Sylvain :
Sylvain fait fort justement référence à l’arbalestrille qui permet plus généralement, du point de vue de l’observateur, une mesure angulaire entre l’horizon et un objet céleste, pas seulement une étoile (« l’angle entre deux étoiles », si l’on y réfléchit bien, est de 0°, c’est une ligne droite ! ). Ceci explique aussi pourquoi il n’y a qu’une seule étoile au bout de la baguette et pas deux.
La baguette à bout violacé est effectivement d’une tout autre nature, je vous laisse découvrir le poteau rose (ne voyez pas dans cette dernière expression qu’une bête allusion coquine. Le fameux pot aux roses nous concerne de près, car inhérent à la notion même de secret. Par ailleurs, les alchimistes faisaient une poudre minérale du même nom qui n’est pas sans évoquer la pierre philosophale).
PaulMagie :
Sans commentaire...
Les origines de la baguette magique sont multiples et lointaines, l’Histoire nous offre comme souvent un réseau d’interprétations toutes fascinantes et stimulantes pour l’imagination et le rêve (les bâtons magiques ne manquent pas, ni dans la Bible, ni dans l’Odyssée par exemple).
C. G.