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Alx

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Tout ce qui a été publié par Alx

  1. Les impressions Page by Page, c'est idéal pour éviter les bourrages papier.
  2. Bonjour Frédéric, Sauf erreur, il s'agit du même ouvrage, en français et en anglais : seul le titre est différent (et la langue, évidemment).
  3. Exact, bien vu @Thomas. A toi !
  4. Bravo @Jonathan BIGAYON, tu t'es surpassé sur ce jeu ! J'aime bien la suggestion de @Riad SOUSSI mais, à mon humble avis, tu ne devrais pas utiliser de résine : je pense que ça enlèverait au côté "magique" de la suspension. Là, les poissons ont l'air de flotter dans l'air ; avec de la résine époxy, ils sembleraient "simplement" noyés dans la masse et tenus par la résine.
  5. J'aime bien Searching Jookers, de Henry Evans, pour l'absence de manipulations suspectes Attention : je n'ai pas dit que le handling était parfait : je dis juste qu'un spectateur ne pensera pas "je ne sais pas exactement ce qu'il fait, mais il manipule les cartes"
  6. Ca ressemble au musée Guggenheim... L'Enquête ?
  7. Alx

    Max MALINI

    En même temps, un magicien qui se serait produit devant des rois pour leur faire le sac à l'oeuf, tu y crois, toi ? Non, je vote pour le mythe !
  8. L'idée n'est évidemment pas de confier à tes spectateurs une pièce double face ou une flipper. Mais il y a plein de routines de pièces dans lesquelles le gimmick est une pièce ou une coquille en plus. Dans le cadre d'un 3-Fly, par exemple, puisque tu as 3 pièces "légitimes", ne te gêne pas pour les faire manipuler au spectateur sous un prétexte ou un autre (à la réflexion, Woody a raison : l'idéal est quand même de leur faire toucher sans parler d'examen : le but n'est pas d'induire l'idée qu'elles pourraient être truquées). Et quand tu les récupères, tu as déjà la quatrième pièce ou la coquille dans la main... alors qu'ils pensent avoir tout touché !
  9. ... sauf en leur laissant examiner les pièces !
  10. Une autre astuce, moins high tech, consiste à considérer la vidéo comme un miroir : l'image devient alors le reflet, et tu n'as qu'à positionner tes mains en face de celle du magicien à l'écran. C'est plus compliqué pour les livres, dans lesquels les illustrations sont souvent dessinées du point de vue du magicien.
  11. Oui, j'avoue que je connais mieux les films de John Wayne que ceux de Ben Stiller !
  12. Le Général Custer, bien sûr !
  13. Théodore Roosevelt ? (oui, dès que les indices deviennent culturels, ça m'inspire ! )
  14. Et encore : dans les monarchies, c'est pire : le roi est appelé... araignée !
  15. Réflexion très pertinente. Note que j'ai qualifié ce pronom de "barbarisme", mais dans un contexte différent : je trouve que la phrase "chaque électeur•rice reçoit une enveloppe dans laquelle iel peut glisser un bulletin" n'a aucun sens, et iel peut avantageusement y être remplacé(•e) par une tournure plus lisible. Par exemple : "chaque personne reçoit une enveloppe dans laquelle elle peut glisser un bulletin" voire au pire "chaque électeur et chaque électrice reçoit une enveloppe dans laquelle il ou elle peut glisser un bulletin" (c'est lourd, mais ce n'est pas androcentré...) En revanche, s'il s'agit de désigner une personne qui ne s'identifie pas à un genre, l'emploi d'un pronom neutre s'impose. C'est effectivement une question de respect, mais c'est aussi le processus normal d'évolution du vocabulaire : si on a besoin de désigner quelque chose qui n'existait pas auparavant, il faut bien créer un nouveau mot. C'est pour ça que nous avons, dans la langue de Molière, des termes comme "téléphone", "psychothérapeute", "astrophysique" ou "ordinateur" : pour désigner des choses qui n'existaient pas à l'époque d'Hugo et de Molière. Et pourtant, aucune publication au Journal Officiel pour entériner ces mots, qui se sont imposés tout seuls. Donc oui à iel (ou à d'autres termes de leur choix) dans le cas particulier de l'identification à un genre, donc dans une démarche plus ou moins militante : je veux être appelé comme ceci et pas comme cela. Mais non à iel pour les communications administratives, non genrées pour cause de "non-favoritisme politiquement correct".
  16. John Fitzgerald Kennedy ?
  17. La suite de ses arguments est du même tonneau : Passons sur le "s" manquant à "consorts" (qui est toujours pluriel, sauf quand il s'agit d'un prince consort), probablement imputable au journaliste (il me semble que quand on retranscrit l'interview d'un linguiste, on pourrait s'autoriser une relecture, mais soit...) et concentrons-nous sur le fond : le grec ancien et le latin auraient disparu "du fait d'avoir été trop immobilisés". C'est ridicule, et à plus d'un titre. D'abord, parce que je n'ai pas connaissance d'une tentative de figer ces langues. On a coutume de dire que les langues évoluent, et qu'elles ne sont pas gravées dans le marbre. C'est un peu moins vrai pour le latin, qui était souvent gravé dans le marbre, mais il n'y a pas eu, que je sache, de contrainte exercée pour l'obliger à ne pas évoluer. La situation n'est donc pas comparable. Ensuite, parce que, si le grec ancien et le latin sont des langues mortes, c'est tout simplement parce qu'elles appartiennent à des civilisations éteintes. J'entends déjà Pascal Gygax me dire que la chute de l'Empire Romain découle de ce figement (je le remercie au passage de m'avoir permis d'employer ce substantif, dont il n'aura échappé à personne qu'il vient du... latin ). Sauf qu'il y a là un paradoxe majeur, puisque le latin a été employé longtemps après la disparition de l'Empire Romain : c'était en particulier la langue privilégiée à l'écrit pendant le Moyen-Âge. Donc, si le latin a survécu à la civilisation, il n'est pas responsable de son extinction. Et surtout, les défenseurs de l'écriture inclusive qui nous expliquent que la langue évolue, et qu'il faut l'accepter sont ceux-là même qui voudraient lui imposer une évolution. S'il s'agit de laisser la langue évoluer naturellement et de voir où ça nous conduit, je ne vois pas pourquoi on aurait besoin de légiférer pour imposer l'usage d'un point médian, des termes épicènes ou du barbarisme iel... Entre parenthèses, je ne peux m'empêcher de relever ça : J'ai beaucoup aimé l'adverbe "probablement", qui en dit long sur la maîtrise de Monsieur Gygax sur la question et sur son appartenance aux "groupes qui s'en soucient" ; il a au moins l'honnêteté de reconnaître, fût-ce à demi-mots, que lui ne s'en soucie pas
  18. Désolé, je ne me suis pas connecté ce week-end. Vous vouliez quelque chose ?
  19. L'utilisation de NFT n'était visiblement pas assez anti-écologique. Du coup, Jeff Koons s'est dit qu'il pourrait carrément faire décoller une fusée...
  20. Si j'ai bien compris, l'analyse ne prétend pas déterminer quel est le "meilleur" programme, mais quel est celui qui est le plus compatible avec l'accord de Paris. L'objectif est donc de lutter contre le réchauffement climatique, donc de réduire les émissions de gaz à effet de serre. En l'occurrence, les programmes pro-nucléaires ont plus de chances d'atteindre cet objectif que les anti-nucléaires. Mais ça ne veut pas dire que leurs propositions soient meilleures à tous points de vue : simplement, le nucléaire pose d'autres problèmes écologiques, mais pas celui-là. Comme le disait @Aurélien B. (TanMai), la question du nucléaire et des enjeux climatiques/environnementaux est loin d'être simple.
  21. Alx

    Humour Noir

    C'est l'amour noir
  22. Tu as regardé là-dedans ?
  23. Braquage à l'italienne ?
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