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Publié le

Lors d'une conférence d'Antoine, j'ai achetée Hotel 1950 et Titanic, car , j'étais en pleine écriture d'un nouveau spectacle pour le festival off d'Avignon, et je pensais que ca s'intégrerait bien dans ma nouvelle création, qui au depart était déjà une enquête style policière temporelle et paranormale à Scotland Yard.

Du coup ces deux histoire m'ont aider à étoffer l'histoire, le département K étant un bureau de Scotland Yard, et le Triskaideka de hotel 1950, étant le jumeau caché de Mary Marvin dans Titanic qui avait de mystérieux pouvoir télépathique ainsi que le control du feu...

Voici un teaser du spectacle.

 

  • J'aime 6

Zatanna, la magie au féminin.

https:www.zatanna.pro

  • 1 année plus tard...
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Publié le (modifié)
Il y a 2 heures, Stéphane BRY (Govary Junior) a dit :

Bonjour à tous,

je vous mets ci-dessous le lien vers la vidéo de Baptiste Cretin qui nous présente la capsule 05 Forever Club 27. Encore merci à lui pour cette vidéo qui nous permet d'avoir une idée bien concrète de la routine. Bon visionnage à tous.

 

Merci à toi pour le partage. Je n'avais pas du tout compris l'effet avec la description fournie sur le site 😅. C'est d'ailleurs l'une des raisons qui fait que je ne l'ai pas acquise.

Du reste, loin de remettre en question cette présentation de l'effet néanmoins c'est celui qui me plaît le moins depuis le début des Capsules. Beaucoup de comptage et la direction est moins claire que pour les autres (mon avis). Je suis aussi peut être moins sensible à la thématique... Le fil rouge des régulateurs de la trame temporelle est également fort absent, non ? Dans les précédentes Capsules on voulait changer l'Histoire. Et ici elle est juste racontée pour montrer des coïncidences.

Bref! Je passe mon tour sur celle là et attend impatiemment la 6ème 😉

 

Merci pour la vidéo!

Modifié par Lionel HLMNT

Etes-vous bien attentif ?

http://www.denisdarko.art

Publié le
Il y a 17 heures, Lionel HLMNT a dit :

Je suis aussi peut être moins sensible à la thématique...

Dans mon cas (prof de guitare et sensible au blues de Robert Johnson) c’est tout le contraire. 

Pour la présentation je pense qu’il faudra insister un peu plus sur ce qu’est ce fameux club des 27 pour installer au mieux un climat de mystère. 

J’avais inséré cette vidéo avec Cross Road Blues de Robert Johnson en 2019 dans VM

J’ai également évoqué ce film culte pour les amateurs de blues et les guitaristes du style, Crossroads, dans ce sujet, où l’on évoque un autre élément chargé de mystère, à savoir la légendaire trentième chanson que Robert Johnson aurait écrit mais que personne ne connaît…

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Robert_Johnson

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Crossroads_(film,_1986)

  • Merci 1
  • 3 months plus tard...
Publié le

Marchand de trucs aurait annoncé que la série s'arrêterait à la 6ème capsule (contre 12 prévus à l'origine).

Savez-vous pourquoi ? Quand sortira la 6ème ? cet arrêt est-il définitif ?

@Antoine SALEMBIER et/ou @Ludovic MIGNON si vous passez par là...

  • Triste 1

La bêtise est nettement supérieure à l'intelligence car toute l'intelligence du monde ne permettra jamais de comprendre la bêtise universelle, tandis qu'un peu de bêtise suffit amplement à ne pas comprendre quoi que ce soit d'intelligent.

Philippe Geluck

Extrait de "Et vous, chat va ?"

Publié le

Il y a un truc qui me chagrine dans cette histoire.

On nous dit que le dernier concert était prévu pour le 3 juillet à Los Angeles, il semblerait que ce concert n'est jamais été prévu car d'une part Jim Morrison était à Paris depuis un moment et les autres membres étaient en vacances.

Imaginons que le spectateur lambda n'en sache rien, ce qui est fort probable. Il n'en reste pas moins que comme il est décédé dans la nuit du 2 au 3, il pouvait difficilement être le 3 à Los Angeles pour un concert. 

Ce n'est pas du tout crédible, le 4 peut-être mais pas le 3. Sans chercher la petite bête et pinailler sur les détails, il pouvait difficilement être le 3 à deux endroits si éloignés surtout en 1971 où les avions n'étaient pas aussi performants que de nos jours. Ceci étant dit, je trouve cela plutôt intéressant. 

Publié le
Le 01/02/2024 à 12:53, Olivier NICOLEAU a dit :

Il y a un truc qui me chagrine dans cette histoire.

On nous dit que le dernier concert était prévu pour le 3 juillet à Los Angeles, il semblerait que ce concert n'est jamais été prévu car d'une part Jim Morrison était à Paris depuis un moment et les autres membres étaient en vacances.

Imaginons que le spectateur lambda n'en sache rien, ce qui est fort probable. Il n'en reste pas moins que comme il est décédé dans la nuit du 2 au 3, il pouvait difficilement être le 3 à Los Angeles pour un concert. 

Ce n'est pas du tout crédible, le 4 peut-être mais pas le 3. Sans chercher la petite bête et pinailler sur les détails, il pouvait difficilement être le 3 à deux endroits si éloignés surtout en 1971 où les avions n'étaient pas aussi performants que de nos jours. Ceci étant dit, je trouve cela plutôt intéressant. 

Mais c'est là tout le paradoxe temporel d'un concert qui n'a pas pu exister dans notre espace temps ! 

Publié le

- C'est un continuum aux synergies nombreuses, qui doit nous permettre de tenir cette promesse.

AOC. Le fromage.

Publié le
Le 03/02/2024 à 17:00, Antoine SALEMBIER a dit :

Mais c'est là tout le paradoxe temporel d'un concert qui n'a pas pu exister dans notre espace temps ! 

Je comprends ce que tu veux dire, mais dans la vidéo de démonstration ce n'est pas si clair.

En tout cas félicitations car j'aime bien ce type de routines dans lesquels on a du matériel original qui change des cartes et des pièces.

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  • Messages

    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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