesse) : Pour ce qui concerne Pipi Paca au musée, c'est un joli panorama de ce que peut produire l'art sur ce thème, pas seulement Duchamp, Picasso ou Manzoni mais bien d'autres artistes plus consensuels dont certains que tu apprécies sans doute (Gauguin, Rembrandt, Jérome Bosch, ...). Quant à ta chanson : mais où as-tu été trouver ça ! Pour conclure, un triptyque de Francis Bacon, Trois personnages dans une pièce : https://fr.wikipedia.org/wiki/Three_Figures_in_a_Room En revanche NE REGARDE SURTOUT PAS ÇA ! :

Pour rester dans le thème, Gilbus, il existe un ouvrage assez chouette de Sandrine Andrews, et qui s'appelle Pipi Paca au musée, aux édition Palettes... (2013). Au toucher, la couverture donne l'impression du papier toilette, c'est dire si les concepteurs ont soigné les détails. Texte de la quatrième de couv' : « Des artistes qui font pipi et caca, il y en a des tas, ça va de soi. Mais plus rares sont ceux qui exposent selles et urine avec joie. En photo, en peinture, en sculpture, ils ont l'art de montrer ces indésirables. Ne peuvent-ils pas les garder dans un « petit coin » de leur atelier, ce serait plus convenable ! Non, ils préfèrent les montrer au musée, les hisser au rang de stars ! Car pour ces artistes, tout peut devenir œuvre d'art. 20 artistes, 20 œuvres qui changeront votre regard sur l'art... » Rien à voir avec le livre , une approche pédagogique du même thème, « l'exposition "Pipi Caca" pour tout savoir sur nos déchets organiques » :

Tout sur Barnabé - Un ours peut en cacher un autre, de Jean-Luc Coudray (Auteur) et Philippe Coudray (Illustrations). Jean-Luc parle dans ce livre de son frère Philippe et de l'œuvre de ce dernier. Un chapitre, qui devrait intéresser Gilbus, est intitulé « L'ours Barnabé et l'art contemporain ». Citations : « Pour Philippe Coudray, l'art contemporain est l'intrusion de la bêtise dans l'art. » L'ours Barnabé visite une galerie « d'art conceptuel ». Une toile affiche « Cette toile est belle », une autre « Ce tableau est beau ». Barnabé inscrit sur le livre d'or « Ce commentaire est intéressant ».

Un effet mis en cause par les partisans de la Terre plate. Tout à fait. Je suppose que tu n'as pas ouvert le lien Wikipédia que j'avais pris soin d'insérer et où se trouve bien spécifié cela. La définition forcément réductrice que j'avais mise dans mon message était un hook, un extrait destiné à ceux qui voudraient survoler un peu mieux ce sujet riche et vaste en lisant la page Wiki vers laquelle pointe le lien. Paradoxalement cette brièveté temporelle va de pair avec la longueur du temps qui passe, à la façon d'un calendrier qu'on effeuille. On appelle ça l'effet mes rides.

Loin de moi l'idée de penser autre chose. Je mentionne juste la source écrite la plus ancienne, en l'état de nos connaissances, dans laquelle il est mentionné sans ambiguïté possible les pantoufles de verre : « Sa Marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en même temps ses habits furent changés en des habits de drap d'or et d'argent tout chamarrés de pierreries ; elle lui donna ensuite une paire de pantoufles de verre, les plus jolies du monde. » « Le Prince la suivit, mais il ne put l'attraper ; elle laissa tomber une de ses pantoufles de verre, que le Prince ramassa bien soigneusement. Cendrillon arriva chez elle bien essoufflée, sans carrosse, sans laquais, et avec ses méchants habits, rien ne lui étant resté de toute sa magnificence qu'une de ses petites pantoufles, la pareille de celle qu'elle avait laissé tomber. » « Quand ses deux sœurs revinrent du Bal, Cendrillon leur demanda si elles s'étaient encore bien diverties, et si la belle Dame y avait été ; elles lui dirent que oui, mais qu'elle s'était enfuie lorsque minuit avait sonné, et si promptement qu'elle avait laissé tomber une de ses petites pantoufles de verre, la plus jolie du monde ; que le fils du Roi l'avait ramassée, et qu'il n'avait fait que la regarder pendant tout le reste du Bal, et qu'assurément il était fort amoureux de la belle personne à qui appartenait la petite pantoufle. » http://bdemauge.free.fr/litterature/cendrillon.pdf Ce que je voulais souligner, c'est que bien souvent on lit ou l'on entend que le « verre » serait une erreur quand on évoque les pantoufles du conte, alors qu'en réalité c'est la plus ancienne référence attestée et vérifiable. Par ailleurs, je suis comme toi, sensible à l'idée d'un « verre magique » (« une bouteille » tu exagères Gilbus...) , et selon moi il n'y a que ce matériau qui puisse donner du merveilleux à la situation, parce qu'une paire de pantoufles en vair évoque plutôt des charentaises en feutre et même aux pieds d'une future princesse ce n'est pas très glamour. Patrick Froment, sors de ce corps ! Selon moi on aurait tort de penser que Cendrillon ait pu chausser des écureuils (quoique, comme disait approximativement Coluche, « les mômes y s'amusent avec rien, ils ramassent un rat mort ils jouent à David Crockett). [Wiki : Le vair est une fourrure grise et blanche à base de petit-gris, une variété d'écureuil nordique.] Le verre implique nécessairement un côté délicat, celle qui porte des pantoufles de verre doit être légère. On sent une notion de risque à l'idée que le verre ne se brise et blesse le pied, d'où une sorte de suspense, d'intensité dramatique (j'en fais peut-être un peu trop là ?) ; par ailleurs, la transparence (je suppose) du verre permet de voir la chair de la jeune femme, ce qui ajoute une dimension érotique que n'a pas l'opacité d'une fourrure.

Google ? : https://vincent.chaigneau.me/tsundoku/a-propos/ https://www.facebook.com/tsundoku.magie

Une pantoufle de verre ça va. Dewaere, bonjour les dégâts ! (Notez les deux vers.)

Une occasion rêvée de sortir de sa coquille.