Tableau d'honneur
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Bon voici mon CR même si je l'ai très peu performé: Packaging: très sympa, original: cela change des boitiers dvds ou sachets plastiques. Contenu: Tous les gimmicks nécessaire pour réaliser la transformation de sucette normale en superman ou batman (uniquement ces deux là): steve parle dans la vidéo d'une version 2.0 avec spiderman etc... Vraiment nécessaire? je ne pense pas. Qualité des gimmicks: rien à dire cela fait le taff et bluffe n'importe qui. Examinable? De vue oui, au goût et à l'odeur absolument pas. Mais bon pour les spectateurs c'est une sucette rien de plus. Vidéo: 32 minutes, intéressante, simple, efficace: nous apprend deux manières de faire l'effet ainsi qu'un change pour l'une de ces deux manières (je suis pas fan du tout de la 2eme manière de faire. Difficulté: Pas tant que ça, tant que vous savez forcer et que vous avez prit le coup de main c'est bon --> en fonction de la présentation on peut avoir un temps d'avance monstre. Avantages: - très réaliste - Original - Plait aux petits comme aux grands - "qui n'aime pas les superhéros?" - Peut convenir (à mon sens) à plein de situation - La qualité - le packaging - Vous fera passer pour un superhéro aussi -Très ingénieux Inconvénients: - Pas examinable à 100% (fallait s'y attendre) - Sortir une sucette sans emballage de sa poche? (Steve donne des alternatives sur comment mettre un emballage sur la sucette et ainsi renforcer le réalisme donc cela compense) - Une fois "mouillée" il faudra tout essuyer et nettoyer si vous voulez être propre Un effet je pense à faire en final d'une table ou d'un groupe de personne Pour moi un petit 15-16/20 J'espere que cela vous aidera2 points
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Je pratique ce tour depuis 2 ans, il fait même parti de mon spectacle actuel, L'effet est vraiment très clean, la préparation très simple, il n'y a rien à voir, c'est plutôt simple à réaliser, et ça laisse la possibilité de raconter pleins de choses sur les voyages dans le temps, réparer ce qui est détruit etc... Je dirais que c'est un effet simple mais vraiment propre, un ballon explose, on rassemble les morceaux sans manipuler, on les comprime et ils se recolle au bout de nos doigt, Je conseil vraiment, même si jusqu'a présent j'aimais bien le fait que ce n'était pas très connu...2 points
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Essayé aujourd'hui et adopté ! Quel bonheur de faire des jeux de mots pour faire comprendre à la personne concernée qu'on sait à quoi elle pense sans le dire aux autres. En gros en évitant le "Tu penses au mot 'boîte', c'est ça ?" mais en allant vers du "Je sens que tu es tenté de changer d'avis, mais je te vois venir, tu essaies de me mettre en boîte... c'est juste ?" Et quand il dit "Oui..." les autres pensent qu'on est un cran plus loin dans la perception. Il est très facile d'abandonner les cartes avec les mots, et donc "ne rien avoir sous les yeux" une fois que le spectateur a fait son choix. Ca ne fait ainsi que 10 cartes à transporter au lieu de 16, ce qui est pratique. Il suffit pour éviter d'avoir à "vérifier" en consultant les grilles de mot, d'utiliser une table de rappel. Le mieux étant d'avoir sa liste des symboles de rappel déjà constituée AVANT de choisir les mots de Stegosaurus... ainsi lorsque plusieurs choix s'offrent à vous certaines association vous viendront tout de suite, vous orientant facilement vers l'association la plus mémorable. Par exemple, si votre rappel en 12e position est "pelouse" (pour la rime), vous pouvez choisir le mot "Gazon", qui est compatible ! Si vous ne savez pas comment vous constituer une table de rappel, je vous accueille le temps d'un détour chez Mnemonaute ! (discussion existante sur VM, ou cf. ma signature)2 points
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Pour chacune de mes nouvelles interviews de magiciens, je me dis : tu ne vas quand même pas redemander à ton invité comment il a commencé la magie, comment il est devenu magicien : il va te ressortir la boite de magie à Noel etc... Et ben, ce que nous raconte notre ami démontre à merveille que la question mérite à chaque fois d'être posée !1 point
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Bravo Seb, tu mets les choses en place. A l'epoque quand on s'est frequenté à l'illégal magic club je disait haut et fort : attendons dix ans, ceux qui nous étonneront sont en ce moment des enfants ! Je me suis pas trompé, Yann Frisch, Arthur Chavrodet, Enzo Wayne ont emergé de "nulle part" Et n'oublions pas Copperfield : Bon, son sens de partage et de convivialité n'est pas à comparer avec un Dai Vernon ou un Goshman, mais n'oublions pas que c'est lui qui a commencé avec les mega-illusions, avec son style cool, avec des scénarios hallucinants et avec un sens pour l'émotion extraordinaire. La presence de ses parents dans la salle à l'époque est grandiossimme. C'est egalement lui qui avait commencé de faire du close-up retransmis durt "grand écran". Les "Ehrlich brothers" en allemagne remplissent des salles de 8000 places, sans Copperfield ils n'existeraient pas. Et dans quelques années sans "Ehrlich-brothers" et sans Yann Frisch et sans Raphael Navarro xxxxx et yyyyy n'existeront pas non plus. donc gloire à Vernon & co, mais ce n'est pas tout ! Love, light and hope ! otto1 point
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C'est la premiere fois que je comprends un tour sans l'avoir acheter,c'est dire...1 point
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Le fait de devoir cliquer sur une application qui s'appelle "Tour de Magie" me posait problème aussi et m'a un peu déçu. De même pour l'application iKnow qui comporte un logo avec une carte, ce que je ne trouvais pas très discret. L'idéal étant une application comme iForce qui est parfaitement camouflée ! Ceci dit, je viens de trouver quelque chose qui permet de rendre ces applications plus discrètes. J'en parle pour ceux qui sont intéressés : téléchargez l'application "Icon Changer Free" (gratuit), qui vous permettra de changer le nom de vos raccourcis (et donc d'enlever l'appellation "tour de magie" par exemple) ainsi que de changer les logos des applications, si ceux d'origine ne vous conviennent pas. C'est très pratique !1 point
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Exemple de ma troisième révélation, les cartes sont donc retournées et côté blanc visible uniquement : "Bon, avoue que là, c'est difficile de se faire une idée, y'a que du blanc visible... par contre si c'était intercalé de petites cartes noires, ça ressemblerait à un clavier et on pourrait composer un truc... comme sur un PIANO " Je sens que je vais bien m'amuser. Et je te confirme qu'une table de rappel de 32 mots, ça s'apprend en ... ben le temps de la faire en réalité. Et tu ne devrais avoir qu'entre 1 et 4 mots difficile normalement. Pour ceux la, répète les nu peu plus, ou change ton association, ou change le choix de ton mot si l'ancrage n'est pas assez fort.1 point
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Pour ma part, je n'utilise que la première et la dernière phase. La seconde se rapproche trop de la première à mon sens, j'ai du mal à la différencier réellement, et je préfère avoir un rythme plus rapide en la supprimant. La première phase laisse les spectateurs intéressés et suscite l'appétit, mais certains peuvent comprendre à peu près le type de logique (même si je trouve quand même ça très très difficile à remonter. Souvent on pense à la routine avec les tableaux de chiffres et de nombres, et pourtant même si ça y ressemble on en est très loin au niveau du fonctionnement). Bon, dans les faits ça paraît souvent plus intelligent que réellement magique. En revanche, ça a l'avantage d'introduire l'outil, de le justifier et de créer beaucoup de désarrois et d'incompréhension pendant la dernière phase. Par contre, petite idée pour la dernière partie de la routine : je retourne toutes les cartes faces cachées, ça me paraît encore plus fort, et j'utilise mon Phantom portefeuille pour une révélation sur post-it (ça me sert d'antisèche, mais ça passe totalement inaperçu). Par contre, c'est vrai qu'on peut trouver ça incohérent après coup : quel intérêt d'avoir utiliser les cartes au début si en réalité on n'en a pas besoin ? Ça permet surtout de créer de l'étonnement selon moi, car le spectateur qui pensait avoir compris vaguement la logique, ou qui avait des éléments tangibles sur lesquels s'appuyer, n'a tout à coup plus rien pour expliquer le phénomène (il pourrait y avoir le portefeuille, mais jusqu'ici personne n'a fait le lien et ne s'est préoccupé de cet outil que je sors naturellement juste pour prendre un post-it et le refermer aussitôt). Enfin, pour accentuer la lecture de pensée j'aime bien révéler avec un dessin quand le mot s'y prête bien (ce qui n'est pas toujours le cas, car il y a des verbes ou des adjectifs aussi).1 point
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Un grand "J'aime' à Seb qui nous rappelle qu'un artiste ne remplacera jamais un autre artiste, pour la simple raison que chacun aura sa propre sensibilité ce qui en fait une personne unique. Les anciens cités par Jean Merlin étaient des artistes ils sont uniques mais parallèlement combien de magiciens à la même époque faisaient simplement leur job en toute honnêteté et proprement sans être à leur niveau ? Je suis d'accord avec Christian Chelman c'est, pour la magie, la fin d'une époque mais aussi le début d'une autre offrant d'autres itinéraires et, lui-même, a pris une voie très intéressante. Que Merlin se rassure, bien qu'il soit dans le juste pour beaucoup de choses, je suis certain qu'une relève voit le jour, des exemples ont été cités. Ce qui est certain, effectivement, c'est que ce n'est pas sur le net qu'elle se trouve. Oui cent fois oui et c'est agréable à lire et optimiste j'étais un peu peiné par le côté aigri voire réactionnaire du pdf de Merlin, un juste équilibre est heureusement lisible dans le point de vue de Seb. Confiance aux jeunes ils sont l'avenir. PS; Je ne prêche pas pour ma paroisse J'ai 62 balais quand même !1 point
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Une autre piste de réflexion pour toi : Un récent article du New York Post décrit le quartier général de David Blaine à New York, ainsi que sa manière de travailler avec son équipe. Sur la porte qui donne sur la salle de brainstorming sont inscrits trois mots : "Meaningful, Interesting, Believable". Que je traduirais par : "Pertinent (ou Profond), Intéressant, Crédible". Tous les effets créés dans cette salle doivent remplir ces trois conditions. SC1 point
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Et si vous poussez (pas trop fort) jusqu'à la page 61 de ce magazine, vous pourrez lire ma prose sur la dernière édition de la convention 4F.1 point
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J'ai créé un fichier PDF avec illustrations, pour ces explications détaillées. Bien sûr, je ne peux pas le placer ici, en lieu public, mais il est en Chambre des Secrets, dans le fil dédié à Butterfly.1 point
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Salut à toutes et tous, Je tenais personnellement à remercier "LILYANE13 et Elder" de m'avoir permis d'accéder à des explication plus complète, après plusieurs heure maintenant à essayer de comprendre et de décoder ce jeux, je me rend compte que ma 1ere impression été fausse !!! Même si il est vrais que cela ne se lit pas aussi bien qu'un U.M.D, une fois ou on sait ou poser les yeux, c'est un véritable bonheur de trouver la carte ! et je ne parle même pas du plaisir que l'on prend quand on arrive à la localiser dans le jeux et à couper dessus ! ce jeux est un chais d’œuvre. Pour les amateurs de mentalisme ou de "poker cheats" ce jeux ouvre de grand perspective de routine.1 point
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J’ai une grande affection pour Jean Merlin : je suis l’un des nombreux enfants de Mad Magic, et je pense (j’espère) le lui avoir déjà dit... A ce sujet, je suis toujours redevable à Jean d’un long dîner onéreux sur Paris, j’espère rapidement éponger cette dette. J’ai lu son long texte Aloha et quelques passages m’ont chagriné. Pas Merlin lui-même, car il dispose, par son statut et son histoire, d’une immunité diplomatique, à vie. Mais plutôt par son constat. Jean (et il ne semble pas être le seul) semble chercher un successeur à tous ceux qui ont marqué (et qui finalement ont fait) la magie du 20ème siècle. Hélas, l’époque actuelle n’est pas à la « succession ». Les paradigmes changent, les canaux de diffusions changent, le rythme et le niveau d’attention changent. Quand Dai Vernon choisit de s’installer à New-York dans les années 20, New-York devient « the place to be » et les meilleures idées magiques de cette époque, dont nous nous servons encore, naissent de ce lieu. Quand, dans le courant des années 60, Dai Vernon choisit d’émigrer sur la côte Ouest, tous les créateurs et gens important du moment décident de le suivre, et Los Angeles devient « the place to be » et les meilleures idées magiques des années 70-80 naissent de ce lieu, toujours autour de cette cet émulateur vernonien. Il n’y aura pas de « successeur » de Dai Vernon. Ou plutôt, il y en aura une infinité : importe quel jeunot équipé d’une webcam et d’un bon sens du cadrage, où qu’il soit sur la Terre entière, a le potentiel de devenir le prochain Dai Vernon. Ce qui fausse la réflexion, c’est que Jean Merlin et quelques-uns sacrés-chanceux-de-leur-race-je-vous hais ont passé du bon temps avec les Vernon, les Kaps, les Goshman et al. Ils ont pu les voir sortir l’artillerie lourde à 3h du matin, après la deuxième bouteille de whisky. Ils ont eu la chance d’être partie intégrante de ces éclats de rire, de ces moments de complicité, de clins d’œil respectueux et de ces instants de magie, bon sang de magie. Ce sont indiscutablement des moments rares et sacrés, et ces moments, ils ne les retrouveront sans doute plus. Et Zut. Que reste-t-il ? On démissionne ? Ou l’on fait un tour d’horizon de ce qui se fait en magie aujourd’hui ? Que penserait Kaps s’il voyait « Nous, rêveurs définitifs » au théâtre du Rond-Point, devant tout le bon peuple et l’intelligentsia parisienne, réunis en un seul lieu ? Soyons honnête un court instant, car Kaps l’était : il serait sur le c*l. Que diraient Annemann ou Alexander, s’ils voyaient Derren Brown sur scène chaque soir devant 1800 spectateurs payants ? Soyons honnêtes, ils diraient « Quel talent, quelle présence ! Dommage que tant d’artistes risquent de copier servilement son style ». Que penserait Vernon s’il assistait à « In And Of Itself » de Derek DelGaudio à New York ? Il ferait peut-être comme David Williamson ou d’autres très-très-très grands noms de notre discipline, qui ont vu le spectacle et ont littéralement fondu en larmes à la fin : c’est un spectacle unique dans l’histoire, qui de l’avis presque général, rebat les cartes et redéfinit en quoi la magie est plus que jamais pertinente en 2017 (mon degré d’objectivité en la matière est proche de zéro, mais je suis loin d’être le seul à énoncer cette vérité). Nos « successeurs » de Kaps, Vernon, Goshman, ils sont déjà là. On les connait déjà, ou on devine ceux qui sont en train de le devenir : ce sont finalement tous ceux qui cherchent à raconter quelque-chose avec leur magie, qui débarquent sans prévenir avec leur univers, leur tronche, leurs voix, leur ordre et leur chaos, leurs anges et leurs démons. Le débinage ? Je suis tellement content de pouvoir annoncer à Tonton Merlin (qui veille !) qu’il n’a jamais eu tort : le débinage n’existe toujours pas. J’attends toujours le magicien qui pourra démontrer à quiconque (devant un juge, ou pire, devant un forum internet) qu’il a moins travaillé à cause du débinage sur Internet. Examinons le cas David Copperfield, l’une des toutes premières cibles du Magicien Masqué (quelqu’un se souvient encore de qui c’est ?) et de Jordan M., jeune youtubeur acnéique, puceau et en mal de reconnaissance : en 2016, Copperfield a effectué 638 spectacles, soit plus de 450 000 spectateurs qui, payant leur place quelque 100$, ne devaient sans doute pas se dire que « la magie c’est facile, j’ai vu le truc sur YouTube ». Et pourtant, certains secrets y sont bien. Le constat de Merlin, posé il y a 279 ans (peut-être moins) est toujours pertinent : si un magicien s’auto-limite au « truc » qu’il emploie, il est évident qu’il se sentira désemparé si son « truc » est éventé. S’il y a autre chose que le "truc", et bien... il y a autre chose. Et vous commencez à rentrer dans le vif du sujet. Et le débinage n’est plus un problème. Et donc, comme ça ce soir, après la lecture de l'Aloah de Tonton Merlin, j’ai envie de lui lancer un défi : le défi de passer une longue soirée, où pendant la moitié du temps, on se remémorera la classe et le talent incommensurables des Kaps, des Pollock, des GoshRichiardiFechnerBongoConover, et vers minuit, on lèvera notre verre à leur héritage rendu intemporel grâce à... YouTube. Et puis, l’autre moitié du temps, sans doute jusqu’au petit matin, on explorera le travail de quelques nouveaux noms, certains évidement assez désordonnés et socialement instables, et affichant encore un peu d’acné et d’immaturité. Mais en futur-ex-vieux-c*ns, nous nous dirons peut-être : mais dis-donc, elle ne serait peut-être déjà pas là, la « relève » ? SC1 point
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Je dirais qu'au contraire, les spectateurs vont avoir souvent tendance à raisonner comme ça s'ils commencent à voir un magicien se perdre en jonglerie de cartes. Si l'exécutant est capable des faire des sybill-machin-truc-muche avec 672 paquets par main pendant 455 minutes ... j'ai envie de dire que c'est le minimum syndical, qu'il retrouve la carte choisie Dans le genre : "Ben ... oui, il a retrouvé ma carte, mais bon, t'as vu comment il manipule ? Je ne jouerais pas aux cartes avec lui ..." Et l'on est renvoyé au rang de simple "manipulateurs" ... Un manipulateurs ne vend aucun rêve; un magicien si ... point de vue personnel, bien sûr Perso, je pense que le spectateur sera d'avantage impliqué émotionnellement par quelque chose d'invisible, mais de redoutablement efficace, que par une cut-of-the-next-DVD-of-j'sais-pas-ki qu'il verra, et pourra suivre des yeux ... Amic' Florian1 point
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Mon premier tour d’illusionnisme : La téléportation En fin 1969, date à la quelle les télévisions étaient rares dans les foyers de mon village d’antan, ma mère avait cassé sa tirelire pour offrir à la famille une télévision. De marque Autovox , elle diffusait en noir et blanc, avec son boitier stabilisateur pour le protéger contre les variations de tension électrique. A cette époque les images télévisées en mouvement étaient déjà pour moi les plus beaux tours de magie que l’homme avait inventé. Depuis mon jeune âge, et malgré la rareté des programmes, j’ai pu découvrir pas mal de séries télévisées : Pour mémoire : Zorro (1957), Les incorruptibles (1959), Thierry la fronde (1963), Tarzan (1966), Star Trek (1966), Le prisonnier (1967), Les envahisseurs (1968), Manix (1975), Shaft (1973)… Malgré qu’à l époque je ne comprenais pas le français, je regardait quand même ces séries : Parmi, les scènes qui m’ont le plus marquées c’était la scène de téléportation dans la série « Star Trek ». Le téléporteur est probablement le gadget technologique le plus emblématique de l'univers de science-fiction de Star Trek imaginé à cette époque, en effet, c'est la seule série à avoir fait de la téléportation un moyen de transport courant. J’étais depuis mon jeune âge plutôt un enfant turbulent qui ne tenait pas en place et très farceur. Le téléporteur m’avait tellement intrigué que je cherchais déjà des explications logiques à ce phénomène. J’avais décidé alors de reproduire « ma téléportation » dans la rue de mon quartier, j’ai en quelque sorte depuis l’année 70 fait la magie des rues : « de la street-magie » sans le savoir. Pour comprendre le mécanisme de « ma téléportation » que j’avais mis en place : Les rues d’antan étaient architecturalement faites de maisons arabes collées les unes aux autres et ne comprenant que de rez-de-chaussée sans étages. Ce qui me permettait de grimper facilement sur les toits des maisons et traverser ainsi d’un bout à l’autre notre rue. Ma mise en-scène était la suivante : L’ air de rien, entrain de lire un livre, je m’installais au début de la rue contre un mur. Lorsqu’un passant ou plusieurs s’engageaient dans la rue, je leurs faisais remarquer inconsciemment ma présence soit en éternuant ou en toussant et ou en leur adressant un discret bonjour. Une fois mon niveau dépassé, et en m’assurant que je n’étais plus dans les champs de vision des passants. Je grimpais vite fait et en courant sur les toits des maisons du quartier que je traversais parallèlement tout le long de la rue. Puis je me réinstallais tranquillement contre le mur à l’autre bout opposé de la rue avec la même position en lisant mon livre assis au pied d’un mur. Mais là, quand le ou les mêmes passants arrivaient à mon niveau, je ne disais rien, je les laissais réagir devant cette impression « de scène déjà vu ». Les uns avec un regard interrogatif marquent un temps d’arrêt sans rien dire. Les autres me demandent si c’était bien moi qu’on venait de voir assis « laba »: à cette situation, je fais celui qui ne comprenait pas la question, cette situation augmente encore plus les interrogations d’un phénomène bizarre qui venait de se produire. C’est ainsi, que j’avais réalisé ma première illusion de Téléportation en plaine rue. Le seul inconvénient qu’à cette époque l’émission de caméra cachée n’existait pas encore. Par conséquent, j’étais l’unique spectateur de ma propre mise en scène. Ci-joint ma photo dans ma rue à Hammamet/ Tunisie en 19671 point
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@Melvin, j'en ai une autre histoire qui n'as rien avoir avec de la magie qui est encore plus étonnante: A partir de la 3ème année, pour payer les études, j'avais décroché un petit contrat d’aide-soignant pendant les vacances scolaires. Dans un petit patelin près d’Évreux à Sait Sébastien de Morsen dans un Hôpital de convalescence vraiment en plein campagne: Hôpital Lamusse. Le premier jour avant de prendre le Service, je suis allé à la lingerie pour récupérer des blouses blanches avec mon nom cousu sur la poche. Pendant que le machine écrivait mon nom. La chef lingère m'avait demandé d'où je venais? Je lui avais répondu : "De la Tunisie". Elle me dit où en Tunisie? Je lui avais répondu de la ville de Hammamet. Elle me dit est ce que vous connaissez "Mr. Hallous", je lui ai répondu, oui je le connais bien puisque c'était mon père. (Hallous c'est notre surnom (Sobriquet). J'ai appris par la suite qu' elle avait habité chez moi avant ma naissance en 1959 et connaissait bien mon frère ainé. Elle m'avait invité à manger chez elle et m'avait présenté à sa famille. N'est ce pas étonnant comme coïncidence? c'est mieux qu'un ACAAN lol1 point
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