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J'allais me déconnecter quand je suis tombé sur ce sujet. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Je l'avais loupé. Heureusement maintenant je suis là xD.

Concernant la réforme de la SNCF, et plus précisément celle dont il est question aujourd'hui, j'enrage tant et si bien que je suis à l'euphytose depuis presque deux mois : 

- Début des années 50, la part du fret dans la trafic ferroviaire était de 70%; depuis, l'Etat ayant voulu favorisé le trafic routier (en allant, au passage,  contre le sens de l'histoire d'un point de vue écologique), la part du fret ferroviaire est passé à 10% (et, encore au passage, voyez la clairvoyance de nos dirigeants en demandant juste aux entreprises de transport routier françaises, comment se porte le secteur aujourd'hui).

- Suite à une directive européenne, l'Etat a confié la gestion du réseau ferré à RFF  et celle des trains à la SNCF. Résultat des courses, la SNCF paye aujourd'hui un péage exorbitant pour l'utilisation du rail.

- Ce n'est pas le statut de cheminot qui coûte de l'argent à la SNCF mais l'accumulation des mauvaises décisions des dirigeants (politiques et SNCF). Cependant, le statut de cheminot est anachronique aujourd'hui. Certes la prime de charbon, par exemple, n'existe plus depuis longtemps même si une majorité de la population semble penser le contraire. Mais aujourd'hui il n'est plus acceptable qu'un régime spécial soit octroyé à certains et pas à d'autres. La pénibilité et patati et patata existe dans de nombreux autres domaines et n'est pas compensée pour autant. Est-il normal qu'un indépendant ayant créé son activité ne bénéficie pas des mêmes droits que les salariés en général et que les cheminots en particulier, par exemple ( pour les indépendants régime de sécurité social différent, absence de congés payés, absences d'indemnisation en cas de maladie, etc.) ? Bref, la disparition du statut de cheminot pour les nouveaux embauchés me fait ni chaud ni froid. Bien au contraire.

Concernant le paiement des jours de grève, le père d'un pote, déjà passablement contrarié par un dialogue social en tension constante au sein de l'entreprise, a décidé de démissionner de son poste de directeur à la SNCF lorsque des cheminots - dont il avait été le témoin de leur participation à un mouvement de  grève -  se sont présentés à lui pour réclamer leur complément de salaire arguant du fait qu'ils n'avaient pas fait grève et que de nombreux collègues pouvaient en témoigner. Il a démissionné lorsque ceux-ci ont eu gain de cause. Je ne dis pas que cela se passe toujours ainsi mais juste que cela existe parfois.

Malgré cela, je ne pense pas que la suppression du statut de cheminot soit d'une importance vitale - ce serait même anecdotique à mon sens - dans la restructuration de la SNCF; selon moi, cet aspect a été inclus dans le projet de restructuration uniquement pour diviser les Français et rendre impopulaire le mouvement de grève, le réduisant à un simple mouvement corporatiste (ce qui est assez habile, ceci dit).

Enfin, parmi les négociations qui ont eu lieu, l'Etat a accepté de reprendre une partie de la dette de la SNCF . Ben voyons et où l'Etat et la SNCF vont-ils trouver l'argent ? Ben chez toi pomme à l'eau, et deux fois encore, en tant qu'usager de la SNCF et en tant que contribuable.

Pour finir, ce mouvement était voué à l'échec dès le départ; il aurait peut-être fallu mettre en place une grève continue et encore, elle n'aurait pas abouti davantage à mon avis, car penser le contraire serait très mal connaître notre Président pour lequel cette restructuration est capitale. En effet, s'il cède, il ne pourra plus faire passer aucune réforme et ça, ce n'est absolument pas dans son tempérament.

My2Cents

W.

Publié le (modifié)
Il y a 6 heures, Woody a dit :

Est-il normal qu'un indépendant ayant créé son activité ne bénéficie pas des mêmes droits que les salariés en général et que les cheminots en particulier, par exemple ( pour les indépendants régime de sécurité social différent, absence de congés payés, absences d'indemnisation en cas de maladie, etc.) ? Bref, la disparition du statut de cheminot pour les nouveaux embauchés me fait ni chaud ni froid. Bien au contraire.

Oui mais c'est là où tu te trompes :

Ce n'est pas aux cheminots à qui il faut enlever les droits mais aux autres à qui il faut donner les mêmes. Sinon, on prend dans la société celui qui a le moins d'avantages et on met tout le monde à son niveau. Facile d'argumenter sur "l'égalité" pour niveler par le bas.

On est dans un vrai retour en arrière, et tout le monde l'accepte. Mais ce laisser-aller pour appauvrir la population, tout le monde va le payer bientôt.

Si l'égalité c'est supprimer tout ce que l'autre n'a pas, et ben allons-y : supprimons qui son 13° mois, qui ses tickets restaurants... commençons la traque aux avantages...

L'argument de (fausse) égalité (entre les corps de métiers, entre les pays européens...) utilisé par le gouvernement m'énerve au plus haut point : ce gouvernement de droite nous ferait presque croire qu'il est communiste !

C'est le même argument qui sera utilisé pour baisser toutes les retraites l'an prochain et les gens n'y verront que du feu derrière l'écran de fumée de "l'égalité" !

Modifié par Melvin
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Melvin

Publié le

 

Il y a 6 heures, Woody a dit :

Bref, la disparition du statut de cheminot pour les nouveaux embauchés me fait ni chaud ni froid. Bien au contraire. 

Les amateurs de double négation ne vont pas regretter de ne pas l'avoir manquée, celle-ci :D

Ou pas...

 

  • Merci 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le (modifié)
Il y a 4 heures, Melvin a dit :

Oui mais c'est là où tu te trompes :

Ce n'est pas aux cheminots à qui il faut enlever les droits mais aux autres à qui il faut donner les mêmes. Sinon, on prend dans la société celui qui a le moins d'avantages et on met tout le monde à son niveau. Facile d'argumenter sur "l'égalité" pour niveler par le bas.

On est dans un vrai retour en arrière, et tout le monde l'accepte. Mais ce laisser-aller pour appauvrir la population, tout le monde va le payer bientôt.

Si l'égalité c'est supprimer tout ce que l'autre n'a pas, et ben allons-y : supprimons qui son 13° mois, qui ses tickets restaurants... commençons la traque aux avantages...

L'argument de (fausse) égalité (entre les corps de métiers, entre les pays européens...) utilisé par le gouvernement m'énerve au plus haut point : ce gouvernement de droite nous ferait presque croire qu'il est communiste !, 

C'est le même argument qui sera utilisé pour baisser toutes les retraites l'an prochain et les gens n'y verront que du feu derrière l'écran de fumée de "l'égalité" !

Je ne préconise pas le nivellement par le bas mais juste l'équité; s'il faut supprimer des "avantages" à certains pour étendre l'égalité de traitement et par là-même améliorer les conditions de vie de l'ensemble des catégories socio-professionnelles, je n'y vois pas d'inconvénient. Toutefois, là où je te rejoins c'est qu'avant de supprimer les acquis des cheminots au nom de cette équité, envisageons la même logique en nous tournant d'abord vers les grands patrons du CAC40, par exemple (et pour faire court, car ce n'est peut-être pas si simple).

Modifié par Woody
Publié le

OK. mais on voit bien où se place ce gouvernement. Il y a qques jours le président nous dit qu'on donne trop d'argent aux pauvres et malgré toutes ces aides, ils restent pauvres, sous entendu, il faut donc supprimer ou abaisser ces aides, comme si, parce qu'une proposition était vraie, sa réciproque l'était ! ça n'a aucun sens, mais ce que M peut être certain c'est que s'il n'y avait pas d'aides, les pauvres seraient vraiment dans une telle misère qu'il finiraient peut-être par disparaitre.

Et pendant ce temps, on se rend compte que la suppression des rentrées d'argent dans les caisses de l'état par arrêt de l'impôt sur la fortune permet aux riches d'êtres plus riches a tel point qu'ils n'ont même plus besoin de donner de l'argent aux associations caritatives qui viennent de voir baisser leur rentrées d'argent baisser de plusieurs millions d'euros.

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Melvin

Publié le
Le 18/06/2018 à 05:39, Melvin a dit :

Sinon, on prend dans la société celui qui a le moins d'avantages et on met tout le monde à son niveau. Facile d'argumenter sur "l'égalité" pour niveler par le bas.

On est dans un vrai retour en arrière, et tout le monde l'accepte. Mais ce laisser-aller pour appauvrir la population, tout le monde va le payer bientôt.

Si l'égalité c'est supprimer tout ce que l'autre n'a pas, et ben allons-y : supprimons qui son 13° mois, qui ses tickets restaurants... commençons la traque aux avantages...

En effet. Le but le plus noble est bien d'augmenter les avantages de tous, pas d'abaisser ceux de certains, surtout si ceux qui décident font partie des plus nantis...

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Publié le
Le 18/06/2018 à 05:39, Melvin a dit :

Si l'égalité c'est supprimer tout ce que l'autre n'a pas, et ben allons-y : supprimons qui son 13° mois, qui ses tickets restaurants... commençons la traque aux avantages...

Evidemment, je pense que tout le monde est d'accord avec le principe d'égalité, si possible en amenant les plus défavorisés au niveau de privilèges des plus favorisés.

Maintenant, ce n'est pas toujours possible : l'égalité suppose le partage, mais on ne peut partager que ce qu'on a.

Si j'ai un gâteau d'un kilo à partager entre dix personnes, la solution la plus juste consiste à donner une part de 100 grammes à chacun.

Cela signifie que ceux qui ont une grosse part de 200 g vont devoir en redonner un peu pour que ceux qui n'ont que 50 g voient leur portion augmenter.

Dans un monde parfait, il me faudrait un gâteau de 2 kg, et je pourrais donner à chacun la même (grosse) part. Mais dans le monde réel, on ne peut pas toujours tirer tout le monde vers le haut, et tout le monde doit avoir droit à la même part (moyenne)...

Et je précise que cette démonstration s'applique aussi bien aux avantages sociaux des cheminots qu'aux parachutes dorés des patrons du CAC40 : il n'y a rien de politique là-dedans, ce sont des mathématiques ^_^

L'important, c'est que ça valide !

Publié le (modifié)
il y a une heure, Alx a dit :

Si j'ai un gâteau d'un kilo à partager entre dix personnes, la solution la plus juste consiste à donner une part de 100 grammes à chacun.

[...]

Dans un monde parfait, il me faudrait un gâteau de 2 kg, et je pourrais donner à chacun la même (grosse) part.

Au monde imparfait j'opte alors pour un mode plus que parfait dès à présent.

Par ailleurs, donner une part égale de gâteau à des individus qui n'ont pas les mêmes besoins énergétiques (métabolisme) ou les mêmes envies, c'est un peu bizarre voire injuste. Et pourquoi plus de gâteau et non pas une petite part d'un gâteau bien meilleur ? 

J'ajoute : quand on demande à un enfant "Combien ça fait un gâteau coupé en deux ?", il ne répond pas "Deux demi-gâteaux" mais... "Deux gâteaux" ! J'ai plusieurs fois vécu cela lorsque je dois expliquer ce qu'est un demi-ton à un élève qui n'a pas encore étudié les fractions. 🙂

Alx, je pense qu'en France le gâteau est titanesque est qu'il y a largement moyen de faire des parts équitables pour tout le monde ; chacun veut sa part du gâteau mais il y en a qui s'en foutent plein les poches et des autres (ah ah, j'ai réussi à placer un zeugma). 

Modifié par Christian Girard
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Publié le

T'as pas tort (et pan, une litote !)

il y a 56 minutes, Christian Girard a dit :

J'ajoute : quand on demande à un enfant "Combien ça fait un gâteau coupé en deux ?", il ne répond pas "Deux demi-gâteaux" mais... "Deux gâteaux" ! J'ai plusieurs fois vécu cela lorsque je dois expliquer ce qu'est un demi-ton à un élève qui n'a pas encore étudié les fractions.

Comme quoi, si la vérité sort de la bouche des enfants, ce n'est pas le cas de la vérité mathématique xD

D'ailleurs, en l'occurrence, l'objet de la métaphore n'en sort pas, il y entre :P

Ceci dit, je ne parlais pas ici de la nature du gâteau, mais des moyens de le partager : certes, le gâteau est immense, et chacun veut sa part du gâteau (la plupart lorgnent même en plus sur la part du voisin 9_9), mais il faut s'entendre sur la nature du gâteau.

S'il s'agit du PIB, il a l'air colossal (2 mille milliards et des poussières), ce qui représente quand même 33 000 € par habitant (et par an !). Ceci dit, le projet de redistribution le serait encore plus (et causerait des débats sans fin sur les "besoins" des uns et les "droits" des autres)

Si on parle du montant des retraites, le gâteau est déjà plus modeste (sans parler de l'ardoise qu'on a chez le pâtissier).

Alors il ne faut pas s'étonner si les candidats nous présentent tous des programmes conformes aux croyances des enfants (ou des électeurs, dont la candeur n'a rien à envier à celle des enfants) "avec ma méthode, je vais couper le gâteau en deux, ça fera deux gâteaux", programmes qui sont évidemment intenables (parce que, au bout du compte, les deux gâteaux sont plus petits...

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L'important, c'est que ça valide !

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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