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Showing content with the highest reputation on 06/05/21 partout

  1. Hello les copains, Juste un petit coucou de la convention "Rendez-Vous 2021" (organisée par MD ). Restrictions sanitaires obligent, le congrès est virtuel et c'est juste... Bluffant ! Vous évoluez dans un monde virtuel ouvert dans lequel vous croisez d'autres personnes avec lesquelles vous pouvez échanger ou non. Génial . Techniquement tout est parfait - du moins jusqu'ici ; tu entres dans une salle de conf, tu choisis ton siège, tu t'assois et bim ! C'est comme si tu y étais en vrai, mais en zoom. La première conférence proposée était celle d'Olmac et franchement c'était top. La magie d'Olmac est assez technique mais elle est surtout visuelle et bluffante; il a notamment adapté des techniques de pièces avec des cartes et le résultat est épatant. J'ai notamment retenu un change au petit doigt ("pinky switch"), disponible dans l'un de ses premiers dvd et une séquence de disparition / réapparition de carte utilisant l'italienne arrière franchement sympa et à mon avis, pas si compliquée que ça (je n'ai pas encore essayé, je te dirais ). Je n'avais pas nécessairement prévu d'assister à tous les événements mais je vais peut-être changer d'avis . Si je peux, je vous tiens au jus . W.
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  2. Coucou Thomas, Malgré mes soucis de PC hier soir, j'ai savouré le VM live avec John GUASTAGFERRO. Tu m'a convaincu d'acheter "Un Degré de Plus", et je viens de passer commande. Je ne sais pas si le bon plan fonctionne toujours. Mes recherches m'ont amené au VM Live #38 que je viens de terminer de visionner. Quel chemin de parcouru depuis ce numéro 38. Félicitations à toi @Thomas pour ton travail et ce que tu apportes au monde magique.
    2 points
  3. Reçu ce jour, Exactement le trucage que je soupçonnais au début de ce sujet. Bonne qualité, beau packaging, une vidéo de 26 min complète. Le lien des explications téléchargeables ou en streaming est sur l'emballage de la petite boite en acier avec le briquet à l'intérieur dans une mousse découpée compacte. Bon je ne pourrai pas utiliser le corps de mes autres zippo qui sont gravés, mais l'inox est parfait et le briquet est sympa. Prévoir de l'essence à zippo, cela tombe bien j'en avais déjà, mais surement pour des raisons de sécurité pendant le transport, le coton est neuf et sec. Il est complet avec des pierres à briquet, il reste plus qu'a charger l'essence et c'est bon. On ne peut pas voir le trucage, et une petite astuce donnée dans la vidéo, c'est de faire fonctionner le briquet avant de le donner à examiner aux moldus, en le penchant pour que les grilles anti-vent autour de la flamme soient bien chaude (brulantes même), ce qui évitera aux moldus de tirer par là pour l'ouvrir, pour éviter les connaisseurs qui voudraient allez voir le coton à l'intérieur, comme c'est brulant les gens y renoncent. Voir les photos, c'est celui du milieu, aucune différence avec un vrai zippo. Je vais l'utiliser en complément de Super Nova de Duane Williams et peut-être je vais ajouter Rex Ignis version Dave²
    2 points
  4. Bonjour à tous, Je viens d'aller voir un spectacle de magie et rien que ça c'est chouette. D'abord parce c'était un SPECTACLE !!!, ensuite parce que c'était intéressant... En gros je me pose des questions et je vous les livre ici: j'entends souvent le mot "justification" qui semble faire allusion à la façon dont on peut "habiller" un effet magique par un peu de mouvement, de jeu d'acteur, etc. Or en tant que metteur en scène plutôt habitué au théâtre et au cirque, j'aurais tendance à vouloir privilégier la dramaturgie à l'effet. En gros à mon sens, il ne s'agirait pas de devoir justifier un effet mais bien de penser et d'écrire d'abord la dramaturgie puis de se demander ensuite si l'effet sert cette dramaturgie. La finalité n'est pas l'effet mais bien l'histoire, quitte à ne pas mettre d'effet si celui ci ne sert pas le drame. Au plaisir de vos réflexions...
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  5. Mais qu'est-ce que vous avez ces temps-ci à déterrer des vieux trucs?!? T'as fait un concours avec Woody? C'est pas comme ça qu'on va faire avancer l'art magique...
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  6. J'aime beaucoup la version de Philippe Molina, Strategic Wild, discuté dans son DVD Stratège. La présentation et la justification du petit paquet de cartes identiques est très bien amenée. Les changements sont très efficaces en particulier le dernier qui utilise un Wow du Masuda. Bref, que du bon.
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  7. De France Télévisions au studio de montage où travaille en ce moment Gilles Arthur, il n'y a qu'un pont qui nous sépare, je l'ai traversé pour surprendre notre ami !
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  8. « Victor, un maître formidable... Le portrait d'un instituteur parisien » : « Après 41 ans à enseigner, 35 ans passés dans la même salle de classe de dernière section d'une école maternelle dans le 11ème arrondissement de Paris, Victor Ruiz-Huidobro prend sa retraite. Nos journalistes Mathilde et Mustapha ont suivi ses derniers mois de classe, entre février et juillet 2018. Drôle, humain, merveilleux pédagogue... Il crée un univers unique et magique, met en place des activités et des rituels qui émerveillent et font grandir les enfants de cinq ans. Dans la sphère privée, son imagination débordante a aussi toute sa place. Car Victor est aussi un artiste qui mériterait sa place dans les musées. 35 ans après, il quitte donc son école, sa salle de classe. Autour de lui, ses collègues regrettent déjà de voir partir un homme unique. »
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  9. Ce live m'a permis de me retrouver avec @Gérard MAJAX, le lendemain nous avons dejeuner ensemble ! Hier je suis tombé sur une video qu'il m'a offert en 1980 pour soutenir mon spectacle au café théâtre. Cette video date de 1980 et ça prouve que dejà il y a 40 ans les clips n'ont pas été de la m.... VIVE MAJAX, VIVE VM QUI NOUS A R2UNI DE NOUVEAU !
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  10. Un portefeuille cuir qui pourrait s'apparenter à un JOL ou similaire, mais est-ce que tout le monde a déjà eu un JOL ? J'en doute. J'imagine donc un livre sur les portefeuilles, carte au portefeuille, himber. De toute façon, peu importe, ou je le gagne, ou je l'achete, quand ça vient de Guillaume, c'est toujours bon
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  11. Ah très bien. Hier encore, je ne savais pas quoi répondre aux nombreux Vmistes qui me contactaient en MP pour me demander si Frédéric suivait un peu les échanges sur le forum ou s'il était complètement déconnecté . Au moins maintenant c'est clair pour tout le monde . Prends soin de toi également.
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  12. Ou sinon, il y a cette méthode. Un peu brusque, mais vous aurez créé un souvenir durable.
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  13. Oui, c'est à cette anecdote que je faisais allusion : Sarah Bernhardt a souffert du trac toute sa vie. Un jour, avant une représentation, une jeune actrice s'en est étonnée et lui a dit "C'est curieux, moi, je n'ai jamais le trac". Et elle lui aurait répondu : "Ne vous inquiétez pas, mon petit, ça viendra avec le talent" Pardon pour cette parenthèse historico-culturelle, vous pouvez reprendre le débat
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  14. Le close-up à une relation étroite entre l'interprète, le spectateur et l'acte magique. Cela peut donner au spectateur une sensation de liberté, et c'est bien. Mais je crois que cette liberté ne devrait être qu'ilusoire. C'est d'ailleurs une des difficultés du close-up : Laisser croire au spectateur qu'il jouis d'une liberté, alors que le magicien reste toujours parfaitement maître du déroulement du spectacle. Quand Peter parle "d'autorisation" d'agir donnée au spectateur, pour moi, cela recouvre plusieurs aspects. Le contexte. C'est au magicien de poser les limites de l'intervention du public. Le public en général, ne deviens pénible que si on ne lui a pas indiqué son rôle. Et c'est à l'interprète de le faire, parfois explicitement (voir toutes les répliques classiques pour maîtriser une interaction qui dérive...) Le personnage. Le personnage peut être une personne plus ou moins "contestable", c'est à dire qu'on peut mettre en doute ce qu'il dit. Cela d'ailleurs n'a pas à voir avec le type de personnage, à mon sens, mais avec la force du personnage. Un personnage peut être sympathique ou intimidant, s'il est "fort", s'il a de la présence, il ne sera pas contesté. Le rythme. On peut jouer sur le rythme, pour laisser la parole, ou pas, aux spectateurs. Si on soupçonne une intervention pouvant être nocive au numéro, on peut anticiper en changeant le rythme. L'adresse. En s'adressant à un spectateur plutôt qu'a un autre, on lui passe carrément la parole. Et on va mettre au second plan un autre spectateur plus dissipé. La syntaxe. Quand on laisse la parole à un spectateur, on peut orienter le type de réponse que l'on attend grâce à la syntaxe de notre passage de parole (réponse ouverte, fermée, rhétorique, donnant lieu à une réplique rigolote...) Le rebond. Un spectateur s'exprime alors qu'on ne le souhaitais pas : on va rebondir sur ce qu'il exprime, pour reprendre la parole. Ainsi, le spectateur se sent écouté, puisqu'on répond à son interruption, mais on redirige l'action vers ce qui nous intéresse. C'est parfois plus efficace que d'ignorer l'interrupteur... Par exemple, et pour revenir à la question précise du titre : "Y'a un truc" Bien sûr, il y a un truc! D'ailleurs, je vais vous montrer... (Rebond) Et on s'embarque alors dans un tour de fausse explication (qui n'a pas besoin d'avoir un rapport avec le tour précédant... "Je vais vous monter sous un autre angle..."), avec un rythme ne permettant pas d'autres interruption avant un temps significatif (rythme+durée). On y fera intervenir une autre personne (adresse), et on reviendra à la fin vers celui qui a fait l'interruption, pour lui demander s'il a mieux compris (syntaxe, et rebond sur la réponse avec une réplique rigolote) A l'inverse, on peut se servir de ce "y'a un truc" comme dynamiseur d'attention : "Un truc? Non, pas besoin... Tenez, cette fois, je ne touche à rien, regardez..." et on part sur un tour sans manip apparente... On aura toute l'attention désirée. Attention toutefois a ne pas transformer celà en défi. Pour cela, on peut par exemple miser sur le ton (on ne veux pas convaincre, on donne juste une précision, on n'a rien à cacher...) La désinvolture est une bonne méthode... On peut aussi entrer dans la pédagogie : "Un truc? Pourquoi faire? Ce que vous ne savez pas, c'est que la magie que vous croyez voir dans mes mains, elle n'existe que dans votre esprit... Et pour manipuler votre esprit, je ne me sert pas de "trucs", c'est un peu plus subtil que ça..." Etc. A tous ces niveau, il y a deux choses importantes : La préparation. Il faut être préparé, avoir imaginé à l'avance les réactions, y avoir trouvé des remèdes réfléchis (les premiers qui nous passent par l'esprit ne sont pas les seuls possibles, et ne sont pas forcément les plus efficaces..) Même si on n'est jamais prêt pour tout ce qui tournera mal, se préparer n'est pas du temps perdu. L'écoute. Durant la prestation, il faut être présent et attentif. Mentalement présent, je veux dire. On n'est pas dans notre tour, notre texte, notre manip... Ces choses là devraient couler sans notre intervention (ou en tout cas, sans que celà n'absorbe notre conscience) Être attentif à ce qui se passe avec les spectateurs, c'est essentiel (et pas qu'en close-up...), cela permet d'anticiper, de réagir, de s'adapter. Et participe au rendu pour le public : On voit tout de suite quand un artiste est "avec nous", ou en train de penser à autre chose... Une autre composante, c'est l'expérience. Que Peter ou d'autres magiciens n'aient pas de problème, ce n'est pas étonnant : ils maîtrisent le métier, et tout est mis en œuvre pour que ca se passe bien, sans que le spectateur ne se rende compte de tous le travail en amont... Bon, l'expérience, c'est aussi quand on a une situation qui nous a échappé, et qu'on se donne les moyens à postériori pour que ca ne se reproduise pas. C'est le métier qui rentre... Gilbus
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  15. Je suis plutôt de ton avis, mais sur ce dernier point, il faut distinguer la magie de scène et le close-up, et a fortiori le close-up informel. Au théâtre, la communication est à sens unique, de l'artiste vers le public, qui ne s'exprime que par des applaudissements (ou des tomates, selon la qualité de la prestation). Mais en close-up, le spectateur a explicitement le droit de participer (c'est même ce qu'on attend de lui : pensez à une carte, prêtez-moi votre bague, gardez cette balle dans votre main...). Il fait partie du spectacle, dans une relation d'égal à égal, et par conséquent, peut avoir le sentiment d'une certaine légitimité : les conventions ne sont pas les mêmes qu'au théâtre. D'ailleurs, dans ce contexte, la plupart des gens qui disent "mais comment vous faites ?" ou "bravo, je n'ai rien compris" ont l'impression de faire un compliment. Un compliment maladroit, mais un compliment...
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  16. Je connaissais Eugene Burger de nom et de réputation. Je me suis lancé dans la lecture de son premier ouvrage traduit en français avec plaisir et délectation. Je me retrouve vraiment dans sa conception de la magie. Ces quelques lignes me parlent tellement : "Afin de grandir en tant qu'artiste, arrêtez de gaspiller votre énergie dans l'apprentissage de nouveaux tours. Vous en connaissez déjà trop! Fermez les livres, sortez votre miroir et commencez à travailler sur un effet que vous connaissez déjà. Faites quelques choses avec cet effet. Transformez le en mystère. Votre mystère. Et laissez votre personnage s'exprimer au passage." Cette approche, cette philosophie me parle, c'est un art difficile, mais quelle différence niveau émotion et ressenti pour le public, oui quelle différence entre un effet que le public considère comme un truc de magie et un effet qu'il perçoit comme surnaturel et mystérieux!
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  17. Chaque cas est un cas particulier et ma réponse ne va pas forcément te plaire. Des personnes comme Jean MERLIN par exemple seront beaucoup plus qualifié que moi pour te répondre. C'est vrai que de voir travailler quelqu'un comme Jean MERLIN en cabaret, avec des gens bourrés ou qui n'ont rien à f..... du magicien qui est sur scène, ça forme !!!! Déjà, un conseil qui n'engage que moi et je sais que certains ne seront pas du tout d'accord avec moi, personnellement, lorsque je suis en prestation j'évite soigneusement tous les effets où le spectateur qui vient m'assister sur scène doit faire plusieurs "manoeuvres" alors que j'ai le dos tourné ou les yeux bandés, c'est à dire je m'arrange pour pouvoir "contrôler" tout ce qu'il fait de A à Z (je sais que c'est dommage et que ça me prive d'effets très sympas, mais je préfère cela plutôt que de risquer que le spectateur ne fasse n'importe quoi pendant que tu as le dos tourné). Ensuite, et il me semble que c'est le plus important (par contre je sais que lorsque l'on débute cela n'est pas forcément facile et que cela ne vient qu'avec l'expérience) même si on a l'air de choisir n'importe qui pour venir nous assister, il faut choisir attentivement qui va venir sur scène. Ainsi moi, dès le début du spectacle, je commence par un effet simple n'ayant pas besoin de la participation du public et pendant ce tour, j'essaye déjà de repérer les personnes dont je vais avoir besoin de la collaboration pour les effets suivants, évitant de prendre les personnes "bourrées", à trop forte personnalité ou beaucoup trop timide (en général lorsque j'en ai la possibilité, je fais déjà ce repérage avant d'entrer en scène). Enfin, dans le cas du spectateur qui veut te pourrir ton tours, l'idéal est bien sûr de toujours t'en sortir par l'humour. Après, chacun réagit aussi en fonction de sa personnalité.....
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