Christian GIRARD

Jean Pignons ?

En tout cas Jean Sairien (sept lettres )

Jean Passes (et des meilleures !)

Pas facile la vie de magicien. Tenez, rien qu’aujourd’hui. Je suis allé à la boulangerie acheter une petite baguette, chez le charcutier pour prendre du jambon à la coupe, puis à la poste pour envoyer une carte choisie (par mes soins, évidemment). À la maison de la presse, je me suis fait refiler un journal déchiré ! Du coup, je suis allé effeuiller Descartes chez mon libraire. Ensuite un saut au salon de coiffure pour une petite coupe Charlier bien dégagée derrière les oreilles. En sortant, un détour par le troquet du coin pour prendre un café sur le (faux) pouce, puis j’ai terminé en allant faire un faux dépôt à la banque. La soirée s’annonce chargée. Et vous ? C. G.

Non, c'est faux.

Comptage Stanyon Le Stanyon Count a été publié en 1910, il précède donc de longue date le comptage Elmsley (ou Ghost Count).

J’hésite entre un « « machin truc bidule très très chouette » comme disait Gainsbourg et un « joujou extra qui fait crac boum hue » façon Dutronc…

Ce genre d'insinuation n'a pas sa place sur un forum de magie.

On cherche son chemin ? J’ai une réponse plus zen que terre à terre : Moins on la cherche, plus on la trouve : l’illumination intérieure. Dans le désert ? Plus on cherche à approcher un mirage, moins on le trouve (surtout si c’est un Mirage 3000 ! ). Plus on cherche à vaincre sans péril, moins on trouve la gloire du triomphe. Plus on cherche midi à quatorze heures, moins on le trouve à sa porte. Benoît, si tu m’cherches, tu vas me trouver !

Plus on cherche ses mots, moins on les trouve ? Plus on cherche "le fin mot de l'énigme", moins on le trouve ? Plus on cherche une paille dans l'œil du voisin, moins on trouve une aiguille dans une botte de foin. Plus on cherche un moyen de ne pas chercher, moins on le trouve. Plus on le cherche moins on le trouve : l'indice !

L'appétit, que l'on perd dès lors qu'on mange ?

S'agit-il d'un concept, d'un objet ? Le présent.

Et pas tant que tu crois...

Une énigme dans laquelle tu lances l'o !

Il n'y a pas d'o dans ton énigme, ce n'est donc pas une histoire d'o. Hélas, sinon j'aurais proposé : Ô, tel o ...

L'auteur du dessin : Rob Jenkins Le lien direct : D. I. Blog sur le sujet : http://richardwiseman.wordpress.com/2009/02/12/new-darwin-optical-illusion/ Au fait, avez-vous remarqué la position "suggestive" de la main droite du singe qui est au bas de l'image ? Rien à voir avec l'évolution, n'est-ce pas ?

La contrainte est que tu as écrit cette énigme tout en étant malade (un gros rhume ?). La réponse est donc : le malade imaginaire. Remets-toi bien !

Merci Gérard, très sympa cette nouvelle façon de présenter l’illusion de rémanence rétinienne. C’est vrai que c’est beaucoup plus trompeur et cela ajoute d’autres niveaux de signification et d’interprétation. Pour info : le peintre Dimitri Parant travaille sur ce sujet de la rémanence rétinienne, il expose notamment dans la Grande Arche de la Défense : Regardez la vidéo à partir de 2’ : [video:dailymotion] et ce dossier PDR, avec aussi quelques anamorphoses : DIMITRI Heu, non, une formulation un peu plus idoine serait : l’homme et « le » singe ont un ancêtre commun, c’est un peu différent mais encore inexact. Disons que Darwin a reçu des quolibets du genre « Alors comme ça, vous descendez du singe ! » à une époque où il était de bien meilleur ton de prêter une origine divine à l’Homme. Je rappelle qu’en zoologie, l’être humain actuel fait partie intégrante de ce que l’on nomme « les grands singes » en compagnie de quelques autres espèces de primates. Ici, sur VM, nous sommes tous entre grands singes… Le cœur du propos de Darwin n’est pas l’évolution mais le mécanisme qui permet cette évolution, à savoir la sélection naturelle. Christian Girard, un hominidé parmi d'autres...

Hamlet ? Ou Jeanne d'Arc (oui, les Anglais la surnomment Question, à cause du fameux "J'attise the question").

L'oubli ? (L'oubli or not l'oubli, that is the question !)

Bébel au Caveau (de la Bolée), Bébel aux Caves (Saint Sabin), Bébel au Grenier… Une étoile qui monte qui monte qui monte… Bientôt Bébel sur un toit brûlant puis Bébel au firmament !

Si ! Même Clinton il a ri.

Qu'importe le sujet tant qu'on a l'ivresse.