Ici, il y a deux cartes indicatrices. Il est assez facile de voir d'où elles viennent. Ce qui facilite l'élucidation du tour. Dans la version de Vernon, on montre trois cartes, la dernière étant là uniquement pour égarer le spectateur. Je ne suis pas sûr que ce soit un point faible, d'autant plus qu'il est facile de passer d'une version à l'autre. Ce tour fait aussi penser à
The Marlo Miracle (aka "the perfect stop trick") ici ou à au tour de cartes du paresseux, (VBO H. Lorayne), mais le spectateur ne peut plus mélanger (sauf si empalmage...)