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Il y a 15 heures, Frédéric NOWACKI a dit :

Pour apporter un peu de contradiction à @Mickaël MCD 😉
Drop, c'est quand même à chaque phase (2 fois donc), une insertion de cartes où l'on est obligé de retourner le jeu face en l'air puis face en bas, de manière totalement illogique la première fois, suspicieuse la seconde.

Au contraire ! 😄

Je trouve que ça participe grandement à l'esthétique de la routine, c'est tellement plus joli comme ça que de refaire de la même façon.

  • Retourner le jeu ça casse la monotonie.
  • Ça présente tantôt des dos, tantôt des faces.
  • Ça mon que les cartes sont quelconques à l'endroit où l'on jette les cartes.

Perso je trouve que c'est plutôt une force dans l'esthétique de la présentation de Drop 😎

Si c'est suspicieux, il y a un souci dans la présentation et la façon d'amener la routine par le magicien. Faut éventuellement revoir le texte qui accompagne le geste.

Dans le teaser par exemple, c'est fluide et surtout naturel à mes yeux.

  • J'aime 1
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Il y a 22 heures, Rémi HBRT a dit :

Dans l'hypothèse d'Arcane control, puisque le spectateur a eu plus de liberté durant l'opération, il se dira que le magicien est capable de faire bien plus. Il verra le potentiel du tour qui signifie que le magicien est capable, grâce à son habileté et sa précision spectaculaire, à contrôler un jeu de cartes, et a en tirer profit dans le cadre d'une partie de jeu de hasard.

Oui, mais c'est pour ça, à mon avis, que le tour de Jason Ladanye colle très bien à son répertoire, mais pas à celui de la plupart des magiciens : si cette analyse convient parfaitement pour une démonstration de triche, je trouve que l'effet n'est pas très magique. Ce qu'il en ressort, c'est que le magicien a une habileté spectaculaire...

Pour moi, le plot de Drop est plus "magique", mais il souffre quand même de plusieurs défauts : cartes gimmicks, nécessité de retourner le jeu (même si on peut le justifier par le texte, je trouve quand même que ce n'est pas très cohérent, et on devine qu'il y a là une contrainte technique), etc.

J'ai eu l'occasion de voir Ondrej Pšenička réaliser un effet plus ou moins similaire avec son jeu Butterfly : grâce à la fameuse propriété du jeu, il peut faire tomber le jeu en cascade  et attraper la carte du spectateur au vol (contrairement aux autres versions que je connais de ce ninja catch, la carte est réellement saisie au vol dans la cascade). On peut donc imaginer sans peine qu'il réalise l'effet suivant :

Le spectateur tire une carte, la regarde et la remet dans le paquet. Puis, le spectateur mélange lui-même le jeu et en sort les deux as rouges (ou n'importe quelle paire de son choix). Le magicien peut alors faire tomber le jeu en cascade sur la table, deux fois de suite, en insérant les deux cartes face en l'air, pour révéler à la fin que la carte choisie se trouve en sandwich entre elles.

Ca demande bien sûr deux cascades, mais elles peuvent être réalisées toutes les deux faces en bas, et le jeu reste examinable (enfin, aussi examinable qu'un jeu Butterfly, quoi...).

Mais bien sûr, ça demande un peu de travail pour que la cascade soit fluide...

  • Merci 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le

Après avoir regardé quelques vidéos de démonstration sur le net, je pense avoir compris le modus operandi de Drop.

J'attends de pouvoir tester mon idée avec un vieux jeu de carte.

Si c'est ce à quoi je pense, alors le tour ne vaut vraiment pas 45 € mais alors vraiment pas et encore moins les expressions faciales caricaturales des French Twins dans la bande annonce 😆

Quand je pense qu'avec TOOL de David STONE, on avait pour, 30 €, des centaines d'idées...

Là pour 45 €, on a un tour qui aurait pu tenir en une page d'un livre de magie vendu au même prix mais contenant 30 autres tours...

Mais attendons de voir, je crie peut-être au loup pour rien 😉

  • J'aime 2
Publié le
il y a 28 minutes, Rémi HBRT a dit :

Après avoir regardé quelques vidéos de démonstration sur le net, je pense avoir compris le modus operandi de Drop.

J'attends de pouvoir tester mon idée avec un vieux jeu de carte.

Si c'est ce à quoi je pense, alors le tour ne vaut vraiment pas 45 € mais alors vraiment pas et encore moins les expressions faciales caricaturales des French Twins dans la bande annonce 😆

Quand je pense qu'avec TOOL de David STONE, on avait pour, 30 €, des centaines d'idées...

Là pour 45 €, on a un tour qui aurait pu tenir en une page d'un livre de magie vendu au même prix mais contenant 30 autres tours...

Mais attendons de voir, je crie peut-être au loup pour rien 😉

Bon bah en tout cas il suscite aussi le tien d'intérêt ce tour du coup 😉 😄

Publié le

Pour qui connait le principe des cartes clefs, le modus est relativement clair.
Par contre je n'arrive pas à m'expliquer comment les 5 cartes de la quinte flush ont fait pour se grouper au même endroit...

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Circulez !

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il y a 6 minutes, Eric DUBS a dit :

Pour qui connait le principe des cartes clefs, le modus est relativement clair.
Par contre je n'arrive pas à m'expliquer comment les 5 cartes de la quinte flush ont fait pour se grouper au même endroit...

T'as rien compris, c'est une démo de tricherie !

Publié le

Le retournement n'est pas logique... Pour qui ? Les magiciens ?

Personne ne m'a fait la remarque. Bien entendu c'est en raison d'une contrainte technique mais les spectateurs ne pensent pas à ce genre de chose.

Je comprends que 45 € c'est cher, après il faut ouvrir les yeux, MDT le propose à 39.90 €, ça reste cher mais ça passe un peu mieux. Si les magiciens à Blackpool se sont arrachés ce produit, il y a sans doute une raison. A moins qu'ils ne soient tous stupides, ce que j'ai du mal à croire.

L'effet à séduit tous ceux qui l'ont vu et pour une très bonne raison, Thomas Badar le réalise à la perfection, sans temps d'arrêt ou bien si minime qu'on ne le perçoit pas. Ce qui n'est pas mon cas, ni celui de nombreux gars qui présentent cet effet. Si vous aviez vu nos prestations, vous auriez sans doute compris le truc, quand c'est Thomas, vous l'auriez au mieux suspecté sans en avoir la preuve formelle.

Ceci étant dit, j'aime bien l'Arcane Control qui est, il faut le reconnaître, moins spectaculaire dans le sens où l'on peut toujours suspecter un contrôle, ce qui n'est pas le cas de Drop.

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Publié le (modifié)
Il y a 21 heures, Eric DUBS a dit :

Pour qui connait le principe des cartes clefs, le modus est relativement clair.
Par contre je n'arrive pas à m'expliquer comment les 5 cartes de la quinte flush ont fait pour se grouper au même endroit...

Alors en fait, il y a un savant montage dès le début et des astuces qui permettent de faire la première partie de la routine de Drop sans impacter pour autant le reste du jeu !

  • C'est vraiment très bien pensé 😄
  • Du coup, en vrai, les 5 cartes cartes de la quinte flush royale ne se regroupent pas vraiment toutes seules...
  • Mais chuuuut, c'est un secret hein 😀
Révélation

Rho la la... Le relou qui comprend pas le second degré 😅

 

Il y a 17 heures, Olivier NICOLEAU a dit :

Si les magiciens à Blackpool se sont arrachés ce produit, il y a sans doute une raison.

Carrément ! 😃

Indéniablement, c'est un succès fou ce tour 🙂

Et pour l'avoir, pour l'avoir refait en dos bleus et pour m'en servir très souvent, je confirme bien qu'à l'usage, c'est une petite bombinette ! 😎

Modifié par Mickaël MCD
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Publié le
Il y a 23 heures, Alx a dit :

Oui, mais c'est pour ça, à mon avis, que le tour de Jason Ladanye colle très bien à son répertoire, mais pas à celui de la plupart des magiciens : si cette analyse convient parfaitement pour une démonstration de triche, je trouve que l'effet n'est pas très magique. Ce qu'il en ressort, c'est que le magicien a une habileté spectaculaire...

C'est cela qui m'ennuie un peu (beaucoup) chez lui : un personnage très (trop) sûr de lui, "regardez je suis le meilleur avec les cartes, tu vas pas m'attraper"... Mais je reconnais son habileté avec les cartes que je n'aurais jamais.

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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