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Merci beaucoup pour cette réponse bien détaillé.

J'avoue être tenté par certaine possibilité de promystic.

Le prix freine cette empressement et c'est tant mieux.

Si je choisit cela sera avec beaucoup de réflexion et pour sublimer les effets que j'affectionne.

 

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Il y a 3 heures, radja a dit :

Merci beaucoup pour cette réponse bien détaillé.

J'avoue être tenté par certaine possibilité de promystic.

Le prix freine cette empressement et c'est tant mieux.

Si je choisit cela sera avec beaucoup de réflexion et pour sublimer les effets que j'affectionne.

 

Tout à fait.
C'est d'ailleurs comme ça que j'avais procédé, le prix étant un sacré frein.
Mais j'étais parti sur une idée originale de tour et ensuite j'ai été convaincu que seul ce Dé me permettrait de le résoudre, comme je voulais. Et que par la suite ses possibilités seraient étendues.
Et le résultat correspond tout à fait à mon attente.

De plus, je reconnais égoïstement qu'ainsi il n'y aura pas beaucoup de concurrence. :)

Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Le 22/03/2018 à 05:33, MANKAI a dit :

Pour le cas particulier du Promystic, je le redis son prix est exorbitant relativement à l'effet qu'il produit. Surtout qu'il y a un membre (à vérifier) sur VM qui a publié qu'avec 15 euros d'achat en électronique, il peut reconstruire et reproduire l'effet (entre 15 et 1000 la différence est large).

Quand je lis ça, je me dis que c'est vrai et fou : des gens achètent un paquet de cartes 2.50 € et facturent une heure de leur temps entre 500 et 1.000€ facile pour s'en servir !

Scandaleux, non ?

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David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le
il y a 4 minutes, Edler a dit :

Real Dice a été utilisé au PGCDM ? C'était plutôt un produit concurrent, non ?

Du point de vue des spectateurs, en tout cas, l'effet est similaire...
je ne dis pas identique à cause des tâtillons :D

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L'important, c'est que ça valide !

Publié le
il y a 11 minutes, Alx a dit :

Du point de vue des spectateurs, en tout cas, l'effet est similaire...
je ne dis pas identique à cause des tâtillons :D

Oui, mais je crois que c'était assez simpliste. Je ne retrouve plus la vidéo et la recherche dans VM n'a rien donné.

En tout cas je viens de peaufiner ma présentation, je la trouve super. Cela en fait au moins un de satisfait. :) Et j'ai déjà en vue une autre présentation, à mettre au point. Le but est de faire oublier le dé comme outil principal, en mettant en valeur un effet époustouflant que je trouve époustouflant.

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Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Il y a 3 heures, Chakkan a dit :

Quand je lis ça, je me dis que c'est vrai et fou : des gens achètent un paquet de cartes 2.50 € et facturent une heure de leur temps entre 500 et 1.000€ facile pour s'en servir !

Scandaleux, non ?

Ca me rappelle cette histoire: 

Le grand maître Picasso, arrivé à la fin de sa vie, reçoit commande d'un logo, de la part d'une grande maison de haute couture.

Le peintre donne son prix: ce sera 20 millions de dollar.

Le couturier accepte, paie d'avance, et n'a toujours aucune nouvelle de l'artiste au bout d'un an...ses assistants ne répondent rien...black-out.

Le couturier s'inquiète et charge un assistant d'aller trouver le maître en personne.

l'assistant parvient à rencontrer l'apprenti de Picasso, et lui explique, que sa maison attend depuis un an, le dessin du maître, pour leur nouveau logo.

Picasso arrive, ne dit rien, se pose devant une feuille blanche,

et en 30 secondes, il fait trois ou 4 traits au crayon, et tend le papier à l'assistant en disant: voilà, c'est ça !

L'assistant, interloqué par cette rapidité, regarde le dessin (qui était génialement simple), et demande au génie: Je ne comprends pas comment vous pouvez faire payer ce dessin 20 millions de dollars, alors que vous n'avez mis que 30 secondes à le faire...?

Et l'artiste de répondre:

"non jeune homme, pour faire ce dessin, j'ai mis

60 ans...et 30 secondes".

- (Source)

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We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le (modifié)
Le 22/03/2018 à 09:22, Jérôme BMC a dit :

Mankaï c'est affirmation est aussi gratuite, 15 eur de matos (peut-être je n'en sais rien) c'est facile à dire après que le fabricant a testé un multitudes de techniques, a fait des prototypes, a trouvé les différents fournisseurs. La recherche se paie aussi ainsi que les idées. Puis une fois le matos à 15 EUR acquis il faut le travailler et le travailler proprement. As-tu une idée du temps que cela peut  prendre? Certainement vu que tu fabriques toi même ton matériel. Combien de prototypes ou d'essais as-tu fait pour ta boîte à cartes? As-tu acheté l'outillage nécessaire au formage du plexiglas? Dans le cas où tu l'as acheté, tu dois compter un amortissement, si tu décides de produire cette boîte et la vendre, cela impacte sur le tarif final. Le prix n'est que la pointe de l'iceberg, il faut se rendre compte de ce que cache l'étiquette.

 

C"est totalement vrai... la recherche, la conception à partir de simples idées coute très chère, si je vous dis que j'en suis pour plus de 1500e pour 14 prototypes perso qui va le croire... La passion a un prix !

Si vous êtes doué vous pouvez assembler n'importe quoi ou presque...

15e c'est possible avec 100 heures de travail en plus...

Les pico drones chinois utilisent le principe du micro gyroscope avec 6 axes.... On peut très bien assembler une puce gyroscope sois-même ! Mais vous y passerez cent heures qui finalement vous couterons bien plus que 1000e... 

Modifié par davegmp

Dave²

 

  • 7 months plus tard...
Publié le (modifié)

Une routine intéressante est proposée par Luke Jermay dans son ouvrage "Distractions" avec l'utilisation de Real Die.

 

Modifié par Damien (3draco)
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Croire ou ne pas croire, cela n'a aucune importance
Ce qui compte c'est de se poser de plus en plus de questions
Edmond Wells

3Draco

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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